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Le Dressage républicain dans les écoles Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 10-02-2014 22:52

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Le Dressage républicain dans les écoles
Jacobinisme de l’éducation nationale
en corrélation avec aujourd’hui
 
 
Étatisme républicain des Pères-la-morale maçonnique :
Fabriquer une « laborieuse jeunesse » pour les comptes bancaires des Couilles en Or. La république prend tout en charge, mais ne rase pas encore gratis puisqu’elle dépend des Couilles en Or et ne peut arnaquer que par les « bons sentiments » à la sauce « devoirs sociaux » (responsabilité) et « bien de tous », ce que voulait déjà l’Église de Rome...

Il est temps de se sortir de cet enfer du républicanisme.
 
 
« D’une main de fer, poussons l’humanité vers le bonheur ! » (devise socialiste des Lénine-Staline se retrouvant dans le Plan d’instruction publique de Lepeletier de Saint-Fargeau en 1793). « Bonheur » doit s’entendre comme « République Universelle ». Vincent Peillon et ses socialistes veulent renouer avec le Plan de Lepeletier et cette mentalité diabolique du 19è siècle. Avec eux et Lepeletier, les enfants APPARTIENNENT À LA PATRIE, DONC À LA RÉPUBLIQUE : « Dans l’institution publique au contraire, la totalité de l’existence de l’enfant nous appartient » (Lepeletier). L’école est donc la MATRICE « la matière ne sort jamais du moule » (la pépinière républicaine ou « douce influence de la patrie »). Ce moule fabriqué par les Couilles en Or ou juiverie financière internationale, parce que tout part du Saint Fric. « Jeté dans un moule républicain » comme l’écrit Lepeletier et comme le rêve de nos jours un Vincent Peillon, afin de former « une race nouvelle, réglée, disciplinée, laborieuse, forte », un pur produit compas-équerre, la munificence nationale comme écrit Lepeletier joyeux que la « féodalité soit détruite », et la maladie de l’égalité ronge toute la société occidentale. Une égalité assimilée à une « pépinière nationale ». Un Lepeletier assimilant 1789 à « la révolution du pauvre »... « douce et paisible... » Pauvre Lepeletier ignorant certainement le génocide vendéen.

Étatisme ou progression vers le totalitarisme à la façon de la maturité des soviétiques. Ci-dessous, il s’agit du texte du plan de « l’éducation nationale » présenté aux Jacobins par Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau en 1793.
- « D’abord, je remarque avec peine que jusqu’à six ans l’enfant échappe à la vigilance du législateur, et que cette portion importante de la vie reste abandonnée aux préjugés subsistants et à la merci des vieilles erreurs ». Nous sommes dans la construction de la tabula rasa : effacer le passé considéré comme une erreur.
Le texte de Lepeletier est identique à l’argument de Vincent Peillon voulant enseigner sa religion républicaine :
« À six ans, la loi commence à exercer son influence : mais cette influence n’est que partielle, momentanée ; et par la nature même des choses, elle ne peut agir que sur le moindre nombre des individus qui composent la Nation. Suivant le projet, il doit être établi environ 20 à 25.000 écoles primaires, c’est-à-dire, à peu près une école par lieue carrée ». La mise en place du totalitarisme à la soviétique prenait lentement naissance.

Comme toujours depuis 1789, dans le texte de Lepeletier il n’emploie que le mot républicain : « citoyen », exit les paysans, qui par la suite seront bouffés par les villes et deviendront des ouvriers dans les usines des Couilles en Or.

Toujours du Vincent Peillon en 1793 :
« Je demande que vous décrétiez que, depuis l’âge de 5 ans jusqu’à 12 ans pour les garçons, et jusqu’à 11 pour les filles, tous les enfants sans distinction et sans exception seront élevés en commun, aux dépens de la République [départ de l’éducation obligatoire, donc naissance de l’étatisme à la soviétique] ; et que tous, sous la sainte loi de l’égalité [sic], recevront même vêtements, même nourriture, même instruction, mêmes soins ».

Lepeletier parle de « disparité de fortune dont l’existence est une calamité publique ». Mais c’est toujours et encore plus le cas de nos jours : toujours plus de riches et toujours plus de pauvres !
Donc dans le plan de l’éducation nationale obligatoire, l’enfant sort du Goulag à 12 ans pour entrer dans l’autre Goulag : celui de travail « afin de compléter les ressources de leur famille ».
Donc pour ces gens et leur étatisme il s’agit de fabriquer, « non des laboureurs, non des artisans, non des savants, mais des hommes pour toutes les professions ». C’est un aveux d’esclavagisme et de formatage des esprits, puisqu’il ne s’agit pas de former des « savants » comme ils disent, mais de la main d’œuvre pour cette nouvelle société industrielle en puissance grâce aux puissances du fric. À cela les républicanisme ajoutent leur fameuse morale, plus de la gymnastique, des habitudes, toujours dans le matérialisme ou « esprit d'utilité », donc dans la préparation des humains réduits comme aujourd’hui à de simples marchandises : les consommateurs.

Litanie du républicanisme moderne :

« La République française, dans sa splendeur [sic], consiste dans le commerce et l’agriculture, a besoin de faire des hommes de tous états : alors ce n’est plus dans les écoles qu’il faut les renfermer, c’est dans divers ateliers, c’est sur la surface des campagnes qu’il faut les répandre ; tout autre idée est une chimère qui, sous l’apparence trompeuse de la perfection paralyserait des bras nécessaires, anéantirait l’industrie... ». Départ de cette société industrielle ou tous les gens seront « citoyens » ou habitants des cités (exit les paysans).

Lepeletier est pour l’instruction publique obligatoire des enfants, « pour l’intérêt publique tous doivent y être obligés » (début du communisme ou socialisme au service de la finance internationale déjà en réseaux). Pour Lepeletier, les parents qui refusent l’instruction publique de leurs enfants se verront privé de l’exercice des droits de citoyen pendant tout le temps qu’ils se seront soustrait à remplir ce devoir civique [sic] et qu’il paye double contribution dans la taxe... Donc on les pénalise par le fric.
Les école seront installés dans des bâtiments volés par les républicains comme ; églises et monastères, châteaux et autres. Pour le républicanisme, châteaux = oppression et « offense à l’œil sévère de l’égalité ». On a bien là la naissance du communisme ou socialisme et de la maladie de l'égalité.

Lepeletier propose des grades pour les enfants, par exemple ceux de 10 à 11 ans surveillent les plus jeunes, afin de soulager le maître dans ses fonctions.
Lepeletier n’en a rien à foutre de l’éternelle question : « QU’EST-CE QUE L’ÊTRE HUMAIN ? ». Il l’écrit lui-même : « J’abandonne les recherches savantes sur la nature de l’homme, sur la perfectibilité morale et physique dont il est susceptible, sur l’origine et les causes de ses affections... ». Non, il faut uniquement faire un lavage de cerveaux pour modeler les enfants et citoyens à la sauce du républicanisme. « Il faut produire en masse » écrit Lepeletier... « éducation commune à tous, égale pour tous » (encore la naissance du socialisme à la soviétique). « Nous voulons donner aux enfants les aptitudes physiques et morales, qu’il importe à tous de retrouver dans le cours de la vie, quelle que soit la position particulière de chacun ». Donc une PENSÉE UNIQUE, Lepeletier parle de « matière première » (les humains-marchandises), ce qui fait du républicanisme une RELIGION à l'envers, matérialiste, puisque Lepeletier parle de « matière essentiellement bonne »... donc de tout et n’importe quoi ! D’ailleurs il se trahit en avouant que ce lavage de cerveaux produise pour la république : « une matière première, que nous tendons à rendre essentiellement bonne, dont nous élaborons les éléments de telle sorte qu’en sortant de nos mains, elle puisse recevoir la modification spéciale des diverses professions dont se compose la république ». C’est déjà la naissance de l’actuelle religion du Saint Fric.

Lepeletier parle de former de bons petits soldats, de bons prolétaires : chairs à canon et à républicanisme. Absolument tout est tourné vers l’extérieur, jamais vers l’intérieur, Lepeletier le dit bien quand il n’en a rien à foutre de l’éternel questionnement cité plus haut. Lepeletier précise cet état humain tourné vers l’extérieur : « tout le régime de vie sera invariablement réglé ; les épreuves graduelles et successives seront déterminées.... un règlement salutaire et uniforme prescrira tous les détails, et une exécution constance et facile en assurera les bons effets ». Les Juifs bolchéviques durent copier Lepeletier dans leur système et notamment leurs « plans » de l’institution économique du Goulag.
Lepeletier continue à la bolchévique : « Ils ([les enfants] seront couchés durement, leur nourriture sera saine, mais frugale [sic] ; leur vêtement commode mais grossier [pour bosser et être rentable]. Il importe que pour tous, l’habitude de l’enfance soit telle, qu’aucune n’ait à souffrir du passage de l’instruction aux divers états de la société ». Pourtant en 1793 et encore aujourd’hui, nous sommes toujours dans la SOUFFRANCE : gagner son pain... de citoyen... puisque icelui n’est plus paysan, mais SOUS LA PROTECTION DE L’ÉTAT, ce Petit-Père-des-peuples : Utiles et malheureux citoyens, bientôt peut-être cette charge [familiale] ne sera plus un fardeau ; la République bienfaisante [sic] viendra l’alléger un jour ; peut-être rendus à l’aisance et aux douces impulsions de la Nature, vous pourrez donner sans regret des enfants à la patrie [donc en faire des prolétaires : chair à canon et à étatisme]. La patrie les recevra tous également, les élèvera tous également sur les fonds du superflu de la richesse, les nourrira tous également, les vêtira tous également... ». MALADIE DE L’ÉGALITÉ.

Lepeletier est dans le dogme de la religion du salut : souffrir à cause des péchés de l’adamisme : l’accoutumance au travail (ce sont les mots de Lepeletier), donc la rentabilité si chère à nos Couilles en Or modernes. « Former de tels hommes [rentables et compétitifs], et la république composée bientôt de ces robustes éléments, verra doubler dans son sein les produits de l’agriculture et de l’industrie. Formez de tels hommes, et vous verrez disparaître presque tous les crimes. Formez de tels hommes, et l’aspect hideux de la misère n’affligera plus vos regards ».
Pauvre type dangereux !

Le socialisme ou communisme souvent symbolisé dans les années 1930 sur des affiches de propagande par des hommes et des femmes armés de marteaux, de faucilles, de tracteurs, de perceuses, etc., est une copie de bouts du plan de Lepeletier : « Les pères de famille, les élèves, les maîtres, tous par la loi que je vous propose, seront intéressés à produire dans les ateliers des enfants la masse la plus considérable de travail qu’il sera possible, tous y seront excités par leur propre avantage ». Prémices de la société de consommation et du libéralisme du Saint Fric dans le  « Exploitez-vous les uns les autres ».

Comme chez les Juifs bolcheviques : Lepeletier veut faire travailler les enfants comme dans le Goulag : « ramasser et répandre les matériaux sur les routes ; les localités, les saisons, les manufactures voisines de la maison d’instruction offriront des ressources particulières, grossiront sensiblement pour la République la masse annuelle des productions manufacturées ».

La devise des Lénine-Staline : « D’une main de fer, poussons l’humanité vers le bonheur ! » se retrouve chez Lepeletier : « Régler sa vie, se plier au joug d’une exacte discipline, sont encore deux habitudes importantes au bonheur de l’être social. Elles ne peuvent se prendre que dans l’enfance ; acquise à cet âge, elles deviennent une seconde nature ». Il s’agit bien de lavage de cerveaux, de DRESSAGE.
Pour Lepeletier il n’existe pas de liberté sans obéissance aux lois. MAIS LESQUELLES, celles factices et arbitraires des humains ? ou celles naturelles du Cosmos ? C’est bien là tout le problème...
Lepeletier cite l’exemple d’un jeune soldat, avant, et après son lavage de cerveau à l’armée : « Ce n’est plus le même homme : ce changement est pourtant l’ouvrage de quelques mois de discipline militaire ». C’est absolument dans la mentalité à la mode de ce temps, ou il y a si longtemps les Conquistadors allaient apporter leur « civilisation » aux « sauvages » d’Amérique du Sud en les exterminant, et aux bagnes pour petits et grands juste derrière 1789 où le dressage républicain était sadique et normalisé : « Il faut soumettre l’enfant, s’il continue à fauter, c’est que la discipline n’est pas suffisante, on renforcera le dressage en intensité et en durée ». Recommandation d’un directeur de l’administration pénitentiaire de la fin du 19è siècle, c’était hier et dans la continuité du Plan de Lepeletier (cité par René Santoni dans son livre : La Colonie Horticole de St. Antoine - Le bagne pour enfants d’Ajaccio sous le second Empire). Au 19è siècle de naissance des banques Argent = Sacré, donc si hérésie ou larcin : direction le BAGNE. Pour les gens de l’après 1789 la norme, la règle ou lois, c’est le fric, qu’ils appellent « travaille » ou « droit », ou « loi ».

Lepeletier précise encore : « Ployés tous les jours et à tous les Instants [départ de Big Brother] sous le joug d’une règle exacte, les élèves de la patrie se trouveront tous formés à la sainte dépendance des lois et des autorités légitimes ».
My God !!! QUELLE HORREUR ! Quelles lois ? Quelles autorités légitimes ? Horreur de l’accoutumance à l’éducation nationale et  au communiste : « les mœurs de l’enfant = les mœurs républicains », soit la sociabilité, donc la république est la religion prenant la place de l’ancienne religion ou chrétienté ; les deux tendant à l’égalité, mais nettement différente en républicanisme ou étatisme.
Bref, avec 1793 nous avons l’accoutumance au républicanisme (voyez le rêve de Vincent Peillon voulant en faire une religion). Avant 1789, c’était l’accoutumance au catholicisme.
Lelepetier devait être un franc-maçon genre Grand Orient de France, car il parle de « morale universelle », comparable à la « république universelle » judéo-maçonnique des obédiences cancérisées par le pouvoir.
Pour Lepeletier le mot morale s’entend du matérialisme (produire), il divise à part la « morale spirituelle », comme si on pouvait séparer en deux le sens du mot moral !

Lepeletier est lié au Saint Fric : « la propriété est sacrée » (chez les socialistes juifs bolcheviques il y aura inversion, mais les oligarques seront les Couilles en Or puisque le socialisme ne peut pas fonctionner sans le capitalisme). Ainsi tout est faussé par le Saint Fric. Seuls les Incas avaient résolu le problème : un étatisme absolu, réglé comme du papier à musique, mais SANS SAINT FRIC, et aucune liberté individuelle, qui n’était plus nécessaire... ce qui était tout de même grave puisque non résolution du paradoxe individuel-collectif ou dualisme sujet-objet.

En résumé :
Article 1 - Les enfants seront élevés aux dépens de la République, depuis l’âge de 5 ans jusqu’à 12 ans pour les garçons, et jusqu’à 11 ans pour les filles.
Article 2 - Éducation nationale égale pour tous. Tous recevront même nourriture, mêmes vêtements, même instruction, mêmes soins.
Article 3 - L’éducation nationale étant la dette de la République envers tous, tous les enfants ont droit de la recevoir (donc éducation publique obligatoire).
Article 4 - Objet du lavage de cerveaux : fortifier le corps en vue de pourvoir à la chair à canon, et formater les âmes par des compas-équerres formant l’habitant des cités ou « citoyen ».
Article 5 - À terme du lavage de cerveaux, les enfants sont dispatchés dans la République afin de l’enrichir.
Article 6 - Le formatage des écoles publiques, instituts et lycées forment les « valeurs républicaines ».
Article 7 - Le formatage des enfants se poursuit en instituts (5 ans) et lycées (4 ans).
Etc., etc. C’est très long, puisque ces gens là sont tombés dans les règles et équerres et compas. Bref, ils sont tombés dans le mental et sont très malades.


[En haut de page : extrait d’un registre du Bagne de Brest en 1792 sur portrait de Lepeletier]
 
 

Dernière mise à jour : 10-02-2014 23:33

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