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Le républicanisme et ses valeurs Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 27-07-2014 19:16

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Le républicanisme et ses valeurs
Gros Tas à l’Élysée dans ses œuvres
et son héritage à travers
le franc-maçon Jules Ferry
Illusions sur illusions


Terminé la singerie de « la république une et indivisible », surtout avec Gros Tas et ses sionistes à l’Élysée et leur Israël ! C’EST TERMINÉ VOS VALEURS ET CELLE DE LA JUIVERIE FINANCIÈRE INTERNATIONALE, PARCE QUE GAZA ET LA PALESTINE ET AUTRES, TOUT EST LIÉ !
 
 
Ce républicanisme bâtit sur les ergoteries des Grecs et autres philosophismes et leur « raison », pour qui le « réel » DOIT être rationnel. Ils sont incapables de comprendre que la vraie vie comporte tout un monde de faits « supra-rationnels » essayant de se rapprocher du seul Réel.
Certains de ces ergoteurs organisent leur vie et celle des leurs en la « rationalisant » à coups de lois ; c’est-à-dire qu’ils rendent la vie invivable en imposant des règles ! Avec ces gens là, nous sommes entrés dans le dualisme guerrier : subjuguer les autres, ou les détruire, puisque la « république est une et indivisible », comme la vérité, ce qui fait de ce républicanisme une RELIGION (nommée « laïcité »). Dualisme de la logique de la brute humaine ou logique du perverti conduisant à l’anéantissement.
 
Gent senz seignor sunt malement bailli.

RAPPEL : l’étatisme en France commence avec Louis 9 (1226-1270).

Avec le républicanisme, je vois la personne au service de la société, alors que ça devrait être le contraire : la société est au service de la personne, parce la personne est transcendante par rapport à la société, c’est donc la personne qui donne un sens à la société, et non pas le contraire comme en république !
Voir à ce propos la page : Évolutionnisme et le sens de la « personne morale ».

Gros Tas s’exprime pour masquer son incompétence et sa traitrise à la France. Ce qui montre bien que tout humain, quel qu’il soit, ne peut donner à son semblable que ce qu’il est lui-même. Alors tout humain doit ainsi faire « société » avec lui-même, au plus intime de son être : Connais-toi, avant de se lancer à faire société avec les autres. Des relations sociales authentiques ne peuvent avoir lieu qu’entre personnes authentiques.




Une « valeur » du républicanisme est son « devoir de mémoire », comme s’il était obligatoire de chanter une fois par mois la Marseillaise dans les écoles du maçon Jules Ferry. Or la RÉMINISCENCE est une invention yahviste comme exprimé dans : La religion d’Israël invente le TEMPS.
D’autre part il n’existe pas de « république une et indivisible », c’est une opinion qui se veut une religion, voir une TOLÉRANCE, comme l’État séparé de l’Église et qui la tolère, comme les maisons du même nom tolérées par l’étatisme. Une tolérance d’ailleurs totalement liée à l’opinion et au monde des accidents : un peu comme les douanes qui peuvent décider du jour au lendemain que la bouteille d’alcool ou les dix paquets de cigarettes « toléré » jusqu’alors ne passeront plus ! Si les voyageurs abusent de la « tolérance » des douaniers, ceux-ci annulent leur « tolérance ». Il en est de même du monde des accidents qui n’est nullement celui du réel, Parce que C’EST COMPLIQUÉ ; or le réel ne peut être que SIMPLE. Dans le monde des accidents ne peut que surgir du compliqué et de l’imaginable à cause du mental, et ce seront donc des accidents, car trop complexes et improbables par rapport au seul réel : là où il n’y a même pas de « droit au but ».

Cette république se voulant « une et indivisible », comme l’enfant qui naît, comble une attente, notamment par rapport à l’Ancien Régime, la Monarchie, mais du même coup déçoit cette attente de la naissance en biffant tout autre mode de réalisation, ce qui est le sort de tout événement, heureux ou malheureux dans ce monde duel.

Monde des accidents parce que si VOLATIL.
L’événement réel qui est comme un cercle blanc sur fond noir. En s’approchant encore on peut distinguer dans le cercle blanc un point noir au centre. « Le point dans le cercle jusqu’alors immaculé, l’Espace et l’Éternité en “ repos “, indique l’aurore de la différenciation. C’est le Point dans l’Œuf du Monde, le Germe qu’il contient deviendra l’Univers, le Tout, le Cosmos illimité et périodique, ce Germe étant périodiquement et tour à tour latent et actif.
Le cercle unique est l’Unité divine, dont tout procède, où tout retourne : sa circonférence, symbole forcément limité de par les limites de l’esprit humain, indique la PRÉSENCE abstraite, à jamais inconnaissable, et son plan, l’Âme Universelle, bien que les deux ne fassent qu’un. La surface du disque est blanche et le fond
est noir : cela montre clairement que ce plan est la seule connaissance qui soit accessible à l’homme.
(D’après La Doctrine Secrète, H.P. Blavatsky, vol.1, début de la Préface)

Ainsi l’événement réel est finalement « l’autre » : l’autre ou ce réel-ci; soit le double d’un autre réel qui serait lui le réel même, mais qui échappe toujours et dont on ne pourra jamais rien dire ni rien savoir : « la PRÉSENCE abstraite, à jamais inconnaissable ». Ainsi, l’Unique, le RIEN, le RÉEL, l’événement possèdent l’extraordinaire qualité d’être l’AUTRE DE RIEN, d’apparaître comme le double d’une « autre » réalité qui s’évanouit perpétuellement au fur et à mesure qu’on s’en rapproche, rendant le « réel impossible » ; d’où seulement les effets dans le monde des accidents, accident ou « mauvais réel », la copie, l’image de « l’autre » que ce réel (la copie) a raturé ce qui est le Réel absolu (Soi-Instant ou Original véritable). Le Réel véritable est AILLEURS. Les événements qui arrivent sont une singerie du Réel, et l’ensemble du monde des accidents est une caricature de l’Instant. C’est pourquoi nombre d’auteurs ont pu écrire que la vie était un songe, une fable mensongère, une « histoire » ;  bref, une illusion.

Seule la Réalité se situe en dehors de l’infinie des possibles. Un événement qui se produit n’est pas le bon, le bon événement qui aurait seul le droit de se proclamer réel, est justement celui qui n’a pas eu lieu, étouffé avant de naître par son double artificiel. L’événement réel est toujours ailleurs. Ainsi il ne peut pas exister de supercherie comme « l’attente d’un messie » !
Ce qui rejoins l’Oracle et sa carotte : prédire l’avenir, ou plutôt LE SUGGÉRER, sans jamais préciser une chose autre que la chose qu’il annonce et qui se réalise effectivement. Mais cette suggestion qui fait un flop peut se manifester en toute occasion, puisque tout événement implique la négation de son double !
Ainsi tout existence est l’exécution de son double, de sa copie, donc toute existence est criminelle ! C’est pourquoi en naissant nous sommes DÉJÀ VIEUX ET FOUTU D’AVANCE. ÊTRE NÉ EST VRAIMENT UN ACCIDENT auquel aucun républicanisme ne pourra apporter remède. Être né n'implique que la PARTICIPATION, le VOYAGE.

On se demande bien ce que cherchent les physiciens, parce que le sens du réel n’est pas ici-bas, mais AILLEURS, en dehors de la dualité sujet-objet. Ce qu’avait bien deviné Arthur Rimbaud quand il écrivait que la Vraie Vie n’était pas de ce monde ; tout comme le langage parlé, et encore moins écrit, n’est pas nécessaire à la Connaissance, ce que les Adeptes et Mystiques savent depuis toujours. L’étude donne un savoir, une forme, mais elle est incapable de conférer le sens, qui est essence.

AILLEURS = ASIE, ORIENT, soit VOIR L’ENSEMBLE : LE ICI ET AILLEURS, MAIS PLUTÔT AILLEURS.

AILLEURS [aillors, ailurs] : du latin populaire alioris, de alius, dans : in aliore loco : dans un autre lieu.

Comme le Réel est ailleurs, tout ici bas n’est que RÉMINISCENCE : rien n’est jamais découvert, tout est re-trouvé, « rien de nouveau sous le Soleil, il n’y a de nouveau que ce qui a été oublié ». Ainsi, la « volonté » ne peut que « re-vouloir » ce que la nécessité a ordonné déjà de l’autre monde comme le montre le mythe d’Er le Pamphylien...

Le caractère du républicanisme étant construit sur les ergoteries des philosophistes grecs, la SYMÉTRIE est la caractéristiques de l’Occident ; alors que l’Orient « déteste » la symétrie, voir par exemple le dallage du Jardin japonais ! La philosophie orientale à l’égard de la symétrie des Anciens Grecs forme donc un contraste frappant ; de même de la géométrie, que les Orientaux considèrent comme du travail du chapeau, du mental, plutôt que comme une propriété de la Nature et donc la géométrie est pour les Orientaux sans importance. Ainsi, beaucoup de constructions de l’art oriental marquent une préférence flagrante pour l’asymétrie et évitent toutes les formes régulières et géométriques.

Le MIROIR ou Narcisse ou l’obsession de la Symétrie sous toutes ses formes, qui répète à sa façon l’impossibilité de ne jamais restituer l’invisible qu’on cherche à voir, et qui serait le Soi direct, SANS DOUBLE.  La Symétrie est comme le Miroir, elle ne donne pas le vrai mais son autre, son inverse, sa projection. Le sort du Vampire dont le miroir ne renvoie aucune image, même en inverse, symbolise le sort de toute personne et de toute chose : de ne pouvoir éprouver son existence à la faveur de la dualité sujet-objet, et donc de n’exister qu’ARTIFICIELLEMENT.
L’ascension ou la « monté », ou la réalisation du Soi-Instant est le renoncement de la dualité sujet-objet, d’où par exemple la réussite de l’autoportrait chez un peintre, impliquant l’absence de but à atteindre, donc l’abandon de l’autoportrait lui-même ! Ce que semblait savoir Vermeer puisqu’il est censé s’être représenté de dos dans le célèbre L’Atelier (L’Art de la Peinture).

Étant donné que notre Soi ou Instant est notre ÉTAT NATUREL, nous nous trouvons dans l’impossibilité de le saisir : PAS DE BUT À ATTEINDRE...
Le LACHÉ-PRISE OU WOU-WEI (le Non-agir) du Taoïsme en est un bon exemple. Le Wou-Wei est l'état de celui qui a atteint l'Union mystique (comparable au Nirvâna bouddhiste qui est l’état de Libération).

Le drame du mental, et donc de l’opinion est qu’il est UNIQUE : si l’humain a chuté en prenant conscience qu’il pense, il a alors abandonné le don d’ubiquité, le Centrum Centri ou « le Centre est partout et la Circonférence nulle part » : il pense quelque chose à l’INSTANT, et rien d’autre à l’INSTANT. Ainsi il devient une proie facile comme l’est tout opinion dans le monde des accidents : par exemple si je dis que tout ce qui me plaît est bon, je n’aurai pas la Vraie Paix tant recherché avec mes voisins parce que ce qui est bon pour moi ne l’est pas nécessairement pour eux. Ce qui rejoins les killers de microbes comme les Louis Pasteur & Cie. et toute l’industrie de Big Pharma et au final du lobby militaro-industriel : « Tant que la phobie de la bactérie, du virus, de « l’autre » n’est pas dépassée, on est dans des temps guerriers. Il faut passer à l’étape suivante, celle du dialogue avec le vivant, celle où le patient est véritablement sujet ». (Entretien avec Joël Sternheimer)

Microbes ou opinion : même problème, car si je dis que je me soumet au « réel », donc à mes expériences dites « objectives », je ne trouverai jamais la Paix parce que là encore mes voisins vivent des expériences autres que les miennes, de plus ils n’ont pas mon âge, et leurs conclusions seront différentes ; c’est ce qu’on appelle l’OPINION, toujours en équilibre instable entre le subjectif et l’objectif, et en plus ce qu’on appelle « opinion publique » ne sera qu’un effet statistique qu’on ne peut tenir en aucune façon pour un critère de la moindre vérité. Ainsi la « raison » du siècle des Lumières et chère au républicanisme ne trouvera et ne produira JAMAIS la Vraie Paix, ou en produira une dramatique caricature à coup de dictature. Il est vain de rechercher une « opinion vraie », qui ne sera qu’un mirage de plus ; c’est pourquoi le Vrai ne sera jamais possession puisqu’il n’existe plus le binaire sujet-objet.

[En haut de page : Dieu, dessin de Jean Effel]
 
 

Dernière mise à jour : 27-07-2014 19:52

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