Démocratie = manipulation de l’opinion

 

 

 

POLITIQUE : vient de cité et de ses habitants : les citoyens (ceux du culte de la cité : les consommateurs soumis à l’offre et à la demande).

 

 

 

 

DÉMOCRATIE : elle ne consiste pas en un gouvernement qui fait ce que la majorité du peuple veut, mais en un gouvernement qui convainc le peuple à accepter ce que le gouvernement veut. En effet, en triomphant, la libre pensée signa son arrêt de mort (1), car il est alors impossible de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d’accord. Le « pouvoir du peuple » est la pire escroquerie de ces 10.000 ans de la voie de l’Agriculture ! Parce que le peuple est représenté par un ou quelques individus bien souvent inamovibles ; on appelle ça « gouvernement représentatif » : une Oligarchie qui gouverne à la place du peuple, Oligarchie, en principe, désignée par élection exclusivement ; mais qui tire les ficelles de tout cela : le fric bien-sûr !
La démocratie ne doit pas être un métier : pas de « politiques de profession » comme actuellement et depuis toutes les républiques de l’après 1789 ; dans le lot s’entend évidemment cette judéo-franc-maçonnerie spéculative à pouvoir.
Le pire : les représentants du peuple et le peuple sont perçu comme « démocratie », alors que le rapport est le contraire de la démocratie.

La démocratie est une FAUSSE démocratie : un gouvernement représentatif comportant un petit peu de démocratie et le reste d’Oligarchie.
DÉMOCRATIE : opinion de quelques uns (oligarchie) rongés par le pouvoir et principe de manipulation d’opinion en vue d’un vote exprimé par le plus grand nombre, et qui évidemment ne correspond pas du tout à la demande générale. Après... après vient la cuisine républicaine, avec les jeux des parlements et autres institutions légales et assemblées et ses députés en goguette (pros de la politique), et rondement payés par les impôts des Français.

DÉMOCRATIE = LE FAUX EST AU POUVOIR et IL A LA MAJORITÉ POUR LUI. On appelle ça aussi « LA SCIENCE », cette chose que tout le monde peut faire et mesurer, puisque c’est aussi ça l’égalité devenue une véritable maladie depuis 1789. Égalité conduisant inévitablement vers la médiocrité (sauf pour les riches genre clientélisme).
La démocratie est donc le tripatouillage de substituer les gouvernants par l’élection en faisant arriver au gouvernement les moins aptes (et les plus riches).
La démocratie remplace les plus aptes par les plus cons (et les plus riches pour se payer une campagne médiatique et faire du bruit).
Le roi disparu, la démocratie agit pour le bien de ceux qui sont soumis à son pouvoir, selon le modèle multi-millénaire : parents/enfants. Ce qui lui confère autorité et légitimation.

La démocratie et sa république ne peut engendrer que le chaos et la médiocrité et le pire du conventionnel, et la malignité qu’elle sous-tend. Pour diriger un pays, seul un roi, ou un chef, peut le diriger convenablement, parce QU’IL N’EST PAS COMME LES AUTRES. N’importe quel membre d’un gouvernement républicain, de droite comme de gauche, une fois sa fièvre du pouvoir passé, il pourra l’exercer dans une entreprise industrielle ou dans un cabinet d’avocats et tout autre profession libérale fortement rémunératrice, ou donner des conférences à prix d’or comme Sarkozy ou Clinton ; et si son parti politique passe, il reviendra à la politique en étant ministre de ceci ou de cela.

De tous temps le roi était AU SERVICE DE ses peuples (divers pays réunis en un État ou étatisme). Le roi a toujours été le garant de l’unité et de l’universalité d’un pays. Le roi ou chef parlait à SES PEUPLES, exactement comme au temps des Gaulois et de la Gaule, où le roi était constitué par l’Assemblée des Druides, et les peuples étaient les différents pays composant la Gaule avec à leur tête leurs chefs.
Avec la république, l’étatisme est effectif comme l’était le totalitarisme soviétique de 1917 à 1991. En fait la république est LE MODÈLE du système bolchevique ou socialiste, qu’aujourd’hui on appelle mondialisme, ou selon Sarkozy : Nouvel Ordre Mondial, où, toujours selon Sarkozy, tout le monde ira, et personne ne pourra y échapper !
En Gaule comme avant l’an 1000, l’étatisme n’avait pas encore fait ses ravages : tel parlement d’une province ou pays était totalement indépendante du pouvoir royal installé dans la capitale. Il y avait une réelle séparation des pouvoirs et surtout une réelle autonomie provinciale ou de pays, un réel respect de la capacité législative séparé de l’exécutif. Tout cela a disparu depuis 1789 et il n’est plus étonnant que 1789 donnera plus tard le socialisme de l’URSS.

Pour duper la finance internationale qui nous dupe tous, il faudrait connaître leur alphabet ! Comme autrefois ceux qui savaient lire pouvaient duper les analphabètes. Aussi dire que le libéralisme et la démocratie existe est la même imbécilité qui consiste à dire que la loi, la juridiction sont légitimé par la démocratie ! C’est le contraire qui se passe : si l’on part du principe juridique que la légitimation du pouvoir politique doit dériver du consensus démocratique et du respect des règle, alors le pouvoir politique n’est jamais, et ne peut être jamais légitime.
Le droit se base sur le pouvoir de fait (d’opinion et sensibilité dans un monde spatio-temporel), nullement de droit.

La majorité ne peut être que médiocrité, parce qu’il est facile d’y entrer : on suit comme les moutons, c’est si confortable ! Faire comme les autres... suivre la paroisse... Aujourd’hui le Dieu des Chrétiens ou noachisme de l’empire USionistan (le Marché) exporte sa démocratie à coups de bombes sur la gueule pour soumettre les « Païens » qui ne consomment pas. On connait tous la propagande sous la forme de la ritournelle démocratique : « Nos jeunes (ou nos soldats) qui combattent là-bas pour notre sécurité et pour la démocratie ».
La fameuse morale si chère aux Pharisiens et aux francs-maçons et le « bien et le mal » qui en découle ne sont pas des constructions conscientes et rationnelles, ni des révélations divines à la noachisme ou Moïse, mais sont des modes et des conditionnements sociales, surtout pendant les premières années de la vie, ou à des actions ou expériences d’après une réaction parentale, ou d’autres personnes, d’éloge ou de blâme. Ainsi se construit une géométrie du mental du bien et du mal, du juste et de l’injuste, du pur et impur, etc. Les « valeurs morales » sont comme des goûts et des couleurs et d’aimer telle ou telle musique, ce ne sont que des valeurs esthétiques, des opinions variant de groupe de personnes et de lieux géographique. Aucune base objective là-dedans ! Mais une morale en forme d'opinion.

La démocratie ne peut être qu’une oligarchie : nous les peuples sommes manipulés, fabriqués, influencés par des gens dont nous n’avons jamais entendu parler. Ainsi un très grand nombre d’humains doit adhérer ou être serviles à ce système d’organisation pour que ça fonctionne « paisiblement », ce qui n’est plus le cas aujourd’hui les gens se révoltant contre cette oligarchie totalement pourrie : la finance judéo financière internationale.
Depuis 1789 et l’instauration d’une république, c’est le matérialisme, donc l’action, qui créé l’idéologie (les essences en quelque sorte) et non le contraire comme du temps des rois. Cette inversion typique donnera le socialisme des Juifs bolcheviques en 1917 où ce sont les accidents qui engendreront les essences, ainsi l’État « démocratique » ne peut pas être libéral et doit façonner la « réalité » pour les autres : règne de l’opinion ou dictature de l’oligarchie imposant à l’ensemble. Cela s’appelle de l’Étatisme, et les États-Unis après le drame du 11 septembre 2001 le confirment en une restriction croissante des libertés civiles et politiques et des garanties judiciaires, avec leur Patriot Acts et en France la LPM (Loi de Programmation Militaire).

Comme écrit en début de page la démocratie ne peut fonctionner que par le vote, or aucun État ne peut satisfaire aux conditions des électeurs. La démocratie est un système QUI FAIT CROIRE QUE, qui donne l’ILLUSION aux gens que le pouvoir est légitime, et que celle-ci dérive de leur volonté même, et que par conséquence ils doivent obéir étant que ce sont eux qui ont élu leurs représentants pour qu’ils les gouvernent au mieux. La démocratie est donc un système de production du consensus, ou de servilité, vis-à-vis de l’oligarchie qui prend effectivement les décisions. Et avec l’Union Européenne les peuples ne savent même plus qui fait quoi...
Les médias aux ordres de la finance internationale et du sionisme peuvent agir sur le subconscient des humains qui se prétendent « libres », et produire une majorité d’avis favorables, ou d’avis contraires à une guerre ou à d’autres actes politiques.
La démocratie est faite d’équilibres constamment instables dans lesquels se succèdent des majorités maintenant déguisés en oppositions, et qui en plus se forment et se déforment sur des sujets spécifiques.

Ce qui fonctionne chez beaucoup de gens ce n’est pas la démocratie mais LA CROYANCE EN LA DÉMOCRATIE OU RÉPUBLIQUE, de la même façon que LES MARCHANDS DE CROYANCES SONT LES BANQUES : ELLES PRÊTENT CRÉDIT-CRÉDO. Le pouvoir est donc entre les mains de la finance juive internationale, devenue incontrôlable depuis 1789, tandis que les institutions publiques auxquelles les Français croient pouvoir participer sont subordonnées au monde de la finance : « Donnez-moi le contrôle de la devise d’une nation et je me fiche de qui fait les lois » (le fondateur de la dynastie bancaire des Rothschild, Mayer Amschel Rothschild (1743-1812). Et il est connu depuis des siècles que les crises et les guerres ÇA RAPPORTE BEAUCOUP ! La stabilité et la paix ce n’est pas bon pour le business alors il faut favoriser les crises et les guerres, d’où d’ailleurs le drame du 11 septembre 2001, la « guerre froide » étant usée jusqu’à la corde. Le business de la drogue et de la sécurité (armée) est celui de la première économie du monde.
Les nouveaux prêtres sont les médias aux ordres de cette finance juive internationale, qui sont chargés de guider le « consommateur » là où ils veulent. Car en démocratie nous sommes déjà dans le « Royaume de Dieu (juif) sur Terre » : le but intrinsèque et automatique du capitalisme conduit automatiquement à la violation de la valeur de la personne dont l'authentique est : « Je suis CE JE SUIS », car avec le mondialisme la personne, dans la recherche du profit, n’est qu’un outil, comme une vulgaire marchandise, jamais un but.
Ainsi s’institue le « politiquement correcte » ou Novlangue devant faire prendre aux Français des vessies pour des lanternes, et rééduquer politiquement les électeurs dans une logique « antisexiste », « antiraciste », « antiphobies », socialiste et droit de l’hommiste modèle noachisme. C’est le 1984 d’Orwell : il n’y a plus de guerre grâce à la démocratie et sa république mais des « actions humanitaires », car « la guerre, c’est la paix ». Tout est à l’envers !!! Ceux qui contestent le système démocratie mondialiste sont traité de nazis, d’antisémites, d’extrême droite, de nationalistes, etc.

République et démocratie = fric, il faut que ça rapporte un max à l’oligarchie, aussi on abolit les États pour pratiquer le culte du Veau d’Or et à celui de l’humanisme où l’humain se prend pour Dieu, et où les malades du pouvoir prétendent que leur « fraternité » judéo-franc-maçonnique devrait reposer non plus sur la nation et l’appartenance à celle-ci, mais sur le brassage des cultures et de la « diversité » façon « United Colors of Benichon » où bientôt un individu portera le nom de Mustapha Dupond. D’ailleurs, aujourd’hui la Marianne républicaine a prise la forme d’une pute Femen pilotée financièrement par l’Allemande Beate Schober et le patron de presse américain Jed Sunden, et le musicien et millionnaire allemand Helmut Geier, plus connu sous le nom DJ Hell.
Femen ou putes grassement payés, qui se permettent de commettre des sacrilèges dans les églises chrétiennes, mais se gardent bien de faire la même chose dans les synagogues ! Noachisme oblige...

Il n’aura échappé à personne que les médias aux ordres de la finance juive internationale attaquent systématiquement la Russie, et que les putes Femen et autres poussives riotes en rajoutent une couche !
« Contrairement à l’Occident, où l’on met l’accent sur un modèle de politique utilitariste et matérialiste, le gouvernement russe semble s’appuyer sur une conception orientée sur les fondements de l’église chrétienne, c’est-à-dire en mettant l’homme et le monde au centre de son action ».

 

 

Note.
1. Le lien entre le gouvernement représentatif (comme le notre en France) et la liberté de l’opinion publique politique s’est établit d’emblée aux États-Unis, ensuite progressivement en Angleterre et tardivement en France et de façon complexe.