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Les criminels dogmatiques de 1789 à 1802 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 05-07-2014 20:20

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Les criminels dogmatiques de 1789 à 1802
et leurs « droits naturels »


1789 = fosse d’aisance de la république universelle judéo-maçonnique.
 
 
Alors faire cacare est bien un des premiers « droit naturel » qui est aussi totalement égalitaire ! Riches ou pauvres, tout le monde monte sur le trône (‘lieu d’aisance’ ou commodité) pour faire cacare (caca, du latin cacare : chier ou se soulager les intestins) !
Dans le même thème nous avons : CACHER : lieu retiré (comme les latrines), cachette (notamment ‘lettre de cachet’).
 
Il n’y a pas pire dogme que ceux des travailleurs du chapeau comme les ergoteurs grecs genre Aristote & Co., et les perruques poudrées du 18è siècle dont Rousseau. (Les Grecs anciens sont toujours portés aux discussions et au Pour-Voir). Tous ces malades chient des lois, des dogmes, des droits de ceci et de cela à n’en plus finir leur diarrhée chronique déclarée d’ailleurs « universelle » ou « droit de... ». Droit de faire cacare oui, peut-être le premier « droit naturel », et encore ! si on pratique la nourriture prânique, le cacare n’existe même plus !

Quelle honte ! Honte à cette humanité chieuse de lois et de dogmes en tous genres comme ses « droits de l’homme et du citoyen » en oubliant les habitants des campagnes... Honte surtout à l’étatisme établissant sa « loi martiale » pour contrer les réclamations des peuples. Le Nouvel Ordre Mondial ou Mondialisme est bien effectif à partir de 1789, avec sursaut à la Renaissance.

Les chieurs de lois et dictateurs en tous genres sont tellement travaillés par leur ego qu’ils pondent des imbécilités comme celle-ci : une perle :
« Il doit sans doute être permis à tous les citoyens de s’assembler ; mais il ne doit pas être permis aux citoyens de certaines professions de s’assembler pour leurs prétendus intérêts commun » (Isaac Le Chapelier, un nom prédestiné pour un travailleur du chapeau ou du couvre-chef ! un pur dictateur républicain et ses « valeurs », une pure perruque poudrée).

Le Chapelier est un partisan d’une unique loi : LA LOI MARTIALE :
« Tous attroupements composés d’artisans, ouvriers, compagnons, journaliers ou excités par eux contre le libre exercice de l’industrie et du travail [libéralisme], appartenant à toutes sortes de personnes et sous toute espèce de conditions convenues gré à gré, ou contre l’action de la police, et de l’exécution des jugements rendus en cette matière, ainsi que contre les enchères et adjudications publiques de diverses entreprises, seront tenus pour attroupements séditieux et comme tels ils seront dispersés par les dépositaires de la force publique, sur les injonctions légales [sic] qui leur seront faites. Serons punis selon la rigueur des lois [sic] les auteurs, instigateurs et chefs desdits attroupements et tous ceux qui seront convaincus de voies de fait et d’actes de violence ».

La loi Le Chapelier, qui servira sûrement à quelques chefs juifs bolcheviques, connut une extension le 20 juillet 1791 qui visait les coalitions de moissonneurs dans le but de faire hausser leurs gages, coalitions qui furent elles aussi assimilées à des « attroupements séditieux » relevant de la loi martiale. Les instigateurs de ces mouvements seront punis de mort.

Il y eut d’autres lois martiales : 23 février 1790, 14 juin et 20 juillet 1791. Ces lois martiales furent synthétisées par la loi du 26 juillet 1791, qui suivit la fusillade sur le peuple au Champ-de-Mars (1), et qui définit ce que l’Assemblée qualifiait « d’attroupements séditieux » :
- Article 10 : Les attroupements séditieux contre la perception des cents, redevances, agriers [des campagnes] et champarts, contre celle des contributions publiques, contre la liberté absolue [sic] de la circulation des subsistances, des espèces d’or et d’argent ou toutes autres espèces monnayées, contre celle du travail et de l’industrie, ainsi que des conventions relatives au pris des salaires, seront dissipés par la gendarmerie nationale, les gardes soldées des villes..... Les coupables seront saisis pour être jugés et punis selon la loi.

Complément à cet article pou la loi martiale du mois d’octobre 1789. La loi martiale continuera a être proclamée, lorsque la tranquillité publique sera habituellement menacée par des émeutes populaires ou attroupements séditieux qui se succéderaient l’un l’autre. Pendant le temps que la loi martiale sera en vigueur, toute réunion d’hommes au-dessus du nombre de quinze, dans les rues ou places publiques, avec ou sans armes, sera réputée attroupement.

Le terme « attroupements séditieux » est l’arme inquisitoriale principale républicaine visant toutes les formes d’expression de mouvement populaire urbain comme rural.
Ainsi en ce temps là on réprimait par la force armée les paysans qui réclamaient l’accès à la terre, les troubles de ceux qui avaient faim, les troubles de ceux qui voulaient faire baisser les prix des denrées vitales, les coalitions d’ouvriers qui voulaint être augmenté.


Robespierre dénonça la loi martiale, sous toutes ses formes.

Cette politique de loi martiale fera l’exclusion des peuples en totale violation de la déclaration des droits de 1789 ! De plus, le pouvoir de cette époque refusait de reconnaître les femmes comme « citoyennes ».
En septembre 1791 l’Assemblée maintient l’esclavage dans ses colonies. Cette Assemblée exclue les pauvres de la souveraineté en imposant un système qui réservait la « citoyenneté »  à ceux qui payaient un minimum d’impôt annuel équivalent à trois journées de travail. Être « citoyen », ou plutôt Français, n’était plus conçue comme un « droit naturel » attaché à la personne, mais comme découlant de la propriété des biens matériels. On comprendra facilement ce qui arrivera aujourd’hui : le « pouvoir d’achat » et sa société de consommation, le tout lié à l’esclavage du salariat. On comprendra aussi le pourquoi de l’idiotie « propriété intellectuelle ».
Du « marché » et du libéralisme sortait directement le drame du commerce du grain, permettant aux gros producteurs et détenteurs des grains de se coaliser pour ravitailler les marchés comme ils l’entendaient, et au prix qu’ils décidaient selon le libéralisme, menaçant la vie même des gens non seulement par l’application de la loi martiale, mais aussi par la spéculation à la hausse des prix et la non-fourniture des marchés entraînant la mort par la faim.

La Constitution de 1791 établissait une non égalité : une ploutocratie composée de riches mâles à peau blanche, en violation des principes déclarés le 26 août 1789. Bizarrement ce furent les même malades qui prêtèrent serment au Jeu de Paume et votèrent leur déclaration des droits de l’homme, puis deux ans après cette Constitution se contredisait !!! On arrivait à la division suivante : les winners et les losers !

Le CHAOS HUMAIN = raison de 1789-1794 jusqu’à 1804.
Instauration d’une république, des élections-piège-à-cons ou « suffrage universel » (judéo-maçonnique), de la maladie de l’égalitarisme, suppression de guerre de conquête, suppression de l’économie libérale et de la loi martiale, suppression de l’esclavage en février 1794.
Toutes ces choses furent rétablies à partir du « 9 thermidor » : la guerre défensive devient guerre de conquête, le libéralisme et son droit de propriété illimitée est rétablit le 24 décembre 1794, la Constitution de 1795 supprime le suffrage universel, rompt l’opinion du « droit naturel », rétablit l’esclavage en 1802, et la monarchie en 1804.

Lois ou dogmes de l’ego humain, ou Christ-Soi-Instant ?
IL N’Y A QU’UN SEUL DROIT NATUREL : L’AMOUR.
...
Depuis lors, tels des vautours affamés et féroces,
Nous avons combattu pour des mots vides de sens.
Au moyen des dogmes, des édits et des lois,
Nous avons envoyé nos frères sur le bûcher.

Le Christ est-il donc à deux faces ?
Pierre et Paul n’ont-ils pas été crucifiés ?
Alors, pourquoi serions-nous divisés
Si l’amour du Christ nous inclus tous, vous et moi ?
...

Il n’y a qu’un seul idéal nécessaire au monde,
Il n’est qu’un seul baume pour la pauvreté humains,
Il n’est qu’une seule voie conduisant vers le ciel ;
Cette voie, c’est la sympathie mutuelle, c’est l’amour.
(Extraits de : Dogme ou Christ, de Max Heindel)

Bref, Max Heindel dit la même chose que Ramana Maharshi à l’entretien 63 :
c’est « la Force » ou le Soi-Instant qui fait toutes choses et l’homme n’est qu’un instrument. « S’il accepte cette position, il est libre de tout ennui ; sinon il les invite ». Voilà LE droit naturel : la soumission au Soi-Instant, ou Amour.

Un autre « droit naturel » est l’EAU : elle devrait être gratuite pour tous...



RAPPEL :
À la Renaissance, l’invention de l’imprimerie commence l’invention de l’Europe et son développement, car avec l’imprimerie triomphe le langage écrit et ses documents accessibles au plus grand nombre ; même rôle que l’invention de l’alphabet dans l’histoire grecque (réf. David R. Olson : L’univers de l’écrit). Qui dit écriture dit LOIS, et elles apparurent aux environs de 620 avant notre ère. Dès le 4è siècle, une loi athénienne exige que l’on ait recourt au témoignage écrit. Écrits, les textes sont « fixes et solennels », le dogme et la norme entre en piste, ainsi on accorde toujours plus de confiance aux mots/maux écrits. L’écriture enclenche le phénomène de l’accumulation des informations, et de la philosophie, donc du travail du chapeau ou mental... et surtout depuis le 19è siècle enclenche LA PENSÉE UNIQUE ou mondialiste, impérialiste, avec le moderne Internet, et encore plus avec la téléphonie mobile et les « réseaux sociaux », c’est éclatant !!! La langue anglaise est celle du business où « l’argent n’a pas d’odeur », il est mondial...
 
 
Rappelez-vous toujours que le monde n’est qu’une projection du mental, et que le mental est dans le Soi. Où que le corps aille, le mental doit être gardé sous contrôle. Le corps se déplace, mais non le Soi. Le monde est dans le Soi, c’est tout.
(Ramana Maharshi, entretien 514, du 16 septembre 1938).

Qu’est-ce que l’émancipation finale ?

Le corps subtile correspond à la pure lumière dont on fait l’expérience juste après le sommeil et avant la montée de l’ego. C’est la conscience cosmique. Mais cette lumière n’est encore qu’un reflet de la lumière du Cœur. Lorsque ce reflet disparaît et que seule la lumière originelle demeure dans le Cœur, l’est l’émancipation finale.
(Ramana Maharshi, entretien 513, du 16 septembre 1938).

Ce qui ressemble à la Vraie Paix ou Libération est portant énoncé dans la première (du 26 août 1789) « Déclaration des Droits de l’Homme » : ... ‘l’oubli et le mépris des droits naturels de l’homme sont les seules causes des malheurs du monde...’. C’est tellement mal énoncé avec le court-circuit « droit-naturel » transformé en généralité se voulant « universel » (court-circuit entre le spirituel et le temporel), que c’est encore et toujours oublié ! C’était aussi très facile en 1789 de passer d’une Monarchie à une République sous prétexte de liberté générale et d’égalité, égalité et liberté qui ne pouvaient être ignoré de nos Anciens. Maintenant en 2014 et ensuite, il n’existe plus qu’une dernière et seule troisième voix : JE SUIS CELUI QUI SUIS, en d’autres mots/maux : QUI-SUIS JE ? C’est seulement ainsi qu’il n’y aura plus besoin d’aucun gouvernement ici-bas, sur cette planète ; se passer d’un étatisme qui sera quelque soit le régime (y compris l’anarchie dans son meilleur sens) toujours source de désordres ; et que nous pourrons, enfin, entre autres, émettre et recevoir de nos « Frères et Sœurs de l’espace ».

« Le Nouveau Monde est le théâtre sur lequel ces deux systèmes politiques, de nature si opposée, ont été mis en pratique. L’empire des Incas a passé et n’a pas laissé de traces. L’autre grande expérience dure encore [la notre], expérience qui doit résoudre le problème si longtemps discuté dans l’Ancien Monde de l’aptitude de l’homme à se gouverner lui-même. Malheur à l’humanité, si elle doit échouer », écrivait prophétiquement William H. Prescott dans : Aztèques et Incas - Grandeur et décadence de deux empires fabuleux.



Note.
1. Le 17 juillet 1791 : fusillade au Champs-de-Mars où eut lieu une manifestation pacifique devant « l’autel de la patrie », pour faire signer une pétition réclamant le jugement du roi, suite à sa fuite et à son arrestation à Varennes. Les soldats sous les ordres de Lafayette tirèrent sur des civils sans arme, sur des femmes et des enfants ! On ne connaîtra jamais le nombre de morts (peut-être une centaine).


Les « droits de l’homme » sont maintenant dans la « cour européenne » ! Il est loin le « peuple souverain »... Elle est très loin la « démocratie ». Le Nouvel Ordre Mondial est déjà bien en place... Le chaos humain s’amplifie : à quand « la cour mondiale ‘universelle’ des droits de l’homme » ?
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 05-07-2014 20:53

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