Virus talmudique contaminant ce monde

Les talmudistes ces ennemis de la Nature et des humains : « Quand se réalisera la promesse du Talmud, lorsque le temps du Messie sera venu, les Juifs tiendront sous leurs chefs les biens de tous les peuples du monde » (lettre de Baruch Levi, ami des Rothschild et d’Adophe Crémieux).

 

 

Ces virus comportent dans l’humanité en générale sept HONTES : l’orgueil, l’ambition, l’envie, le mensonge, le crime, l’ingratitude, l’ignorance (d’après les Maya ki-tché).

Voici un exemple des sept Hontes avec le talmudiste Anascharsis Cloots, un des principaux propagandiste de la guerre de conquête en 1792, et un des semeurs de la graine du Nouvel Ordre Mondial bien dans le thème des mutilés du sexe ou « communauté organisée », et qui définit par là même la diabolique religion mondiale :

 

« Un seul intérêt commun ! un seul esprit ! une seule nation ! Voulez-vous encore exterminer tous les tyrans d’un seul coup ? Déclarez-donc que la souveraineté réside dans le patriotisme commun et la solidarité de la totalité des hommes, de la seule et unique nation... l’univers formera un seul État, l’État des individus unis, l’immuable empire de la Grande Allemagne la République universelle »
...
« Quand la Tour de Londres tombera comme la tour de Paris, c’en sera fini des tyrans. Tous les peuples ne formeront plus qu’une seule nation, tous les intérêts ne formeront plus qu’un seul intérêt... »

Ce type est fou, totalement inconscient !!! Il se prend pour Dieu tout en se déclarant « ennemi personnel de Jésus-Christ » ! De plus, ce fou était d’ascendance juive, de mère hollandaise. Il est contre toutes les religions mais fabrique la sienne !

Ce Cloots préconisa la guerre contre la Belgique, Liège, Coblence :

« Or maintenant que la France possède la plus belle constitution de l’Univers [sic] il ne reste aux peuples opprimés et ignorants qu’à secouer brusquement le joug, pour s’assurer un bonheur durable, pour la direction des législateurs français [les chieurs de lois]. Depuis qu’une vaste et puissante monarchie est libre, il ne faut qu’un Spartacus, un Zizka, un Münzer, un Horia, un Pougatchev, pour délivrer à jamais l’Italie, la Bohême, l’Allemagne, la Hongrie, la Moscovie. Les despotes sont retranchés dans des magasins à poudre ; ils craignent plus une étincelle que le peuple ne craint un tremblement de terre. La jacquerie des laboureurs européens ne saurait recommencer désormais, sans la chute universelle des nobles et des pontifes, des trônes et des sénats. Un point d’appui manquait aux esclaves ; les affranchis erraient dans le désert [les Juifs ?], sans guide et sans flambeau : tout a changé depuis que le monde lit ses destinées dans l’acte constitutionnel des Francs [sic, peut-être les commandements de Moïse], depuis qu’il met sa gloire et sa fortune dans le succès de la nation française ».

On a là un exemple de démence, d’ego monstrueux et de totale inconscience. Il n’est pas étonnant que ce type ait été guillotiné à 39 ans, et il était totalement en opposition des « droits de l’homme ». Ainsi ce type développe un Nouvel Ordre Mondial ou République universelle dont la nouvelle Jérusalem serait PARIS...
Le plus grave et le plus inconscient chez Cloots : il ignore totalement le désir des peuples du monde de disposer d’eux-mêmes comme ils leur chante. Il ignore totalement le sens de la liberté personnelle et de sa réciprocité naturelle qui fonde le « contrat social » naturel d’association, et constitue l’accord entre ceux qui forment un pays.
Comme écrivait Robespierre à l’ego identique à celui de Cloots : « Vouloir leur donner la liberté avant de l’avoir nous-mêmes conquise, c’est assurer à la fois notre servitude et celle du monde entier ».

Il y a pire que Cloots, Babeuf le socialiste : « Le Grand Jour du peuple, dans lequel toute opposition serait instantanément supprimée [ce qui sera fait en URSS grâce au Goulag et à la police politique], l’ensemble de l’ordre social anéanti, et la République de l’Égalité érigé sur ses ruines ». Babeuf et le stalinisme sont identiques.

Très triste d’en être arrivé jusque là, surtout à cause de la « raison », soit la gloire de l’ego ou mental, surtout à cause des dizaines de millions de morts en Russie jusqu’à la fin du stalinisme (la Russie s’est laissé infiltré par les Juifs). On dirait que l’Occident ne repose sur rien, qu’il n’a pas de racines comme l’Orient. L’Occident rejette même la Trinité que connaissent bien les Taoïstes ; l’Église de Rome a aussi rejeté la Trinité comme l’explique Jean Coulonval, sous prétexte que personne ne comprendrait, pas même les gens de l’Église ! Les Juifs aussi, ces Nuques raides ne veulent rien savoir de la Trinité. Pourtant la Trinité forme l’Instant : Le Un est représenté par le Trois, Unité retrouvé, forme manifesté du Un dans sa relation au multiple. Soufre et Mercure donne le SEL ou SCELLE, le SCEAU. « Le un a engendré le Deux, le Deux a engendré le Trois, le Trois a engendré les dix mille êtres » comme disent les Taoïstes. Le Trois ou l’enfant né du Père et de la Mère.

 

Ce Trois et le Un et le Un est le Trois. Les Yahvistes ont tout perdu !

Aussi pour réaliser le Soi-Instant est-il salvateur de GARDER LE UN.
Garder le Un est parfois synonyme de CONCENTRATION, MÉDITATION. « Dans toutes les activités, dans les mille et une affaire et occupations, tu dois constamment penser au UN ; en buvant et en mangeant, pense au UN ; dans la joie, pense au UN ; dans l’affliction, pense au UN ; dans la maladie, pense au UN ; si tu marches sur l’eau ou dans le feu, pense au UN ; dans l’angoisse, pense au UN ».

Voir l’ensemble : garder le UN signifie qu’il faut faire l’unité des diverses composantes de la personne humaine, et non faire le mondialisme ou Nouvel Ordre Mondial en pur système totalitaire. On part de l’intérieur pour aller vers l’extérieur...

« Si tu veux avoir Longue Vie, garde le UN bien lumineux ; si tu penses au UN dans la faim extrême, le UN te donnera du grain ; si tu penses au UN dans la soif extrême, le Un te donnera du bouillon ». « Garder le UN écarte les cauchemars, intimide les armées et permet de franchir mille li ». (Référence à : Méditation Taoïste, de Isabelle Robinet)