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Ceux qui se prennent pour Dieu(x) Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 20-01-2014 03:05

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Ceux qui se prennent pour Dieu(x)
Ceux qui se prennent pour les Invisibles régnant
sur l’Olympe ou haut de la pyramide : les judéo-francs-maçons
s’envoyant en l’air avec l’Ambroisie, le Haschich du temps.
En bas de la pyramide, chez les mortels, les enfants des
campagnes fumaient l’Armoise...
C’était le temps ou l’Inquisition de la démocratie et
de sa laïcité maçonnique ne frappait pas encore.
 
 
Franc-maçonnerie ou société secrète à hiérarchies formant pyramide : « LE POISSON PUE PAR LA TÊTE » (Fuad Pasha). Pieds d’airain mais têtes de fange ! Parce que les forces vives ne se trouvent que dans les peuples et jamais au sommet. À condition que les peuples aient assez de Connaissance pour ne pas à leur tour devenir tyranniques !

Le franc-maçon : son ego ou mental s’ouvre de plus en plus docilement comme les écailles d’une huitre s’ouvrent au soleil, c’est-à-dire qu’il est manipulé par un pouvoir plus hiérarchisé (réf. à P. Copin-Albancelli)

DÉMOCRATIE : L’abus de Maraba Basahem est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

Ceux qui n’aiment pas assez leur prochain (la franc-maçonnerie) contre ceux qui l’aime trop (le christianisme).
 
Résumé de la franc-maçonnerie : prison de la tradition vendue comme de la « noblesse », ce qui permet de masquer que cette société secrète se rattache directement aux antiques religions à mystères qui réalisaient les premiers efforts de l’élite ou oligarchie vers le « progrès » (les pyramidistes ou évolutionnistes), et qui enveloppaient leurs opinions de mystères pour se protéger contre les ignorances et les fureurs des foules grossières.

La franc-maçonnerie étant atteinte de pouvoir (pour-voir), elle ne peut vendre à ses adeptes que son système carotte-bâton : au questionnement de l’apprenti, on répond qu’on lui expliquera plus tard, ou quand « l’heure sera venu ». Évidemment selon le système carotte-bâton elle ne vient jamais. Ainsi le débutant travailleur du chapeau se masturbe d’autant plus le chapeau qu’il s’habitue à accepter les faits dont la « raison » lui échappe et qui lui sont imposés il ne sait par qui. Ainsi son mental s’habitue de plus en plus docilement aux « volontés de l’invisible » (faux Dieux ou ceux du sommet de la pyramide).

Ne jamais oublier que le socialo-capitalisme commence avec le pouvoir des rois francs et surtout Louis 9 au 13è siècle avec les croisades : soif de l’Or en rançonnant des pays que les pèlerins qui en revenaient vivant dépeignaient comme des Eldorados. C’est exactement cette soif de l’Or qui poussa un peu plus tard leurs petits-fils en Amérique, pour tuer les peuples du Soleil (Incas, Mayas, etc.), puis encore un peu plus tard pour venir « faire fortune » dans cette même Amérique dans des régions bénies de Soleil, où le commerce et l’industrie s’installaient tout au long du 19è siècle. Les Croisés qui effrayaient tant les Orientaux autant qu’ils les étonnaient. Ils les accusaient de se nourrir de préférence de chair humaine, parce qu’à Edesse, ils s’étaient faute de vivre livrés à des actes de cannibalisme...

Ne jamais oublier que l’empire USionistant (les États-Unis) sont une fabrication des francs-maçons. La guerre révolutionnaire américaine fut vendue aux colons qui colonisèrent l’Amérique afin de se libérer de l’esclavage de la City de Londres (toujours le fric). Cornwall et Washington (maçons du 32è degré) se rencontraient tous les jeudis dans la loge maçonnique pour pré-arranger toutes les batailles entre 1776 et 1778. On s’amusaient à jouer au winner-loser. Le rêve maçonnique était de transformer l’Amérique en un nouveau Babylone. Les dessins originaux des rues et des bâtiments de Washington DC montrent ceci (voir sur le web les nombreux plans explicatifs).
« La fraude corporatrice jouée sur les colons est le fait que les Américains doivent jurer allégeance à une constitution de guerre. Le langage légal assure que la version du système hiérarchique de la famille américaine dominante reste au pouvoir à tout jamais. La hiérarchie américaine est la propriété des banquiers de la City de Londres », écrit l’article de Resistance71.

Et oui, la symbolique de la maçonnerie est bien la PYRAMIDE, la HIÉRARCHIE, ainsi : AUCUNE ÉGALITÉ, puisque chaque étage de la hiérarchie est une société secrète à elle toute seule, et elles s’emboîtent les une SUR les autres, en pyramide.
Comme il n’y a pas d’égalité dans la franc-maçonnerie, comment tout de même la faire admettre à ceux qui s’y laissent prendre, et comment leur faire admettre le principe de hiérarchie à l’intérieur de la franc-maçonnerie ??

Seule solution : expliquer que cette hiérarchie est indispensable à la transmission des volontés du sommet de la pyramide, mais qu’elle n’apparût pas aux yeux des adeptes, puisque s’ils l’apercevaient, la transmission se trouverait contrariée par le sentiment égalitaire qu’on était obligé de créer en eux. Donc il y a une hiérarchie et pas une hiérarchie ! Ou plus simplement, celle-ci doit demeurer invisible ! Pourtant, quoi de plus scolaire que la hiérarchie maçonnique : entrée comme apprenti ou novice dans la société secrète inférieure. Pas d’égalité parce que le novice n’a pas de situation égale ni de droits égaux à ceux de tous les autres francs-maçons. On lui dit le contraire mais on lui ment ! ; et pire : les francs-maçons plus gradés : compagnons et maîtres ou hauts gradés l’appellent « mon frère » ; alors qu’en réalité c’est un « bébé », un « sauvage ». Seuls les hauts grades sont libres d’aller dans tous les étages, comme un professeur de lycée peut aller et venir dans différentes classes où il a à faire des cours.
Donc les bébés ou apprentis sont encadrés ou manipulés par la constante surveillance des maîtres, dont les bébés ne sont pas admis à enter dans leur fratrie. Et on s’appellent tout de même « frère », alors que les maîtres sont des PRIVILÉGIÉS, exactement comme les francs-maçons se considèrent dans le monde profane. Donc il y a toujours division du monde en deux castes : les initiés (peuple élu) et les profanes (les Goys). Ainsi aucune démocratie possible depuis un moment puisque l’unique but de l’initié  (l’élu qui peut tout se permettre) sera d’exploiter le profane (celui contre lequel tout est permis), tel est le but de toutes les religions et sectes à mystères.

Le monde profane est obligé de subir les opinions de cette franc-maçonnerie à pouvoir. Alors, où est la démocratie ? Où est l’égalité quand les apprentis et compagnons francs-maçons sont infériorisés vis-à-vis des francs-maçons des grades supérieurs qui leur sont donnés comme frères ?
Le seule titre de frère ou de sœur est que nous sommes tous frères ou sœurs HUMAINS, et encore n’est-ce QU’EN APPARENCE !!! Personnellement je me suis toujours sentie plus proche d’un Cailloux ou d’une Mousse...
La franc-maçonnerie est une société de GRÉGARISME, DE MOUTONS : puisque les autres font comme cela, faisons comme les autres ! On suit le mouvement... Quantité ou communisme ou socialisme : loi du plus grand nombre : « Soyons frères ou je t’assomme ; la force prime le droit » bien dans la tradition du stalinisme des Juifs bolchéviques : ceux qui « n’étaient pas frères » ou 'camarade' : AU GOULAG ! « D’une main de fer, poussons l’humanité vers le bonheur ! ». La « main de fer » devise des tchékistes de Félix Dzerjinski c’est bien-sûr la démocratie, l’ONU, les « droits de l’homme » ou noachisme, etc.

Voici les sept péchés selon la franc-maçonnerie : l’ignorance, le fanatisme, la superstition, l’hypocrisie, l’audace, la curiosité, l’indiscrétion. Évidemment tout cela cache l’inverse : la grimace ou l’art de se grimer ! Puisque on appelait autrefois les maçons « Frères feuillie ».
La seule démocratie moderne est celle de la « divine bouteille » ou alcoolisme ou tabagie ou économie mondiale de la drogue, légale ou illégale, avec les médias et le cinéma, permettant DE PIPER LES PEUPLES. Chez Rabelais et chez le Bourgeois gentilhomme de Molière ça s’appelait : Maraba Basahem (Acte IV, scène 3, qui est censé signifier en turc : « Ah ! Que je suis amoureux d’elle ! », bien-sûr ‘à Consommer avec modération’)
Cette narcose sociale si pratique pour tous pouvoirs se trouve dans le kief musulman : les paradis artificiels du Haschich ou de l’Opium. Mahomet était astucieux !

Donc chez les francs-maçons régneraient l’égalité selon eux ? Soit des chaînes ou chapelets d’existences toutes identiques ; seulement chacun n’en est pas au même grain ! Les Musulmans comme les Yahvistes ou francs-maçons rêvent d’un « monde meilleur », d’où pour eux la nécessité d’être heureux dans ce bas monde pour en « emporter la mémoire dans l’autre » ! Il y a donc éloignement de l’Instant puisque : « Jamais Je ne fus point, ni toi, ni ces chefs » (BhG 2-12). « Jamais il ne naît ni ne meurt » (BhG 2-20). Donc aucune naissance et aucune mort et aucun présent. Seule la Réalité a été, est, et sera, elle ne peut être qu’Instant. Nous somme tous et toujours dans notre état naturel, même en faisant de « l’apprentissage » (réf. d’après l’entretien 264, de Ramana Maharshi).
Ils veulent se « libérer » ? Tout le monde ?
« Où est tout le monde ? Il n’y a pas non plus de libération. Elle pourrait exister seulement s’il y avait asservissement. Mais en réalité, il n’y a pas d’asservissement [ou Enfer] et, par conséquent, pas de libération non plus [donc aucun messie à attendre ni de « Royaume de Dieu juif » ni de Paradis ‘voluptueux’ et plein de Haschisch des Musulmans et de Mahomet].

Définition du RÉSEAU (valable quel que soit l’époque et l’organisme social) : Une Cave m’est connue (un endroit pour être abrité et dormir), une lampe l’a éclairé (pour manger ou lire dans l’endroit), une source l’a désaltérée (celle du ‘frère’ hébergeur). Ce n’est en fait que la bonne vieille loi de l’hospitalité, ou mieux, celle du temps de l’Ancien Régime où à la plus humble table était réservé la place du pauvre, ou du misérable qui pouvait frapper à la porte et être accueilli, même s’il sortait du bagne (voir Les Misérables, de Victor Hugo). Donc dans une société saine, pas besoin de maçonnerie pour être en réseau ! Ni d’Internet d’ailleurs, ça doit venir NATURELLEMENT. Tous les Anciens pratiquaient la loi de l’hospitalité : « Un homme affamé ne passera pas la nuit dans ma ville sans manger ni sans avoir un toit » pouvait-on lire chez les Anciens Égyptiens. Le gite et le couvert sont les fondements de toutes sociétés dites civilisés, ce qu’avait bien compris Coluche avec ses Restos du Cœur. Les francs-maçons n’ont rien inventés.

Le système franc-maçonnique des étages à secret les uns des autres se retrouve dans l’industrie où chaque phase de construction d’un ensemble est maintenue dans le secret : personne ne sait la finalité de ce qu’il fabrique, seul le donneur d’ordre ou celui qui a conçu les plans sait à quoi cela va servir. Évidemment on prétendra toujours que c’est pour éviter l’espionnage, la défense nationale ou de ceci ou de cela ! En franc-maçonnerie les étages inférieurs ignorent qui donnent les ordres au sommet. Ainsi l’apprenti franc-maçon devenu compagnon est toujours tenu sous la dépendance d’une pensée directrice qui descend comme le Saint esprit jusqu’à lui sans qu’il sache d’où ! D’étage hiérarchique en étage hiérarchique les ordres dit « invisibles » descendent à la base de la pyramide, et le maçon en grimpant sur la pyramide reçoit de nouveaux exercices infantiles imposés et dont l’effet est de le mettre un peu plus tous les jours dans la main invisible au sommet de la pyramide. Le grade du deuxième degré maçonnique est une société secrète superposée à celle du premier degré.


En ces temps de 2014 et de mensonges d’État et de soi disant « liberté d’expression », la libre pensée en triomphant est morte, puisque aucun gouvernement se disant démocratique ne peut accepter que chacun ne soit pas d’accord avec lui. La libre pensée fut véritablement LIBRE que par exemple au Moyen-Âge, PARCE QU’ELLE ÉTAIT CRYPTÉE, ainsi elle fut d’une audace folle dont on a peine à imaginer, sauf à déchiffrer consciencieusement l’Art du Grimoire et de la Langue des Oiseaux. La libre pensée ne pouvait s’exprimer que DANS LA DISCRÉTION, donc anti-médiatique ! La discrétion était l’unique garantie de la libre pensée au Moyen-Âge. L’Église de Rome elle-même n’a jamais songé à l’enfreindre, et Dieu sait si cette liberté allait loin contre Dieu, les papes et les rois. L’œuvre entière de Rabelais en est restée la preuve vivante, comme l’explique le spécialiste du Grimoire au 19è siècle : Grasset d’Orcet. Tous ceux qui manquaient à la discrétion de la libre pensée étaient suppliciés de la plus cruelle des manières (toute proportion gardée, voir les récentes attaques du pouvoir sioniste de France contre Dieudonné et Alain Soral). Aujourd’hui l’Internet est le parfait outil « discret » pour exprimer la libre pensée, cependant manquant beaucoup de cryptographie à la mode de l’Ancien Régime, et surtout à la mode du temps des Druides...
Aujourd’hui ce ne sont plus les peuples éveillés qui codent leurs libres pensées, mais le pouvoir (franc-maçonnique) qui code ses ordres et opinions sous forme de la Novlangue et de l’Inquisition du politiquement correct, pour éviter aux peuples de « mauvaises pensées » et que celles-ci deviennent purement et simplement impossibles.

Pour Alain Soral et Dieudonné, un ancien proverbe grec prêchant aux esclaves : « Réjouis-toi de n’être qu’un imbécile dans ce monde, plutôt qu’un empereur dans l’autre ».



Maintenant voici le VRAI MAÇON ou COMPAGNON du DEVOIR : « Joyeux d’abandonner leur vie errante et d'avoir trouvé du travail pour de longs jours, les pauvres maçons s’improvisent des baraques en bois autour du chantier. C’est là qu’ils passeront toute leur vie avec leur famille, collés à leur œuvre comme le serf à sa glèbe [des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture]. Fils, femme, filles les aideront aussi bien à transporter les matériaux qu’à sculpter les porches, et ils feront des apprentis qui leur succèderont, à leur mort dans cette espèce de fief du travail [si ce n’est d’esclavage] ». (Voir : Raoul Rosières : Cathédrales gothiques, dans : Recherches critiques sur l’histoire religieuse de la France, 1879)
Chez nous en Gaule, on faisait des cabanes circulaires faites de troncs d’arbres ou de terre battue et couverte d’un toit en forme de cône de chaume ou de roseaux. Puis des groupes de cabanes dans une enceinte faite de mottes de gazon, ce qui donnant un semblant de village. On passant ainsi de l’habitation des grottes naturelles à des « jouets » de boys scouts ! Puis les Gaulois furent baisés par les Romains et leur « civilisation » déjà puant le fric.

Ci-dessous dans la vidéo : apprentissage aux réflexes conditionnés chers à Ivan Pavlov : lavage de cerveaux dans les écoles du franc-maçon Jules Ferry (se rappeler que de la Hollande lui a rendu hommage le premier jour de son érection) : aujourd’hui les enfants appartiennent à l’État, à la république, comme le souhaite le maçon Vincent Peillon, pas à leurs parents, religion franc-maçonnique de la laïcité oblige. Demain, les garçons seront sage-femmes et les filles soldats ! C’est moderne, c’est le progrès de l’évolution grâce à la technologie de Sainte Thermodynamique et du Grand Architecture compas-équerre de la franc-maçonnerie. Il faut s’y prendre de bonne heure pour fabriquer les futurs petits esclaves des usines des Yahvistes ou banquiers Couilles en Or ; femmes ou hommes doivent être interchangeables, donc compétitifs et rentables comme des robots sans âmes.
RAPPEL : en URSS, rongé par l’égalité marxiste-léniniste, on trouvait beaucoup de femmes faisant du terrassement ou des métiers agricoles, ou des métiers d’hommes en usines. Les Yahvistes bolcheviques étaient planqués dans les bureaux occupés à travailler du chapeau : faire des plans et des statistiques et calculer combien devait manger le prisonnier au Goulag. « Chez ces gens là monsieur, ON FAIT DES NORMES, ON CALCUL ! »
Le lavage de cerveaux à la Pavlov dissout la tessiture logique du complexe intellectuel, des accidents-connaissance qui ont pris corps sur l’intellect-essence, les noumènes (le mental). Alors on arrive à un déluge de l’âme, une tabula rasa de la vision cosmique sur laquelle on peut alors bâtir une nouvelle géométrie mentale, une nouvelle chair d’opinions et de pensées. Bref, c’est la prison de l’Ouroboros ou ce serpent qui se bouffe la queue ; et c’est parfaitement satanique, voir luciférien, et un Vincent Peillon fait la partie de cette paroisse maçonnique, qui est anti-naturel, dans un sens pervers, à l’envers des connaissances des seules lois naturelles.
 
[En haut de page : caricature d’un rabbin dans sa preuve vivante d'évolutionniste à l’œuvre]
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 20-01-2014 04:01

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