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Le cas Vincent Peillon Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 04-02-2014 21:07

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Le cas Vincent Peillon
 
 
De quoi se mêle l’État socialiste s’immisçant jusque dans les alcôves ?
Sinon voulant convertir les peuples au républicanisme et à sa sainte Shoah et Laïcité.
« Refonder la république par l’école » précise bien Vincent Peillon, ce que précisa Madame Françoise de la Hollande lors du premier jour de son érection à la présidence d’Israël, pardon, de la France, à son hommage à Madame Jules Ferry, cette raciste et franc-maçonne. Donc Madame de la Hollande : DÉGAGEZ, FOUTEZ LE CAMP !!!
 
 
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« Vincent Peillon est né le 7 juillet 1960 à Suresnes (Hauts-de-Seine). Il est le fils de militants communistes bourgeois qui s’éloignèrent du PCF après 1968. Son père, Gilles Peillon (1928-2007) fut cadre dirigeant de l’Eurobank, la banque soviétique en France. Dans La Croix (6 mars 2009), il évoquait sa grand-mère maternelle « juive et républicaine ». En fait par sa mère, déclarée comme Françoise Beaulieu, ancienne directrice de recherche à l’Inserm, il est descendant d’une longue lignée juive alsacienne.

Sa mère, née Blum en 1930, a obtenu (comme son père, son frère et sa sœur) de changer son nom en Baulieu (et non pas Beaulieu) par décret du 19 novembre 1947 (Journal officiel, p. 11 484). Elle est la petite-fille du Grand Rabbin de Mulhouse Félix Blum (1847-1925), et fille de Léon Blum (un homonyme), né en 1878 et décédé en 1930, médecin et directeur de clinique, qui eut par exemple comme élève Albert Schweitzer. Ainsi, l’oncle de Vincent Peillon n’est autre que le célèbre Étienne Baulieu (F&D n°27), ancien militant communiste, père de la pilule abortive (dite aussi « pilule du lendemain ») et ancien président de la l’Académie des sciences. Sa tante Suzanne Baulieu, ancienne directrice de recherche au CNRS a épousé Mathieu de Brunhoff, fils du créateur de Babar.

Vincent Peillon est le frère d’Antoine Peillon, né en 1959, journaliste à La Croix, qui figure parmi les responsables du syndicat de journaliste Filpac-CGT, spécialiste des paradis fiscaux. En première noce, Vincent Peillon s’est marié avec Brigitte Sitbon, professeur agrégé de philosophie, membre associé du Groupe de sociologie des religions et de la laïcité (CNRS/EPHE). Elle a signé, sous le pseudonyme de Julie Saltiel, un roman à clef érotico-pornographique La Cinquantaine bien tapée (Denoël, 2008). Une fois ministre, il pensera à bombarder son ex-épouse inspectrice générale de philosophie (Le Canard enchaîné, 18 décembre 2013). Il s’est depuis remarié avec Nathalie Bensahel, chef adjoint du service économique de Libération puis journaliste responsable de la rubrique mode au Nouvel Observateur. Leurs liens serait actuellement distendus. Avec chacune de ses épouses, il a eu deux enfants. Salomé et Maya avec la première, Elie et Izaak avec la seconde. Tous ont été élevés dans la culture mosaïque [Torah ou lois de Moïse ou mosaïsme] ».

La suite sur la page Égalité & Réconciliation.
 
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Mon commentaire posté sur la page É&R :
Avant la Renaissance où Dieu suffisait à tout expliquer, arrive les « temps modernes » où l’on a voulu savoir ce qu’est la Matière, donc l’humain lui-même, et dont Galilée fut le déclencheur, sans recourir à une toile de fond théologique. Depuis, nous sommes, en théorie mais effective, dans l’ère de la Synthèse et de la globalité de l’Être. Les civilisations se sont construites sur le compromis entre l’Absolu et les perceptions de nos cinq sens, limitées au spatio-temporel.
Le règne de l’opinion ou libre pensée arrive à l’enfance à la Renaissance avec aussi l’invention de l’imprimerie ; puis arrive à l’adolescence en tant que critère de vérité politique à la révolution de 1789, et le communisme ou socialisme en est la maturation historique en se parant des prédicats de l’Absolu : une religion, comme l’exprime Vincent Peillon, mais une religion À L’ENVERS, comme un cuivre repoussé.
Ainsi le règne de l’opinion à sa maturation prend le masque de l’Universel (genre « République Universelle » de la franc-maçonnerie spéculative) en renversant les rôles : Ce sont les accidents de la vie dans le spatio-temporel qui engendrent les Essences, donc une inversion qui est la marque du Diable. Le communisme ou socialisme est une catholicité à l’envers, en creux. Aussi il ne faut pas s’étonner qu’aujourd’hui tout soit à l’envers !


La libre pensée en prenant le pouvoir politique, donc entrant dans le principe de la démocratie moderne, se niait du même coup.
« Elle a obnubilé [la libre pensée], paralysé dans le consensus social les prises de conscience métaphysiques, ôtant ainsi tout principe de stabilité dans le gouvernement politique, principe qui, jusqu’alors, résidait dans l’essence métaphysique du pouvoir royal, et dont la prise de conscience s’était éteinte de plus en plus depuis la Renaissance, même chez ses détenteurs. La Révolution de 1789 a été ainsi, tout à la fois, l’accouchement d’un processus commencé avec la Renaissance et le début de temps nouveaux.
En triomphant, la libre pensée signait son arrêt de mort, car il est évidemment impossible de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d’accord », écrit si justement Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux.

Adhérer à un parti politique c’est adhérer à une paroisse, se fondre dans un corps psychologique, mental ou intellectuel, différent d’autres corps politiques dont on se fait l’adversaire. Il y a donc divisions permanentes puisque c’est participer à la nature profonde des antagonismes sociaux, à quelque niveau qu’ils se situent, et donc les entretenir, les nourrir comme le font les socialistes actuels, et tous les partis. C’est consentir à se faire malaxer l’âme par des maîtres à penser du parti comme le voudrait tous les républicanistes avec leurs « valeurs », si proche du mot voleur. C’est une attitude de nature masochiste, une singerie de la passivité du mystique devant les impulsions divines de l’âme. Les martyrs de l’action politique, de droite ou de gauche ou des extrêmes ou du centre, sont des caricatures sataniques du vrai martyr pour le Christ. La différence est abyssale entre opinion et réalisation de l’Instant ou Soi. Car l’opinion prétend toujours se baser sur l’enfant chéri du siècle des perruques poudrées : la Raison et sa logique. Le problème, c’est que tout système logique, si correct qu’il soit, sera toujours dans le binaire sujet-objet, ainsi il part toujours de prémisses qui sont nécessairement, par définition, des postulats incontrôlables, et adoptés pour le seul motif de la satisfaction de penchants sentimentaux fort obscurs lié à l’ego, donc au corps. Le drame c’est quand ces prémisses prennent obligatoirement valeur de dogmes, qu’on en soit conscient ou pas. Et ce dogmatisme, notamment républicain et de la religion de la Laïcité et de la Shoah, est d’autant plus intraitable qu’il est plus inconscient, plus dans la « raison », parce que tout danger de n’y plus croire crée la panique devant le fameux VIDE, devant la possibilité de ne plus avoir raison de vivre, la peur de s'éclairer à nouveau à la bougie. Et aujourd’hui nous sommes dans la croissance en tout, on appelle ça aussi la « modernité », donc de plus en plus l’opposé au Vide, à l’Instant, comme pour repousser cette fameuse panique si salutaire.

Mais le vrai Mystique n’a pas à craindre cette panique de la survenue brusque de l’Instant causant la Douleur Absolue, parce qu’il ne croit à aucun dogme, IL LE SAIT : et c’est pourquoi, s’il existe des dogmes, il n’est jamais dogmatique. Ainsi on peut comprendre les Vincent Peillon et autres dogmatiques liés à cette franc-maçonnerie du Grand Orient de France singeant la vraie maçonnerie constructrice des cathédrales, où l’opinion atteint son ultime maturité en se parant des prédicats de l’absolu religieux dans une vision globale, mondialiste, une fausse synthèse de tout l’existant, qui est morphologiquement en réalisation à l’envers, en creux, d’une fausse catholicité (à distinguer du catholicisme qui indique encore un dogme, donc un système).


[En haut de page, copie d’écran du site Ligne Azur, préconisé par Vincent Peillon dans sa lettre du 4 janvier 2013 aux Recteurs. Site disparu du web depuis le 3 février 2014... Selon Peillon, ce site devait être « une ligne d’écoute pour les jeunes en questionnement à l’égard de leur orientation ou leur identité sexuelles », donc on abordait déjà la théorie du genre et en même temps l’espionnage des jeunes. Ci-dessous, deux autres copies d’écran].
 
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Dernière mise à jour : 04-02-2014 21:23

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