LA CROISSANCE : la peur donne naissance à la cruauté. La cruauté donne naissance à ce qu’on appelle « civilisation », laquelle entretient constamment la peur (notamment par des lois sans fin, avec sa justice et ses prisons, sa police et son armée).
L’absence de peur constitue ce qu’on appelle LE PARADIS ou ÂGE D’OR.
Ainsi, qu’est-ce encore la croissance ? Mais la violence qui ne cesse de croître : la guerre de tous contre tous, le « exploitez-vous les uns les autres ». Le « high tech » opposé au « low tech », ou l’évolution opposée à l’involution. L’armée, née dans les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture où apparaissent la sédentarisation et les cités, donc les richesses, les gens d’arme et la justice sont censés assurer le gardiennage de la « paix ». Un Michel Serres dira que l’armée c’est le début de la décroissance vers la paix! Pour Michel Serres nous sommes en paix dans le monde depuis 70 ans ! Ce n’est que son opinion. Avec sa logique, à l’entendre, il n’y aurait pas de « Chute » et nous serions en une décroissance vers la paix depuis les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture !!! Donc pas d’Âge d’Or, circulez ya rien à voir... Michel Serres se situe parfaitement dans l’évolutionnisme cher au mondialisme capitalo-socialiste ! C’est d’ailleurs pour ça qu’il est assez médiatisé... et médaillé...
Voir aussi la page : Cet homme ment comme un franc-maçon spéculatif.

 

Le Vrai Paradis : c’est celui où l’écologie n’existe pas, car il n’y a pas plus économe en ressources que celles que l’on n’utilise pas. Ainsi, dans le fameux JARDIN D’EDEN (peut-être en Nouvelle-Guinée où existe encore des zones forestières montagneuses avec nombre de créatures jusqu’alors réputées disparues), il y a plus de 50.000 ans, quand il n’y avait ni chasse, ni exploitation forestière ni aucune profanation de l’environnement, la Terre était libre de toute destruction humaine.
Dans cette région chaude et humide où la population humaine est extrêmement réduite, où personne n’a jamais touché à la partie boisée et originelle du pays, de nombreux animaux ne montraient aucune crainte envers les quelques « scientifiques humains » qui les étudiaient. Par exemple deux échidnés à long bec - un mammifère ovipare originel - se laissèrent prendre et emporter par les « scientifiques » qui les ramenèrent à leur camp pour les étudier. C’est cela l’Âge d’Or, L’INNOCENCE, LA SIMPLICITÉ.

Et l’Enfer commence si une publicité ou une rumeur attirait des gens avides genre Couilles en Or vers ce qui est le Paradis dans l’Âge d’Or. À Bornéo, partie de l’Est de la Nouvelle-Guinée, de l’archipel indonésien, des forêts vierges similaires sont rasées afin d’y installer des plantations de nombreuses espèces fraîchement découvertes, et seront probablement détruites.

L’être humain actuel détruit tout, rend esclave les 90 % de ses frères et sœurs. L’humain exploite les animaux, il les mange même. Même chose pour les végétaux. L’Âge d’Or ÇA VEUT DIRE INNOCENCE, comme les animaux qui n’avaient aucune peur des humains de cet Âge. Les animaux pouvaient être même serviables envers les humains, comme par exemple de nos jours de nombreux chiens. Évidemment des humains ont trouvé le moyens d’inculquer d’autres caractères à certaines races de chiens et d’autres animaux pour les rendre différents : cruels, hostiles à l’humain.
La certitude est que l’amour de tuer par plaisir semble croître avec que qu’on appelle « civilisation », car le « primitif » le moins évolué ne chasse que pour se nourrir. (En réf. à Annie Besant et à Marshall Sahlins). Évidemment le responsable de ce drame, de cette CHUTE, c’est l’ego ou mental.

Le résultat de l’habitude humaine de mépriser le « primitif », dont les animaux, peut être constater partout dans le monde : le primitif actuel est celui que l’empire USionistan veut « démocratiser » à coups de bombes sur la gueule ; mais surtout toutes les créatures qui auraient pu aimer fuient loin de nous : tout ce qui vit dans les bois, dans les champs, dans les forêts et dans les jungles fuit à l’approche du pas de l’humain.
Bref, les animaux, même ceux dit « sauvages » comme le lion, sont prêts à être amicaux envers l’humain, mais en dépit des cruautés qui leurs sont infligées dans le monde entier, ils cherchent encore naturellement à se rendre utiles ; et vous verrez si un jour tous les animaux se révoltent contre les humains (voir le film Les Corbeaux, The Birds de Hitchcock, qui ne s’attarde qu’à une seule espèce... mais est dans le thème des microbes ou autres espèces considérées comme « parasites » au même titre que les « terroristes »).

Avant tout les animaux veulent aider : « Le San Francisco Chronicle du 15 décembre 2005 rapporte le cas d’une baleine, emprisonnée dans des lignes de pêche et filins enroulés tout autour de son corps, qui luttait pour se maintenir à la surface. Voyant cela, un pêcheur avertit par radio un groupe de protection de la nature qui dépêcha une équipe de secours ; le seul moyen de la sauver était de plonger et de démêler le maillage de filins qui l’emprisonnaient, ce qui prit quelques heures et aurait pu être dangereux pour les sauveteurs. Dès qu’elle fut libre, les plongeurs disent qu’elle nageait en faisant des sortes de cercles joyeux autour d’eux, et qu’elle revint ensuite vers chaque plongeur, l’un après l’autre, les poussant et les bousculant doucement de-ci de-là : elle les remerciait ! Quelques-uns on dit que c’était l’expérience la plus incroyablement belle de leurs vies » (ref. The Theosophist, juillet 2006).

Il est connu que Ramana Maharshi par sa méditation et son silence et sa puissance rayonnante attirait les gens simples, les enfants, et les animaux. « Les enfants s’asseyaient près de lui et le regardaient en silence, goûtant simplement la paix de sa présence » (réf. présentation de l’enseignement de Ramana Maharshi).
Par exemple des yogis indiens se déplacent en toute sécurité dans les jungles infestées de tigres et de serpent, « et plus récemment encore, les moines du Temple du Tigre dans la province thaïlandaise de Kanchanaburi, qui recueillirent seize tigres, sauvés encore petits après avoir perdu leurs mères. The Hindu, l’un des principaux journaux de l’Inde, dans son édition du 19 avril 2006, montrait une photo touchante d’un moine plein d’amour tenant dans ses bras deux tigres adultes, avec un troisième face à lui. Ils vivent dans la paix et dans l’amitié - ce qui devrait être présent dans tous nos rapports avec les animaux » (réf. The Theosophist, juillet 2006).
Il existe de nombreux cas d’animaux qui viennent en aide ou secourent des membres d’une espèce différente. Les liens entre chiens et chats sont connus. Il existe aussi le lien entre un chat âgé d’un an et un singe de quatre ans, qui devinrent mère et camarade de jeu l’un pour l’autre ; « ils purent vivre dans un temple au nord de Bangkok, car singes et chats sont traditionnellement accueillis et nourris dans les temples, tant par les moines et les visiteurs ».
UN EST LE TOUT : minéraux, plantes, animaux et humains.

Le loup et l’agnelet paîtront ensemble. Le lion comme le bœuf mangeront de la paille, et le serpent se nourrira de poussière. (Isaïe, 65 25) Nous sortiront bientôt de cette Chute actuelle.

Aujourd’hui dans le Chute nous avons le DORG (Demain On Rase Gratis) : les nanotechnologies, soit la CROISSANCE ou LE BEURRE ET L’ARGENT DU BEURRE du ROYAUME DES JUIFS, alors qu’avec ces nanomachins nous avons bien de grands risques liés à leur fabrication, leur usage, et la dispersions de nanoparticules dans la Nature.
Autre joujou de l’humain actuel digne pour certains de la machine à vapeur de Denis Papin : l’imprimante 3D, soit le contraire de l’usinage du tourneur sur métaux ou sur bois qui ENLÈVE de la matière (l’imprimante 3D fait le contraire : technologie ALM Additive Layer Manufacturing, ainsi les objets sont fabriqués par dépôt, couche par couche d’un matériau de base).
Par de quoi s’agiter, avec ce genre d’imprimante à la maison, on ne fabriquera pas des clous ou des vis. L’imprimante 3D ne remplacera pas les hauts-fourneaux, les cimenteries, les verreries, les raffineries, les usines chimiques qui fabriquent le résine qui leur sert « d’encre 3D »)... Ensuite, ces imprimantes ne fabriquent qu’une seule pièce, il faudra monter un ensemble de pièces, à la main, d’où encore la présence du mot : manufacture. Selon la Chute et sa croissance : à quand l’imprimante 3D qui s’imprime elle-même ???

Si on ne cherche pas la retrouvaille de l’Âge d’Or, qui est toujours présent, ici et maintenant, comme le dit Ramana Maharshi, dans moins de 300 ans, avec l’érosion par le vent et les éoliennes, on ne trouvera plus un terre cultivable.
La croissance dans la Chute c’est encore la pollution des sols par les métaux issus des pots d’échappement des automobiles, des routes asphaltées, des mâchefers (scories de foyer où se fait la combustion de houille) utilisés en sous-couche routière, les boues d’épuration épandues dans les champs, les sols bétonnés ou bituminés. Grande distribution, cinémas multiplexes et autres hypermarchés sont gourmands de surfaces de bitume. Ces surfaces de bitume augmentent, croissent de 60.000 à 75.000 hectares par an depuis plus de 20 ans, soit la surface d’un département, 1% du territoire, en 7 à 10 ans ! Là-dedans sont compris les parking, les ronds-points, bordures d’autoroutes, et les golfs pour Couilles en Or. La Chute s’accentue avec le contraire de la fièvre « égalité judéo-maçonnique » : impasse morale, système en train de s’écrouler dans ce monde qui abat des forêts anciennes pour en faire des mouchoirs en papier ou du contreplaqué de chantier ; ou encore un monde qui chauffe ses terrasses de café sans s’émouvoir du gaspillage invraisemblable.
Donc le système high tech est déjà mort, il est urgent dans un premier temps avant de se poser l’éternelle question : « Qu’est-ce que l’être humain ? », et « Qu’est-ce que le Mouvement ? », de tenter autre chose. De nos jours tout se réclame du high tech : perceuses, crèmes de beauté, matelas, peintures, vêtements, chaussures, médecines, etc.

Le Greenwashing.
Comme tout est à l'envers, est criminel ceux qui incitent à nous convaincre de réaliser un « geste pour la planète ». Ce sont les mêmes suppôts de Satan qui propagent chez les « primitifs » leur démocratie à coups de bombes sur la gueule.
On en est encore à « l’écologiste de la demande » qui proposera de débrancher sa télévision pendant certains jours de la semaine, et « l’écologiste de l’offre » qui réclamera des gobelets à café en plastique recyclable, et « l’écologiste de la demande » qui aura sa tasse dans le tiroir de son bureau.

L’éolien c’est cautère sur jambe de bois, et une catastrophe de plus pour notre planète : bétonnage des bases logistiques, construction de routes d’accès pour la maintenance, extraction et raffinage des matières premières, etc., afin d’illuminer nos rues commerçantes avec des éclairages de Noël, ou pour alimenter des panneaux publicitaires dans les endroits publiques, des écrans plats dans les postes... afin de faire patienter l’attente par suite de compression de personnel, pour « économie » !
Le high tech c’est l’obsolescence programmée de cette civilisation du jetable, pas de réparation possible, il faut du travail pour les ouvriers dans leurs usines, ou plutôt pour les robots des usines des Couilles en Or. Qui possède encore un thermomètre à mercure pour prendre sa température ? Son remplaçant électronique en high tech fait la partie de la Chute : il tombe en panne (affichage, pile, circuit électronique), et son contenu en matières premières, jouxté à la petitesse et à l’impossibilité d’une collecte pour recyclage en font un produit finissant naturellement en décharge ou en incinérateur. Ce n’est pas le cas du bon vieux thermomètre à mercure, lequel a d’ailleurs fait son retour dans les ampoules « basse consommation ».

La mécanisation de notre civilisation commence après 1789, avec la mécanisation des âmes, le viol des foules par l’opinion. Historiquement, la science de la mécanisation sociale (mondialisme) a progressé parallèlement à la mécanisation industrielle.

Évidemment il y aura vite ceux qui dénigreront le low tech ou basses technologies en parlant de rétrograde, d’obscurantisme, opposés au « progrès » si cher aux fils du « Royaume de Dieu (juif) sur Terre ». Faire moins (principe 1), et plus durable (principe 2), ce serait revenir, presque, à s’éclairer à la bougie. Simplement les finalités sont différentes : agriculture bio, permaculture, peuvent entrer dans le low tech : pas de pollution, respect ou restauration des patrimoines culturels comme les sols, etc. Pour être efficaces les bases théoriques en agronomie, en microbiologie etc., seront sérieuses. Comme déjà écrit, nous ne sommes plus au temps des croyants mais des SACHANTS. Des Sachants surtout au niveau des DÉCHETS ! Cela implique tout le monde. Cela implique, contrairement à l’opinion de Philippe Bihouix dans : L’âge du low tech, de sortir de l’étatisme où se trouve les « fonds publics » genre impôts, énergie, etc. À nouveau je répète que PLEIN DE PETITS MOTEURS VALENT MIEUX QU’UN GROS QUI PEUT CASSER. Donc être autonome, produire localement, etc., se passer de l’étatisme. Être un Sachant, avant d’avoir réalisé le Soi, c’est aussi être conscient de l’impact, des tenants et aboutissements de chacun de ses achats ! Au niveau déchets, être Sachant, c’est comprendre les principes des grands cycles naturels et les modalités pratiques du compostage comme par exemple avec les lombrics, ces poumons de la terre ; sans eux la Terre est morte, car il y a ceux qui compactent la Terre en gros agrégats et ceux qui « décompactent » la Terre en petits agrégats.

J’oublie d’écrire que le high tech se trouve évidemment dans le camp du winner : la performance, donc le confort, la légèreté, la compétition, le toujours plus ceci ou cela ou l’efficacité en apparence; le tout sous le danger permanent de risques géopolitiques, de ruptures d’approvisionnements, de pic de ressources, d’instabilités politiques, etc. Avec le high tech c’est l’humain qui est devenu au service de la machine, alors que cela devrait être le contraire, ce qui est la définition de l’OUTIL : être au service de l’humain, comme le sont ses mains et ses yeux. C’est-à-dire que l’être humain doit être la mesure de toutes chose, et non comme aujourd’hui où l’être humain doit être mesuré par les choses ou Big ceci ou Big cela.

Il n’y a pas de croissance ou évolutionnisme, mais des CYCLES ; le monde a été créé en mesure, nombre et poids et c’est vrai pour l’éternité, comme écrivait Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux. Tout est cycles puisque UN est le TOUT : tous les modes vibratoires des trois règnes (minérale, végétale, animale) et de l’invisible, s’interpénètrent les uns dans les autres, de la même façon que les solides, les liquides et les gaz sont tous trois présents dans une éponge imbibée d’eau (éponge ou solide, eau ou liquide, et gaz constituant l’eau).

Pour terminer cette page, ce n’est pas le catholicisme actuel qui nous délivrera de la folie technologie destructrice ! Car ce catholicisme là est réduit au même moralisme que celui de cette judéo-maçonnerie spéculative proche d’un protestantisme...
« À notre époque de confusion du spirituel et du psychique, où l’on appelle esprit tout ce qui se présente comme caractéristique dominante d’un psychisme de groupe [opinion], qui agglutine les âmes en un paquet visqueux, comme ces paquets d’œufs de crapauds qu’on trouve dans les étangs, il est dangereux d’être têtard qui veut vivre seul en tête à tête avec les lois de sa vie de têtard, sans la protection de ce paquet de gélatine. Il y a toujours un goujon ou une truite pour le bouffer ». (Jean Coulonval, lettre à Eugène Ionesco de décembre 1972, dans : Synthèse et Temps Nouveaux)