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Mariage pour tous consommation pour tous Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 26-03-2014 15:55

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Mariage pour tous consommation pour tous
Né sous X ou le dogme du quantitatif
dans le Nouvel Ordre Mondial.
Cette société du plaisir immédiat et sans effort,
cette société du jetable avec date de péremption
où bientôt on euthanasiera les plus de 60 ans
parce qu’ils ne sont plus rentables.
 
 
Le Nouvel Ordre Mondial détruit l’INNOCENCE.
 
 
La soi-disant « révolution sexuelle » est liée à la société industrielle de l’après 1789 née au 19è siècle avec les Banques des Couilles en Or, dont les Rothschild et les frères Pereire & Co : le « enrichissez-vous » et le libéralisme du « Exploitez-vous les uns les autres », ou essor de la société de consommation qui préconise la gratification immédiate de tous les désirs, avec un choix infini d’objets à consommer, y compris un corps humain. Selon ce dogme, nous sommes à fond dans le dualisme du winner et du loser ou du « peuple élu » et non élu : le plaisir, et son contraire la douleur qui se soigne à coups de milliards de dollars de l’industrie chimique de Big Pharma, légale ou illégale, c’est la même économie... comme est la même économie l’autre « plaisir » acheté à la « culture pour tous » : musées, médias, vacances, jeux et sports, etc.
Nous sommes à fond dans le CONFORT ou « le Royaume de Dieu (juif) sur Terre », le DORG (Demain On Rase Gratis). Le côté « plaisir » de la dualité mortifère « plaisir-douleur ».
 
Le mot « démocratie » est maintenant confondu avec le mot « plaisir », « bonheur » ! Sur France-Info on entend dire par le psychanalyse Christophe André, auteur du livre : Et n’oublie pas d’être heureux, que les pays qui vivent en démocratie ont de la chance ! Ce monsieur ne doit pas savoir ce que le mot/maux « démocratie » signifie aujourd’hui... Car ce mot/maux fait la partie de la maladie de l’égalité, dont est issu le « mariage pour tous ». Je vois sur le Wiki que ce psychiatre est de l’école comportementale (behaviorisme et John Broadus Watson), soit l’opposé de l’école du psychiatre Carl Gustav Jung ! Alors pour C. André la démocratie cela doit être tout bon, et alors il lui faudra réinsérer les malades dans leur esclavage de salarié.

Comme déjà écrit en citant Gustave Thibon dans Diagnostics, la maladie ou fièvre égalitaire est un des maux les plus graves et les plus profonds de notre époque. C’est la guerre et la violence permanente entretenue par l’étatisme républicain, puisque chacun entre précisément en compétition sans issue, dans les individus, les classes sociales et ce qu’il reste des nations. Ainsi, dans la démocratie chère à Christophe André, chacun pour être « heureux » peut en arriver à trouver « anti-démocratique » le fait de ne pas être l’égal de n’importe qui, en n’importe quoi. C’est ça le quantitatif du Nouvel Ordre Mondial, le général confondu avec l’Universel (qui est du domaine du divin). Ainsi, l’homosexuel un peu coincé voudra se marier au mépris de tout devoir social pour assouvir son « droit à l’amour ». C’est pourquoi depuis l’après 1789 la montée de l’ego ou mental, et de son égoïsme n’a jamais été aussi monstrueuse.

En l’état de niveau des Consciences, l’égalité sur Terre n’existe pas, ce n’est pas à l’opinion d’une oligarchie qui se prend pour Dieu d’édicter, de normaliser, ce qui est égale ou ce qui ne l’est pas. Car en l’état des Consciences seule l’OPINION dirige de monde, car il est rare que les êtres les mieux doués par la Nature soient aussi ceux qui exercent le pouvoir ou détiennent la fortune, ce qui revient au même. Cet écart entre les dons naturels et la mission sociale est bien exprimé par l’Écriture que cite G. Thibon : « J’ai encore vu sous le Soleil que la course n’est point aux agiles, ni la guerre aux vaillants, ni le pain aux sages, ni la richesse aux intelligents, ni la faveur aux savants, car tout dépend pour eux du temps et des circonstances », donc de la mode ou opinion, nécessairement variable en permanence effectivement au grès des circonstances et de « l’âge du capitaine »...
Ainsi « on conçoit qu’une telle marge de contingence entre les capacités naturelle des humains et leur rang social ait inspiré des doutes sérieux sur la légitimité de certaines inégalités », écrit G. Thibon.
Les hasards du struggle for life (luttes pour la vie) se sont révélés plus désastreux encore que ceux de l’hérédité... Il suffit de regarder l’invention maçonnique de l’après 1789 : l'élection au suffrage dit improprement « universel », attendu comme le Saint Graal, pour savoir que le fossé entre les inégalités humaines et les inégalités sociales ne tend pas à se rétrécir, évidemment à cause de la religion du Saint Fric !!!

Cette civilisation du CONFORT exalte le « Vu à la Télé », donc LA NOUVEAUTÉ, d’où la civilisation du jetable, de la date de péremption : exit les vieux, les malades ou ceux qui ne peuvent plus aller à la messe de la consommation. Le neuf, le corps jeune et plus beau, donc le neuf est plus excitant, et quand les objets, les personnes ou les relations s’usent, il faut les remplacer ! Ainsi ces idées de Couilles en Or ont contribué à transformer les êtres humains en objets de consommation sexuelle et qu’elles se sont ajoutées au multipartenariat et à la recherche du plaisir préconisés par la « révolution sexuelle » pour constituer une nouvelle sexualité, dite « plus libre », qui en faite enferme encore plus !

Le soi-disant « Mariage pour tous », y compris, pourquoi pas, avec son aspirateur, s’inscrit dans le matérialisme qui est la suite de celui du 19è siècle, mais au combien plus développé ! Les années 1980-90 ont vu le développement d’une certaine conception du corps. L’humain se déshumanise : les femmes doivent être des squelettes ambulants et les hommes doivent être tous bronzés et musclés comme s’ils allaient tous les jours à la plage. Les homosexuels ont adoptés le culte de la gymnastique, du bronzage artificiel, du blouson de cuir, des cheveux courts, de la moustache ou de la petite barbe. Bien-sûr aujourd’hui cette mode a changé, comme toutes les modes...
Mais l’idéal homosexuel reste l’éternelle jeunesse : interdiction d’une date de péremption, ce sera l’enfer pour le vieil homo qui ne sera de ce fait plus désirable ! Ce culte de la masculinité et surtout de la jeunesse, de la « fraicheur », qui a une longue histoire, depuis les Grecs, est devenu, encore plus qu’avant, un élément central de l’imaginaire et de la vie sociale et sexuelle des homosexuels. Ne pas oublier qu’en même temps s’est développé une industrie du sexe homo : DVD, objets et « jouets » sexuels afin de stimuler le plaisir. Toute cette formidable économie a drainé toutes les perversions et les fantasmes possibles, des pratiques et des accessoires  jusque-là réservés aux amateurs du voyeurisme, du fétichisme, de la pédophilie et du sadomasochisme.

Ces pratiques s’appelaient naguère des « perversions ». Aujourd’hui, avec les capitalo-socialistes, ces pratiques sont devenues « normales », voire banales, question d'opinion, et sont entrées dans le vocabulaire quotidien de la sexualité actuelle. Les établissements spécialisés (backrooms, bars, saunas, il faut y ajouter ce qui n’est pas spécialisé : les jardins publics, les gars, les tasses, etc.), les revues, les films et DVD pornographiques, ainsi que les accessoires et toutes sortes de choses, ont contribué à abattre les barrières entre le « pervers » et le « normal », le privé et le public, société de consommation oblige, et sont, eux aussi, entrés dans les mœurs.

Aujourd’hui l’homosexualité est devenu un style de vie « librement choisi ». La soi-disant orientation avait toujours été clandestine dans nombre de pays occidentaux, question d’opinion avant tout ! Les homosexuels qui ont eut 20 ans en 1970 ont été les mieux placés pour bénéficier de ces transformations d’opinions. Plus libres que les hétérosexuels et leurs obligations, plus aisés financièrement que les lesbiennes, ils se sont lancés dans l’exploration de nouvelles formes de stimulation et de satisfaction sexuelles. Pour beaucoup, la « libération gay » fut comme le « Enrichissez-vous », le « droit au plaisir sous toutes ses formes » (y compris le crime, y compris dans le multipartenariat : le barebacking ou sexe en groupe, et la pédophilie pour les plus fortunés qui peuvent se payer des enfants et des passe-droits). Après de longues persécutions en Occident, tout semblait désormais permis, y compris le « mariage pour tous ».

En fait, « la libération gay » n’a fait que pratiquer ouvertement ce que beaucoup d’hommes (hétérosexuels et homosexuels) avaient toujours fait en secret depuis la nuit des temps !
Cela paraissait très nouveau parce que ça se passait entre hommes, mais cette nouvelle mode ne faisait que reprendre des mœurs sexuelles qui avaient été largement développées et cultivées dans les bordels de l’ère moderne. Les bains publics, les saunas, les backrooms de la libération gay n’ont été que des variations du thème du Bordel : endroits centrés sur le plaisir, où l’on pouvait boire, manger, consommer des drogues, regarder des spectacles ou des jeux sexuels, avoir des partenaires multiples (y compris avec des mineurs, pratiquer le sexe à plusieurs, obtenir du matériel pornographique, etc. Comme dans les bordels, les rapports sexuels étaient libres de toute contrainte affective ou juridique, complètement séparés du mariage et de la famille, et permettaient aux hommes de satisfaire leurs désirs sans trop s’inquiéter des conséquences. Donc les Bordels étaient des espaces réservés à des activités considérées comme illicites par la société dans son ensemble (en Occident), des LIEUX DE JEUX.
Les établissements gay centrés sur le sexe n’ont fait que copier les mêmes activités et les mêmes règles du jeu, sauf pour la rémunération des partenaires sexuels. C’étaient des Bordels gratuits, et le problème vient quand les homos les fréquentèrent ouvertement. Ils proclamèrent leurs aventures au lieu de rester discret. Ces Bordels étaient bien-sûr réservés auparavant aux élites !!! C'est là que commence la démarcation entre plaisir au Bordel et couple et famille.

L’homosexualité est du caractère du JEU, du RÉCRÉATIF, parce que reposant sur une SEXUALITÉ IMPULSIVE, du style pour certains « Un mec chaque soir » (du moins pendant un temps). Ce sera le domaine de « l’homosexualité noire », hasardeuse et dangereuse, celle des bas-fonds : les tasses, jardins publics, gares, certains quartiers de Paris ou de banlieues, mais aussi les saunas et les backrooms. Un homosexualité furtive ou seule la bite compte, on reste anonyme, on ne connait rien de l’autre, sauf sa bite ! Mais en Occident l’homosexualité fut si réprimé que certains trouvent «  l’amour » jusque dans les backrooms, dépassant ainsi la quête du simple orgasme. Vivre le « mirage de l’amour éternel » et romantique qui ne durait qu’un quart d’heure de la Chronologie tueuse.

Dans notre société de consommation, chez les homos il n’existe plus beaucoup de « spécialisation » « passif » ou « actif ». On alterne positif et négatif selon l’humeur du temps et du partenaire et de l’anus...

Un couple homosexuel ne ressemble pas à un couple hétérosexuel, ce fut une profonde erreur d’avoir voulu singer le couple traditionnel en institutionnalisant le « mariage pour tous », car aucun des paramètres de la relation hétérosexuelle ne s’y applique. De plus, le couple d’hommes est plus complexe et plus difficile à comprendre que celui du couple de femmes, parce qu’il ressemble encore moins au mariage avec son engagement à long terme et son accent sur la monogamie (en théorie). la relation lesbienne ressemble davantage au modèle hétérosexuel : elle est en principe monogame (ou essaye de l’être) ; elle s’inscrit dans un discours amoureux ; et elle aspire à une stabilité à long terme.

Par contre, il peut arriver que deux hommes établissent une relation et ne parlent pas d’amour, ni ne se promettent d’être fidèles, et ne projettent pas d’avenir commun. En fait, les homos ne semblent pas d’accord sur le sens du mot « couple ». Cependant certains cherchent : fidélité, stabilité, engagement à long terme. Seulement la réalité est évidemment très différente ! Certains vivent en couple mais avec des relations parallèles ! Toujours l’attrait du nouveau et de la chair fraîche !! Un couple homosexuel a une durée de vie, en moyenne, de 7 ans.
Dans le couple homo le sexe a un rôle principal : « on fait l’amour » en moyenne dix fois par mois (cela bien-sûr dans la phase dite de la lune de miel).

Ne jamais oublier que l’actuelle homosexualité est enfant du féminisme ! Et qu’il y eut la tragédie du SIDA ! Ce qui renforça la communauté gay non plus basée sur l’orientation sexuelle mais sur l’AMITIÉ, la SOLIDARITÉ. Bref, comme de tout, L’HOMOSEXUALITÉ SE MONDIALISE ou entre dans la logique du Nouvel Ordre Mondial.
Un couple homosexuel doit avant tout définir ses RÈGLES DU JEU : ce qu’il entend par les mots « relations », « couple », « amour », « fidélité », « monogamie », « aventure », etc. pour être sûrs qu’ils sont d’accord sur les termes de leur relation, car avant tout l’honnêteté et la confiance doit régner dans le couple. Si la liberté de l’un est l’infidélité de l’autre, les malentendus ne se feront pas attendre ! Et si les « règles du jeu » ne sont pas les mêmes pour les deux personnes, le jeu lui-même ne durera pas longtemps. De plus, comme les gens changent, il est important de renégocier ces règles de temps à autre.
Comme traditionnellement les femmes apprennent depuis leur enfance à valoriser la famille, le foyer, la coopération et la vie en commun, les hommes sont poussés à développer l’initiative personnelle, la fameuse compétition, l’indépendance ; toutes choses que le franc-maçon Vincent Peillon voudrait abolir en une pensée unique, aseptisée, pour faire de ce qui pour moi reste un JEU, une généralité, une banalité, ou du quantitatif bien dans le Nouvel Ordre Mondial, qui n’en a rien à foutre du QUALITATIF.

Les couples homos qui partagent un même espace savent qu’une partie importante de leur entente se développe à partir des menus détails de la vie quotidienne : dormir ensemble, faire la vaisselle ensemble et les courses aide à mieux se comprendre et à mieux s’accepter.
Paradoxalement, l’étatisme républicain demande de l’autonomie à ses fabriqués, comme s’ils étaient tous des célibataires devant prendre leur propre décision et se déplacer librement, société du fric et de la consommation oblige (la mobilité qui se retrouve jusque dans le téléphone...). La « liberté de mouvement », ce que les homos entendent conserver. C’est donc un facteur qui menace toutes relations masculines plus que toutes les autres : l’indépendance. Pour les couples homos, le grand obstacle à vaincre est celui de l’autonomie, donc en contradiction avec l’étatisme républicain.

Un autre gros problème est de courir à droite et à gauche : « La monogamie, c’est le fait de coucher avec une seule personne. Le fidélité n’a rien à voir : c’est le fait d’être affectivement lié à une seule personne », donc ici ce témoignage, DIVISE, amour et sexe !!! Ce qui me conforte que l’homosexualité et bien UN JEU, comme on se paye une place de cinéma le jour de congé ! ou un bon restaurant de temps à autre ! Tout simplement par que les homosexuels sont plus habitués que les hétérosexuels à séparer le domaine affectif et le domaine sexuel, à cause de l’homophobie intériorisée, ce qui renforce terriblement la JALOUSIE. De même, la recherche de partenaires multiples peut refléter le culte de la masculinité, et aider les hommes à se sentir plus désirables, dans la mesure d’une sorte de compétition où ils peuvent séduire d’autres hommes plus beaux et plus jeunes. Et société de consommation et du quantitatif oblige : on accumule, on possède et on entasse les objets sexuels ou conquêtes, surtout s’ils sont convoités par les autres, compétition et estimation de soi ou ego oblige !!!

J’employais ci-dessus le mot de JALOUSIE, mot qui n’est pas du tout à la mode dans le Nouvel Ordre Mondial, parce que le mot Jalousie ne s’accorde pas avec l’idéologie ou mode de la « libération sexuelle ». Dans les relations homosexuelles, la jalousie est souvent accompagnée d’envie, surtout si l’un des deux hommes est plus jeune et plus beaux, plus sexy que l’autre.

Le Grand défi pour tous est de passer du sexe à l’Amour véritable, soit passer du petit ‘je’ ou le soi-ego-corps au Soi divin qui est le vrai sens du mot AMOUR. Car tout le Nouvel Ordre Mondial est bâtit sur le matérialisme, le corps et donc le sexe ; tout pousse à consommer du berceau à la tombe, comme si la vie se résumait à cela. Le culte du matérialisme, celui du jetable et de la nouveauté : consommer des corps jeunes, donc entre autre exaltation de la pédophilie, qui fait que en général, les hommes cessent d’être des objets érotiques après les 45 ans, surtout s’ils ont déjà une bedaine, qu’ils sont pauvres et malades ! L’homosexualité officielle exige une aisance financière.

J’insiste : l’homosexualité est un JEU, donc elle exige du fric, de la division : on ne s’inscrit pas dans le corps social, on ne s’engage pas, on combine paradoxalement la soif de monter en puissance (modernité ou progrès) : être à l’abri, ou dans le confort : on veut être d’autant plus en sécurité qu’on est plus haut, ce qui est totalement idiot ! Les inégalités créées par cette opinion sont anarchiques par essence ; tout comme le plaisir uniquement sexuel séparé de la procréation ou moindre mal de l’amour perpétuant le prolongement de l’espèce humaine. Le plaisir ou JEU homosexuel n’a aucune finalité collective, c’est pourquoi c’est un jeu égoïste ressemblant à des corps étrangers dans l’organisme social.
« Ce culte de la fausse inégalité, de l’ascension sans mérite ni sacrifice, va de pair nécessairement avec le culte de l’argent. Dans une société saine, le sort personnel des chefs et des puissants est lié à celui des hommes qu’ils gouvernent ou des biens qu’ils possèdent : le Prince fait corps avec son peuple, le Seigneur avec sa Terre, etc. ; le bonheur et la sécurité de ces hommes dépendent en grande partie de l’accomplissement de leur devoir social.... Le riche jouira partout des mêmes privilèges et de la même sécurité [l’argent n’a pas d’odeur] ».

L’homosexualité étant un jeu comme n’importe quels jeux procurant du plaisir et de l’excitation, donner du piment à la vie, le mariage est aussi devenu maintenant un jeu confortable avec date de péremption (on divorce, on avorte, on adopte, on pmatise, etc.), comme tout ce qui se fait dans cette société industrielle où il faut fabriquer des objets ayant une durée de vie savamment calculée, sinon, que feraient les esclaves dans leurs usines ? Ainsi l’argent doit circuler, d’où la langue anglaise, langue du business international. Le « mariage pour tous » s’inscrit dans cette même logique. Circulez ya rien à voir... Consommez et ne faites pas chier...


[Référence sur l’homosexualité, d’après Marina Castaneda : Comprendre l’homosexualité. Marina Castenada, psychothérapeute d’origine mexicaine, spécialisée dans la thérapie familiale et l’hypnose ericksonienne et formée aux USA à Harvard et Stanford, et en France à l’École normale supérieure. Elle porte depuis longtemps un intérêt à la question de l’homosexualité, et à la manière dont celle-ci est abordée en psychothérapie. Plus de 2000 ans de persécutions alors que l’homosexualité si elle est un jeu est UN JEU NATUREL. Mais on n’institutionnalise pas un jeu par une singerie du mariage... Ou alors ça s’inscrit bien dans ce « Royaume de Dieu (juif) sur Terre »...]


Mariage = Divorce
Religions = Guerres
Tout est à l’envers et contre tous.

Le Christ, dans la prière sacerdotale, ne dit pas : « Qu’ils soient unis », mais : « Qu’ils soient UNS », c’est-à-dire le contraire du socialisme, c’est-à-dire vivre le Soi-Instant.
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 26-03-2014 17:00

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