COPYRIGHT YAHVISTE : GOÛT DE LA MORT
CETTE TERRE EST À MOI
ou les ravages de l’ego

LA CHUTE : CE GOÛT HUMAIN DE LA MORT
L’HOLOCAUSTE EST UNIVERSEL : VOYEZ L’ENFER ET SES GRILLADES

 

 

En ce monde deux choses sont perpétuelles : la guerre et la sottise. La sottise comme la guerre VA DE L’AVANT. La sottise comme la guerre se manifeste par un perpétuel engagement. La sottise comme la guerre ouvre à tout. La sottise comme la guerre a ses partisans, ses financiers, ses Gurus et ses fidèles comme les Yahvistes de l’après 1945. Guerre et sottise sont une DÉVOTION, UNE CROYANCE, surtout la sottise.
SOT, SOTE : massue, bâton à grosse tête.
SOTIE : société de jeunes gens dont le chef se nommait Prince des Sots (du latin sottus : imbécilité, folie, extravagance).
SOTUART : qui a une grosse tête et peu de sens.
(Réf. Glossaire de Du Cange)
La sottise se caractérise par l’illusion du but à atteindre, ce qui caractérise le copyright « peuple élu » des Yahvistes ; pas de plus belle sottise en ce monde ! Ils sont d’ailleurs bien punit en étant « le peuple le plus persécuté de l’Histoire » comme l’écrit la controversée Élisabeth Roudinesco ; et une autre sottise de taille est encore cette opinion de « terre promise » qui au 20è siècle a été fabriqué par les Couilles en Or Rothschild et Rockefeller. Une « terre promise » qui a son tour est devenu persécutrice et fout le bordel dans le monde : la réactivation de l’anti-juivisme ! Car ce sont nombre de Juifs eux-mêmes qui fabriquent l’anti-juivisme. « C’est une véritable tragédie juive » écrit justement E. Roudinesco. J’ajoute : une tragédie pour leur futur, quand ils ne seront plus « élu » !

 

 

LA GUERRE C’EST LA PAIX
et ça dure depuis au moins 10.000 ans, si on compte le temps !
Tout ça au nom des religions.
L’ordre, et ses services d’ordre, ne sont qu’un cas particulier de désordre, comme l’est la « paix des winners » ; idem pour les normes ou limites.

Une nouvelle guerre mondiale est inévitable, ou plutôt l’exacerbation de la seconde qui n’était jamais éteinte : voir les drames au Moyen-Orient ! Mais à cette nouvelle guerre mondiale il faudra y ajouter LES ÉLÉMENTS NATURELS qui ne sauraient tarder à s’abattre sur la planète !

On dirait que l’humain A PEUR, et comble cette peur par des horreurs sans fin. Des guerres sans fin par désespoir à la façon du symbolique Ouroboros, car si quelque chose peut modifier quelque chose (loi de cause-effet ou dualité sujet-objet), RIEN en peut modifier RIEN, c’est-à-dire le seul RÉEL, SAINT CHAOS là où rien n’est fixé : LE SANS LIMITE. D’ailleurs Sophocle écrivait dans Antigone que l’homme « marche vers rien », et que ce rien est atemporel : il est l’Instant, comme si l’humain avait tous les chemins, et il les a, étant un résumé du Cosmos, mais sans chemin il marche vers rien, quoi qu’il puisse arriver.

Toutes ces guerres multi-millénaires ressemblent à de la DÉVOTION.
DÉVOTION : étymologie de 1160 : vœu : attachement fervent à une croyance et à ses rites. On parle aussi de bondieuserie, de culte, de piété, de ferveur, de bigoterie, de vénération, d’adoration. Nous sommes bien dans l’Homo-religiosus et de sa participation mystique, soit la MAGIE jouxtée au POUVOIR sur un Dieu : prier c'est acheter le Dieu. Ainsi l’humain et les Dieux ne se distinguent pas : ils s’inventent mutuellement ! Prier ou invoquer un Dieu revient à l’acheter, à le contraindre.
Le dévot est celui qui est incapable d’affronter le VIDE, le NON-NÉCESSAIRE : il comble le silence par des limites, normes et rituels. C’est pourquoi le dévot s’apparente à celui qui « maintient l’ordre » : il aime la censure et entend jouir du pouvoir exercé d’ailleurs à ses propres dépens.

Pour avancer dans le labyrinthe du non-nécessaire, le dévot a besoin en permanence du CONFORT ou GARANTIE qui lui délivrera, comme tout porteur d’insigne et d’uniforme : « Il faut », tel le juriste, le policier, le médecin, sans oublier le philosophe.
Le dévot refuse de pratiquer sans la « raison », donc sans « ordre » (au sens normatif et limitatif).
Le dévot est ouvert à toutes pratiques, pourvu qu’elles reçoivent l’aval d’une autorité, qui est comme pour le dévot une « libération », du genre : « Ça se fait », ou « C’est permis », ou de la part du médecin : « C’est conseillé », ou de la part d’une perruque poudrée : « C’est rationnel », ou de la part d’une démocratie : « C’est pour votre bien à tous... ».

La guerre est donc une dévotion, un bouche-trou face au Vide, au Non-Nécessaire, soit LA PEUR D’ÊTRE LIBRE EN PRÉFÉRANT L’ORDRE IMPOSÉ, LA NORME. Ainsi dans notre civilisation de l’hyper mercantilisme, le REFUS DU GRATUIT EST LE REFUS DU RÉEL, soit un des multiples mécanismes de défense qui entrent en jeu quand le réel est perçu comme cruel ; comme par exemple la spontanéité qui ne plaît jamais ; comme ne plaît jamais le « Tout est possible » : il y aura toujours un Inquisiteur pour vous balancer à la gueule : « C’est impossible ! », ou « Vous êtes fou ! ».
La réalité étant perçue à l’état brut : dans l’Instant, c’est comme un vin trop fort que l’on coupe avec de l’eau pour le rendre agréable à boire. C’est pourquoi le confort de l’humain consiste toujours à mettre de la distance entre lui et le réel, alors il détestera la spontanéité, le directe.

Dieu et le Diable se confonde, d’ailleurs la connaissance de Jésus de Nazareth et celle de Lucifer sont les mêmes : il ne peut pas y avoir deux vérités, mais Une vérité, une Source, l’Instant.
Diable et Dieu se confondent en faisant que ce qui a existé n’est pas d’existence. Ainsi ce monde n’a pas été créé, IL N’A PAS COMMENCÉ, comme l’énonce Ramana Maharshi à l’entretien 264 : « Dieu créa l’homme et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». Ce monde n’a pas encore eu lieu ! Ce sont les Juifs ou adeptes du judaïsme qui vendent l’Histoire et le Temps et la création avec : la Chronologie tueuse.

Être sans histoire est être sans durée, donc sans « devenir », sans « fin des temps » à la Yahvistes ; donc pas « d’événement » : « on ne fait pas événement » puisque « l’histoire est manquante ». Pas de durée, pas d’existence. La mort est sans prise sur le réel, car pour la subir, il faut être né ! La religion de la Shoah est du pur matérialisme et du pur business !

OPINION : signifie la vulgarité et l’obscénité de ce monde, par conséquent la tyrannie de l'opinion ; car cette vulgarité et obscénité ne reflètent nullement les choses réelles et leur mention crue, mais seulement le sentiment qu’on en a et qu’on en suggère.  C’est aussi cela l’opinion : se baser par ses cinq sens sur le monde des accidents ou spatio-temporel.

RAPPEL : Nommer c’est créer. Même chose dans le langage écrit : écrire le nom d’un objet c'est le créer de toutes pièces : par l’écriture, le Hiéroglyphe investi d’un pouvoir magique, qui décide de l’existence ou de la non-existence des choses ; d’une manière comparable à celle des enfants qui décrètent qu’un soldat de plomb, selon les circonstances, sera un cheval, un avion ou un sous-marin. Pour que la chose existe, il suffit de l’écrire !

Une autre grosse sottise des Yahvistes ou Juifs est leur peur de l’idolâtrie, pourtant nombre d’entre eux depuis des siècles idolâtrent l’Or par l’intermédiaire de leurs institutions bancaire !!! Vous attaquez avec une grande violence et grande haine les idoles, mais vous idolâtrez vous-mêmes, avec aussi votre Arche d’Alliance.
Les Juifs ont peur du réel avec leur fuite en avant en forme de « fin des temps » et attente d'un messie. Ils ont peur non pas de l’image, l’idole de la chose, mais bien de la chose elle-même, qui justement est le TRÉSOR, L’INSTANT. Par exemple UN DIAMANT brillant de LUI-MÊME, il en devient insaisissable en tirant sa réalité de lui-même : « Je suis CE JE SUIS » pourrait dire le Diamant ! Ainsi il ne fait pas la partie de la dualité de ce monde du sujet-objet ou cause-effet. À peine le Diamant à-t-il été aperçu par exemple sur le pont d’un navire qu’il roule et tombe à la mer, comme pour se protéger de la cupidité humaine. Les voleurs ont beau se précipiter que le Diamant a déjà disparu dans la mer, déjà rejoint le Royaume du Saint Chaos. La seule réalité, l’en-soi, s’est à nouveau et irrémé-diablement dérobée : il faudra continuer à vivre au milieu des idoles et des copies de toutes sortes, se résigner à la perte de l’original et de l’authentique. Vous les Yahvistes, essayez donc de retrouver la Chose elle-même au fond de l’O-céan (Spatium) : l’Original céan : ICI et MAINTENANT et DEDANS (le Centre est partout et la Circonférence nulle part).
À propos de l’insaisissable, voir aussi la page : Stargate SG1 suite 1, partie sur la légende de la Pierre qui vire.

Le réel n’est qu’ICI et MAINTENANT, et pas ailleurs. Si par peur on cherche ailleurs, on est assuré de ne trouver que ce qu’on cherche réellement : RIEN ! Et de nos jours ça fait marcher le business de certains Juifs... notamment le business des armes et de leur technologie...