Je pense qu’il n’y aura JAMAIS de démocratie au sens grec du terme, pour la raison naturelle qu’il y aura toujours quelqu’un de plus avancé en Conscience qu’un autre, aussi il sera toujours nécessaire d’avoir comme une « Synarchie Céleste » sous forme d’une sorte d’Alephtocratie. Ramana Maharshi l’explique bien à l’entretien 107 : « Les instructions spirituelles diffèrent selon le tempérament des individus et leur maturité spirituelle. Il n’est pas possible d’instruire en ‘masse’ ». Ceci étant valable même en cas de Vraie Télépathie. La mode de l’égalitarisme célébré depuis 1789 est une des pires Inquisition de tous les temps. De toute façon la seule liberté possible pour se libérer de l’opinion ne peut se trouver que dans la vacuité du mental. Comme le dit Le Secret de la Fleur d’Or, chapitre : Le secret de la Liberté :
- 39. D’abord, il y a la vacuité et vous voyez le vide de toute chose. Ensuite, vient le conditionnel : tout en sachant que les choses sont vides, vous ne détruisez pas la multiplicité des phénomènes mais vous les considérez d’une manière constructive, tout et restant centré sur la vacuité.
- 41. En fin de compte, la maîtrise signifie voir vraiment la vacuité. Par conséquent, lorsque vous pratiquez la contemplation de la vacuité, la vacuité est vide, le conditionnel est vide et le centre l’est aussi.
- 42. Lorsqu’on pratique la contemplation du conditionnel, une bonne part de la maîtrise s’accomplit dans l’action. Le conditionnel est évidemment conditionnel, mais la vacuité l’est aussi et le centre également.
- 43. Lorsqu’on est en route vers le centre, on médite aussi sur la vacuité, mais on ne l’appelle pas ainsi : on dit simplement « le centre ». On médite aussi sur le conditionnel, mais on ne l’appelle pas ainsi : on dit « le centre ». Et quand l’on parvient au centre, il n’y a plus rien à dire.

Ce qui est décrit ci-dessus correspond à la « Fixation Cavalante ». Savoir aussi que le « conditionnel » n’est pas en soi une illusion : l’illusion apparaît quand l’on prend le conditionnel pour une réalité immuable et indépendante [dualité sujet-objet]. Toujours dans la Fixation Cavalante : « l’essentiel est d’atteindre un état de concentration mentale dans lequel l’esprit voit clairement la double nature des phénomènes [sujet-objet] à la fois fluides et factuels, sans se laisser entraîner à privilégier l’un ou l’autre aspect. En suivant cette forme de méditation, l’esprit transcende l’attachement au conditionnel en comprenant la « nature fluide » (vacuité) des phénomènes. Il transcende aussi l’attachement de la vacuité en comprenant la « nature factuelle » des phénomènes. En comprenant « le centre », on atteint l’harmonieuse unité de la liberté et de la responsabilité. Dans le bouddhisme tiantaï, l’accomplissement de cette pratique s’appelle « Trois Visions pénétrantes d’un esprit », explique Thomas Cleary pour Le Secret de la Fleur d’Or.


Comme expliqué sur les deux précédentes pages consacrées à notre langage naturel : la Vraie Télépathie :
- Arme du Nouvel Ordre Mondial
- Origine des religions
Tout cela est du même thème que l’EAU, donc de la VIE puisque celle-ci a débuté dans l’Eau. Ensuite, on peut y ajouter une nouvelle Chute avec celle du mental ou ego : l’OXYGÈNE, dont découle d’ailleurs le mot Occident : de occire : la mort. L’oxygène tue ; elle fut la plus grande catastrophe écologique de tous les temps. Se souvenir que l’apparition de la photosynthèse par des cyanobactéries a produit un déchet très toxique pour les autres organisme : l’Oxygène. Seules les cellules ayant développées des antioxydants ont pu survivre. Lorsque la concentration d’Oxygène a augmenté dans le milieu océanique, la plupart des organisme anaérobies ont été tués.
Eau et Espace sont surement notre avenir, comme ce l’est pour les Consciences innombrables de nos Frères et Sœurs de l’Espace.
OXYGÈNE ou [ACIDUS], piquant au goût ; de Oxus en grec. Bizarrement on associé maintenant l’Oxygène à « l’air pur » !!! De plus les bactéries se développent en milieu acide !...

EAU ou ÈVE - INNÉ et IGNÉ : la génération. L’eau c’est l’aimant, lien attractif qui unit, comme la Télépathie. Pour le Coléoptère (Scarabéidés), l’eau est SOLIDE quand icelui la transporte ; car il POUSSE l’eau de Rosée devant lui sous forme de perle d’environ 2,5 mm de diamètre.
SCARABÉE en Égyptien : KHEPRA (HPR), celui qui se transforme par lui-même et produit ainsi sa genèse ; KHEPRA du dieu KHÉPRI. Le Scarabée sait lui, que l’eau tend à prendre une forme sphérique. (En hiéroglyphe égyptien : HPR = adulte).
L’Eau c’est aussi le symbole de la Lune, donc de l’inconscient, sauf si on sait encore utiliser la Télépathie.

 

 

Avec l’EAU tout COMMUNIQUE par TRANSPARENCE.

Comme tous les animaux, à l’air, ou sous l’eau, les insectes sont aussi capables de lire nos pensées, et ce faisant, de détecter nos intentions. Un animal dit « sauvage » comme le Lion peut entrer en Télépathie avec un humain ; même chose avec des Abeilles. Il en est de même des plantes, nombres d’expériences sur cet aspect ont été faites dans les années 1950-60 et résumé très bien dans le livre : La vie secrète des plantes, de  P. Tompkins et C. Bird. Alors que dire de la Télépathie avec un Caillou, ce qui rejoint un Cristal et le stockage de données dans icelui.

Mouvement ou Transformation permanente.
« Un jour que j’attendais dans une salle située à proximité des soins intensifs d’un hôpital, une chose des plus étranges est arrivée : un homme et une femme se trouvaient également dans la petite salle d’attente ; tous deux avaient l’air bouleversés. À un moment donné, un médecin est entré pour venir leur annoncer qu’il n’avait pu sauver leur fils. Il leur a demandé s’il pouvait débrancher l’appareil avec lequel l’enfant était maintenu en vie artificiellement. Aussitôt la femme s’écria que non. Ébranlé, le médecin quitta la salle en mentionnant qu’il repasserait un peu plus tard, le temps que le couple réfléchisse. Une conversation intense s’engagea alors entre l’homme et la femme, une conversation remplie d’émotions. C’est à ce moment là qu’un oiseau se posa sur le rebord de la fenêtre, à l’extérieur. Je l’ai tout de suite remarqué, car il ne s’agissait pas d’un oiseau commun mais plutôt d’un canari. L’oiseau avait donc dû s’échapper de sa cage et était probablement perdu. Pendant que je songeais au sort de l’oiseau qui ne survivrait assurément pas au temps glacial, l’homme essayait de convaincre sa conjointe qu’il serait préférable de débrancher les appareils pour laisser leur fils partir en paix. Mais la femme, désemparée, refusait obstinément de se résigner à cette idée. L’oiseau commença alors à frapper avec son bec, puis avec sa tête, pour entrer par la fenêtre. Voyant qu’il n’y arrivait pas il se mit soudain à frapper la vitre de tout son corps. Je me levai alors pour essayer d’ouvrir la fenêtre, mais celle-ci était verrouillée. Il n’y avait rien que je puisse faire. Désemparée, la femme pleurait, son époux tout aussi désemparé essayait de la réconforter, l’oiseau se mourait, et moi je tirais comme une forcenée sur le verrou qui bloquait la fenêtre. L’ensemble de la scène, le désespoir du couple et l’oiseau qui tentait de toutes ses forces de rester en vie, était déchirant.

Je décidais alors de descendre au rez-de-chaussée de l’hôpital pour demander que quelqu’un vienne ouvrir la fenêtre ; au moins l’oiseau pourrait-il être sauvé. Alors que je m’attendais à ce que l’on se moque de moi, une agente de la sécurité a accouru avec les clés de la fenêtre et une boîte, proposant même d’adopter l’oiseau ! Lorsqu’elle entra dans la salle d’attente, l’oiseau semblait épuisé. Elle déverrouilla la fenêtre, mais à sont tour, ne put l’ouvrir : le chambranle était coincé. À ce moment-là, le médecin qui était venu plus tôt entra dans la salle d’attente et demanda aux parents du garçon s’ils avaient réfléchi. La femme du couple se tourna alors vers le pauvre oiseau mourant, l’observa quelques secondes, puis, comme si tout à coup elle avait su ce qu’elle devait faire, elle parut apaisée, regarda le médecin et lui répondit paisiblement : « D’accord, laissez-le partir ». Au même moment, la fenêtre céda et l’agente put capturer le petit oiseau messager qui fut sauvé ».
Témoignage important de Danielle Fecteau, dans son livre : Télépathie - L’ultime communication.

TOUT EST LIÉ.


Il est naturel que nous ne soyons pas seuls dans l’Univers. Croire que nous serions seuls c’est avoir un ego profondément malade.