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Siècle des lumières… et des banques Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 02-11-2014 19:10

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Siècle des lumières… et des banques
les Skull & Bones
et les Juifs errants
de la finance internationale
genre Olof Aschberg



Bienvenue chez les Travailleurs de l’Enfer en grande réception chez Satan.
 
 
Notre monde sous la tyrannie des bolcheviques-socialistes immolant en 1917 la Sainte Russie sur l’autel de leur rêve de gouvernance mondiale ou « internationale révolutionnaire » (sic).
 
 
Tout au long du « siècle des lumières » se pratiqua la mode de la démonologie et de l’occultisme (occultisme déjà dégradé depuis la Renaissance où naissait la « libre pensée »). Ainsi l’image du Diable tant redoutée depuis le Moyen-Âge avait peu à peu laissé place, au 19è siècle, à une figure symbolique utilisée souvent à des fins satiriques. Le théâtre par exemple ne se gênait pas d’exploiter la veine des enfers en représentant Satan et ses adeptes dans des pantomimes, des ballets, des opéras ou des spectacles de marionnettes, et le théâtre de boulevard s’en donnait à cœur joie dans l’esprit des farces du Moyen-Âge. L’après 1789 apporta dans les peuples des émotions fortes : il leur fallait des cadavres et des frissons. Joseph de Maistre décela dans les événements de 1789 la marque du Diable en personne.

Qu’est-ce que c’est la marque du Diable depuis 1789 : le Saint Fric et sa religion, dont les deux principaux adeptes de Satan sont les familles Rockefeller et Rothschild (le rouge-sang). Une religion défendue internationalement par un budget militaire US équivalent à celui de tous les autres pays du monde réunis ! Ces familles à l’après 1789 s’arrogeaient tous pouvoirs sur les gouvernements et les économies des peuples d’Occident. Avec un cynisme imparable et une efficacité redoutable, cette maffia comprenant aussi les J.P. Morgan, les Warburg, les Jacob Schiff, les Kuhn and Loeb Company etc., n’ont reculé devant aucun moyen, pour par exemple posséder le gouvernement américain : ils ont fait assassiner six présidents américains, dont A. Lincoln, et de nombreux membres du Congrès des États-Unis. Ils ont provoqué la guerre de Sécession (1861-1865) en soutenant les deux camps (bonne vieille stratégie fonctionnant encore aujourd’hui) ; provoqué plusieurs crises économiques (1837, 1857, 1907).

Avant la première guerre mondiale, la structure industrielle financière et commerciale des USA était dominée par deux maffias : le groupe pétrolier de Rockefeller avec la Standard Oil ; et le groupe financier et de transports de J.P. Morgan. Par des montages  et des alliances que passaient entre elles les diverses sociétés de leurs groupes, les Rockefeller et les Morgan ne dominaient pas seulement Wall Street, mais grâce à un système de réseaux de postes d’administrations de sociétés, ils contrôlaient la quasi totalité de la trame économique américaine.
Les Rockefeller contrôlaient le monopole du pétrole et des industries connexes ; ils contrôlaient aussi l’industrie du cuivre et de la sidérurgie, et même le trust géant du tabac. Cette maffia avait le pouvoir de manipulations sur des centaines de petits trust industriels, des entreprises du service publics, des compagnie de chemin de fer, des établissements bancaires. Les J.P. Morgan possédaient de très grosses entreprise du secteur de l’acier et de l’électricité (General Electric). Ils contrôlaient aussi le trust du caoutchouc et plusieurs compagnies de chemin de fer.

Aux côtés de la première guerre mondiale et de ses batailles, politique et diplomatique, une autre bataille faisait rage : les manœuvres de criminels internationaux manipulant et intimidant pour asseoir leur domination économique sur le monde une fois « la guerre terminée » (les guerres rapportent toujours à certains).

Après avoir réussit à provoquer la fabrication de la Réserve Fédérale (FED) en 1913, cette mafia put mettre en place les mécanismes qui allaient entraîner, de manière parfaitement préméditée, la grande récession de 1929, ainsi que les deux guerres mondiales et ses dizaines de millions de morts, ajouter à ces crimes les dizaines de millions de morts de la révolution socialiste russe de 1917.
Depuis, leur empire n’a cessé de se renforcer et de s’étendre sur toute la planète, avec la Banque des règlements internationaux (1930), qui finança le 3è Reich et prolongea la seconde guerre mondiale par pur intéressement diabolique.
Le Krack de 1929 aux USA mis en évidence la fraude, les abus et la corruption rampante caractérisant le système financier des États-Unis pendant les années 1920, soit les années de l’après FED.

Après Bretton Wood (1944) apparaissent le Council of Foreign Relations (CFR), la Commission Trilatérale, le groupe Bilderberg, le FMI, la Banque Mondiale ; autant d’organes fomentant l’oligarchie à la tête du monde, et œuvrant inlassablement à la mise en place d’un gouvernement mondial ou « Nouvel Ordre Mondial » avec « religion mondiale » qui est déjà en place puisque c’est celle du Saint Fric.
Les vrais faux monnayeurs de ce monde sont donc les banques et cette finance internationale dont font la partie nombre de Juifs. Et puisque ce sont tous des criminels, la meilleure façon de voler une banque est d’en créer une, comme disait William K. Black.
Tout ce panier de crabes de criminels se contente d’émettre du « papier-monnaie », donc du virtuel, en faisant garantir sa « valeur » par l’esclavage des peuples : « utiliser l’argent des autres pour engranger un maximum de profits ».
Beaucoup de présidents de république ont lancé des alertes sur les menaces venant de ces criminels de la finance internationale. Nombre de sessions du Congrès américain et d’affaires judiciaires ont démontré nécessairement le caractère privé de la Réserve Fédérale !

Le Diable est possession comme le capitalisme est possession. Ils sont insatiable : la fameuse « croissance » et son « pouvoir d’achat ». Ainsi dans ce monde il y a une oligarchie ou petite poignée de ceux qui profite de la religion du Saint Fric, et la grande majorité qui la subit.

Le 19è siècle s’industrialisant grâce à la maffia des Rothschild et Rockefeller & Cie, la technologie se développant, la révolution industrielle fut possible grâce à la devise judéo-maçonnique : « liberté-égalité-fraternité » ou : libre circulation des capitaux, jusqu’à son point maximum dans les années Reagan-Tatcher au virage des années 1980 où les inégalités se sont creusés de façon abyssale.

Le danger de ce monde est donc le FER/FAIRE : réussir sa vie, réussir dans le travail, le sentiment, etc. En temps de guerre, on sait que c’est la guerre et on agit en conséquence pour se défendre ou bouter dehors l’ennemi. Mais aujourd’hui de mondialisme rêvant de supprimer les pays, on se croit en « paix » à cause de cette permanente manipulation démocratique et républicaine, puisqu’aucune guerre mondiale n’est déclarée et que la guerre du voisin… ne touche que le voisin… et ne signale par pour cela l’urgence pour tous les peuples de la Terre. Alors seule se présente la lutte de l’Esprit : tyrannie de l’opinion ou « libre pensée » prenant des proportions énormes et cette opinion est puissante dans le sens où il devient salutaire d’émettre à son tour une nouvelle pensée en accord avec le Cosmos, afin de sortir de l’enfer de la guerre de tous contre tous.
Tyrannie de l’opinion où tout est à l’envers, du genre : « Admire, mon fils, la sagesse divine qui a fait passer les fleuves, juste au milieu des villes ! » (Joseph Prudhomme, créé par l’écrivain Henri Monnier).

Un très bon ami de Satan sont les médias entretenant l’opinion et ainsi foutant la merde partout dans le monde, commandant des émeutes à des jours et des heures données, renversant des autorités, refaisant des lois à leur guise ; bref, exerçant un pouvoir absolu pire que celui d’un mauvais roi sur une énorme partie de cette planète. Le Diable c’est également la presse ou les médias.

[En haut de page : Satan et le Serpent, par Gustave Doré]
 
 

Dernière mise à jour : 02-11-2014 19:25

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