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Vous reprendrez-bien une orientation sexuelle Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 27-08-2014 21:57

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Vous reprendrez-bien une orientation sexuelle
au dessert
 
 
Ce monde des humains si matérialistes, si prisonniers de leur corps ou raison ! L’humain a tellement peur, de tout, de mourir, qu’il veut être conforté par un ou une autre : dualité sujet-objet. Or on naît seul, on mange seul (un autre ne peut pas manger pour vous), on meurt seul (un autre ne va pas mourir pour vous).

« Être homme est péché. Ce sentiment d’être homme n’existe pas dans le sommeil profond (1). C’est la pensée du corps qui fait naître l’idée de péché. La naissance de la pensée est en soi un péché (Ramana Maharshi, entretien 164).
L’idée du péché, donc du corps ou mental (1), est bien un péché de la théorie du genre !
 
Comme nous sommes sous la tyrannie de l’opinion, du mental ou « raison », il n’est plus étonnant que soit surgit un truc comme la « théorie du genre » (gender). Gender ou genre utilisé maintenant pour remplacer le mot sexe. Donc selon cette opinion du gender, les différences sexuelles ne seraient pas naturelles mais acquises et de nature culturelle (opinion). Ainsi nous sommes bien dans le plus pur marxisme où dans ce règne de l’opinion arrivé à sa maturation vers 1789, l’opinion prend le masque de l’Universel (ici le genre) en renversant les rôles : Ce sont les accidents qui engendrent les essences ; l’opinion engendrerait le genre ; ce qui fait de ces inversions la marque indiscutable de Satan.
Dans cette théorie du gender on est aussi dans l’égalitarisme puisque les inclinaisons sexuelles seraient égalitaires et devraient être « librement » choisies par les individus !

Voilà maintenant que sous la « volonté » d’un Caudillo sioniste, une marocaine devient ministresse du gavage de jeunes cerveaux républicains. Il fallait s’y attendre à voir au premier jour de son érection en 2012 de l’Hollandouille rendre un hommage au judéo-franc-maçon Jules Ferry ! Donc depuis nous avons l’arrivée de provocations sur provocations. Ce n’est pas un gouvernement mais une cour de récréation de sales gosses !

Une ministresse parfaitement en accord avec la diablerie du gender et de l’égalitarisme modèle judéo-maçonnique, et surtout modèle statistique, qui menace moins les meneurs au pouvoir que la remise en cause de leur pouvoir politique et de leur pouvoir économique.
En Novlangue manipulatrice républicaine nous avons aussi « l’égalité réelle », destinée à « positiver » par exemple les revendications féministes les plus extrêmes, par exemple : le gouvernement veut instaurer « l’égalité réelle » entre hommes et femmes.

L’égalitarisme se retrouve dans un autre mot qui n’est plus à la mode depuis la seconde guerre mondiale : l’ennemi. Car depuis cette date il n‘y aurait plus de guerre, donc plus d’ennemi, sinon à quoi serviraient les fameux « droits de l’homme », l’OTAN, l’ONU, et autres machines mondialistes. Ainsi le Nouvel Ordre Mondial telle une religion professe-t-il « l’amour des autres » ; maintenant seuls les mots de « terroriste », « antisémite », et d’une façon générale tous les « ismes » (dénotant un système) sont désignés à la vindicte de ce même système de l’étatisme devenu républicain.

Même fièvre de l’égalitarisme avec le mot « ensemble » : un attrape-couillons commercial pour vendre les produits républicains ou ses services. Ce qui prouve que le terme « ensemble » sert à masquer l’implosion individualiste des sociétés humaines commencé après 1789 et son « libéralisme » : les humains ne sont pas « ensemble » mais à la fois nombreux (quantitatif ou marchandises) et isolés (le contraire de l’Ancien Régime).

Avec la, ou le, ministre de la réduction nationale, les stéréotypes que tente de combattre ces mêmes socialo-capitalistes ont de beaux jours devant eux jusqu’en 2017 ! Ce ministre, puisque après-tout selon la théorie du gender, elle-il peut être un homme, est l’outil mis en place pour contrer officiellement la cause de Farida Belghoul qui lutte contre la théorie du genre à l'école et la maladie de l’égalitariste sous domination de la tyrannie de l’opinion.

La seule égalité possible est le Soi, qui est le même en tout. Toutes les différences sont externes, du monde des accidents, et sont superficielles. Par conséquence prôner l’égalitarisme ici-bas, entre homme et femme, est œuvre du Diable et de ses œuvres, car cela en fait une religion inverse. Or l’Unité ne peut pas être sur Terre mais dans l’intérieur de chacun. En conséquence nous sommes bien sous la domination du socialisme des Juifs bolcheviques alliés aux capitalistes de cette même juiverie financière internationale.
La Libération ne peut venir que de l’Unité. « La douleur de la diversité est surmontée par la joie de la perception de l’Unité. D’ailleurs, un roi peut très bien se déguiser en serviteur sans que cela ne crée une différence dans la personne » (Ramana Maharshi, entr. 507, qui rejoint d'ailleurs Gustave Thibon).

Madame, ou Monsieur le sinistre marocain à la tête de l’éducation ravageuse nationale républicaine, pourquoi vous donnez tant de mâle pour effectuer des réformes ? Allez dormir et voyez s’il y a des différences entre homme et femme dans le sommeil. Là, vous allez effacer les différences sans aucun effort et réaliser parfaitement le gender des capitalo-socialistes !

« Le mental est insaisissable. En fait, il n’existe pas. la voie la plus sûre pour le maîtriser, c’est de la chercher. Alors, ses activités cessent »
« Le mental n’est qu’un amas de pensées. Les pensées s’élèvent parce qu’il y a le penseur [même chose pour le temps : il n’existe que s’il y a quelqu’un pour l’observer]. Le penseur, c’est l’égo. Si l’on cherche l’ego, il disparaît automatiquement. l’ego et le mental sont la même chose. L’ego est la « pensée-racine » d’où s’élèvent toutes les autres pensées ». (Ramana Maharshi, entr. 194-195).

La ministre de la non-éducation nationale ferait bien de retourner à l’école !
La Marocain veut nous faire avaler les produits du puissant lobby gay, car le dit hétérosexuel a été éduqué pour l’être, jusqu’à l’arrivée des capitalo-socialistes au pouvoir ; depuis sa plus tendre enfance, il a été formaté pour un rôle, une place, dans le monde hétérosexuel des hommes et des femmes. Ce n’est pas le cas pour l’homosexuel, qui pour moi reste un aspect récréatif comme à un lunch au lieu de vous proposer une boisson on vous propose un garçon ou une fille à consommer selon votre gender. Mais de nos jours l’homosexuel très souvent ne prend conscience de son orientation qu’au cours de l’adolescence ou de l’âge adulte (même déjà marié et ayant un ou deux enfants avec son conjoint hétéro).

Selon l’opinion moderne et de la psychothérapeute mexicaine Marina Castaneda, spécialiste de la thérapie familiale et l’hypnose ericksonnienne, formé à Harvard et Stanford : « L’identité homosexuelle n’est pas donnée. Elle se construit peu à peu et ne s’exprime pas toujours de la même façon : elle change selon le contexte immédiat et les moments de la vie. L’homosexuel n’est donc pas homosexuel de la même façon que l’hétérosexuel est hétérosexuel. Ses relations avec les autres et avec lui-même sont très différentes ; dans ce sens, on pourrait dire que l’homosexuel vit dans un univers intérieur très différent, qui la plupart du temps ne se voit pas au dehors. Beaucoup d’homosexuels essaient, en effet, de se rendre invisibles et de passer pour hétérosexuels face à la société, à leur famille et à leurs amis ».
Castaneda ajoute : « L’individu homosexuel n’est pas comme l’hétérosexuel, et le couple gay ou lesbien n’est pas le couple hétérosexuel : ils se présentent des dynamiques, des étapes, des problèmes et des ressources spécifiques..... Le fait de « normaliser » l’homosexualité l’a réduite, en fait, à ses aspects les plus simples, et constitue par là même une distorsion ». Là sur la fin je suis d’accord avec Castaneda, qui insiste d’ailleurs pour dire que l’homosexualité, C’EST DIFFÉRENT, donc au niveau égalité si deux amis gays veulent se conforter lorsque l’un sera décédé ou malade et impotent, l’autre par bidouillage étatique pourra bien épauler son compagnon de misère, ou hériter de lui pour être à l’abri de cette misère.

De plus l’homosexualité chez les hommes et chez les femmes est profondément différent. Pour les uns c’est du quantitatif, pour les autres ce sera du qualitatif. De plus le Sida a décimé les gays (backroom, sexe clubs et promiscuité masculine), et pas les lesbiennes.
Le phénomène de la théorie du genre est typiquement un truc d’Occidental et de pays industrialisé, là ou l’étatisme est la parfaite fabrique à stéréotypes, que ce même étatisme cherche à combattre !!! 2000 ans de drames, de stéréotypes et d’idées reçues, et de rejets de l’homosexuel ont fait que malgré l’avancé, ou plutôt le problème étatique de la diarrhée législative, l’homosexuel reste un comportement mystérieux qui en excite certains au point de vouloir « se faire un homo » (délit de sale gueule), ou au mieux l’homo est risible comme la comédie ‘La cage aux folles’. Toutes les orgueilleuses théories du genre et des malades de l’égalitarisme n’effaceront pas ce mystère de l’homosexualité, probablement vieux comme le monde.

Qu’est-ce que l’être humain ? est la question de base d’une vraie civilisation où il n’y aura plus de division, ni de tension, entre pratiques sexuels différentes. Abattre des idées reçues qui n’ont pas court comme dans certains pays du tiers-monde, où l’homme qui pénètre un autre homme ne se considère pas comme un homosexuel : s’il joue un rôle actif (que ce soit avec des hommes ou des femmes), c’est qu’il est un homme, un mâle à part entière, et certainement pas un homosexuel. Dans cette opinion, seul celui qui se fait pénétrer pourrait être homosexuel.

Donc indiscutablement l’actuelle théorie du genre jouxté au mariage gay est une manipulation du puissant lobby gay au fort pouvoir d’achat. Le vrai problème n’est d’ailleurs pas que l’homosexualité soit une distraction comme de changer de plaisir comme écrit ci-dessus, ou une tentative de singer le mariage classique,  mais est bien celui de la société en général qui n’a jamais accepté, depuis au moins 2000 ans, l’homosexualité, d’où le recourt au lobby, aux pressions d’opinion de ce monde dit « civilisé » ; avec cette infernal division moderne entre hétéro et homo, comme s’il y avait les Blancs et les Noirs, ou les Bons Américains et les méchants Indiens ! Toujours la division winner-loser. Les losers-gays voulant manger au même râtelier que les winners-hétéros.
Le vrai problème est comme celui du mondialisme, un problème de l’ENSEMBLE de la société humaine et ses bases, qui permettra enfin de ne pas tomber dans l’opinion idiote LGBT insultant la mémoire d’un Arthur Rimbaud en se l’appropriant, en se le possédant, pour en faire une idole gay. Le modernisme veut tout anal-iser, bouffer, coller des étiquettes sur tout.

Bref, c’est la société elle-même qui a créé le problème homosexuel, donc en grande majorité les hétérosexuels ! Et c’est aux parents de parler, ou de ne pas parler, de sexualité à leurs enfanst, mais nullement à « l’éducation nationale » de cette judéo-maçonnerie à la Jules Ferry. Mais évidemment ça arrange cet étatisme pour faire des enfants de futurs consommateurs puisque tout cette civilisation est construite sur la consommation (voir la page Origine du Nouvel Ordre Mondial).

En résumé : Ce n’est pas à l’étatisme d’éduquer les enfants, sinon, ils sont effectivement des possessions de cette république comme a pu l’évoquer une politicarde ignarde, et comme à la belle époque du socialisme stalinien de l’URSS. Les école enseignent, les parents éduquent, mais en ce temps de la Novlangue et sur le principe de la démocratie qui ne peut être que manipulatrice, alors comme tout est à l’envers, ce n’est plus étonnant qu’une Marocaine, ou un Marocain ? veuille éduquer sexuellement les petits Français à la place des parents, dans ce monde totalement en perdition, où même l’homosexualité n’est plus ce qu’elle était jadis... ou à l’Âge d’Or, bref, dans l’Unité.



Note.
1. - Maharshi : Voulez-vous dire que le monde est séparé du mental et qu’il peut exister en l’absence de celui-ci ?
- Question (d’une jeune Anglaise) : Oui.
- Maharshi : Le monde existe-t-il dans votre sommeil profond ?
- Question : Il existe.
- Maharshi : Le voyez-vous dans votre sommeil ?
- Question : Non, pas moi. Mais les autres qui restent éveillés le voient.
- Maharshi : Dans votre sommeil, en étiez-vous consciente ?
- Question : Oui, dans mon état de veille.
- Maharshi : Vous parlez donc de votre perception du monde à l’état de veille et non pas de votre expérience dans le sommeil. Vous admettez l’existence du monde dans les états de veille et de rêve parce qu’ils sont le produit du mental. Le mental se retire durant le sommeil profond et le monde se trouve dans la condition d’une graine. Au réveil, le monde se manifeste à nouveau. L’ego s’élance, s’identifie avec le corps et voit le monde. Ainsi, le monde est bien une création du mental.
- Question : Comment cela se peut-il ?
- Maharshi : Ne créez-vous pas un monde dans votre rêve ? L’état de veille est également un rêve, mais prolongé. Il faut qu’il y ait quelqu’un qui voie les expériences du rêve et du sommeil. Qui est-il ? Est-ce le corps ?
- Question : Il ne peut pas l’être.
- Maharshi : Est-ce le mental ?
- Question : Ce doit être lui.
- Maharshi : Mais vous existez aussi en l’absence du mental.
- Question : Comment ça ?
- Maharshi : Oui, en sommeil profond.
- Question : Je ne sais pas si j’existe alors.
- Maharshi : Si vous n’existiez pas, comment pourriez-vous vous souvenir de vos expériences d’hier ? Est-il possible qu’il y ait eu une cassure dans la continuité du ‘je’ durant votre sommeil ?
- Question : C’est possible.
- Maharshi : Si c’était le cas, un Johnson pourrait alors se réveiller comme un Benson. Comment l’identité de l’individu est-elle alors maintenue dans ces conditions ?
- Question : Je n’en sais rien.
.....
- Maharshi : Tout comme les états de veille, de rêve et de sommeil profond ne sont que des phénomènes, la naissance, la croissance et la mort ne sont, elles aussi, que des phénomènes dans le Soi, lequel continue à demeurer inchangé et non affecté. Naissance et mort ne sont que des idées [des opinions]. Elles relèvent du corps ou du mental. Le Soi existait avant la naissance de ce corps et demeurera après la mort de celui-ci. Il en est de même de tous les corps qui ont été pris successivement. Le Soi est immortel. Les phénomènes changent et sont mortels [comme toutes modes ou opinions et autres théories]. La peur de la mort relève du corps, pas du Soi. Une telle peur est due à l’ignorance. Réalisation signifie vraie connaissance de la perfection et de l’immortalité du Soi [ou Instant]. La mortalité n’est qu’une idée qui cause la souffrance. Vous pouvez vous en débarrasser en réalisant la nature immortelle du Soi ».
(Ramana Maharshi, entretien 487)

L’être réalisé ou Bienheureux ne voit pas le monde comme séparé du Soi. Il possède la véritable connaissance et le bonheur intérieur d’un Adepte. L’être non réalisé ou le vulgaire voit le monde comme séparé (dualité), et en ressent son imperfection et en devient malheureux.
L’Adepte ou Bienheureux voit aussi les guerres et ravages dans ce monde mais n’en est pas affecté. Le Maharshi donne l’exemple de l’écran de cinéma qui n’est pas affecté par la projection d’une scène d’incendie ou d’inondation. Il en est de même avec le Soi. « L’idée ‘Je suis le corps ou le mental’ est si enracinée qu’il est difficile de s’en défaire, même quand on est convaincu du contraire ».
 
 

Dernière mise à jour : 27-08-2014 22:37

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