Pourquoi des religions ?
L’humain étant un Homo Religiosus
dans une dualité du pur et de l’impur
les religions apportent le CONFORT :
être dorloté

Origine des Religions

 

 

 

 

Savez-vous qu’en Enfer les biscuits sont digitalisés (imprimés), alors qu’en espace 3D ils sont cuits ? (D’après Ossip Senkovski, Les Travailleurs de l’Enfer)

Savez-vous qu’en espace 3D il existe des lieux exclusivement consacrés à la poésie, et inaccessibles aux « forces de l’ordre » de n’importe quel étatisme ?

Savez-vous qu’avant l’invention des religions et des Dieux par les humains des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, de semblables humains vivaient en vraie civilisation, où les gens se déplaçaient à dos de mammouth et de ptérodactyle dressé, et déjeunaient de côtelettes d’anoplothérium, de saucisses d’anthracothérium et de rôti de lophiodonte accompagnés de bananes en saumure au lieu de cornichons, et vivaient jusqu’à près de mille ans ?
Savez-vous aussi qu’en ce temps là, on maniait la Vraie Télépathie accompagnée de Hiéroglyphes semblables à ceux de l’Égypte de Pharaon ? Ceci prouvant que les Hiéroglyphes ou écriture idéographique prennent racine dans la vraie Télépathie qui était commune dans tous les coins de cette planète, et permettait de ne point tomber dans le drame des religions où chacun dit que son Dieu est le meilleur et qu’il est « unique ». Cela c’était bien avant le Déluge du Père Noé relaté dans l’Ancien Testament. Ainsi les Hiéroglyphes sont-ils des « caractères » antédiluviens ; literae antediluvianae, écriture originelle du genre humain, d’usage commun à toutes les sociétés qui notamment se partageaient le climat méditerranéen aujourd’hui pour partie transformé en Sibérie septentrionale, et pour partie englouti par l’Océan Arctique, comme le démontre assez bien la configuration même de l’embouchure de la Léna. Aussi ne faut-il pas s’étonner de trouver des Hiéroglyphes égyptiens sur l’Île aux Ours. Car il fait savoir qu’il n’y a pas eu un seul Déluge, celui de Noé, mais QUATRE, avec quatre ères géologiques et leurs mondes organiques tour à tour disparus.
La vraie Télépathie étant la seule « langue » commune à tous les peuples de la Terre, il est naturelle que les Hiéroglyphes qui en découlèrent furent aussi lisibles par tous les peuples de la Terre, quel que soit leur langue. Les Hiéroglyphes doivent être interprété comme une matière métaphorique (1), ou un calembour comme un RÉBUS, car ils sont à la fois lettre, figure représentant un certain concept, soit ils sont une figure et une lettre et un son, soit ni une figure ni une lettre ni un son, mais juste un « joli dessin » ou ornement calligraphique arbitraire. Ainsi dans le monde entier, et même ailleurs chez nos Frères et Sœurs de l’espace... avant le Déluge de Noé, rien n’était plus facile que de lire les Hiéroglyphes, où le sens échappe quand on les tient pour des lettres d’un « alphabet » ou norme, c’est pourquoi il convient de les interpréter de manière métaphorique ; c’est que que pratiquaient en maîtres les Scribes du temps de Pharaon. (Métaphore ou procédé de langage qui consiste à employer un terme concret dans un contexte abstrait par substitution analogique, sans qu’il y ait d’élément introduisant formellement une comparaison. « Une source de chagrin », « un monument de bêtise » sont des métaphores. La métaphore est à l’origine des sens nouveaux d’un mot ; ainsi les Juifs et leur Kabbale sont-ils des grands spécialistes de la masturbation intellectuelle à n’en plus finir ; ce qui prouvent aussi leur lointaine ancienneté...

Point particulier : l’écriture hiéroglyphique des Mayas classiques. Elle découle aussi de la Vraie Télépathie, mais avec l’originalité d’avoir été « parasité » par de joyeux Élémentals sévissant aussi en Atlantide, et qui après sa destruction se réfugièrent dans ces régions très forestières et pleine d’énergies de toutes sortes. En un sens les Hiéroglyphes des Mayas, et en général ceux des Peuples du Soleil, sont plus libres et plus « abstraits », moins codifiés que ceux du reste du monde, à tel point que de nos jours il existe 30 langues mayas parlées dans le sud du Mexique, le Yucatan, le Belize, le Guatemala et le Honduras, constituant un groupe d'environ six millions de pratiquants.

Pétrole ou énergie (thermodynamique), guerres, religions = la trinité du Diable, soit le capitalo-socialisme, soit « le roi serait souverain et le peuple serait roi » et la « liberté », serait celle de pouvoir se taper à volonté sur la gueule en toutes saisons. Mais dans cette trinité du Diable, de nos jours ce ne sont pas les religions ni les guerres en forme de « paix » qui « accordent » le monde et le conforte comme une religion, C’EST LE PÉTROLE, du moins à notre époque, car cela ne saurait durer.

Bref, seul compte l’Instant : « La peur de la mort loge non dans l’âme de l’homme, mais dans sa partie physique [ego] ; elle sévit uniquement tant que les forces matérielles l’emportent, soumettant à leurs intérêts le principe spirituel de l’existence ; seul le corps redoute la mort, car elle le menace d’anéantissement, mais dès que la maladie et l’épuisement dépouillent la matière de ce terrible pouvoir despotique que les hommes appellent la voix de la nature, dès que l’esprit ne rencontre plus en elle d’opposition, l’anéantissement de la chair devient quelque chose d’insignifiant, d’accessoire ». (Les Travailleurs de l’Enfer, Notes d’un esprit du foyer, d’Ossip Senkovski).

Donc au temps de la Vraie Télépathie et de ses Hiéroglyphes, pas de religion. Ce sont les Anciens Égyptiens qui copièrent les mauvais Atlantes et tombèrent dans la religion (les bons Atlantes réussirent à partir dans d’autres systèmes solaires...). Avec leur religion les Anciens Égyptiens compliquèrent absolument tout : « Les gens ne comprendraient pas la vérité toute simple, toute nue [celle de la Vraie Télépathie] - la vérité de leur expérience de chaque jour, toujours actuelle et éternelle [l’Instant ou Soi]. Cette Vérité est celle du Soi. Existe-t-il quelqu’un qui ne soit pas conscient du Soi ? Les gens ne veulent même pas en entendre parler [du Soi], en revanche, ils sont avides de savoir ce qui se passa dans un au-delà - le Paradis, l’Enfer, la réincarnation. C’est parce qu’ils préfèrent le mystère [et ses écoles maçonniques] à la simple vérité que les religions les dorlotent [c’est tellement plus confortable que le Vide] ; et cela uniquement pour les amener vers le Soi [en principe, parce qu’à voir le résultat depuis de nombreux millénaires ! Mais là, le Maharshi tombe dans l’opinion]. Vous avez beau errer dans tous les sens, vous devez en fin de compte revenir au Soi. Pourquoi alors ne pas s’établir dans le Soi ici et maintenant même ? » (Ramana Maharshi, entretien 145, du 23 janvier 1936).

Comme le monde spatio-temporel, l’Enfer et le Paradis sont des créations du mental, comme : les passions, la colère, l’envie, etc. Ils sont comme les rêves.
Voici : au commencement les humains vaquaient à leurs occupations dans le Ciel. Mais un jour le reflet du visage de l’un d’eux dans un plan d’eau lui donna conscience qu’il était semblable à ses autres frères et sœurs, et donc l’égal de « Dieu ». Alors tous les humains refusèrent de le servir. « Dieu » les précipita alors sur Terre, cet espace des accidents. Ils tombèrent en un endroit où se situaient du minerai de Fer, et des hommes construisirent sept fourneaux. Évidemment la fumée incommoda « Dieu », et après avoir envoyé inutilement des messagers comme les oiseaux, « Dieu » descendit sur Terre sous la forme d’un vieux malade. Les fourneaux s’abimèrent et les forgerons demandèrent conseils au vieux malade. Il leur dit : « Vous devez offrir un sacrifice humain ». Comme les forgerons ne trouvèrent pas de volontaire, Dieu s’offrit lui-même. Il pénétra dans un fourneau chauffé à BLANC (INSTANT) et au bout de TROIS jours en ressortit avec de l’Or, de l’Argent et des Pierres précieuses. Les forgerons l’imitèrent, leurs femmes activèrent de plus belle les soufflets, si bien que les forgerons finirent brûlés vifs. Dieu transforma les femmes en esprits des collines et des rochers. (Réf. Forgerons et Alchimistes, de Mircea Eliade) Âge du Fer/Faire ou âge de la tragédie... ou mieux : Âge de la Thermodynamique et des guerres sans fin !!!

La Vérité : Il n’y a ni naissance ni mort. On ne reste que ce que l’on est réellement. C’est la seule Vérité (Ramana Maharshi, fin de l’entretien 573, du 11 novembre 1938). Ainsi il n’existe même plus de circonstance ou Coïncidence.

 

 

Note.
1. La Vraie Télépathie recourt à la métaphore. Exemple donné dans le livre de Danielle Fecteau : Télépathie - L’ultime communication.
Au 25 décembre, une femme de 30 ans raconte à une assemblée un souvenir d’enfance dont elle n’a jamais parlé à personne. Souvenir désagréable : sa mère est devant l’évier de la cuisine et laisse tomber dedans le plat de pâtes ; celles-ci glissent dans le trou de l’évier ; la mère pleure le dîner perdu car son budget est très restreint. La fille de cette mère se rappelle bien de cet accident domestique, alors sa mère lui demande comment peut-elle s’en rappeler puisqu’elle était enceinte d’environ 6 mois de sa fille, et la taille de l’évier ne pouvait que l’empêcher de « voir » cet évier. Ce qui marqua la fille était les pleurs de sa mère, ce que seule une personne adulte, debout devant l’évier, pouvait remarquer. « La jeune femme réalise alors que les images de son souvenir s’apparentent à celles qu’elle aurait pu avoir si elle avait regardé à travers les yeux de sa mère ». En matière médicale on appel cette expérience « expérience télépathique intra-utérine ».
En HAUT comme en BAS, dit une devise alchimique...