Accueil
Vraie Télépathie = Pas de chef Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 09-04-2014 18:55

Pages vues : 7394    

Favoris : 30

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
telepathie_carte_zener.png
 
 
Vraie Télépathie = Pas de chef
Vraie Démocratie :
Pas d’étatisme ni de gouvernement
Parce qu’à la base le langage parlé
fausse tout

 
 
Première partie : État ou Étatisme = Pouvoir
Troisième partie : Étatisme : les héritiers de Moloch

CENTRUM CENTRI : le Centre est partout et la Circonférence nulle part. Donc nullement de chef, nullement d’État, nullement de gouvernement. Seulement un « Porte-Parole ». CENTRUM CENTRI : nous sommes tous reliés à la façon du schéma ci-dessous.

Généralement celui qui est chef est celui « qui a une grande gueule » : qui parle bien, haut et fort, qui convainc ou persuade. Bref, celui qui par sa rhétorique manipule les autres, notamment le cas du prophète (celui qui croit détenir une vérité et manipule les autres).
Le rhétorique ou orateur est la mort de la Télépathie et le passage dans la Chronologie tueuse (lenteur et parasitage de l’idéation). Entendre raconter des histoires, les peuples aiment ça. Aujourd’hui ce sont nos médias modernes qui « racontent des histoires ». Autrefois, ceux qui racontaient des histoires c’étaient les voyageurs. Seuls les voyageurs pouvaient renseigner un village, une contrée, c’était les médias de l’époque, des « gazettes vivantes », et comme aujourd’hui on achète son journal, on faisait payer aux voyageurs leur écot en récits qui ont donné le proverbe : « À beau mentir qui vient de loin » (Gazette ou colportage de nouvelles). Donc le mensonge de nos médias ne date pas d’aujourd’hui !
Le piège du langage parlée est dénoncé par La Fontaine dans Le Renard et le Corbeau, pauvre oiseau hypnotisé par le verbiage de Renard. Comme si les choses étaient inversé : le Corbeau est le chef, et Renard est le peuple qui ne se laisse pas manipuler par son éventuel chef, lequel est piégé par son beau discours hypnotiseur, comme tous les discours des politicards républicano-maçonniques de nos jours. Le pire supplice, le pire drame pour un politicard... C’EST LE SILENCE. Le tuer par le SILENCE.
Le politicard, le chef, ne sait que donner un ordre, donc parler ; condamné au silence il n’est plus rien. Dans le pire des cas, si son discours est vide, il perd son pouvoir ou son magnétisme.

L’homme qui parle est comme le mur qui crache les billets (distributeur) : du vent, du bidon, de l’esbroufe ou de l’escroquerie.

Le politicard et son verbiage, personne est obligé de l’écouter : fermer la télé ! C’est le peuple qui est libre, alors que le seul qui soit lié par ses obligations est le chef ! Donc Renard représente bien le peuple souvent plus malin que l’oligarchie. Par exemple à la révolution de 1789 les paysans voulaient détruire les registres sur lesquels figuraient leurs devoirs envers les seigneurs. Ils ne savaient pas lire mais n’étaient pas dupes !
En fait, le chef est le seul qui doit obéir... au peuple. Car la vraie démocratie, c’est le Peuple-Roi, donc le « pouvoir » des gouvernés de contrôler les gouvernants, les chefs. Ce sont donc les chefs qui obéissent. Dans le cas de l’étatisme c’est évidemment le contraire : la société a des obligations par rapport à celui, ou à ceux qui commandent, qui eux n’ont aucune obligation ! Les chefs dans l’étatisme n’ont aucune obligation parce qu’ils sont cancérisés par le pouvoir. Dans les sociétés vraiment antiques, c’est le contraire : seul le chef a des obligations : être bon orateur, prouver constamment son talent, donc être généreux dans une société où chacun est autonome puisqu’il se passe d’état et de gouvernement. Société ancienne où « l’État » est une famille : l’homme, la femme et les enfants, plus les grands-parents. Famille en totale autonomie, qui n’a pas besoin des autres pour subsister, et sa production la maintenant en autosuffisante ne va pas au-delà de ses besoins. Vivre en autosuffisance c’est ne consommer que ce dont on a besoin, ON NE PRODUIT PAS pour les autres, ON NE SACCAGE PAS, on vit en autarcie. Les sociétés anciennes ne polluaient pas ; elles prennent dans la Nature ce dont elles ont besoin. Une fois les besoins satisfait, ça s’arrête. Donc « l’économie primitive » ne satisfait que les besoins, elle n’est pas productrice, elle ne fait pas de business comme quand arriva la voie de l’Agriculture et la sédentarité et les villes (choses viles, source de crimes). PRODUCTION = CRIMES et CAPITAUX et PROFIT. Ainsi les sociétés primitives ne pouvaient pas détruire et polluer leur milieu parce qu’elle étaient SANS AGRICULTURE.
Le chef de la société ancienne c’est différent par rapport à celui de l’étatisme, il est obligé d’être généreux, faire aller sa production au-delà de ses besoins, en y ajoutant ses obligations de leader, donc avoir toujours un petit stock de divers choses à mettre en circulation, sorte de publicité alléchante.
Donc être chef c’est parler pour ne rien dire et travailler un peu plus que le peuple.

« D’ailleurs, ce n’est pas compliqué, une société, par définition, elle contrôle son milieu. Pour quelle raison ? Parce que si elle ne le contrôle pas, ou bien elle meurt, ou bien elle s’en va. La société primitive contrôle absolument son milieu, mais elle le contrôle en vue de quoi ? Non pour construire le capitalisme, c’est-à-dire pour accumuler, pour produire au-delà des besoins, elle produit jusqu’aux besoins et elle ne va pas au-delà ce sont des sociétés sans surplus. Pourquoi ? Pas du tout parce qu’elles ne sont pas foutues de produire, ou parce qu’elles sont au point zéro de la technique. Les sauvages sont de parfaits techniciens et quand je dis que chaque société est maîtresse de son milieu, je ne le dis pas en l’air ils savent parfaitement utiliser toutes les ressources du milieu par rapport à leurs besoins. Leurs techniques sont très fines.

Pour prendre des exemples américains, ce sont des gens qui, après tout, dans de nombreuses tribus sud-américaines, avaient une technologie chimique extrêmement raffinée, pour produire du curare, par exemple. Le curare se trouve dans des végétaux, dans des lianes. Une liane c’est une liane et le curare c’est un petit flacon de poison qu’on passe sur les pointes de flèches ; et bien, entre la liane et la petite réserve de poison, il y a un tas d’opérations. Il faut des connaissances chimiques ; savoir que c’est de telle liane d’abord, qu’il faut mélanger à d’autres trucs... Je ne vois pas comment on pourrait dire que les connaissances scientifiques des Indiens d’Amazonie étaient inférieures à celles des Européens. Seulement, elles étaient adaptées à leurs besoins » dit Pierre Clastres.
Ce qui rejoint parfaitement l’INSTANT :
L’insecte volant s’arrête pour pomper une goutte d’aquarelle sur le papier ; il est attiré par la couleur, par l’eau et le sucré de la gomme arabique. C’est dans « sa nature » : il avait probablement soif et l’aquarelle étant sucré, sa couleur, était faite pour l’insecte.
Autre exemple d’autarcie ou de CENTRUM CENTRI : d’un chien mort, il se forme des vers. C’est la Nature qui travaille, sauf si on aide la Nature : il suffit d’observer la qualité de l’air, le lieu où le chien a été tué. La Nature trouve d’elle même les mânes favorables pour la transformation. Donc vivre dans l’INSTANT en ACCORD avec la Nature, ce qui veut dire ne pas PRODUIRE, NE PAS NUIRE, NE PAS POSSÉDER. Pierre Clastres cite l’exemple de la roue dont les Occidentaux dirent que les peuples du Soleil comme les Incas ne connaissaient pas la roue. Chose invraisemblable puisque le moindre cailloux un peu rond pouvait évoquer la notion de cercle ! Et les enfants avaient des petits jouets incluant la roue... Les Incas n’avaient pas de roue parce que cela ne leur servait à rien ! Et les Conquistadors étaient stupéfaits de constater la qualité incroyable du système routier des Incas, et pas de roue... (Les roues marchent avec la domestication des animaux de trait, et il n’y avait pas ce genre d’animaux dans les Andes. Le seul animal domestique était le Lama, mais il ne peut porter pas plus de vingt kilos, alors aucune utilité à l’atteler à une charrette).
Ainsi on ne doit pas poser la question du pourquoi ? Mais de la question : « À quoi ça sert ? ». Question qui a d’ailleurs été posé récemment quand arriva en boutique le premier ordinateur domestique (ou personnel) vers 1979 : À quoi va servir cet ordinateur domestique ? Surtout qu’il n’y avait presque aucun programme et aucun Operating System, et qu’il fallait tout programmer en langage Basic, ou mieux en Assembleur.
Quand les « sauvages » voient quelque chose qui peut leur être utile, ils le prennent ! Mais Pierre Clastres précise que c’est souvent leur fin : voir en Amérique la découverte du Fer... et du chemin de Fer... De plus le Fer ça rouille... Mais les sociétés dites improprement « primitives » quand elles trouvent un problème le résolve toujours, sinon, elles meurent. Société primitive veut dire : ÊTRE COMPOSÉ D’UN PETIT NOMBRE DE MEMBRES (on dit bien parfois de quelqu’un : « C’est un zéro »).

Le chef est le PORTE-PAROLE (surtout dans le cas de relation inter-tribales ou la paix est instable). De plus tout le monde ne peut pas parler à la fois (dans le cas de perte de la Vraie Télépathie, et pas les cartes de Zener en haut de page pour actuellement expérimenter si ça marche...).
Le chef serait donc celui a qui on demande des choses, on le charge de.... Aussi ne peut-il être porte-parole du peuple que pendant un court temps (même dans le cas de Vraie Télépathie). Sinon le chef risque d’attraper le cancer du pouvoir. Donc un chef d’une journée, par exemple, et d’une infime fraction de seconde dans le cas de la Télépathie au service de la communauté. Mais normalement il y a CENTRUM CENTRI : le Centre est partout et la Circonférence nulle part. Donc, chef-instant.
Dans le cas de la Vraie Télépathie, pour une décision importante, il faut aussi évidemment un « Porte-Parole », sinon, comme tout est transparent, si tout le monde « parle », c’est la totale cacophonie !!!
Dans le cas de la Vraie Télépathie, qu’est-ce que c’est le « chef » ? Voyez le dessin ci-dessous. Le basculement (résonance) d’un « sucre » sur l’autre est le mouvement de la Télépathie.
 
 
 

Les sociétés anciennes étaient maître de leur milieu : CENTRUM CENTRI, comme le domino ou sucre basculant d’avant, ou d’arrière, en étant totalement autonome, comme toujours trouver de l’eau potable.
Le chef est le « sucre » ou « effet domino » (fonctionnant DANS LES DEUX SENS) qui bascule sur son voisin qui à son tour devient le chef un court Instant, et ainsi de suite transmettant l’information, le PULSE ou INSTANT. Ainsi, s’il n’y a pas de chef, il n’y a pas de PULSE, pas d’INSTANT. Mais c’est à chacun son tour. Voilà la VRAIE DÉMOCRATIE. S’il n’y a pas de PULSE, d’INSTANT, la société n’est pas complète : ça ne circule pas, avec le risque qu’il s’installe des PARASITES ou POUVOIR (« Si la société primitive fonctionne comme machine anti-pouvoir, elle fonctionne d’autant mieux que le lieu du pouvoir possible est occupé » dit Pierre Clastres). Dès que le Pulse ou chef a un ego mortifère, il sort du Pulse pour travailler pour son PROPRE COMPTE : c’est ça le parasitage, le pouvoir.
Évidemment le Pulse ne peut fonctionner que si chacun a un niveau de conscience élevé, ce qui devrait être le cas dans la vraie Télépathie puisqu’on ne peut presque plus rien cacher, tout est devenu transparent et fluide.

Le Pulse ou chef a une fonction structurale, comme dans le schéma ci-dessus il fait la partie de la structure même de la machine sociale, là où l’Instant doit être occupé, sinon il n’y a pas de Fluidité, avec le risque de tomber dans la chefferie et l’étatisme et le cancer du pouvoir. Le Pulse étant constamment entre un « avant » et un « après », ou un discours étant dans l’attente du peuple, donc sous son contrôle, il ne peut qu’y avoir fluidité, le Pulse ou chef étant un organe de la fluidité comme dans le schéma.

Un exemple précis d’étatisme : quand l’oligarchie ou le roi décide de faire la guerre, les peuples sont obligés de suivre et d’aller à la guerre. Chez les peuples primitifs, si le chef ou Pulse devient fou ou cancérisé par le pouvoir et décide de faire la guerre parce que ça l’existe, alors que les peuples sont contre, le chef dégage, est abandonné, ou est condamné à mort ; c’est ainsi que les sociétés primitives se protègent contre le cancer du pouvoir.

« Je connais un autre cas, dans un autre groupe, d’un type qui était aussi un leader de guerre, qui, lui, est allé beaucoup plus loin. Il commençait, du fait de son prestige, du fait de sa violence (c’était un violent), à diriger sa violence contre les gens du groupe dont il était le leader. Cela a duré un petit moment, puis, un jour, ils l’ont tué. C’était il n’y a pas tellement longtemps (une dizaine d’années), c’est relativement frais. Ils l’ont tué au milieu de la place autour de laquelle est édifié le village, les abris. Ils l’ont tué, tous. On m’a raconté qu’il était percé peut-être de 30 flèches ! Voilà ce qu’on fait avec les chefs qui veulent faire les chefs.

Dans certains cas, on leur tourne le dos, ça suffit. Si ça ne va pas, on les liquide, carrément. Cela doit être plutôt rare, mais enfin, c’est dans le champ de possibilités du rapport entre la société et la chefferie, Si la chefferie ne reste pas à sa place », explique Pierre Clastres.

Si dans les sociétés primitives il y a un grand respect du langage (la parole donnée), cela vient de la perte de la Vraie Télépathie. Le « Gay Savoir » est aussi issu de cette Télépathie.
L’étatisme c’est le délire de la croissance : tous les États sont natalistes et veulent une « croissance » PLANIFIÉE de la population. Dans l’étatisme des Incas il était interdit d’être célibataire, et quand on était marié on avait de « grandes chances de faire des enfants »...

« Tous les États sont natalistes, forcément, parce que plus la population est nombreuse, plus on a de tributaires, de gens qui paient le tribut, les impôts, plus on a de producteurs ; plus les masses à manipuler sont nombreuses, plus le pouvoir est grand plus la richesse et la force sont grandes. C’est pour cela que d’un autre côté on peut dire également que la vocation d’un État, de la machine étatique, pas simplement du type qui la contrôle à un moment donné, (c’est dans l’essence même de la machine étatique, me semble-t-il) c’est d’être condamné à la fuite en avant, à la conquête [la croissance]. L’histoire des grands empires, des grands despotes, c’est une conquête permanente, la limite étant une autre machine étatique aussi forte, c’est la seule chose qui puisse l’arrêter, ou des sauvages, des vrais qui ne savent pas et surtout qui ne veulent pas savoir ce que c’est que l’État. L’expansion des Incas, c’est frappant, elle s’est arrêtée à mi-pente des Andes vers l’Amazonie, parce que là commençait le règne des sauvages, des communautés, des tribus qui n’avaient rien a foutre de payer un tribu â un chef dont ils ne voulaient pas. Mais, sinon, la vocation de toute machine étatique, c’est de s’étendre et, à la limite, de devenir planétaire [Nouvel Ordre Mondial] » dit justement Pierre Clastres.

Dans les sociétés occidentales l’étatisme devient de plus en plus puissant, donc l’étatisme va devenir de plus en plus autoritaire, et pendant un bon moment, avec ceux, les « moutons », que l’on appelle « la majorité silencieuse ». Voyez le nombre de gens qui réclament « plus d’autorité », donc plus de confort et d’assurance de la part de l’État, plus de « sécurité sociale ». Les gens ont peur que le navire ne soit plus dirigé par le capitaine ! Ils demandent un roi !! Donc la société actuelle dans sa majorité n’est pas préparé à fonctionner sans étatisme, ou sans chef dans le sens républicain du terme. Comme le prédit bien Pierre Clastres, l’étatisme va aboutir à une sorte de fascisme, non de parti, mais intérieur avec le consentement du plus grand nombre des populations (c’est ce que j’appelle « la tyrannie du peuple ». Inclure dans l’étatisme les syndicats, les lobbys, les associations genre CRIF, LGBT, LICRA, etc., et évidemment au sommet : les banques ! Ces associations, les banques et les partis, les syndicats, sont tous cancérisés par le pouvoir.
Plus l’étatisme grossit et plus il y aura de failles, ainsi plus il y aura d’anti-failles, c’est-à-dire l’État (voyez les actuels associations antisexistes, antiracistes, antiphobies, antinimportequoi, et autres ‘Théorie du genre’, ‘ABCD de l’égalité’, etc... Voyez l’utilisation étatique de la Novlangue et de la manipulation médiatique).


Voir aussi l’article : La télépathie est la propagation de l’information à une vitesse infinie



- Question : Comment peut-on contrôle le mental ?
- Maharshi : Un voleur se trahira-t-il lui-même ? Le mental se trouvera-t-il lui-même ? Le mental ne peut pas chercher le mental. Vous ignorez ce qui est réel, et vous vous accrochez au mental, qui, lui, est irréel, tout en essayant de trouver qui il est. Le mental existait-il dans votre sommeil ? Il n’y était pas. Maintenant il est là. Par conséquent, il est impermanent. Pouvez-vous trouver le mental ? Le mental n’est pas vous. Vous pensez être le mental et c’est pourquoi vous me demandez comment le contrôler. S’il existe, il peut être contrôlé. Mais il n’existe pas. Comprenez cette vérité par la recherche. La recherche de ce qui est irréel est infructueuse. Cherchez donc la réalité, c’est-à-dire le Soi. C’est la manière de maîtriser le mental. Il n’y a qu’une seule chose qui soit réelle [c’est ce qui EST]. (D’après l’entretien 238 du 20 juillet 1936, de Ramana Maharshi).



[En référence à : Comprendre la société avec et sans État et leur politique (Entretien avec Pierre Clastres, 2ème partie]
 
 

Dernière mise à jour : 11-04-2014 20:50

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >