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Droit naturel ou les ESSENCES ? Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 04-07-2014 18:42

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Droit naturel ou les ESSENCES ?
pour échapper à la tyrannie de l’opinion
 
 
Certains de 1789 à 1794 parlaient de « droits naturels », puis en 1795 les Couilles en Or (les riches et possédants) et les colonialistes fabriquèrent leur révolution, leurs constitutions et la forme d’évolutionnisme (croissance) que nous vivons aujourd’hui : la révolution unique du Saint Fric ou révolution-religion bourgeoise : les citoyens ou habitants des bourgs. Notons que dans tout ouvrier qui se dit socialiste, il y a un bourgeois qui sommeille, surtout depuis l’instauration des « Congés payés » donnant le renforcement de la société de consommation et de la « classe moyenne ».
 
Encore faudrait-il définir ce qu’est le « Droit naturel », surtout si c’est une définition à partir du mental de l’humain ! Des philosophistes modèle John Locke et Rousseau s’y sont essayés, en vain, parce que tous leurs concepts ne reposent que sur l’OPINION se construisant à partir du monde des accidents ou monde spatio-temporel.

Voici par exemple les trois préambules des « déclarations des droits de l’homme et du citoyen » (le mot citoyen étant évidemment rattaché au bourg, à la cité, ce qui divise et laisse de côté les habitants des campagnes).
RAPPEL : le verbe ÊTRE a deux visages (Janus le transistor !), si on ne les distingue pas, toutes discussions des humains entre eux sera un combat de Nègres dans un tunnel !

- 1 : Le 26 août 1789 : les « représentants du peuple français (qui ?), ont l’opinion que l’ignorance des « droits de l’homme » sont les seules cause des malheurs publics, etc. On ne dit aucunement ce que recouvre l’essence de l’expression « droit de l’homme », qui n’est somme toute qu’une opinion, qui pour ces gens de 89 devient « sacrée ».
Article premier : Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit (totalement flou]. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune [on ne peut pas séparer le temporel du  spirituel].
Article 2 : Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression [soit toutes choses EXTÉRIEURES...]

- 2 : le 24 juin 1793 (période plein pot de l’extermination des Vendéens) : le peuple français est déclaré avoir oublier et méprisé les « droits naturels de l’homme » encore déclaré seules causes de nos malheurs...
Article premier : Le but de la société est le bonheur commun [départ du Nouvel Ordre Mondial et de la société de consommation et du pouvoir d'achat]. Le gouvernement est institué pour garantir à l’homme la jouissance de ses « droits naturels et imprescriptibles [le départ de la tyrannie de l’opinion commence tant le flou règne dans ce premier article].
Article 3 : Tous les hommes [sans oublier les femmes] sont égaux par la nature [c’est faux, il y a des grands, des petits, des forts, etc.] et devant la loi [c’est toujours aussi faux].

- 3 : le 22 août 1795 : la religion du Saint Fric et de l’homme entre en piste : on manipule le peuple français avec une singerie du divin nommée : « Être suprême », s’apparentant exactement au GADLU judéo-franc-maçonnique (Grand Architecte De L’Univers).
Article premier : Les droits de l’homme en société sont la liberté, l’égalité, la sûreté [le confort et l’assurance sur tout], la propriété [départ de la fameuse « propriété intellectuelle et triomphe de l’ego : la possession, comme Lucifer... sans oublier le développement des bagnes pour enfants et adultes].

L’opinion du plus grand nombre s’exerce par ce qui découlera de la maçonnerie : le suffrage universel, donc par définition les cons sont la majorité dite 'universelle', ils sont la matière première des impérialistes et mondialistes. Le pire des impérialiste étant les bouffis d’ego, en politique, en religion, en sciences.
Les trois déclarations ci-dessus établissent bien le règne de l’opinion qui prendra le masque de l’universel en renversant les rôles : Ce sont les accidents ou le spatio-temporel qui engendrent les essences, ce que les déclarants des 1789-93-95 appellent « droit naturel », et qui n’est nullement naturel, surtout repris sur un John Locke et un Rousseau. Tout cela va aboutir au socialisme des Juifs bolcheviques de 1917 et au stalinisme, à la Chine communiste, à Pol Pot et sa « démocratie », etc. Depuis 1789 tous les étatismes se disent « démocratiques »... le nazisme se disait démocratique, et le fameux « Être suprême » fait de cette démocratie une catholicité en creux, à l’envers, signe du parfait satanisme ou on inverse tout.

Qu’est ce que c’est le « droit naturel », sinon la liberté ou l'état originel :
Donc ne pas être un fabriqué par l’autre, par un système d’État, par sa famille, par l’éducation, mais seulement être soumis AUX ESSENCES : comme dit le Maharshi à l’entretien 63, c’est « la Force » ou le Soi-Instant qui fait toutes choses et l’homme n’est qu’un instrument. « S’il accepte cette position, il est libre de tout ennui ; sinon il les invite ». Voilà le droit naturel : la soumission au Soi-Instant. Il ne peut pas y avoir d’autres « droits » qui ne seront que des accidents ou opinions dans ce monde du spatio-temporel.

Les 1789 à 1795 sont le germe du marxisme et du socialisme, où la maturité de l’opinion sera conçue comme critère de vérité politique, opinion dont les racines profondes se situent à la Renaissance.

Qu’est-ce que c’est encore ce « droit naturel » voulu par l’opinion des républicains des 1789-95 ? Sinon le règne des prolétaires, de la masse utile par les enfants qu’elle engendre, utile pour fournir la viande pour le travail et pour la guerre (psychologique ou froide ou non).

RAPPEL : L’homme se fait ses opinions à la façon d’un carrelage (citation du Père Sertillanges d’après Bergson, et cité par Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux).

Ainsi, d’après Coulonval le mal, c’est l’opinion. J’adhère à sa découverte. Il écrit aussi, que renoncer à l’opinion c’est renoncer au « Moi », à ce que nous sommes en tant que formés par les expériences sensibles et les impressions vécues dans le temps et l’espace. C’est à partir de là que nous nous forgeons une idée de ce que doivent être les réalités permanents ou éternelles ; ce que les républicains et philosophistes appellent « droits naturels ». Tout le monde veut « ÉTERNISER L’INSTANT » (le réaliser), ce qui effectivement ne peut être qu’éternel, comme le Soi de Ramana Maharshi.
Les gens de 1789-95, les religions, les philosophes, les sciences, et ceux qui parlaient de « droit naturel » concluent uniquement à partir du sensible de ce que doit être l’éternel immuable (droits de l’homme). Jusqu’à ce jour, nous ne remarquons pas que les rôles sont ainsi inversés : « c’est la pièce coulée, l’Homme, qui décide de ce que doit être le moule où il a été formé », écrit superbement de simplicité Jean Coulonval. Il ajoute que l’opinion religieuse, politique, scientifique, imagine un oiseau à la convenance du nid, un moule à la convenance de la pièce loupée (« l’ignorance des « droits de l’homme » sont les seules causes des malheurs publics, etc. » de la première déclaration). Aujourd’hui, renoncer à l’opinion est le GRAND ŒUVRE CHRISTIQUE : le Sacrifice absolue. Mais c’est moins douloureux, et même pas du tout, si on n’a pas été formaté par l’éducation familiale, scolaire, ou religieuse, ou sociale, bref, si on a échappé à tout conditionnement sociale, car alors aucune étiquette ne se sera collé sur le libéré. Car comme le dit Ramana Maharshi à l’entretien 495 : « Détachement à l’intérieur et attachement en apparence », soit REMPLIR UNE FONCTION, sans s’identifier à cette fonction.
Ceux qui sont à plaindre sont ceux qui s’attachent à leur culture : familiale, scolaire ou religieuse, littéraire, ou scientifique, ou politique ; ils ont tout à perdre !


On ne peut pas séparer la matière et l’esprit, ou le temporel du spirituel, parce qu’une dualité est nécessairement instable, comme les deux plateaux de la balance relié par le FLÉAU, qui porte bien son nom : il fait peur à celui qui s’attache à l’extérieur, à celui qui s’attache à sa litière de paille, à celui qui est masque ou personnage de théâtre ou ego démultiplié, le vrai acteur étant : Je suis CE JE SUIS, soit JOUER SON PROPRE RÔLE en retrouvant le Troisième Œil : LA GLANDE PINÉALE.

L’Église de Rome tenta d’offrir au monde le TOUT, mais elle n’invite seulement qu’à une option sentimentale entre le haut et le bas, l’enfer et le paradis, ou le bien et le mal, ou  le permis et le défendu...

D’autre part, la religion de cette judéo-franc-maçonnerie spéculative se voudrait détentrice de la Vérité, celle de Lucifer, consistant à voir simultanément toutes les faces d’un polyèdre. C’est la religion de Lucifer, celle du VOYEUR (œil qui voit tout), du POUR-VOIR (pouvoir) et ego luciférien.
La connaissance de Lucifer et celle du Christ sont identiques, seul l’ego chez Lucifer peut faire une différence.


La « droit naturel » ne peut pas venir des humains, comme le dit Soljenitsyne cité par Coulonval : « Les lois de la meilleure organisation humaine ne peuvent se trouver que dans l’ordre universel ». De toutes façons, une chose est vraie ou pas vraie, et le vrai ne peut en aucune façon être un objet de propriété. Ainsi les « droits de l’homme » énoncés par les 1789-95 ne peuvent être la « propriété » de cette période !...

LE MIRAGE DÉMOCRATIQUE :
trouver la paix dans une prétendue possibilité de l’unité des opinions, chose naturellement impossible.

Les « déclarations » successives des « droits de l’homme » sont l’illustration de l’orgueil d’être homme ! L’ego qui est toujours là prêt à nous piéger, même sous le masque de l’humilité !
RAPPEL : Tout opinion se clôt sur elle-même, comme le symbolique Ouroboros, comme la surface de la sphère. « Toutes les opinions sont autant de ‘billes-pensées’ qui s’entrechoquent sans se pénétrer. Par nature, elles sont antagonistes, inconciliables. Seul, l’esprit d’en haut n’a pas d’opinion, les pensées qu’il inspire sont complémentaires et ne peuvent se combattre. L’Esprit n’a pas d’ennemis, alors que le marxisme, l’anti-Esprit en a besoin pour s’en nourrir », écrit justement Jean Coulonval.
L’opinion n’est jamais certitude. Ce qui en décide, c’est seulement le sentiment, l’affectivité, c’est pourquoi elle est attaché intimement à l’ego et donc à la POSSESSION. Une opinion est toujours aveugle.

On n’a pas à sacrifier son ‘Je’ ou Soi-Instant à la pérennité du collectif. On a pas à nier le collectif pour affirmer son ‘je’ ou ego. Le sel ou scelle se situe entre les deux : au CROISEMENT, là où il se trouve naturellement.

Le mondialisme découlant de ce faux « droit naturel » des 1789-95 aboutit à l’opinion personnelle, pour « moi seul » ou mon ego, parce que je me coule dans le psychisme et les dominantes de pensées d’un groupe, je renonce alors à toute opinion personnelle et me mets au service de la pensée unique en renonçant au ‘Je’. C’est cela le Nouvel Ordre Mondial ou socialisme de 1917 en URSS. Les marxistes veulent uniformiser les accidents, le spatio-temporel, et fabriquer les humains.

En 1789 on n'a rien découvert, parce que ce que certains appelaient « droit naturel » n’est que les Essences qui sont le fond de cet Univers, et par conséquence sont le « bien » de tous les êtres vivants. On ne peut pas diviser : le « genre humain » et le reste ! D’autre part si on pond une « constitution » on tombe dans l’étatisme et nullement dans un « droit naturel ».
Le « droit naturel » des John Locke et des Rousseau (portait en haut de page avec sa belle perruque poudrée) n’est que l’opinion (de chacun) issue des ergoteries grecques.
Chez Rousseau se trouve l’opinion que « la liberté est pensée comme un pouvoir sur soi-même » et la relation à l’autre serait alors une limitation de cette liberté », ce qui correspond à l’opinion et aux ‘billes-pensées’ décrites plus haut.

Jean-Jacques Rousseau est le cas typique des perruques poudrées qui cherchent à l’extérieur au lieu de chercher en eux-mêmes. Ce qu’il ne sait trouver en lui-même, il en réclame la substance au monde extérieur. Lui et son copain John Locke demandent à l’extérieur d’incarner leur idéal : ils chargent la société de fournir un alibi à leur impuissance ; ils ont besoin de voir sans cesse autour d'eux ce qu’ils sont incapables de vivre en eux. Et quand le monde extérieur les déçoit, alors ils poussent des cris indignées contre le « mal ». Bref, leur ego en prend un coup mérité ! Les Rousseau et John Locke sont encore plus esclaves que ceux qu’ils dénoncent. « Esclaves, plus que les autres encore, du monde et du siècle, ils ont besoin, pour ne pas désespérer de leur idéal, de le voir réussir dans ce monde et dans ce siècle, et leur zèle est d’autant plus amer et fiévreux que leur vide intérieur est plus profond. Ainsi Rousseau, père indigne, décerne des récompenses aux femmes qui allaitent leurs enfants et accable les éducateurs de conseils irréalisables. Il demande aux autres l’impossible dans la mesure où il n’a pas soulevé lui-même le petit doigt : cela crée une moyenne ! Les utopies morales et sociales les plus dévorantes sont nées de tels décadents qui unissent, suivant le mot de Montaigne, des « opinions supercélestes à des mœurs souterraines... », écrit superbement Gustave Thibon dans : Diagnostics.

EN RÉSUMÉ : les mots/maux « droit naturel » sont casse-gueule à l’extrême ! Surtout parce que ce qui est naturel n’a pas à être un « droit », il est naturel, il EST, c’est tout ; c’est identique à la Vérité : elle n’a pas à être défendu, elle EST. Ce qui est éternel EST. Ainsi le mot « droit » est totalement trompeur accolé avec le mot « naturel » ; il y a un court-circuit ! Le mot « naturel » ne peut pas être associé à « droit, canonique, coutumier, féodal, romain, napoléonien, naturel, commercial, militaire, républicain, etc... ». Pour certains ergoteurs de ces dernières 2000 ans, le « droit » c’est le mental ou « raison »...
L’expression « droit naturel » est un héritage du killer Aristote et autres Cicéron et ergoteurs Grecs ! Pour au final déteindre sur le « droit chrétien », et après 1789 sur la république et ses « valeurs ».
G. Thibon résume bien la pensée rousseauiste : « La décadence des mœurs produit, à son premier stade, un moralisme rigide et exalté, à son second stade [le notre], un immoralisme érigé en dogme ; elle enfante toujours tôt ou tard, la pire morale ». Thibon ajoute : « Un Rousseau, un Gide censurent, avec raffinements surhumains de pureté, certains maux presque inhérents à la condition humaine et, en même temps, ils accueillent et glorifient les pires désordres. Ils visent simultanément plus haut que l’homme et plus bas que l’animal : leur morale est faite de vaine révolte contre la nécessité et de plate abdication devant le désordre ; elle est spécifiée par l’attrait combiné de l’impossible et de la boue.... Le péché morale, d’abord librement choisi, s’infiltre tôt ou tard dans les mœurs, et il les pourrit : nous assistons, depuis la Renaissance, à cette descente du péché dans la nécessité, à cette lente dégradation du mal moral en mal physique. Réciproquement, l’effondrement des mœurs rejaillit sur la morale : la vertu qui ne s’appuie plus sur la santé des instincts et sur celle des institutions dévie de son sillon naturel ; elle tombe, comme les nerfs mal nourris, dans la ‘faiblesse irritable’... », écrit Thibon.

Thibon enchaîne avec 1789 et sa pseudo-démocratie : un mélange d’absurdité et de malfaisance, fondé théoriquement sur la justice et l’amour à l’égard des masses, des prolétaires, et  1789 finit par imposer pratiquement aux individus de ces pauvres masses, s’ils veulent accomplir leur « devoir », un héroïsme qu’il serait à peine raisonnable de demander à « je ne sais quel pusillus grex évangélique ». « Si l’on cherche la raison secrète de la témérité effrayante avec laquelle les esprits révolutionnaires bouleversent des traditions et des mœurs QUI ONT FAIT LEUR PREUVE, on en trouve dans cette illusion « angélique » que la moralité peut et doit suffire à suppléer les mœurs détruites. Mais il n’est pas de pire méfait social que d’acculer les masses à la sainteté ». Ce qui rejoint l’entretien 107 de Ramana Maharshi : « Les instructions spirituelles diffèrent selon le tempérament des individus et leur maturité spirituelle. Ils n’est pas possible d’instruire EN MASSE ».

Ci-dessous, un exemple d’étatisme jouxté au mondialisme et à ses Couilles en Or. Si la « démocratie » voulait le bien du peuple, depuis plus de 200 ans cela se vivrait déjà depuis longtemps, surtout avec le délire de la technologie (notamment l’Internet désormais si surveillé par le pouvoir USionistan, ce qui prouve que la démocratie se transforme sournoisement en dictature totalitaire).
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 04-07-2014 19:27

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