Monstruosité de la colonisation
et de l'ego

Ces Dieux qui pour s'amuser ou par dépit, ou par ennui, ont façonné l'être humain avec un mental, colonisant ainsi la planète Terre, et provoquant la Chute.

 

 

COLONIE : de 1308, du latin colonia, de colon. Groupe de personnes parties d'un pays pour aller s'établir dans un autre. Lieu où vivent les colons. Établissement fondé par une nation appartenant à un groupe dominant dans un pays étranger à ce groupe, moins développé, et qui est placé sous la dépendance et la souveraineté du pays occupant dans l'intérêt de ce dernier (tutelle). [Réf. dictionnaire Le Robert].
J'ai hélas connu les colonies de vacances dans les années 1950.
Le mot Colonie s'inscrit dans le dilemme individualisme-collectivisme, qui est le problème le plus profond de toute politique mondiale actuelle. Il est urgent de transcender ce dilemme en réalisant l'Instant ou Soi : devenir une PERSONNE : Je suis CE JE SUIS. C'est-à-dire découvrir que l'on a une structure ontologique identique à celle de tout autre être humain, en nous faisant nous découvrir, Homme, ou Femme, et non plus un homme ou une femme parmi d'autres hommes et d'autres femmes comme le veux le mondialisme et sa diabolique société de consommation.

 

COLONIALISME : "Ce qui est bien pour nous est bien pour vous". C'est l'American way of life de l'après crack boursier américain de 1929. Ainsi le mot Colonialisme est synonyme de "civilisation" : apporter la "modernité" aux sauvages... L'Union européenne est une colonie des USionistan ! Forme d'inversion puisque à propos de l'Europe on parle du "vieux continent" et que les Colons anglo-saxons vinrent peupler les territoires d'Amérique du Nord.
Le Colonialisme c'est l'idéologie ou opinion du "peuple élu" voulant coloniser ou imposer son opinion aux peuples non élus. On le voit dans la montée de l'idéologie du noachisme. Cette opinion guerrière des "races supérieures" devant "coloniser" ou dominer les "races inférieures" comme le voulait le raciste et judéo-franc-maçon Jules Ferry. Ces gens avec un ego monstrueux et diabolique voulant "éclairer le monde" comme le voulurent toutes les perruques poudrées du siècle dit des "lumières".

Les Chrétiens voulurent coloniser les Païens, comprendre : LES DÉTRUIRE. Toujours au nom de leur Dieu ou d'une "modernité", ou d'une "civilisation", ou d'un "humanisme" prétendument "supérieur" (religion de l'homme et de nos jours religion des droits de l'hommisme). Ne jamais oublier que la démence génocidaire vient de l'Occident et remonte aux Conquistadors, soit plein pot dans l'époque de la Renaissance et de son "humanisme" naissant et de sa conquête du langage écrit avec l'invention de l'imprimerie. Notre monde actuel mortifère et en ruine est la conséquence de ces guerres permanentes liées à la dualité du Bien et du Mal, ou des winners et des losers, ou même du peuple élu contre les peuples non élus (le péché mortel du judaïsme).

Le colonialisme et sa violence est toujours à fond de nos jours : les USA "gendarmes du monde" et leurs provinces dont la France, avec le Mali, la Libye, la Syrie, etc., et ajoutez le contrôle des ressources de certaines régions africaines qui furent nos anciennes colonies sous la république judéo-maçonnique : la troisième (voir le raciste et gonflé d'ego : Jules Ferry).
Les États-Unis, le Canada, l'Australie, la Nouvelle-Zélande sont tous et toujours des colonies sous domination monarchique, qui évidemment se vendent sous l'étiquette si eyes candy de "démocratie. Le but de ces colonisations est toujours le même, gonfler les couilles des Couilles en Or : la City de Londres, le Vatican de la religion financière mondiale.

La colonisation depuis le 15è siècle est toujours au bénéfice des Couilles en Or. Le passé colonial de la France est sinistre et criminel au même titre que les autres étatismes friqués.
RAPPEL : il n'y a pas de hiérarchie dans les holocaustes ou crimes contre l'humanité. Les Juifs n'ont pas le copyright !
Aujourd'hui la France est colonisée par l'USionistant   USA et Israël, comme avant 1945 elle était colonisée par les 200 Couilles en Or.

Donc le colonialisme est toujours à l'œuvre depuis plus de 500 ans. Il tient évidemment à cause du fric et à l'opinion de "peuple élu".

Voir aussi la page : Petits précis sur le colonialisme français en "Nouvelle-France"

Le colonialisme s'inscrit dans le thème de SERVIR, AIDER LES AUTRES, soit le pur triomphe de l'ego : acheter les autres. Ce qui n'a évidemment rien à voir avec l'Amour ou Réalisation du Soi-Instant totalement purifié de l'ego et du "vouloir apporter plus" toujours dans cette logique mortifère de la "croissance", du "progrès" ou de la "civilisation". Amour a un synonyme : la GRATUITÉ. En donnant on reçoit.

Derrière le colonialisme se cache la "justice", et comme depuis longtemps elle n'est qu'humaine, elle n'engendre presque que des drames. Cette justice sur Terre n'existera pas tant que les Terriens n'auront pas appris à reconnaître dans le cheminement de chacun et dans tous leurs actes les raisons profondes que seule la Réalisation du Soi-Instant peut dévoiler. Le justice des humains n'est que la projection à leur mesure de ce qu'ils voudraient que "justice soit faite", et étant dans la dualité guerrière, cette justice remet constamment en cause la justice issue du Soi-Instant : il n'y a pas Accord avec les lois cosmiques.

La volonté, le désir ou le vouloir sont les parfaits outils de l'ego, et donc des excitants de l'orgueil, et le fait de "vouloir la justice" signifie que l'humain n'est pas débarrassé du sens de la relativité, la dualité sujet-objet, winner-loser, bien-mal, etc. Car l'idée de justice implique l'idée du "bien" et du "mal" (les bons et les méchants), et sa raison d'être est de départager le bien du mal ! Désirer la justice semble naturel, mais au niveau de la disparition de la dualité le mot "justice" ne veut plus rien dire ! Désirer la justice prouve que l'humain est encore prisonnier de son ego sujet-objet ; alors il lui faut trouver la cause de son problème, trouver les chaînes qui le retiennent dans la dualité du bien et du mal.

L'ego ou orgueil joue dans presque tous les sentiments humains, et tant que l'humain se place dans la relativité des choses sujet-objet, il est sous la dépendance de l'orgueil, du mental. Mais dans l'Instant il n'y a plus de sujet-objet, tout est transparent et sans opposition. La véritable activité commence au-delà du binaire bien-mal.

Maintenant, le "progrès" qui rime avec le "confort", la "civilisation" s'inscrivent dans l'évolutionnisme ou adamisme en forme de géométrie de la ligne droite, et bien dans la logique socialiste qui dit que dans le principe était la matière, et non le Verbe, se condamnant ainsi à ne concevoir comme mode mental que l'opinion qui se construit dans le temps vécu, celui qui coule comme le sable dans le sablier, par évolution dialectique qui se déroule entre un commencement (Adam), que l'imagination peut reculer indéfiniment dans le "passé", et un futur également indéfini en forme de "fin des temps". C'est dans cette géométrie de la ligne droite que doit se réaliser, selon la dialectique matérialiste et historique si bien développée par les Juifs et le judaïsme, une transposition dans la fluidité continue du temps du "discours absolu" de Hegel dans l'instantanéité de la vision synthétique, une synthèse pour les lendemains qui chantent : le DORG (Demain On Rase Gratis) de tout ce qui est pensable et en conséquence la satisfaction de tous les besoins inscrits dans la nature ontologique de l'humain, et donc aussi de tout l'existant, de tout le créé, genre Alpha et Oméga.
Aujourd'hui le capitalo-socialisme se prétend être tout à la fois une physique, une métaphysique et une religion, voir le discours socialiste d'un Vincent Peillon, mais ce système ne peut avancer qu'avec des masques et de la haute sournoiserie.

Petit détail sur l'INSTANT, dont font la partie les ESSENCES. Jean Coulonval était Tourneur sur métaux : déplacer un outil coupant sur une pièce de métal qui tourne. Résultat : des copeaux. "N'existerait-il rien au monde, pas même la Création, que ce principe serait essence éternelle du tour. Mais ce qui ne serait pas, c'est le tour concret, et on peut en réaliser une infinité de modèles à partir du principe : c'est l'Existant. [On retrouve la même démarche en Alchimie opérative à partir de la Pierre Philosophale transmutatoire où le labeur consiste à rassembler le "Tout" dans un Principe, à partir de ce Principe : AL le Divin ou Principe manifesté qui mit E (le visible dans le monde spatio-temporel)]. Un tour ne peut engendrer son principe, ni aucune autre machine. La recherche, le bricolage, peuvent éveiller l'idée d'un principe, elles ne le créent pas. Quand un homme découvre un principe, c'est qu'il le portait déjà en lui à l'état latent, comme une plaque photographique non révélée, dans les structures intimes de son être. C'est vrai du moins quand l'opinion n'a pas la prétention, pour se justifier, d'imaginer des principes à sa mesure. Que dirait-on d'un mécano qui prétendrait monter une machine à coudre avec les pièces détachées d'une bagnole ? C'est pourtant ce que fait le communisme, Teilhard de Chardin et Freud", écrit justement Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux.
Bref, comme écrit plus haut, il faut sortir de la prison de la dualité sujet-objet.

"... que toute vie, dans notre cerveau, n'est qu'une collection d'images et qu'il n'y a pas de différence entre celles qui naissent des objets réels et celles qui naissent de nos rêves intimes pas plus qu'il n'y a de raison de considérer les unes supérieures aux autres". (Démons et Merveilles, de H.P. Lovecraft)

[En haut de page : détail de l'Enfer, du triptyque du Jardin des délices, par Jérôme Bosch]