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Capitalisme = Coke, le Speed Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 21-10-2014 17:09

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Capitalisme = Coke, le Speed
Or noir et Or blanc font bon ménage
Religion du Saint Fric ne peut aller
qu'avec celle de la drogue-confort-entertainment-culture
 
 
Comment précipiter votre mort : un petit speed-sniff d’Or blanc (voir plus bas le BCG).

NERFS
Un CROI – SEMENT :
- Ce qui réveille endort.
- Ce qui endort réveille.
(Ce qui réveille endort : empêche de faire le vide pour trouver l’inspiration. C’est-à-dire que l’état de relaxation et de concentration n’est pas présent et ça ne fait qu’exciter le mental)

Drogue ou pouvoir ou libre-arbitre sont une seule et même chose.
Le pouvoir est une jouissance ; l’enfant étant l’égale de Son Père, il lance un défi à Son Créateur et va vouloir mettre dans son faire/fer l’Énergie originel à la merci de son ego. C’est aussi cela la Chute : le « désir-pouvoir » ou faire/fer orienté vers et par la conscience personnelle ou ego de l’humain, qui va devoir alors connaître les difficultés de « sa » création, soit la souffrance, le malheur, l’angoisse, le mal et les guerres, la mort. Ainsi avec le mental dualiste on en oublie évolution-involution pour ne retenir que l’évolutionnisme, et donc l’ANTI-CRÉATION, ce que je nomme « thermodynamique » sur laquelle repose toute notre technologie actuelle. L’anti-création c’est la dualité.
Ne jamais oublier que l’Origine, le monde Originel ne s’explique pas, il n’est pas le faire/fer, ni l’analyse, IL SE VIT, donc PAS DE MOTS/MAUX, pas de mental ou ego. Aussi ne jamais oublier l’EAU prenant des formes multiples à l’indéfinissable, ce qui implique la recherche continuelle de toute chose par le « Multiple Unitif » (Fixation cavalante) ou Soi-Instant. Un bon exemple est l’eau lourdée (de LOURDES et ses Miracles), parce qu’adombrée de l’Énergie du Plan Incarnationnel (tout lieu qui a servi au Plan Incarnationnel d’une Énergie devient « Porteur de radiations cosmique de Maât », ou la survenue brusque de l’Instant en un endroit donné, appelée aussi « Stargate »).
 
La finance internationale ne peut pas se passer du business de la drogue, légale (Big Pharma), ou illégale (maffia de la finance internationale). Telle est l’image de notre « civilisation ».
Avant la seconde guerre mondiale Big Pharma en France c’était « Les 200 familles », soit les deux cents plus gros actionnaires (sur près de 40.000) de la Banque de France pendant l'entre-deux-guerres mondiales. Ces familles maîtresses de l’économie française, et évidemment de la politique !

Famille Caruel de Saint-Martin (Manufacture de Tabacs)
Famille Darblay (Industrie)
Famille Davillier (Banque)
Famille d'Eichthal (Banque)
Famille Fould (Banque)
Famille Goüin (Banque, Industrie)
Famille Gradis (Commerce)
Famille Hottinguer (Banque)
Famille Lazard (Banque)
Famille Louis-Dreyfus (Négoce de grains)
Famille Maingard (Industrie)
Famille Mallet (Banque)
Famille Mirabaud (Banque)
Famille Petiet (Industrie, UCPMI)
Famille Piaton (Industrie)
Famille Pillet-Will (Banque)
Famille Raphaël (Banque)
Famille Rimet (Négoce de grains, Chemins de fer)
Famille Robillard (Manufacture de Tabacs)
Famille Rothschild (Banque)
Famille Schlumberger (Industrie)
Famille Schneider (Industrie)
Famille Stern (Banque)
Famille Vernes (Banque)
Famille Wendel (Industrie)
Famille Worms (Banque, Armement naval)

Héritiers des 200 familles :
Famille Mulliez (Auchan, Boulanger, Décathlon, Electro Dépôt, Flunch, Kiabi, Kiloutou, Leroy-Merlin, Norauto, Saint Maclou, etc…). Sans oublier les Louis Dreyfus, Dassault, Moulin (Galeries Lafayette, BHV, Monoprix…), Courtin-Clarins, Bouygues, Ducaux, Ricard, Bettencourt, Wendel, Bonduel, etc.

La politique et le fric aboutirent à rendre obligatoire (en 1950) la vaccination du BCG (censé lutter contre la mode de la tuberculose). Évidemment de nos jours le BCG n’est plus une « institution » de l’étatisme dictatorial. Ce n’est pas à l’État de décider comment se soigner et avec quel médecin. Il faut savoir qu’à cette époque de la mode du BCG, et pendant un moment, un candidat au bachot ne pouvait s’inscrire pour en subir les épreuves, sans d’abord se soumettre à la cuti (scarification) à la tuberculine.

MÉDECINE ACTUELLE DITE OFFICIELLE : Il ne s’agit pas de soigner les gens mais de faire UNE MÉDECINE QUI RAPPORTE DU FRIC, donc une médecine mécaniste dans l’optique du transhumanisme, de la théorie du genre et de la fièvre de l’égalitarisme, des vaccins, etc.
 
RAPPEL : « C’est l’homéopathe qui a utilisé le premier les substances à de très petites doses ; actuellement l’inversion d’action d’un produit selon la dose, forte ou infinitésimale, est connue d’une manière courante même par la médecine officielle. Notamment, toutes les méthodes de désensibilisation anti-allergiques utilisent des procédés homéopathiques.
Les vaccinations elles-mêmes tant décriées par la plupart des chapelles homéopathiques, parce qu’elles sycotisent le patient, sont dans la plus pure tradition Hahnemannienne…
Pratiquer l’Homéopathie consiste à donner au malade, à dose finitésimale, la substance qui, prise chez un homme sain à doses fortes, produit des symptômes semblables à ceux observés sur le malade…
La thérapeutique homéopathique n’est pas facile à appliquer car seul le remède indiqué agit, les autres n’ont absolument aucune action. Mais si vous donnez un remède non indiqué, il ne fera jamais de mal et n’intoxiquera pas le malade, au contraire des remèdes à doses pondérales, massives, utilisées en médecine allopathique ».
(Docteur Jacques Deniau, Conseils homéopathiques).


Voici le texte de loi, adopté par le Conseil de la République, le 12 juillet 1949, à la majorité absolue, par 218 voix contre 22.

ARTILE PREMIER - Sont soumises à la vaccination obligatoire par le vaccin antituberculeux B.C.G., sauf contre-indications médicales reconnues dans les conditions fixées par le règlement d'administration publique prévu à l'article 7, les personnes comprises dans les catégories de la population ci-après :

1° Les enfants du premier âge et du deuxième âge qui sont placés en maisons maternelles, crèches, pouponnières ou en nourrice ;
2° Les enfants vivant dans un foyer, où vit également un tuberculeux recevant à ce titre des prestations des collectivités publiques ou des organismes de Sécurité Sociale ;
3° Les enfants d'âge scolaire, à partir de la douzième année (addition, malgré opposition du Ministre et de la Commission) fréquentant des établissements d'enseignement et d'éducation de tous ordres, visés par l'ordonnance n° 45-2407 du 18 octobre 1945 ;
4° Les étudiants se préparant au certificat de physique-chimie-biologie, les étudiants en médecine et en art dentaire, les élèves des écoles d'infirmiers, d'infirmières, d'assistants, d'assistantes sociales ou de sages-femmes ;
5° Les personnels des établissements publics et privés ;
6° Les personnels des administrations publiques ;
7° Les militaires des armées de Terre, de Mer et de l'Air.

ART. 2 - Les personnes visées à l'article premier ne seront soumises à la vaccination que si elles présentent des réactions tuberculiniques négatives. Toutefois, les nouveau-nés (les enfants du premier âge) pourront être vaccinés sans que cette condition soit remplie.
Les personnes âgées de plus de vingt-cinq ans ne sont pas soumises à la vaccination obligatoire.

ART. 3 - Des centres de vaccination seront organisés par le ministère de la Santé publique et de la Population.
La vaccination dispensée dans ces centres est gratuite.
Les assujettis à la présente loi conservent la faculté de se faire vacciner à leurs frais en dehors des centres prévus par le premier alinéa du présent article.
 
ART. 4 - Les dépenses relatives à la vaccination de la population civile seront inscrites au budget de l’État, ministère de la Santé publique.
 
ART. 5 - Sera puni des sanctions prévues par l'article 471 du Code pénal (50 à 300 fr.), quiconque refusera de se soumettre ou de soumettre ceux, dont il a la garde ou la tutelle, aux prescriptions de la présente loi, ou qui en aura entravé l'exécution.
En cas de récidive, les sanctions appliquées seront celles prévues par l'article 475 du même Code (300 à 600 fr.).
Des décrets pris sur le rapport du Ministère, de la Santé publique et de la Population et du Ministère de l’Éducation nationale détermineront les sanctions disciplinaires applicables aux étudiants visés à l’alinéa 4 de l'article premier, qui ne se conformeraient pas aux prescriptions de la présente loi.

ART. 6 - Des décrets pris sur le rapport du Ministre de la Santé publique et de la Population et des Ministres intéressés, après avis conforme de l'Académie nationale de Médecine et du Conseil permanent d'hygiène sociale (commission de la tuberculose), fixeront les dates auxquelles les dispositions de la présente loi seront rendues applicables à chacune des catégories énumérées à l'article premier.
Les mêmes décrets pourront prévoir un échelonnement dans l'application de la vaccination à chacune des catégories susvisées, notamment en fonction des possibilités de réalisation pratique.
 
ART. 7 - Un règlement d'administration publique, pris sur le rapport du Ministre de la Santé publique et de la Population, après avis conforme de l'Académie nationale de Médecine et du Conseil permanent d'hygiène sociale (commission de la tuberculose), déterminera les modalités d'application de la présente loi, notamment en ce qui concerne la technique de la vaccination par le vaccin antituberculeux B.C.G., ses contre-indications éventuelles, la pratique des revaccinations, le contrôle des réactions tuberculiniques avant ou après la vaccination et le contrôle de ces vaccinations lorsqu'elles seront effectuées en dehors des centres prévus à l'article 3.

Et voici maintenant comment l'Assemblée Nationale a agi en seconde lecture, selon l'article du Concours Médical du 31-12-1949.

LA VACCINATION PAR LE VACCIN ANTITUBERCULEUX B.C.G.
RENDU OBLIGATOIRE PAR L'ASSEMBLÉE NATIONALE LE 19 DÉCEMBRE 1949.
L'Assemblée Nationale vient d'adopter, sans débat, en deuxième lecture, le projet de loi, qui était venu en discussion le 12 juillet 1949 devant le Conseil de la République.     
Parmi les dernières modifications apportées à ce texte, signalons que le paragraphe 8 de l'article 1er, écartant certains « obligés », qui n'avait pas été adopté par le Conseil de la République, a été repris par l'Assemblée Nationale. II désigne : « Les personnels des entreprises industrielles et commerciales, et, particulièrement, les personnes travaillant dans un milieu insalubre ou qui manipulent des denrées alimentaires ».
Quant à l'article 4, visant les dépenses relatives à la vaccination de la population civile, celles-ci seront de nouveau, conformément à l'ancien texte, réparties entre l’État, les départements et les communes ; elles ne seront plus exclusivement mises à la charge du ministère de la Santé publique et de la Population.
Les sanctions prises à l'encontre des réfractaires (art. 5) restent amendées, comme l'avait voulu le Conseil de la République, après avis de sa commission de la Justice (1).
Enfin, aucune modification n'a été apportée aux articles 6 et 7, dans le texte amendé par le Conseil de la République. Le Ministre de la Santé, éclairé et sans parti pris, fixera les dates, auxquelles les dispositions de la loi seront applicables à chacune des catégories visées par l'article 1er, les modalités d'application, la technique de la vaccination, ses contre-indications éventuelles, le contrôle des réactions tuberculiniques avant et après la vaccination.
G. FISCHER.

Mais, dans cet article du Concours Médical, quelque chose de grave a été oublié : dans le paragraphe 3 de l'article premier, l'Assemblée Nationale a rétabli son premier texte en effaçant la restriction de 0 à 12 ans (demandée par le Conseil de la République), afin que tous les écoliers de tout âge soient obligés « d'y passer » ... De plus, dans le 3 paragraphe de l'article 5, l'Assemblée Nationale a trouvé insuffisante la mention « étudiants visés à l'alinéa 4 de l'article premier » et l'a remplacée par « élèves de l'enseignement supérieur, aux étudiants, aux élèves des établissements d'enseignement et d'éducation de tous ordres », afin d'être plus sûre que trop de cobayes ne puissent se « défiler », la question d'âge minimum étant ainsi supprimée ...
Voilà donc de quelle façon l'Assemblée Nationale a, par deux fois, voté « à la sauvette » un texte qui peut retentir sur la race française pendant des générations, ce texte n'ayant pas été discuté comme il convenait lors du débat devant le Conseil de la République, insuffisamment informé, lui aussi.

 
« Quant à la vaccination en masse de tous les nouveau-nés, elle fut d’abord une erreur ; elle serait aujourd’hui une faute si on continuait à la pratiquer » (Dr. Paul Chavanon).
 
 
Note.
1. L'Assemblée Nationale avait, en effet, osé voter ... la prison pour les réfractaires ... Il eût été à craindre d'avoir à construire beaucoup de maisons de correction académique ...

(Extraits partiels du livre du Docteur Paul Chavanon : La guerre microbienne est commencée (BCG, etc.) - Les Français devant les vingt familles, Éditions Dangles, 1950)
 
 

Dernière mise à jour : 21-10-2014 17:36

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