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Appel au meurtre par Christophe Barbier Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 03-01-2014 01:39

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Appel à la haine et au meurtre par Christophe Barbier
Cet homme stalinien est indigne d’exercer sa profession. C’est un inconscient, voir un malade à l’ego démesuré comme le rouge sang de son écharpe.
 
 
Ci-dessous, copie du commentaire très pertinent d’un internaute suite à l’appel au meurtre par Christophe Barbier, encore rédacteur-chef au torchon l’Express.
 
 
« Le discours de cet homme est affligeant par son totalitarisme et son appel au gouvernement à violer la constitution par des actes illégaux. Il se veut une démonstration scientifique, une science médicale de la fin du 19ème siècle, une science médicale raciste servant de vernis aux conquêtes coloniales et la domination des peuples colonisés...

Il nous parle « d’une espèce de volonté d’hygiène pour que les spectateurs n’aient plus la possibilité de venir le voir ».

Parler d’hygiène contre Dieudonné et pour les spectateurs renvoie à l’hygiénisme raciale.

Cette théorie mise en forme par Gobineau, dans l’Essai sur l’inégalité des races humaines, décrit le peuple comme un corps à soigner, et dont il convient d’écarter ou d’ôter les « parasites » : c’est cette vision organiciste de la société qui justifiera des pratiques eugénistes comme l’isolement, la stérilisation, ou même l’euthanasie des individus les plus « faibles », et ce jusque dans les années 1970 aux Etats-Unis.

Tout le reste du discours de Barbier est sous-tendu par l’hygiénisme racial.
Il nous décrit les spectateurs comme des gens irresponsables, atteint d’un mal (« malgré eux ») qu’il faudrait soigner par une pédagogie, c’est à dire une propagande : « il faut leur faire prendre conscience que Dieudonné est en train de les entraîner, de les compromettre à leur insu. Il faut faire la pédagogie de ce refus, de ce rejet de Dieudonné ».

Mais aussi sous-tendu par un discours moraliste du pêché que l’on trouve dans la citation ci-dessus et ici, Je cite : « Pour qu’il n’ait pas de tentation, il faut supprimer l’objet de cette tentation ».
Ainsi, les spectateurs sont considérés comme des brebis égarés que les préfets et les ministres par des pressions illégales, sur les directeurs de salles, sont chargés de ramener dans le droit chemin du gouvernement.

Toujours dans la veine hygiénise, certains individus sont considérés comme des microbes nuisibles qu’il faut éradiquer.
En effet, Barbier décrit Dieudo comme « néfaste, nauséabond, malfaisant ». Il serait le diable réincarné, serait-ce en raison de la pigmentation de sa peau ?

Il finit son discours par un appel à éradiquer Dieudonnné, comme le ferait un médecin pour un microbe.

Ce qui est clairement un appel au meurtre, un appel à tuer Dieudonné.

Ainsi, tout la phraséologie de ce journaliste ressuscite l’hygiénisme racial et appelle les internautes à éradiquer, c’est à dire tuer cet humoriste.

Le citoyen Barbier, par son appel public à commettre des actions illégales et par son appel au meurtre de Dieudonné, constitue un trouble manifeste à l’ordre public.

Ce homme doit être poursuivi pour trouble à l’ordre public pour son appel à éradiquer Dieudonné ».


« Tant que la phobie de la bactérie, du virus, de « l’autre » n’est pas dépassée, on est dans des temps guerriers. Il faut passer à l’étape suivante, celle du dialogue avec le vivant, celle où le patient est véritablement sujet ». (Entretien avec Joël Sternheimer)
Patient « sujet » s’entend : JE SUIS CE JE SUIS.

La morale du « peuple élu » et de leur républicains maçonniques :
« Si je me défie de la morale, ce n’est pas parce que les hommes la pratiquent (elle est nécessaire à son niveau) ; c’est parce qu’ils s’en contentent : parce qu’ils s’en servent comme d’une paravent [CONFORT] derrière lequel ils cultivent ce qu’il y a de plus immoral en eux - leur misérable satisfaction d’eux-mêmes [humanisme] et leur rage de juger les autres [OPINION] », écrit si justement Gustave Thibon, et qui illustre bien l’orgueil de ce « peuple élu » par son Yahvé et sa franc-maçonnerie.

« Comment en serait-il autrement quand toute activité concrète dans le temps et l’histoire se vit comme autonome par rapport au divin, ne conservant avec lui qu’une orthodoxie morale à respecter, ou plutôt des orthodoxies morales aussi diverses que les fonctions et les angles de vue », écrit cette Vérité Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux.
Refrain : Ceux qui travaillent à « l’amélioration de la condition humaine », ont généralement cessé depuis longtemps de vouloir du bien à quiconque ! Aussi faut-il fuir ceux qui veulent nous imposer en Occident leur noachisme et ses lois morales selon leur symbolisme judéo-maçonnique. « Qui agit bien sans penser au bien sera aimé de tous », écrit Lie Tseu dans son Traité du Vide parfait.

« Les lois morales ne sont que le corollaire de la pure connaissance intellectuelle, des lois ontologiques [cosmiques], et non l’inverse. La morale n’est pas une science en soi, elle ne vaut que par ses références à l’être. Est moral tout acte qui respect les lois que Dieu a inscrites en sa création. Est immoral tout acte qui les viole en quelque façon », écrit Coulonval, et c’est sur cette fin que ça devient casse-gueule ! Car : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait ». Oui, écrit Coulonval, qui ajoute justement : « mais on confond la satisfaction morale que l’on a de soi [ego] et qui ne satisfait que l’égo, avec un état ontologique l’Être : « Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père ».
Coulonval ajoute que la satisfaction morale est semblable aux rituels : « ne prends pas, ne goûte pas, ne touche pas, tout cela pour des choses voués à périr par leur usage même ! Voilà bien les prescriptions et doctrines des hommes ! Ces sortes de règles peuvent faire figure de sagesse par leur affectation de religiosité et d’humilité qui ne ménage pas le corps ; en fait elles n’ont aucune valeur pour l’insolence de la chair » (réf. Colossiens 2, 21-23)

 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 03-01-2014 02:04

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