Loi de cause-effet = évolutionnisme
thermodynamique et géométrie de la ligne droite

Ici, notre Univers est un Univers de PARTICIPATION, d’INTÉRESSEMENT, tout du moins dans notre Galaxie ! Dans d’autres Univers, ce sera totalement autres choses.

 

 

 

 

 

La loi de cause-effet est du même thème que la saloperie de l’évolutionnisme et de la thermodynamique. Cette loi s’inscrit dans la géométrie de la ligne droite, de la « raison ». Elle est contraire à l’Instant qui est aussi l’INTUITION.
La géométrie de la ligne droite ou évolutionnisme ou loi de cause-effet est identique au « temps qui coule » (dans le sablier), ou au temps qui court par l’ombre de l’aiguille courante sur le cadran de pierre du « cadran solaire ». Le « temps qui coule » est donc du relatif. Sans « orientation de temps », il n’y a ni « avant », ni « après », donc pas de cause et effet. L’opinion d’espace et donc de temps pour aller d’un point A vers un point B est une idiotie du mental, de celui qui s’est piégé et rendu prisonnier dans sa loi de cause-effet. La chaîne de la prison de cause-effet (karma) est peut-être la variation principale du thème biblique de la Chute.

« Il existerait entre tous les événements de la vie d’un être humain deux sortes de relations, radicalement différentes : d’abord, la connexion objective, causale du cours naturel des choses ; ensuite, une connexion subjective qui n’existe que par rapport à l’individu qui vit ses événements, aussi subjective que ses propres rêves... Or, que ces deux sortes de connexions existent simultanément ; que le même événement, étant le maillon de deux chaînes tout à fait différentes, ne s’en insère pas moins avec précision dans l’une et l’autre, de sorte que chaque fois le destin de l’un s’accorde au destin de l’autre et que chacun est le héros de son propre drame mais en même temps aussi le figurant dans celui d’autrui : voilà qui, à vrai dire, dépasse tout notre entendement et ne peut être conçu comme possible qu’en recourant à la plus singulière harmonia praestabilita », citation de Schopenhauer par Carl Gustav Jung dans : Synchronicité et Paracelsica.

Mesurer l’ombre d’une aiguille sur un cadran pour se repérer dans une journée est le départ de la thermodynamique, avec la prise de conscience du feu (vulgaire : celui qui chauffe et fait cuir la viande ou les légumes). Avec le cadran solaire et le feu on entrait dans le CONFORT, celui de la NORME qui rassure. Ce sont donc des opinions issues du mental. Par conséquence, cette mesure du « temps » sur un cadran et plus tard par une « horloge atomique » n’est que d’origine du mental et ne constitue pas la Réalité. Espace et temps ne « vivent » que s’il y a quelqu’un pour les observer.

Ceci permet d’écrire que ceux qui inventèrent l’histoire : les Juifs, avec eux l’être humain tout court n’apprendra rien à travers l’histoire ! C’est pourquoi si nous désirons nous libérer par la Connaissance, nous devons être SEUL, SANS HISTOIRE À SE RACONTER OU SANS CROIRE, car nous pouvons être tout à fait sûrs de trouver cette Connaissance là où toutes les autorités de n’importe quel étatisme nous ont assuré qu’il n’y avait rien à chercher (voyez le problème des révisionistes avec la seconde guerre mondiale).
Se libérer aussi de l’opinion de ceux qu’on appelle « spécialiste », ou présenté comme tel par le moindre média. Ce genre d’individu est à fuir, car il faut toujours voir l’ENSEMBLE. Le « spécialiste » est une maladie de l’Occidental.
Se « raconter des histoires » est identique au « moteur » qui fait marcher les individus : pour les uns ce sera le sport, pour les autres la bouffe, pour d’autres jouer de la musique, ou jouer au banquier et boursicoter, etc.

Partout où le mental nous faire croire à l’existence d’une cause, il n’y aura pas d’Accord ou Synchronisation avec l’INSTANT, parce qu’on reste dans la dualité cause-effet ou sujet-objet.

THÈME ET VARIATIONS
IMPORTANT.
Pas de délimitation nette entre concepts, mais un concept ou thème peut être employé à la place d’un autre pour devenir variation à la place du thème. Chaque concept ou thème se comporte de façon hypostatique (de hypostase : chacune des trois personnes de la Trinité en tant que distincte des deux autres et consubstantielle avec elles ; ou circulus, ou circumincession). C’est-à-dire que chaque thème se comporte comme une substance propre et qui ne peut pas en même temps en être une autre. Pour Carl Gustav Jung c’est typique de la pensée primitive, qui se rencontre aussi dans la philosophie indienne, laquelle fourmille d’hypostases. Les mythes sur les Dieux en sont un exemple (chez les Grecs, les Anciens Égyptiens), avec des affirmation contradictoires au sujet d’un même Dieu. Mais même avec ces contradictions, les mythes peuvent exister parallèlement les uns aux autres, en circumincession, sans se gêner mutuellement.

La causalité est le même mal que le cancer et le mondialisme ! Intuitivement j’écris que la causalité n’est pas une « loi de la Nature ». Seul l’être humain atteint du cancer du pouvoir chie des lois et des normes.