Siècle des lumières de Lucifer
de Lucifer-faire et ses technologies
en prime, le Noachisme

 

 

 

Voir aussi la page : Ya un problème !

 

 

 

 

Si vous n’êtes pas sage, judéo-maçons, Jehovah ne vous fera jamais retrouver la façon de prononcer son Nom ! Vous ne serez pas son « témoin » et ne pourrez plus consommer… En fait, « retrouver le Nom de Jehovah » peut s’interpréter comme Réaliser le Soi-Instant !

 

LES SIÈCLES DE LUCIFER-FAIRE : Je dirais que les technologies actuelles qui dominent cette planète sont basé sur le monde des Anciens Grecs : Apollon, les FORMES (harmonieuses ou non), l’art dorique, la « lumière intellectuelle » ou triomphe du mental entrant par la « porte dorique » des ergoteries grecques ; c’est le brillant proche de notre ami Lucifer, et bien-sûr proche du siècle des perruques poudrées ou philosophistes copiant les opinions et ergoteries des Anciens Grecs. L’opinion de la Grèce antique semble devenu aujourd’hui la NORME de ce monde. Mythe, poésie, philosophie avec les Platon, Héraclite, Phythagore, Socrate, Aristote constituent un pas vers le mental plombé de rationnel, là où se situe la tragédie. Mythe ou tragédie donneront la dégénérescence en bidouillage intellectuel : le Verbe ou Logos. Le Logos tue le SILENCE ; de même qu’Hollywood.
La tragédie où tous les Grecs et l’ancien Moyen-Orient assistaient de façon quasi religieuse et politique : on offre des places gratuites aux citoyens les plus pauvres. La tragédie ou embryon du moderne Hollywood, certes autrefois en meilleure qualité !
Avec la tragédie, on pénètre dans l’individualisme ou l’individu, le héros, celui qui se distingue. Les individus expulsés du Jardin d’Eden ou de « l’Île des Bienheureux sont les héros, les « individus », car ils tombent dans la dualité et le monde des accidents (ou spatio-temporel). Ça ouvrira la porte à l’opinion de RÉDEMPTION ou SALUT… pour donner en même temps le socialisme (1).


LE NOACHISME.

Max Heindel dans sa Cosmogonie des Rose Croix écrit que Jéhovah « s’est particulièrement intéressé aux ancêtres des Juifs d’aujourd’hui, les Sémites primitifs qui ont été la race-mère des sept races de l’époque aryenne. Jéhovah prend naturellement un soin tout spécial d’une race-mère à laquelle on doit inculques les facultés embryonnaires de l’humanité d’une nouvelle époque. C’est pourquoi les Sémites primitifs étaient son « peuple élu », choisi pour devenir la souche de la nouvelle race qui devait hériter de la « Terre promise », ce terme ne désignant pas simplement l’insignifiante Palestine [sic], mais la Terre entière, telle qu’elle est aujourd’hui », écrit Max Heindel.

Alors là ! Max Heindel est complètement déconsidéré à mes yeux ! Il est un pur évolutionnisme. Il décrit tout simplement le Nouvel Ordre Mondial à base de noachisme, en une enfilade de masturbations intellectuelles dans son livre à base de schémas tous plus compliqués les uns que les autres. Il tire une opinion de « terre promise » parce que selon lui, au temps du « peuple élu », une partie de la planète était submergée par des inondations et l’autre parti subissait des éruptions volcaniques. Bref, « L’Eau et le Feu », alors il fallait attendre que ça passe pour « servir de demeure à la nouvelle race Aryenne ». Mais rien que le terme « Terre promise » est encore et toujours de l’ÉVOLUTIONNISME genre la carotte et le bâton, la carotte étant au bout d’un temps X le fameux « Royaume de Dieu (juif) sur Terre » ou le DORG (Demain On Rase Gratis). NON, la Terre promise C’EST ICI ET MAINTENANT, DANS LE SOI-INSTANT. Pas de messie à attendre !

Max Heindel, un pur évolutionniste façon Big Bang qui ne se prend pas pour de la merde et influencé par le darwinisme de son époque :
« Les singes inférieurs [sic], au lieu d’être les ancêtres des espèces supérieures, sont les retardataires qui occupent les spécimens les plus dégénérés de ce qui fut jadis la forme humaine. Ce n’est pas l’homme qui s’est élevé au dessus de la condition d’anthropoïde : la vérité est, au contraire, que les anthropoïdes sont tombés en dégénérescence hors de la condition humaine…
Le singe est un homme qui a dégénéré [sic].
Les polypes sont la dernière dégénérescence du règne végétal. Le règne minéral est l’aboutissement final des formes de tous les règnes lorsqu’elle ont atteint la limite de la dégénérescence ».
Heindel écrit aussi : « Par palier successifs, la vie en évolution a perfectionné ses véhicules et continue à le faire. L’homme, qui est à la tête du progrès [sic], a construit ses corps à partir d’une forme analogue à celle de l’amibe, jusqu’à la forme de l’homme primitif, en continuant à progresser par degrés successifs, si bien qu’aujourd’hui les races les plus avancées utilisent les corps les meilleurs et les plus complètement organisés qui soient sur Terre ».

Heindel parle d’ÉPIGENÈSE : de Genèse : opinion selon laquelle un embryon se développe par différentiation successive de partie nouvelles. Une opinion en opposition à celle de la préformation (réf. dict. Le Robert). L’épigenèse est de l’évolutionnisme. Donc comme écrit plus haut, il faut dépasser la trinité à la Hegel pour aller vers celle de : Involution, Évolution et TRANSMUTATION. Soit la véritable UNION DES CONTRAIRES, sans violence, sans mortelles radiations nucléaires…

Toujours selon Max Heindel, les « Sémites primitifs » avaient été mis à part (pourquoi ?) et on leur interdit de se marier avec les membres des autres tribus ou des autres peuples… Là encore on nage en pleine bidouille du travail du chapeau.
Ça continue en sorte que nombre de Sémites du temps ont désobéi à « l’ordre donné poussés presque exclusivement par les désirs et la ruse [évidemment grâce au mental…] ». Donc les Sémites prirent pour femmes des filles des hommes (selon Heindel des Atlantéens ‘inférieurs’) ; contrariant les desseins de Jéhovah [sic], « qui les a rejetés [incroyable pour un Dieu !], car le fruit d’un pareil croisement de races ne pouvait devenir la semence de la race future », je cite toujours Max Heindel…

Donc Jéhovah est probablement le premièr raciste de cette planète ! Un croisement ou mélange façon melting-pot moderne qui, selon Heindel, donnera les ancêtres des Juifs actuels qui parlent maintenant de « tribus perdus » (on est pas matérialiste pour rien puisque on peut perdre surtout son fric…). Bien-sûr les perdus, selon Heindel, peut être ceux qui étaient resté fidèle à l’interdiction de se marier avec d’autres tribus ou avec des goys.
« Tribus perdus » s’entend allégoriquement, avec ces travailleurs du chapeau… Bref, pour Heindel, ceux qui étaient restés fidèles survécurent et seraient « le noyau dont sont issues les races Aryennes actuelles ». Si Adolphe Hitler savait ça, il s’en relèverait de sa tombe…
Je lis sur le dictionnaire Le Robert à ARYEN : étymologie de 1562, du latin arianus ou arienus ; un peuple de l’antiquité qui envahit le Nord de l’Inde. En 1853 le mot Aryen donne l’opinion raciste du « délit de sale gueule » inversé, soit le grand blond issu des Aryens et qui comme le prétend Heindel est de « race supérieure » (où le germe devant donner une race supérieure avec déjà la diffusion moderne du Noachisme en divers pays, dont les États-Unis, afin d’amener la religion mondiale, jouxtée avec celle du Saint Fric) ; tout cela en contradiction avec l’égalitarisme voulu par la judéo-maçonnique républicaine.

CONTRAIRE, et cependant inséparable, car les Contraires se soutiennent l’un et l’autre. Il n’y a pas de « guerre » entre eux. Ne pas isoler, voir l’ensemble.

Notre civilisation va prochainement IMPLOSER pour arriver enfin, à donner le MARIAGE ou UNITÉ (Union des Contraires). Le temps est dépassé de la triade des philosophies classiques à la Hegel : thèse, antithèse, synthèse, en forme d'évolutionnisme ; mais à la thèse et son contraire en Union des Contraires ; soit non pas une union conflictuelle, mais CONSTRUCTIVE. Non plus la victoire de la dictature du prolétariat ou de la démocratie modèle actuel totalement lié au capitalisme, mais Union des Contraires en processus autogestionnaire : réalisation du Soi-Instant, seul et unique phare d’une future civilisation authentiquement humaine et qui se con-naîtra enfin.

Note.
1. L’État marxiste idéal, ou l’État socialiste idéal, c’est la dictature d’un seul ou d’un petit groupe d’ego, qui pond la vérité ou opinion du jour et ce que sera celle du lendemain, qui décide du dogme à tout instant remis en question. C’est un Pape et une Église à l’envers, en creux. Le socialisme se veux universel, comme ses « droits de l’homme et son suffrage », en édictant que dans le principe était la matière, et non le Verbe, se condamnant ainsi à ne concevoir comme mode de fonctionnement du mental que l’opinion qui se construit dans le temps vécu, en évolutionnisme dialectique qui se déroule entre un commencement, que l’imagination du mental peut reculer indéfiniment dans le passé, et un futur également indéfini, avec la carotte en forme de « fin des temps eschatologiques » où l’humain sera régénéré dans la pureté de son être. Ce sont les temps de la carotte et du bâton, les temps des choses extérieures, jamais intérieures, les temps du binaire de la violence et de la guerre entre les antagonismes. Le seul mariage entre les antagonistes ne passe que par le mariage des contraires, jamais en opposition. La dualité c’est la guerre, comme le socialisme qui ne reconnaît pas la Trinité, tout comme l’Islam ; ce sont de fausses synthèses. La dualité, le binaire, c’est la guerre sans fin en forme de loi de cause-effet dont les deux bouts en forme d’évolutionnisme ne se rejoindront jamais, et que cet évolutionnisme peux allonger à l’infini, sans que ne surgisse aucune libération ; c’est pour ça que depuis Darwin on entend le mort « croissance » répété un grand nombre de fois par jour.
La TRINITÉ c’est la Vraie Paix, en chaque individu, entre individus et entre Pays. Le TROIS seul fait le Mariage et la Paix : Soufre-Mercure-Sel.

 

« Quand un marxiste parle de la « masse ouvrière », il la voit à l’image de la masse que constitue un tas de ferraille ou un troupeau de moutons. Cette massification psychologique [pensée unique ou dans le norme], qui est tout simplement et bassement psychique [ego], la philosophie marxiste la présente comme une mutation de la quantité en qualité, en vertu d’une confusion du spirituel et du psychisme, de l’universel et du général », écrit Jean Colonial dans : Synthèse et Temps Nouveaux. Il ajoute que le catholicisme fait la même confusion, en particulier avec le courant politique appelé « Témoignage chrétien », aboutissant comme le socialisme à une catholicité à l’envers.
« Le perpétuel prend le masque de l’éternel, le général celui de l’universel, le psychologique celui du spirituel [la partie se prend pour le Tout en devenant la mode de l’existentialisme, puis du libéralisme et de son « laissez faire laissez passer »]. Et c’est logique pour le communisme [ou socialisme] qui dit que dans le principe était la matière, et non le Verbe… pour donner un parfait évolutionnisme… donc un socialiste prétendrait essayer de fabriquer une machine à coudre à partir des pièces détachées d’une automobile, comme l’exprime si bien Coulonval.

Karl Marx est un « économiste » avant tout (avec le titre significatif de son « Capital »). Il parle de « masse » humaine comme le tas de ferraille nommé ci-dessus. Marx ne travail nullement pour la Vraie Paix en ce monde en une entente ou mariage des « classes » sociales. Karl Marx est un pur évolutionniste où, dans « l’avenir », toutes les catégories sociales doivent disparaître, évidemment à l’exception d’une seule : le prolétariat ou les esclaves, les moutons-tas-de-ferraille, avec le prochain « Royaume de Dieu (juif) sur Terre », ou les lendemains qui chantent.
Karl Marx aurait dû savoir que le socialisme ou communisme ne pouvait fonctionner qu’étroitement marié au capitalisme (voir notamment l’économie du Goulag qui permit une bonne part de l’industrialisation de l’URSS, sur le dos de millions de morts).
 
Rappel sur l’OPINION :
Dans l’absolu il y en a autant que d’individus sur cette planète, ce qui amène une société bâtie sur le culte de l’opinion en un agrégat d’individus isolés, que la république judéo-maçonnique appelle : « les responsables ».
« L’opinion est une construction mentale et intellectuelle qui s’élabore au fil des jours, toujours instable, en évolution perpétuelle en fonction des circonstances dans l’espace géographique, le temps historique [chronologie] et un certain état des choses matérielles et sociales que chaque individu trouve à son entrée dans la vie, toujours particulier à un seul individu qui le sent et le pense selon les colorations de sentiments et de pensées qui lui sont propres, comme par prédestination mais peuvent être étouffées ou exaltées par un dressage sentimental et intellectuel qu’on appelle éducation [et aussi ego] », écrit si justement Jean Coulonval.