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Ce monde de la possession Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 25-08-2014 20:55

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Ce monde de la possession
et son pouvoir d’achat
qui seul semble « souder » les humains de ce monde
sous la coupe de l’empire USionistan anglo-saxon,
ce monde des Marchands, des Magos (magots, trésors)
Marchands, Marché, faire marcher, manipuler le monde des humains
Les insectes sont attirés par les couleurs des fleurs,
les humains sont attirés par la pub.
SATAN ou LA POSSESSION DES ÂMES
 
 
Marianne la nouvelle Mère-Nature républicaine aux gros nénés bouffeuse de ses enfants.
 
 
Possession sonne très proche de passion (souffrance, comme les souffrances du Jésus de Nazareth sur le Chemin de Croix. Ce sont aussi tous les phénomènes affectifs : l’affecte, être affecté par quelque chose, une émotion, un nouveau téléviseur en relief en vente chez quelques Couilles en Or ; donc a-dorer le Veau d’Or, avoir l’amour du spatio-temporel. Le fanatisme est aussi du même thème de la souffrance. Tout cela entre dans le thème principal du MENTAL ou EGO, donc de la « raison », qui n’est nullement le contraire de la passion comme l’écrit le dict. Le Robert. La maladie : mal-à-dit, est aussi la souffrance (mal-heure ou non-Instant), qui est l’usine à bénéfices des Couilles en Or de Big Pharma. En gaulois Souffrance : panto ; à peut-être rapprocher de pan-, pant(o)- du grec Pan, le Tout ; d’où d’ailleurs la pan-ique quand la spontanéité ou le Soi se pointe, d’où la Douleur absolue de la Connaissance surgissant dans l’Instant). Évidemment le mot possession est véritablement le mal de notre époque, et des nombreuses époques passées.
Mine de rien, les Anciens Égyptiens sur leur fin/faim étaient de grands possédants (voir leurs monuments...). En effet, dans le mental égyptien, « nommer » et « nourrir » sont indissociables ; et se nourrir est aussi posséder. Ne pas oublier que les Anciens Égyptiens s’inscrivent dans les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture et de l’élevage, avec perte de la Vraie Télépathie : REN signifie : élever, nourrir au sein. Donner un nom c’est nourrir un être (le Verbum, le Logos). La Déesse des moissons, un Cobra femelle, se nomme RENENET : la nourriture. (Renenet est l’un des 32 Neter ou Principe, sorte de Moteur).
REN est représenté en Hiéroglyphe par une bouche. Nommer (vibration sonore, voir John Ernst Worrell Keely) c’est formuler une énergie. Les Anciens Égyptiens croyaient que connaître le nom d’une chose ou d’un être revenait à connaître leur véritable nature...

En prolongement de la page : Origine du Nouvel Ordre Mondial

- Question : En quoi consiste ce bonheur supérieur ?
- Maharshi : Être libre de tout souci. Les possessions créent des soucis, telles que ceux de leur sauvegarde, et utilisation, etc. [c’est pourquoi il y a le business des assurances, des avocats, etc. Possession synonyme du Fer/Faire]. Le non-possession n’entraîne aucun souci dans son sillage. C’est pourquoi Shiva renonça à tout en faveur de Vishnou et S’en alla heureux.
Se dépouiller de toute possession est le plus haut bonheur. (Ramana Maharshi, entretien 225, du 2 juillet 1936).

« L’époux de la reine Chudâla, Shikhidhvaja, avait atteint le vairâgyâ (l’état sans passion) bien qu’il s’occupât encore des affaires de son royaume. Il aurait pu réaliser le Soi si seulement il avait poussé son vairâgyâ au point de tuer l’ego. Il n’alla pas jusque-là ; il se retira dans la forêt où il se livra à des tapas (détachement, absence de passion, ascèse) qui durèrent dix-huit ans, mais ne le firent pas progresser. Il s’était rendu victime de sa propre création. Chudâla lui conseilla de renoncer à l’ego et de réaliser le Soi, ce qu’il fit et il fut libéré.
Cette histoire nous montre clairement que le vairâgyâ accompagné de l’ego n’a aucune valeur, mais que toutes possessions en l’absence de l’ego ne représentent pas le moindre obstacle ». (Fin de l’entretien 404). C'est cela la Vraie Science....

« Il suffit de s’abandonner. S’abandonner, c’est s’en remettre à la cause originelle de son être [en d’autre mots : le lâcher-prise ou Wou-wei (ou Wuwéi) de la Taoïcité : le « non-agir ». Tout ce qui se fait spontanément est supérieur à ce qui se fait volontairement. Faire le vide pour faire le plein ! Le Wuwéi est l’état de celui qui a atteint l’Union mystique, le Nirvâna]. Ne vous faites pas d’illusions en vous imaginant que cette source est du dieu en dehors de vous. Votre source est en vous [‘Le Royaume des Cieux est en vous’ dit la Bible]. Abandonnez-vous à elle. C’est-à-dire cherchez cette source et immergez-vous en elle. C’est parce que vous vous imaginez être en dehors d’elle que vous soulevez la question : « Où est la source ? ».
Certains soutiennent que le sucre ne peut pas goûter sa propre douceur et qu’il faut un dégustateur pour le goûter et le savourer. De même, un individu ne peut pas être le Suprême et en même temps goûter la Félicité de cet état ; c’est pourquoi l’individualité doit être maintenue d’un côté et la divinité de l’autre pour que la jouissance puisse exister [là encore, Vraie Science].
Mais Dieu est-Il matière inconsciente comme le sucre ? Comment peut-on s’abandonner et cependant conserver son individualité pour jouir du Suprême ? De plus, ils soutiennent que l’âme, ayant atteint la région divine, demeure en cet état pour servir l’Être suprême. Le son du mot « service » peut-il vraiment tromper le Seigneur  ? Est-ce qu’Il ne sait pas tout ? Attend-Il vraiment que les gens Le servent ? Ne demanderait-Il pas plutôt, Lui qui est pure conscience : « Qui êtes-vous en dehors de Moi pour que vous ayez la présomption de Me servir ? » De plus, ces même gens croient que l’âme individuelle se purifie en se débarrassant de l’ego et devient ainsi apte à devenir le corps du Seigneur. Le Seigneur serait alors l’Esprit et les âmes purifiées constitueraient Son corps et Ses membres ! Peut-il y avoir une âme pour les âmes ? Combien d’âmes y a-t-il ? La réponse doit être : « Il y a beaucoup d’âmes individuels et une Âme suprême ». En ce cas, qu’est-ce que l’âme ? Elle ne peut pas être le corps, etc. Elle doit donc être ce qui reste après l’élimination de tout cela. Ainsi donc, même après avoir réalisé que l’âme est ce qui ne peut pas être éliminé, il faut encore découvrir l’existence d’une Âme suprême. Mais alors, comment l’âme peut-elle encore être réalisé comme Réalité ultime après avoir déjà éliminé tout ce qui lui était étranger ? Si c’était le cas, alors l’âme dépeinte comme étant la réalité inaliénable ne peut pas être l’âme véritable. Toute cette confusion provient du mot « âme » (âtman). On se sert de ce même mot, âtman, pour désigner le corps, les sens, le mental, le principe vital, l’âme individuelle et l’Être suprême.

Cette application élargie du terme a donné naissance à l’idée que l’âme individuelle (jivatman) constitue le corps du Suprême (Paramâtman) : « O, Arjuna, Je suis le Soi, demeurant dans le cœur de tous les êtres... » (Bhagavad-gitâ, X, 20). Ce verset montre que le Seigneur est l’âtman (le Soi) de tous les êtres. La Bhagavad-gitâ dit-elle « le Soi de tous les soi » ? Si, par ailleurs, vous vous immergez dans le Soi, il ne restera plus trace d’individualité. Vous deviendrez la Source elle-même. Dans ce cas, qu’est-ce que l’abandon ? Qui doit abandonner quoi et à qui ? Cela constitue la dévotion, la sagesse et l’investigation.
Parmi les vishnouites, saint Nammâlvâr dit : « J’étais perdu dans un labyrinthe, m’accrochant au ‘je’ et au ‘mien’ ; j’errais sans connaître mon Soi. En réalisant mon Soi, j’ai compris que je suis Toi, et que le ‘mien’ (mes possessions) n’est aussi que Toi ».
Vous voyez donc bien que la dévotion n’est rien de plus que la connaissance de soi-même. L’école du monisme qualifié [Vishishtâdvaita] l’admet également. Cependant, par fidélité à leur doctrine traditionnelle, ses adeptes persistent à affirmer que les individus sont une partie du Suprême - ses membres en quelque sorte. Leur doctrine traditionnelle dit également que l’âme individuelle doit d’abord être purifiée et ensuite abandonnée au Suprême ; ainsi l’ego s’évanouit et, après la mort, on entre dans le royaume de Vishnou ; là, enfin, est la jouissance du Suprême, l’Infini ! [Vraie Science]

Dire que l’on est séparé de la Source primordiale est en soi une prétention ; ajouter qu’une fois délivré de l’ego l’on devient pur, mais que l’on retient son individualité uniquement pour jouir du Suprême ou le servir, est un stratagème trompeur. Quelle duplicité que d’abord de s’approprier ce qui réellement Lui appartient et ensuite prétendre Le servir ou Le réaliser ! Tout cela n’est-il pas déjà connu de Lui ? »
(Ramana Maharshi, entretien 208, du 18 juin 1936).

- Question : ... Un guru est-il nécessaire ?
- Maharshi : Tant que vous vous prenez pour un individu, un guru est nécessaire pour vous montrer que vous n’êtes pas lié par des limitations mais que votre nature est d’en être libre.
(Fin de l’entretien, 524)

Et particulièrement depuis 1789, bien plus que sous une monarchie, l’individualisme est le winner, et le Nouvel Ordre Mondial essaye le socialisme à la Staline pour fabriquer une communauté mondiale. Nous sommes à l’âge du fer/faire, donc de la possession, de la dureté. Bref, si on en croit Platon, les Atlantes chassaient sans armes de fer ; de même les Druides ne pouvaient user d’instruments de fer, ils coupaient le Gui sacré avec une faucille d’Or. Le fer symbolise une force dure, guerrière, la violence dans la tradition de la thermodynamique, impure, diabolique.
 
 

Dernière mise à jour : 25-08-2014 21:20

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