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Le progrès... grâce au fric Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 15-07-2014 21:01

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Le progrès... grâce au fric
notamment pour la technologie basée
sur la thermodynamique qui ne peut se passer de fric.
 
 
Le « progrès » de l’humanité en 1803 après la Bible des « Droits de l’Homme » : donner des Nègres à manger aux chiens. L’autre « progrès » fut celui de Napoléon Bonaparte, qui entre mars 1802 et novembre 1803 perdit environ 60.000 hommes pour tenter de rétablir le colonialisme et l’esclavage. Il y parvint en Guadeloupe, mais connut à Saint-Domingue sa plus grande défaite militaire et politique. Le « progrès » de Bonaparte fut d’assassiner méthodiquement la révolution des droits de l’homme et du « citoyen ».
 
 
Scribes, Pharisiens, et lois de Moïse ne sont basés que sur le matérialisme, la morale, attitudes qui ne sont qu’une esthétique du sentiment, nécessairement variable dans la multiplicité indéfinissable des situations concrètes, des complexes, des accidents dans le spatio-temporel ; et c’est à ce piège que se font prendre les Moïse, Scribes et Pharisiens. Ce piège donnera d’ailleurs les « droits de l’homme », le marxisme, tous religions et FOI se voulant « universelle », puisque tous prétendent re-lier l’humain à son origine qui selon eux est la matière.
La FOI n’est pas sentiment, elle est Connaissance, comme les mots Vérité, Centrum Centri, Dieu, Cœur, Soi, Instant, etc.


Ce qu’on appelle de nos jours « progrès » n’est que dans le thème de la religion du Saint Fric. Progrès ou évolutionnisme à la Yahviste, à la Darwin. Il n’y a pas eu « progrès » puisque le système capitalo-socialiste de 1789 a prit la place du système qui l’avait précédé, soit le remplacement de l’ancien groupe dominant par un nouveau groupe dominant : la bourgeoisie « progressiste » et son Graal « le Pouvoir d’Achat » et sa Croissance, seul argument pour pousser la masse à voter aux élections, et seule arme de défense douce de l’étatisme contre la colère populaire.

L’ancienne aristocratie de robe (noble) s’est fondue avec l’aristocratie foncière sans noblesse, qui forma tout au long du 19è siècle la catalyse des banques et sa classe des possédants qui s’allia aux commerçant et aux fabricants, pour maintenir son pouvoir d’exploitation. Le système napoléonien illustre parfaitement cette refonte de la classe des Couilles en Or, ne serais-ce que par le seul exemple de la création de la « Banque de France ».


Le « progrès » et sa maladie de l’égalité parle encore de CLASSE.

CLASSE : égrégore ou esprit de groupe : avoir en commun une opinion. « C’est un phénomène psychologique de masse, né des réactions du sensible et du mental d’un groupe social formé de gens soumis à des conditions sociales et économiques massivement identiques. La classe, dans le sens où elle est comprise à notre époque, ou plus exactement « sentie » par la tripe, est un phénomène d’agglutination des états individuels sentimentaux psychiques : classe ouvrière, classe bourgeoise, avec leurs multiples nuances : classes moyennes, des cadres, des agriculteurs, des cols blancs, etc. Mais, de ce qu’on appartient concrètement, de par son état économique, à une classe, il ne s’ensuit pas nécessairement qu’on se sente baigner dans sa soupe mentale et psychologique. Aussi, parler de la classe ouvrière en y englobant tous les ouvriers, c’est une erreur, et vous semblez la commettre. Les dirigeants communistes, l’apparat, sont rarement des ouvriers. Les classes sont des effets statistiques, et rien de plus. C’est une notion qui ne peut désigner des catégories sociales précises, bien tranchées, et l’entendre ainsi c’est se noyer dans les confusions. Pourtant, les classes (bourgeoise, ouvrière, etc.) ont ceci en commun qu’elles sont déterminées, conditionnées, par une certaine forme de rapports sensibles avec l’économique, et plus profondément avec la matière. Un philosophe dirait : rapports chthoniens, ou telluriques. En cela, la classe est le contraire de la caste qui prend ses légitimations dans le métaphysique : clergé qui a la charge des rapports justes avec le divin : politique qui a la charge des rapports juste avec l’homme avec lui-même, ce qui suppose que le politicien doit (ou devrait) connaître ce qu’est l’Homme en ses essences ontologiques ; économique qui a la charge des rapports justes avec la matière et ses usages, ce qui suppose la science et la technique, et plus profondément, ce qu’est, ontologiquement, la matière, ce que malheureusement on ne sait pas encore (On s’en approche...).
Les trois castes, comme toute analogie trinitaire, devraient boucler sur elles-mêmes, à l’image du Symbole de Saint Athanase, sans avoir l’une sur l’autre une supériorité ontologique. Égales en dignité », écrit Jean Coulonval dans sa lettre du 26 novembre 1977, dans Synthèse et Temps Nouveaux.
Le classe c’est encore le grégarisme social jouxté avec le grégarisme intellectuel attrapé dans les écoles et la culture, à cela doit s’ajouter le grégarisme religieux.

Matière, progrès, évolutionnisme et marxisme sont un seul thème : DÉROULEMENT DE L’HISTOIRE ou CHRONOLOGIE TUEUSE. Comme déjà écrit : C’est la Terre qui pardonne pour empêcher le souvenir, donc pour supprimer la Chronologie tueuse et ne vivre que l’INSTANT, LA STARGATE, comme d’ailleurs il est bizarrement écrit dans la première mouture des « droits de l’homme », celle du 26 août 1789 : « Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme [entendre : réalisation du Soi-Instant] sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements... ».

Ou dans le préambule de la mouture du 24 juin 1793 : « Le peuple français, convaincu que l’oubli et le mépris des droits naturels de l’homme sont les seules causes des malheurs du monde... »
En dehors de ces deux préambules de ces deux premières moutures des « droits de l’homme », tout est vain, despotique et totalitarisme déguisé en fausse religion, ou satanisme.

L’Union européenne est synonyme d’esclavage : déjà en 1791 où les « droits de l’homme » étaient considéré par beaucoup de ceux qui étaient atteint par le pouvoir comme une «Bible », l’Europe c’était une « famille » (selon Adet), donc tenir en son pouvoir les autres pays et notamment rétablir l’esclavage et la traite des Nègres, pour protéger comme toujours les intérêts économiques communs à l’Europe.

Autre exemple de « progrès » par un certain Donatien-Marie-Joseph de Rochambeau, qui massacra méthodiquement ses adversaires par fusillade, noyade, puis, selon la méthode des Conquistadors espagnols et portugais, lança des chiens à la poursuite des Nègres :
« Je vous envoie, mon cher commandant, un détachement de 150 hommes de la garde nationale du Cap, commandés par M. Bari ; il est suivi de 28 chiens bouledogues. Je ne dois pas vous laisser ignorer qu’il ne vous sera passé en compte aucune ration, ni dépense pour la nourriture de ces chiens. Vous devez leur donner les Nègres à manger. Je vous salue affectueusement », écrivait Rochambeau le 3 avril 1803 (cité par Florence Gauthier, dans : Triomphe et mort de la révolution des droits de l’homme et du citoyen).

La liberté fut supposément énoncé naguère il y a plus de 2000 ans, par les Alains, les Suèves et les Burgondes : « Mes droits sont à mon libre arbitre ».

Le philosophiste Emmanuel Kant énonçait bien plus tard la même chose : « Ma liberté extérieure (légale) doit bien plutôt se définir ainsi : elle est la faculté de n’obéir à aucune loi extérieure, si ce n’est à celles auxquelles j’ai pu donner mon assentiment » ; pour la fameuse « égalité », il dit qu’il faut se référer à la « loi », mais en « principe » « nul ne peut obliger un autre juridiquement à une chose, s’il ne se soumet aussi à la loi de pouvoir être obligé par ce citoyen réciproquement de la même façon ».

J’approuve Kant quand il écrit que la forme démocratique au sens propre est nécessairement despotique [tyrannie de la masse], « parce qu’elle fonde un pouvoir exécutif, où tous se prononcent sur un seul et en tout cas contre un seul (celui-ci n’étant pas du même avis) ; tous décident par conséquent, qui ne sont pourtant pas tous ; ce qui met la volonté générale en contradiction avec elle-même ainsi qu’avec la liberté ». Bien-sûr que le « pouvoir exécutif » est par nature explosif !

Je termine par un petit coup de l’abbé Georges Lemaître qui est bien dans le thème de l’évolutionnisme, du transhumanisme et du « progrès », avec son « Big Bang ! »
« Concevoir la totalité de l’univers comme la plus grande sphère possible, volume évidemment euclidien, à l’opposé de l’atome qui serait le plus petit volume euclidien possible, est aussi absurde que la terre-camembert (1) qu’imaginait mon voisin le mineur. Si grande que soit une quantité, on peut y ajouter. Si petite que soit une quantité, on peut la diviser. Il est impossible, sinon par décision arbitraire dictée par le besoin de clore une logique, d’éteindre un problème, de décider d’une limite dans le plus grand ou le plus petit. L’homme n’aime pas le mystère, il préfère le supprimer, l’étouffer dans une pseudo-rationalité », écrit justement Jean Coulonval.

Depuis au moins 10.000 ans de cette voie de l’Agriculture, difficulté de transcender la perception euclidienne de la surface plane ou de la sphère, et de transcender la structure du mental nommée opinion. Il s’agit toujours de prison : on bute sur des paradoxes, et on les refuse. Ainsi seul le règne de l’esprit fera cesser ces paradoxes, mais ceux qui s’y livrent devront veiller à  ne pas succomber à l’appétit enfantin du merveilleux. « Être toujours en guerre » écrivait Jabir ; donc « Connais-toi toi-même ! », ou réaliser le Soi-Instant afin de dompter l’ego, « cause des malheurs du monde » comme l’énonce si bien le préambule des « droits de l’homme » des 26 août 1789, et 24 juin 1793.


Note.
1.  Coulonval donne l’exemple de son voisin mineur qui n’a jamais voulu admettre que la Terre est une sphère. Pour ce mineur, ses pieds reposaient toujours sur du plat et la Terre était comme un camembert...
 
 

Dernière mise à jour : 15-07-2014 21:25

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