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Fin de civilisation actuelle Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 25-03-2014 15:57

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Fin de civilisation actuelle
Totalitarisme pépère
ou la SOURNOISERIE PUTRIDE GALOPANTE RÉPUBLICAINE « dès le plus jeune âge »,
principe de la « démocratie »
donc depuis 1789 presque tous les gouvernements du
monde sont dirigés par des cerveaux invisibles :
soit par la judéo-franc-maçonnerie,
soit par celle-si ET les banques,
soit en résumé par l’invisible TYRANNIE DE L’OPINION.
Notre « civilisation » de guerres et
de violences permanentes touche à sa fin
pour amener, enfin, la dimension spirituelle
 
 
Les égrégores « erreurs humaines », dont le mondialisme fait la partie, cherchent à survivre, c’est pourquoi elles cherchent à entraîner le monde vers leur catastrophe Nouvel Ordre Mondial.
 
FIN DE CIVILISATION : « Derrière le fallacieux prétexte de se battre contre le racisme et l’antisémitisme se cache l’intention de brimer la liberté d’expression afin de faire taire tous les opposants au système totalitaire qui se met insidieusement en place, et derrière la raison alléguée de l’ABCD de l’égalité se dissimule une abjection destinée à corrompre la jeunesse dès le plus jeune âge... ».
« Combattre le racisme ou « délit de sale gueule » est à cause de la Chute naturel, et en l’état des consciences, il le restera encore longtemps !

RAPPEL : « l’égalité » est typiquement une maladie franc-maçonnique du thème Grand Orient de France. Ce mot s’inscrit dans le mondialisme : pensée unique et robotisation de l’humain. Tout « inégalité » remettrait le système en cause et aujourd’hui on « n’égalise plus » à coups de Guillotine ! Le mot « égalité » est la laïcisation maçonnique du mot « religion » : RELIER (la COMMUNION, qui ne va pas sans la différence : les grains de sable du désert sont tous identiques et étrangers les uns eux autres comme écrit G. Thibon).
Avec ce système égalitaire maçonnique spéculatif, on se demande encore pourquoi il existe un « peuple élu » différent des peuples qui seraient « non élus » ???
« Aimer, c’est avoir faim ensemble, et non pas se dévorer l’un l’autre », comme l’écrit Gustave Thibon dans : Notre regard qui manque à la lumière, car aujourd’hui et depuis 1789 : c’est « Exploitez-vous les uns les autres » !
D’autre part l’étatisme est plus que dictatorial de nos jours, ça s’appelle « État de droit », ce que les républicains appellent leurs « valeurs » : voir la City de Londres et une de ses succursales : l’Union européenne et ses droits de l’hommistes.

« La fièvre égalitaire est un des maux les plus profonds et les plus graves de notre époque. Avouée ou déguisée, elle perturbe, dans les domaines, l’équilibre de l’humanité. Elle fait se heurter entre eux, dans une compétition sans issue, les individus, les classes sociales, les nations. À la limite, chacun en arrive à trouver insupportable de n’être pas l’égal de n’importe qui, en n’importe quoi », écrit si justement Gustave Thibon dans : Diagnostics.

Le Nouvel Ordre Mondial, s’il se concrétise, sera une tragédie, car aujourd’hui, et grâce notamment aux technologies, les être humains n’avaient été aussi semblables, de par la langue de la finance internationale : l’anglais, ni aussi étrangers les uns aux autres. Et jamais non plus ils n’avaient été rivés entre eux par des liens aussi artificiels, virtuels et aussi inhumains, surtout depuis l'ère de l'informatique. L’Enfer sur Terre sépare et groupe perpétuellement tous les habitants. L’Enfer étant le lieu de la centralisation et de l’anarchie dans son sens le plus négatif.

Cette maladie de l’égalité est MORTELLE, sans soins possible, car depuis 1789 nous sommes entré plein pot dans la civilisation du CONFORT : technologie et moyens mentaux pour ne pas mourir (médecine, confort, assurance pour tout, distraction et culture pour tous tout azimut) ; tout ce qui permet de concrétiser la géométrie de la ligne droite : l’évolutionnisme, mais qui supprime la vie tout court, car l’unique source de la vraie vie réside dans l’au-delà du « temps qui coule » et contient aussi la mort dans l’Instant. « Nous voyons poindre l’aurore douteuse et bâtarde d’une civilisation où le souci stérilisant d’échapper à la mort conduira les hommes à l’oublie de la vie », comme écrit G. Thibon.

« L’union ne me suffit pas, c’est vers l’Unité que j’aspire. L’union est toujours plus ou moins extérieur ; elle n’abolit pas la séparation entre les êtres, mais les attache par des liens qui peuvent toujours soit se rompre, soit se transformer en chaînes [ce qu’il se passe actuellement dans le monde]. Elle est imparfaite et partielle, elle porte sur des goûts, des intérêts ou des devoirs soumis au changement  et quelquefois même sur les pires éléments de notre nature : une complicité est aussi une union ! L’unité est autre chose : elle atteint le fond éternel des êtres et domine ainsi les vicissitudes des besoins et des passions [opinions]. Dieu [Instant] est Un, les saints sont uns avec Dieu. Et le Christ, dans la prière sacerdotale, ne dit pas : « Qu’ils soient unis », mais : « Qu’ils soient UNS ».
Cette unité est réservée à l’amour transcendant : Dieu seul est Un, et les Unions humaines se rapprochent ou s’éloignent de l’Unité suivant qu’elles participent plus ou moins à l’Amour divin », écrit G. Thibon.

Les perruques poudrées du siècle des lumières, dont Jean-Jacques Rousseau, avaient un idéal, mais cet idéal n’est jamais descendu plus bas que leur perruques : ils ne trouvent pas dans leur être intime, dans leur nature profonde, leur Soi, de quoi être libre. « Mais ils n’insistent pas de ce côté-là : cela irait trop loin. Cette vertu, dont ils ne portent en eux que la faim, ils en réclament la substance au monde extérieur. Ils lui demandent d’incarner leur idéal ; ils chargent la société de fournir un alibi à leur impuissance ; ils ont besoin de voir sans cesse autour d’eux ce qu’ils sont incapables de vivre en eux », écrit justement G. Thibon.

La décadence des mœurs produit à son premier stade, un moralisme rigide et exalté, à son second stade, un immoralisme érigé en dogme (voir les maladives manigances égalitaristes des capitalo-socialiste de F. Hollande) ; cette décadence enfante toujours, tôt ou tard, la pire morale, et ce seront les enfants les premières victimes.


Les origines de l’humanité
Était-ce une farce des « Dieux » ?


Vidéo avec une certaine corrélation avec les entretiens de Ramana Maharshi. « Soyons seulement libre de pensées », (entr. 462), c’est-à-dire après avoir transcendé le soi individuel ou ‘je’. Être soumis aux influences des planètes c’est la RECHERCHE de la Connaissance qui aboutit à la soumission ; et celle-ci est identique à la réalisation du Soi-Instant.
 
[En haut de page : Le Pulcinella (Polichinelle) masqué qui peut symboliser la démocratie. De plus, la démocratie quant à son fonctionnement elle est désormais un secret de Polichinelle...]
 

Entretien avec Serge-Reiver Nazare.

 
 
 

Dernière mise à jour : 25-03-2014 16:11

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