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Pharisiens : religion actuelle du Saint Fric Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 28-09-2014 19:09

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Pharisiens : religion actuelle du Saint Fric

Le Christ : un antisémite ?
 
 
Le VRAI CHRIST que condamnèrent les membres du Sanhédrin : les Juifs de ce temps là qui préfèrent Tuer le Christ et relâcher l’assassin et voleur Barabbas. Le Sanhédrin de cette époque (deuxième temple de Jérusalem) est le pur Vatican de Satan, lequel rayonne à nouveau depuis Vatican 2 parfaitement droit de l’hommiste.
Le Christ, seul véritable MESSIE ou Vraie Réalisation du Soi Instant. Donc aucun messie juif ou bruxellois ou d’autres contrés à attendre, à l’extérieur ! LE MESSIE EST INTÉRIEUR, ce que d’ailleurs semble reconnaître aussi l’Islam puisque les Musulmans reconnaissent Jésus comme le Messie.
LA RELIGION EST UNE OPINION, comme la science, la philosophie, la politique. Ce sont les sentiments (les cinq sens) qui décident des idéologies, des opinions. ensuite, par le mental, on prétend les justifier par du verbiages, des systèmes ou des ismes. Cela aboutit à 1789, puis au socialisme et plus généralement au marxisme, en prétendant que « dans le principe » est la matière), caricature en creux de l’Église, pseudo-synthèse voulant des œufs clairs. Jamais le socialisme ne fera éclore l’humain. L’œuf clair ne peut que pourrir.
 
Il y a manifestement une division entre le judaïsme d’origine qui reconnaît aussi la Réalisation du Soi, et le judaïsme actuel prenant racine à la crucifixion de Jésus et à la talmudisation du judaïsme, qui donnera d’ailleurs le sionisme tel que nous le vivons actuellement ici en France t et dans nombre d’endroits occidentales du monde.

Jésus attaque les Pharisiens et les Scribes : Matthieu 23 (13-14 et 32-36) : Hypocrisie et vanité des Scribes et des Pharisiens : Malheur à vous, scribes et Pharisiens hypocrites, qui fermez aux hommes le Royaume des Cieux ! Vous n’entrez certes pas vous-mêmes, et vous ne laissez même pas entrer ceux qui le voudraient... Serpents, engeance de vipères ! comment pourrez-vous échapper à la condamnation de la géhenne ? C’est pourquoi, voici que j’envoie vers vous des prophètes, des sages et des scribes : vous en tuerez et mettrez en croix, vous en flagellerez dans vos synagogues et pourchassez de ville en ville, pour que retombe sur vous tout le sang innocent répandu sur la terre, depuis le sang de l’innocent Abel jusqu’au sang de Zacharie, fils de Barachie, que vous avez assassiné entre le sanctuaire et l’autel ! En vérité, je vous le dis, tout cela va retomber sur cette génération.

Voir aussi la page : La fin des Pharisiens.
 
Le Christ du Vatican c’est celui du business, celui des Pharisiens, surtout depuis Vatican 2.

Qu’est-ce que c’est LA FOI ? C’est le synonyme de la Réalisation du Soi, de l’Instant, de la Vérité, du Centrum Centri, de la Conscience, du Cœur, et d’une foule d’autres noms suivant le point de vue de chacun.
Ce n’est aucunement un sentiment démagogique puisque la Foi comme la Vérité englobe aussi la Science. La Foi ce n’est pas certains Chrétiens qui se représentent Jésus comme le Jean-Baptiste de Karl Marx, et comme l’écrit Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux : qui ont si peur d’être les derniers Chrétiens qu’ils seront les derniers marxistes : se souvenir de l’époque de l’après seconde guerre mondiale, et même avant, avec des prêtres-ouvriers qui se « déguisent » en ouvriers jusqu’à adopter leur argot parlé dans les ateliers, « en s’efforçant de l’imiter avec une déplaisante ostentation » comme l’écrit Hyacinthe Dubreuil d’une manière percutante dans tout son chapitre consacré au prêtres-ouvriers (J’ai fini ma journée, chapitre Les prêtres-ouvriers).
Dans cet effort maladroit pour « faire ouvrier », écrit Dubreuil, « j’ai entendu divers prêtres employer avec emphase le vocabulaire des réunions publiques,sans s’apercevoir que ce vocabulaire porte des idées dont ils finissent par être imprégnés, ce qui est un fait inverse du message qu’ils voulaient apporter ».

« C’est pourquoi, lorsqu’on voit des gens cultivés - ou qu’on peut croire tels - s’efforcer de parler comme l’ouvrier inculte, on peut dire qu’ils s’abaissent, et contribuent par là à l’abaissement de ceux qu’ils prétendent instruire ».

Même chose en politique chez les politicards de professions : « Je me souviens qu’un jour, il y a de cela longtemps, un député communiste affectait d’aller à la Chambre en portant une casquette, pour « faire ouvrier », alors qu’il n’en était d’ailleurs pas un. J’ai le regret de constater que la combinaison de ce prêtre [vêtu d’un bleu de travail] marquait une pensée du même niveau ».
Être ouvriers est un honneur : « Ne devient pas ouvrier qui veut. Il existe une culture ouvrière qui ne se juge pas avec les barèmes de la culture tout court… » (citation du Père Dillard, mort au camp de Dachau, et cité par Dubreuil).
Bref, l’ouvrier est encore trop souvent considéré comme « matériel humain », surtout à l’époque des machines…

Donc le sentiment c’est le mental, comme l’écrit Coulonval qui rencontra un vicaire de paroisse ouvrière lui disant que les histoires de Trinité ne l’intéressaient pas, parce que sans importance ; pour lui, être chrétien, c’était simplement une certaine forme de sentiment social !

Depuis plus de mille ans l’enseignement chrétien se limite au spatio-temporel, au social, à un vulgaire moralisme de sentiment religieux, des « bondieuseries » comme disaient H.P. Blavatsky. Or le Christ véritable c’est le CHRISTOS (le Soi ou ego divin, encore appelé Gabriel, en hébreu « le puissant de Dieu »), autre mot pour l’Instant ou Vérité. Le Christos c’est l’ego dompté, devenu UN (plus de dualité).

CHRESTOS (gr.). La forme primitive gnostique pour Christ. Elle était utilisée au cinquième siècle avant J.C. par Eschyle, Hérodote et autres. Les Manteumata pythochresta, ou les « oracles rendus par un dieu pythique » grâce à une pythonisse sont mentionnés par le premier (Choeph. 901). Chrésterion n'est pas seulement « le siège d'un oracle », mais une offrande à un oracle ou préparée pour lui. Chréstés est celui qui explique les oracles, « un prophète et un devin », et Chrésterios, celui qui sert un oracle ou un dieu. Le plus ancien écrivain chrétien, Justin Martyr, dans sa première Apologie appelle ses coreligionnaires Chréstiens. « Ce n'est que par ignorance », écrit Lactance (livre IV, chap. VII), « que les hommes s'appellent Christiens (1) au lieu de Chréstiens ». Les termes Christ et Christiens écrits, à l'origine, Chrést et Chréstiens, ont été empruntés au vocabulaire en usage dans les Temples des Païens. Chréstos, dans ce vocabulaire, désignait un disciple en probation, un candidat hiérophante. Lorsqu'il en avait atteint la stature par l'initiation, de longues épreuves et la souffrance, et qu'il avait été ‘oint’ (c'est-à-dire, « frotté d'huile », comme l'étaient les Initiés et mêmes les idoles des dieux, en tant que dernière touche de l'observance rituelle), son nom était changé en Christos, le ‘Purifié’, en langage ésotérique ou langage des mystères. A dire vrai, en symbologie mystique, Christés, ou Christos, signifiait que la « Voie » (le Sentier) était déjà foulée et le but atteint, quand les fruits du dur labeur, unissant l'éphémère personnalité d'argile à l'indestructible individualité, la transformait par là en un immortel EGO [Soi]. « A la fin de la Voie se trouve le Chréstés, le Purificateur, et une fois l'union accomplie, le Chrestos, « l’homme de douleur » [Pan/Couleur/Panique] devenait Christos lui-même. Paul, l'Initié, le savait, et c'est exactement ce qu'il voulait dire, quand on lui fait dire dans une mauvaise traduction : « Je suis en gésine de nouveau jusqu'à ce que Christ soit formé en vous » (Galat. iv. 19), dont le sens juste est... « jusqu'à ce que vous formiez le Christos en vous ». Mais le profane qui savait seulement que Chréstos était en quelque sorte lié au prêtre et au prophète, et ne savait rien du sens caché de Christos, insistait, comme Lactance et Justin Martyr, pour être appelé Chréstien au lieu de Christien. Tout individu bon peut donc trouver Christ en son « homme intérieur » comme l'exprime Paul (Ephés. Juif, Musulman, Hindou, ou Christien. Kenneth Mackenzie semblait croire que le mot Chréstos était synonyme de Soter, « appellation réservée aux divinités, aux grands rois et aux héros », voulant dire ‘Sauveur’, – et il voyait juste. Car, ainsi qu'il l'ajoute : « Cela fut appliqué d'une manière redondante à Jésus-Christ, dont le nom Jésus ou Joshua a la même interprétation. En fait, le nom Jésus est plutôt un titre honorifique qu'un nom – le nom véritable du Sauveur du Christianisme étant Emmanuel ou Dieu avec nous (Matthieu, I, 23.)... De grandes divinités parmi toutes les nations, que l'on représente comme expiatoires ou auto-sacrificatoires, ont été désignées par le même titre » (Royal Masonic Cyclopoedia). L'Asclepios (ou Esculape) des Grecs avait le titre de Soter.

Note : 1. Le français moderne ne permet pas de faire la distinction entre Chréstiens et Christiens. Pour que le texte de un auteur soit intelligible nous avons dû conserver, en en francisant la terminaison, les termes anglais employés par Madame Blavatsky. (N. du T.)
(Glossaire Théosophique, de H.P. Blavatsky)

Bien entendu la Croix n’est pas un symbole chrétien. « On la connaissait et l'employait à des fins mystiques des milliers d'années avant notre ère. Elle faisait partie intégrante de divers Rituels en Egypte et en Grèce, à Babylone et en Inde aussi bien qu'en Chine, au Mexique et au Pérou. C'est un symbole cosmique aussi bien que physiologique (ou phallique) », écrit encore H.P. Blavatsky dans son Glossaire (inachevé à cause de sa mort). Bien-sûr le Tau ou T est la plus ancienne de toutes les formes. La Croix ansée est munie d’une poignée et est entre les mains de presque tous les Dieux, y compris Baal. La croix cramponnée est la Svastika indienne.
L’auréole, le Nimbus, placé autour des têtes de Christ ou des Saints dans les Églises Grecque et Romaine est d’origine orientale. En Chine, au Tibet et au Japon, la tête des saints est toujours entourée d'un nimbe.

Les Nazaréens identiques aux Chrétiens de Saint-Jean, appelés mandéens ou Sabéens quittèrent la Galilée il y a plusieurs centaines d’années, pour s’établirent en Syrie, à l’Est du Mont Liban, ils s’appellent aussi Galiléens, mais ils donnent au Christ le nom de « faux messie » car ils ne reconnaissent que Saint Jean Baptiste…

PTAH, puis OSIRIS furent des prototypes de Jésus : l’ego double, dont l’un repose sur l’ego divin (le Soi). Ptah puis Osiris Dieu national de l’Égypte ancienne, comme Jehovah est le Dieu national d’Israël. Ptah puis Osiris puis Jésus se déclinent comme sauveurs de l’humanité, car ils « naquirent dans le monde » (espace 3 D). La naïveté d’Osiris fit qu’il rencontra le mal, il fut vaincu (coupé en morceaux), et renaît comme la graine (œuf) renaît au printemps. Osiris ne demeure pas dans son tombeau. Au bout de trois jours, ou du symbolique 40, il ressuscite et s’éleva au Ciel comme tous Bienheureux chevauchant le Dragon en Chine. Ainsi l’histoire des Chrétiens et du Christ ne leur appartient pas, car les fondateurs de l’Église de Rome n’eurent pas de plus grande difficulté que d’appliquer la légende d’Osiris à un nouveau personnage : Jésus.

Note sur le BONNET BLEU DE PTAH : dans bonnet il y a bon. C’est un signe d’ordre spirituel. Par exemple l’Esprit est invisible et rien ne peut le détruire ; le bonnet ou enveloppe de quelque chose signifie à la fois l’invisibilité et l’Esprit (comme le Dieu Ptah). Couvrir quelqu’un d’un manteau c’est à la fois le cacher, le rendre invisible et le mettre à l’abri du malheur. Ainsi le bonnet affirme la spiritualité et la met en sécurité. Il garantit triplement l’invisible, à cause également du bleu figurant le futur.

Ptah et tous les Dieux solaires « Premiers nés » sont rattachés à la constellation du Zodiaque : LE TAUREAU, qui figure le A ou Aleph de l’alphabet hébraïque, c’est pourquoi cette constellation est appelée « l’Unique », le « Premier », d’après la dite lettre.
TAUREAU = LOGOS, d’où par exemple les cornes sur les têtes d’Isis, de Moïse, etc. Les Chrétiens rattachaient le signe et la constellation au Christ.

Rappel : le monde chrétien actuel est depuis au moins 1000 ans plongé dans un demi-laïcisme, la solidarité de l’Esprit et du physique ayant été rompue, particulièrement avec Galilée. « La conséquence a été pour l'enseignement chrétien de se limiter pour ce qui est du comportement dans le spatio-temporel, le social, à un vulgaire moralisme sentimental sans référence aux essences. Il parle du sentiment religieux et non pas de connaissance (co-naissance = naître à l'Esprit). Ce demi-laïcisme explique qu'il peut y avoir des chrétiens-marxistes-communistes, ce qui est en vérité une monstruosité.
Pour les « ismes » philosophiques, ce sont aussi les sentiments qui décident et les constructions logiques ne viennent qu'après pour les légitimer d'une façon fort illusoire : les philosophismes sont toujours remis en question au vent des variations historiques du sentiment [de l'opinion].
Aujourd'hui, avec la maturation des sciences du physique, nous retrouvons la nécessité de la vision unitaire du divin et de la matière. Les célébrités de la science atomique qui, curieusement, sont pour beaucoup des Juifs (la majorité des prix Nobel sont juifs, mais aucun musulman), sont les nouveaux théologiens qui appellent la vraie synthèse, les retrouvailles du Ciel et de la Terre. Le génie scientifique, a dit Keyserling, est un saint aussi authentique que le saint religieux. Ils se rejoignent pour la fin des rivalités du Ciel et de la Terre. Le temps vient de la rencontre des religions dans un oecuménisme total.
A la source des confusions qui vont jusqu'à faire vivre religieusement ce qui n'est qu'opinion (naguère le nazisme, aujourd'hui encore le communisme), un mauvais emploi du vocabulaire est pour beaucoup. Les chrétiens parlent toujours de l'existence de Dieu, alors que Dieu Est. Ce qui ex-iste (issu, engendré de l'Être), c'est la Création. Employer le même mot pour Dieu et pour la Création, dire que Dieu ex-iste, invite les réflexes mentaux à se faire de Dieu une idée d'objet ex-istant face au mental, un objet à atteindre. Gagarine, le premier cosmonaute, a dit qu'il n'avait pas rencontré Dieu. Or, ce n'est pas l'homme qui atteint Dieu, c'est Dieu qui nous atteint. L'Homme, sommet de la Création, étant le tout de la Création, ne peut se voir comme objet extérieur à la Création, et Dieu ne peut être perçu comme objet extérieur à sa Création. Pourtant, comme le dit Clavel, l'homme a voulu se faire exister par lui-même, et ce lui-même ne peut évidemment être que ses opinions. « Deux siècles chez Lucifer. » C'est la révolution de 1789 qui a établi le culte de l'opinion comme critère de vérité politique. Le peuple le croit mais les vrais politiques, les hommes de pouvoir qui ne sont pas nécessairement ceux dont on publie les noms, ne sont pas dupes parce qu'ils ont pouvoir de fabriquer des opinions à leur convenance », écrit avec une grande justesse Jean Coulonval.
 
 

Dernière mise à jour : 28-09-2014 19:34

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