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Qui suis-je ou Connais-toi Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 10-07-2014 18:39

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Qui suis-je ou Connais-toi

ADULTE = SAC À OPINIONS

La République est-elle une bonne mère ou une mauvaise mère donnant le sein à ses enfants les Français ? (Notez que vous pouvez changer le mot république par « Notre Roi » ou « Notre Reine », mais de nos jours avec le Souffle en moins, ainsi aucun retour arrière possible)
 
 
Ce monde repose sur le non objectivité : un nouveau-né, peut-être futur cancéreux du pouvoir comme un roi, ou un président d’une « démocratie », ou un Staline, ce nouveau-né sera entièrement à la merci et à la manipulation de ses parents, pour le meilleur et pour le pire ; cela sera ensuite amplifié et déformé et trafiqué par l’instruction publique (devenue « éducation » par la magie de la république remplaçant les curés du temps de l’Ancien Régime), puis par la société entière dominée maintenant par la tyrannie de l’opinion.
Comme la vie de l’enfant dépendra de l’assistance de ses parents, il fera tout pour ne pas perdre cette assistance. C’est ce que j’appelle les parents, père ou mère vampirisante pompant une bonne partie du Prâna de l’enfant.
 
Dès les premiers instants de vie l’enfant, comme une graine sortant de terre et ses feuilles tendant vers la lumière, l’enfant fera tout pour « faire plaisir à ses parents », surtout qu’il est naturellement télépathe et totalement intuitif dès les premiers instants de sa vie dans le ventre de sa mère. Je n’ose imaginer un enfant née dans une bassine ou machine genre procréation assistée... Remarquez, l’humain bouture et trafique aussi la Nature, le premier étant l’Alchimiste, mais la différence est que lui AIDE la Nature, et avec son ACCORD.
« Faire plaisir à ses parents », c’est comme cela que plus tard des enfants se retrouvent à « vouloir aider les autres », une sensibilité particulière qui naguère aida l’enfant à survivre et qui à l’âge adulte lui fait embrasser une profession d’aide à autrui, comme président de la république par exemple, mais un VRAI ! Cette enfance faussée pousse perpétuellement le « sauveur » à vouloir satisfaire à travers des personnes transformées en « idoles » ses besoins inassouvis dans l’enfance.

Pour se défendre du sentiment d’abandon vécu dans la petite enfance, l’adulte dispose d’une foule d’outils, par exemple la violence ou combat permanent, épuisant, pour assouvir les besoins refoulés, et évidemment devenus pervertis comme : la drogue, les groupes (échangistes, fétichistes, clubs de sado-masochistes, etc.), les cultes et les sectes de toutes sortes, les perversions ; et tout ce petit monde prétendra qu’ils sont « libres » ; ce qui est le cas des lobbies gay et autres à l’ego gros comme ça et qui sous prétexte de se « sentir libre » emprisonnent et empoisonnent les biens portants. Le travail du chapeau facilite aussi un FUSIBLE efficace, mais quand il grille : bonjour les maladies Mal-à-Dit graves prenant les commandes du vaisseau.

Faire comme ses parents ou « coller à eux » s’apparente au FAUX SOI : l’enfant se conduit de manière à ne montrer que ce qu’on attend de lui, comme un robot, un esclave, ou un parfait « petit soldat » (un gentil garçon qu’on peut à la limite sodomiser). C’est devenu son moi, son soi (faux ego).
Le drame est qu’on ne peut pas vivre ses propres sentiments puisqu’ils sont faussés par l’accord avec les parents, comme si les parents possédaient et leurs sentiments et ceux de leur enfant. L’enfant ne peut pas se fier à ses propres sentiments puisqu’il n’en a aucune expérience ne connaissant pas ses vrais besoins ; il est comme étranger à lui-même.
Le passé étant passé, on ne peut pas le guérir par des illusions présentes.

L’enfant faussé est « l’enfant sage comme une image », l’enfant « comme il faut » exactement comme les « gens de bien » voulu par des adultes du système de l’étatisme et de son « service d’ordre ».
On ne peut pas hélas parler « d’enfance volée », car ici-bas on ne revient pas en arrière, aussi dès le départ « j’ai été un petit adulte », jamais un enfant, d’où d’ailleurs aussi le terme de ce drame : « le drame de l’enfant doué », doué et particulièrement intuitif, mais seul.

L’autre drame, terrible, est celui de toujours se voir, ou vivre à travers le regard des autres, se demandant en permanence quel effet je leur fais, comment il devrait en être en ces circonstances et quels sentiments je devrais éprouver ; ce qui amènera une sensation d’une certaine « liberté » totalement faussée.

Comme une plante, un adulte ne peut vivre ses sentiments que si enfant, il a eu des parents ou substituts qui ont été attentifs à ses besoins.
Être libre c’est d’abord dépasser le sentiment profondément ambivalent, à cause du mental, de LA DÉPENDANCE INFANTILE.
De même, « Une mère n’est capable d’empathie que si elle s’est libérée de son enfance, elle réagira forcément sans empathie tant que le déni de son destin la chargera de chaînes invisibles. Et il en est de même pour le père »
(Alice Miller).

Comme le dit Alice Miller, mieux nous connaissons l’histoire de notre vie, et mieux nous pourrons détecter les manipulations d’où quelles viennent ; ensuite il est hautement facile de s’apercevoir des manipulations de toutes sortes depuis le déluge de la « libre pensée » commencé avec Galilée, l’humanisme, la Réforme et l’invention de l’imprimerie, jusqu’aux manipulations du système de la démocratie.

Un excellent exemple du drame du faux soi et de l’enfant doué exploité est quasiment donné dans le conte La Cervelle d’Or, d’Alphonse Daudet, dans Les lettres de mon moulin, conte cité par Alice Miller.

Il était une fois un homme qui avait une cervelle en Or, entièrement en Or. À sa naissance, les médecins pensaient que l’enfant ne survivrait pas tant le poids de sa tête était énorme et son crâne démesuré. Cependant l’enfant devint adulte, le problème était que da grosse tête l’entraînait toujours là où il ne voulait pas aller ; il se cognait aux meubles en marchant, il tombait souvent.
Un jour il roula du haut d’un perron et son front vint frapper une marche en marbre. On le cru mort. En le relevant, on lui trouva une légère blessure par laquelle s’échappaient trois gouttelettes d’Or caillées dans ses cheveux blonds. Ainsi ses parents apprirent que leur enfant avait une cervelle en Or.

La chose fut tenue secrète (comme en Alchimie) ; l’enfant ne se douta même de rien. Seulement de temps à autre il demandait pourquoi on ne le laissait plus courir et jouer avec les garçonnets de la rue.
« On vous volerait, mon beau trésor » lui répondait sa mère...
Alors l’enfant avait très peur d’être volé, kidnappé comme on dit de nos jours. Ainsi il retournait jouer tout seul, sans rien dire, en trimballant sa tête lourdement d’une pièce à l’autre.

À dix huit ans seulement, ses parents lui révélèrent le don monstrueux qu’il tenait du « destin » (ou du labeur d’un Alchimiste ayant croisé un Homunculus avec le sperme d’un adolescent) ; et comme ils l’avaient élevé et nourri jusque-là, ils lui demandèrent en retour un peu de son Or. L’enfant n’hésita pas. Il s’arracha alors un gros morceau de son crâne en Or massif, un morceau gros comme une noix, qu’il jeta fièrement sur les genoux de sa mère.
Ainsi il fut atteint du cancer du pouvoir tant il était tout ébloui des richesses qu’il portait dans sa tête ; et ivre de puissance, fou de désirs, il quitta la maison maternelle et s’en alla par le monde en gaspillant son trésor.

Du train dont il menait sa vie, comme un parvenu du système démocratique et républicain, semant l’Or sans compter selon le mythe du libéralisme et de sa croissance et de son « pouvoir d’achat », on aurait dit que sa cervelle était inépuisable selon l’opinion en vogue de la croissance.
Évidemment, comme le pétrole, sa cervelle s’épuisait cependant, et à mesure on pouvait voir les yeux s’éteindre, la joue devenir plus creuse. Un jour enfin, au matin d’un débauche folle, le malheureux, resté seul parmi les débris du festin, s’épouvanta de l’énorme brèche qu’il avait déjà faite à son lingot. Il était temps de s’arrêter.

Dès lors, ce fut une existence nouvelle, il alla vivre à l’écart, du travail de ses mains, soupçonneux et craintif comme un avare, fuyant les tentations de la société de consommation et des médias. Par malheur, un ami l’avait suivi dans sa solitude, et cet ami connaissait son secret.
Une nuit, le pauvre homme fut réveillé en sursaut par une effroyable douleur à la tête. Il se dressa éperdu, et vit grâce à un rayon de Lune l’ami qui fuyait en cachant quelque chose sous son manteau.
Encore un peu de cervelle qu’on lui emportait (allusion à la 'propriété intellectuelle') !

Ensuite, l’homme à la cervelle d’Or devint amoureux. Il aimait du meilleur de son âme une petite femme blonde, qui l’aimait bien aussi, mais qui préférait les bons restaurants, les dernières robes à la modes, et les plus belles bottines et les plus beaux sac Hermès et autres pierreries chez des marchands du côté de la Place Vendôme à Paris. Inutile de dire que l’Or fondait à vu d’œil entre les mains de cette jeune femme. Elle avait tous les caprices; et son amoureux ne savait rien lui refuser, de peur de lui faire de la peine. Il lui cacha jusqu’au bout le triste secret de sa fortune.

« Nous sommes donc bien riches ? » disait-elle. Et le pauvre homme de répondre : « Oh ! oui... bien riches ! » Et il souriait avec amour à cette petite femme qui lui mangeait innocemment le crâne. Tout de même quelque fois la peur le prenait, il voulait être un peu avare ; mais alors la petite femme venait vers lui en sautillant et lui disait :
« Mon mari, qui êtes si riche, achetez-moi quelque chose de bien cher ».
Cela dura ainsi pendant deux ans. Puis, un matin, la petite femme mourut, sans qu’on sût pourquoi, comme un oiseau.
Le trésor touchait à sa fin ; avec ce qu’il lui restait, le veuf fit faire à sa chère épouse un bel enterrement. Cloches à toutes volées, lourds carrosses tendus de noir, chevaux empanachés, larmes d’argent dans le velours, etc. Que lui importait son Or maintenant ? il en donna pour l’église, pour les porteurs, pour les revendeuses d’immortelles ; il en donna partout, sans marchander...
Ainsi, en sortant du cimetière, il ne lui restait presque plus rien de cette cervelle merveilleuse, à peine quelques parcelles aux parois du crâne.

Alors on le vit s’en aller dans les rues, l’air égaré, les mains en avant, trébuchant comme un homme ivre. Le soir, à l’heure où les bazars s’illuminent, il s’arrêta devant une large vitrine dans laquelle un fouillis d’étoffes et de parures scintillaient sous les lumières, et resta là longtemps à regarder deux bottines de satin bleu dorées de duvet de cygne.
Il se dit aussitôt : « Je sais quelqu’un à qui ces bottines feraient bien plaisir », ne se souvenant plus que sa petite femme était morte récemment. Il entra pour les acheter.

Du fond du magasin la marchande entendit un grand cri ; elle accourut et recula de peur en voyant un homme debout, qui s’accotait au comptoir et la regardait douloureusement d’un air hébété. Il tenait d’une main les bottines bleues à bordure de cygne, et présentait l’autre main toute sanglante, avec des râclures d’or au bout des ongles.

Ça finit mal, mais bien prendre conscience que si s’était une graine de Rothschild, comme toutes Nuques Raides adeptes de l’évolutionnisme ou de la Croissance, la Cervelle d’Or finissait par monter une banque cent fois plus importante que Goldman Sachs ! Il est aussi vrai que la Cervelle d’Or n’était pas circoncise, donc n’appartenait pas à la communauté des Nuques Raides.
La Cervelle symbolise la tête entière, donc en quelque sorte aussi la CŒUR, le CENTRE. L’Occident en a fait le siège des sentiments, mais toutes les civilisations traditionnelles y localisent au contraire l’intelligence et l’intuition. Le Cœur comme la Tête sont le Roi, ou la Reine. Le Cœur ou Eau Primordiale en Inde sous le symbolique d’un triangle inversé (Shakti).

Alphonse Daudet est mort lui-même d’une atteinte de la moelle épinière concluait sont récit : « Malgré ses airs de conte fantastique, cette légende est vraie d’un bout à l’autre. Il y a par le monde de pauvres gens qui sont condamnés à vivre de leur cerveau et payent en bel Or fin, avec leur moelle et leur substance, les moindres choses de la vie. C’est pour eux une douleur de chaque jour ; et puis, quand ils sont las de souffrir... »

Alice Miller termine en écrivant que : « L’amour maternel ne compte-t-il pas parmi ces « moindres » choses de la vie - mais aussi l’une des plus indispensables - que nombre d’êtres humains doivent, paradoxalement, payer d’une renonciation à vivre pleinement ? »
Je dirais que l’amour maternel n’est certainement pas la république donnant son sein et son aliment aux citoyens ou habitants des cités françaises !!!

Pour le pourquoi de la révolution et la république de 1789, il faudrait se pencher sur l’enfance de tous ces cancéreux du pouvoir, car les effets dévastateurs des traumatismes infligés à l’enfant se répercutent inévitablement sur l’ensemble de la société, et à voir où est réduit maintenant ce monde, il y a de très sérieux problèmes et de quoi avoir peur !!! D’où peut-être que les survivalistes et autres adeptes des « rations de survie »  ont-ils totalement raison tant est amplifié le phénomène du mondialisme, notamment à cause de la technologie... Le meilleur survivalisme étant de se regrouper pour former un petit pays totalement autonome avec un maximum de 10.000 habitants.

Connais-toi toi-même ou Réalise le Soi-Instant est la seule voie possible après les millénaires de la monarchie et les deux siècles de la république. C’est la seule voie pour reconstruire totalement, comme à l’origine, notre société et enfin nous libérer des guerres et violences permanentes.
Comme l’exprime Alice Miller :
- 1 : Tout enfant venant au monde pour s’épanouir et voyager sur cette Planète, c’est-à-dire s’exprimer librement.
- 2 : L’enfant a surtout besoin du respect et de la protection des adultes QUI LE PRENNENT AU SÉRIEUX : pas question de parler de « vie primitive » comme on parle de « mauvaises herbes » !
- 3 : Quand, comme au 19è siècle, POUR LES BESOINS DE L’ADULTE, dans les bagnes républicains pour enfants, l’enfant est battu, manipulé, négligé, souvent violé, sans que jamais un témoin n’intervienne, cet enfant sera mort.
- 4 : Ou au mieux, l’enfant du bagne sera naturellement et avec justice en révolte contre le système. L’effet le plus négatif étant l’autisme : se replier dans son coin, là où même la douleur lui est interdite ; il n’a d’autre solution que de réprimer ses sentiments, se censurer, refouler le souvenir  du traumatisme de ses agresseurs. Plus tard, il ne sait même plus ce qu’on lui a fait, ce qui est bien pratique d’ailleurs pour tous les pédophiles en réseaux de la « haute » du système.
- 5 : Ces sentiments de révoltes, de désespoir, coupés de leurs véritables origines, trouvent naturellement à « pousser » à travers des actes destructeurs, dirigés contre les autres (criminalité, génocide de masse, dictature ou totalitarisme), ou dirigés contre soi-même (drogues, alcoolisme, prostitution, troubles psychiques, suicide).
- 6 : Devenu parents, on devient le bourreau de ses propres enfants : ils deviennent des boucs émissaires. En républiques on appel ça « éducation » ou « dressage de gosse ».
- 7 : L’enfant doit rencontrer quelqu’un qui puisse l’aider et qu’il sache que ce n’est pas lui qui est malade mais SON ENTOURAGE. Et Dieu sait si cette civilisation est destructrice...
- 8 : Un temps la société soutenait les adultes et enfonçant les victimes ; c’est maintenant l’inverse puisque les victimes ont tous les droits, influence yahviste oblige !
Je répète à nouveau qu’il est proprement criminel de parler de « vie primitive », parce qu’un bébé dans le ventre de sa mère sent et apprend, dès le tout début de sa vie, la tendresse aussi bien que la cruauté. (Expérience maintenant montrée grâce à la technologie informatique). Bref, le bébé est totalement télépathe.
Seul le CONNAIS-TOI ou le : JE SUIS CE JE SUIS permettra la seule Vraie Liberté qui mettra fin à la permanence de la guerre et de la violence de génération en génération depuis au moins 10.000 ans.

[Références à : Le drame de l’enfant doué - À la recherche du vrai Soi, de Alice Miller ; Les Lettres de mon Moulin, conte : La Cervelle d’Or, d’Alphonse Daudet]

[En haut de page : Mère République nourrissant de ses deux seins, la Droite et la Gauche, soit tous les citoyens ou habitants des cités de France, d’après un tableau de Daumier]
 
 

Dernière mise à jour : 10-07-2014 19:14

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