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Toute l’histoire est fausse - 3 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 12-12-2014 21:03

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Toute l’histoire est fausse - 3
L’âge du Capitaine
 
 
 
Le temps n’existe pas. Il n’existe que s’il y a quelqu’un pour l’observer. Par conséquence temps et espace sont le produit du mental. Il ne peut exister que le VIDE qui est seul RÉEL.

L’intuition populaire sait très bien que ce sont les vainqueurs ou cancéreux du pouvoir qui inventent l’histoire… notamment après la seconde guerre mondiale et le formidable show-business de la Shoah et des gas-chambers !
En fait la « première guerre mondiale » pourrait être la guerre de Troie. L’histoire n’a pas de base solide, elle est de l’opinion constamment remise en cause comme toutes opinions puisque basées sur le mental (raison) et le monde spatio-temporel.
Comme Anatoli Fomenko, je crois aussi que le Christianisme est la racine DE TOUTES les religions. Ainsi le judaïsme (qui pour moi n’est pas une religion mais un modèle de vivre) vient APRÈS (ou en même temps) que le Christianisme. Ainsi le PAGANISME dit parfois « Ancienne Religion » est-il la base de toutes les religions, y compris le Bouddhisme.

PAGAN - PAGANISME : de PAN, le TOUT, la NATURE. Seule l’Ancienne Religion ou Âge d’Or est intemporelle puisqu’elle comprend le Soi-Instant, absence de dualité avant la Chute.
Le Pagan, le Païen est celui qui habite la Campagne. Paganisme devrait bien signifier : ANCIENS CULTES DE DIVERS GROUPES DE POPULATION. Sur ces cultes reposent les religions actuelles que nous connaissons.

À ce jour, nous ne serions qu’à environ 1000 ans de Jules César (s’il a vraiment existé !) et de la « guerre des Gaules » et de l’invention de Vercingétorix.

HISTOIRE - NARRATION : début du 12è siècle, du latin historia, du mot grec qui avait le sens de « information », connaissance, puis de chronologie ou RÉCIT se déroulant selon l’idéation du mental ou progression dans le spatio-temporel. On dit bien 'racontes-moi une histoire'.
Histoire, connaissance, informations : notre époque est étouffé par les informations. L’histoire est donc du thème de l’ÉVOLUTION, du DÉROULEMENT dans l’idéation ou analyse.
NARRATION : récit, développement d’un fait ; donc étalage dans le temps d’une idéation. On parle aussi dans les écoles de RÉDACTION.

Les Yahvistes inventèrent l’histoire et par là même l’évolutionnisme. En effet, dès que l’opinion des prophètes « valorisent l’histoire », les événements historiques prennent désormais une « valeur » en eux-mêmes : il deviennent comme une idolâtrie, dans la mesure où ils sont déterminés par « la volonté de Dieu », c’est-à-dire par l’opinion des fabricants de l’histoire. Ainsi les faits historiques deviennent des « situations » de l’humain face à Dieu (face à lui-même, face à son ego), et comme tel l’opinion acquière une « valeur religieuse » que rien jusque là ne pouvait lui assurer. Donc les Yahvistes furent les premiers à inventer, à sacraliser une signification à une histoire en y introduisant la notion de leur Dieu Yahvé, et c’est cette conception qui fut reprise et amplifiée par le christianisme (ou plutôt l’inverse, voir plus haut, mais ce sont les Yahvistes qui déformèrent et amplifièrent cette notion d’histoire ou déroulement de chronologie).
Avec les Yahvistes l’histoire devenait une « preuve de la manifestation de Dieu » (volonté divine), c’est-à-dire la manifestation d’un puissant égrégore-opinion d’ensemble destiné à manipuler des tribus. Bref, le Dieu des Juifs aspirait au mondialisme, et donc déjà au Nouvel Ordre Mondial source de bien des « guerres de religions » ou d'opinions ! Il n’est pas étonnant non plus que l’industrie du cinéma de Hollywood soit organisée et tenue par des Juifs, et que nombre de Juifs se retrouvent à la tête de banques.
C’est dans ce courant de l’évolutionnisme et des religions du Livre que nécessairement se trouve « la justice » humaine avec surtout les « Commandements de Moïse » et ses « droits » de l’Homme qui nous donnerons la complexité infernale actuelle.
Bien-sûr, l’idolâtrie de la chronologie par les Yahvistes se fit progressivement en même temps que survivront les mesures ponctuelles (temps court) pratiquées par l’Ancienne Religion. Le mondialisme mettait du temps à se construire.


Petite chronologie :
- Le « déluge » causé par l’impact d’une comète il y a 3000 ans. Destruction complète des civilisations dans l’hémisphère nord.
- À nouveau une comète, cette fois-ci en frôlant la Terre il y a 1500 ans provoque la destruction de la civilisation autour du bassin méditerranéen.
- À nouveau une comète en frôlant la Terre il y a 700 ans provoque l’anéantissement de la civilisation gréco-romaine.

Denys le Petit aurait inventé l’an 1 (anno domini) à partir de la réincarnation du Christ (le zéro n’est pas dans les consciences de ce coin de la Terre). Ce Denys affirmait que Jésus avait été conçu un 25 mars (Annonciation), ainsi il naissait un 25 décembre !

Ensuite on invente le 1er janvier ! en France, le 9 août 1564 par l’Édit de Roussillon de Charles 9. Puis un peu après, en 1567, c’est la réforme grégorienne du calendrier, avec la chronologie tueuse telle que nous la vivons.

Avec l’invention de l’imprimerie et de la langue écrite qui accélérera la concrétisation de la science moderne et du protestantisme, l’Église de Rome prend peur car naissait alors la « libre pensée » puisque tout le monde, du moins ceux qui avaient du fric pouvaient « acheter du savoir ». Ainsi l’opinion et la laïcité étaient semés. MAIS :
« Les signes ne sont conçus comme arbitraires qu’au début de l’ère moderne, lorsque l’on considère que les mots ont une signification en référence aux idées et non directement aux choses. Le mot perd alors son lien direct avec la chose, il ne s’agit plus du « juste mot pour désigner chaque chose » : il la représente, il est mis pour la chose. La tentation de croire en la magie du mot s’en trouve d’autant affaiblie ; il s’agit d’une simple convention. mais en distinguant le signe de l’idée, la voie est ouverte au problème de la justesse, de la vérité et du caractère approprié de la représentation », écrit justement David R. Olson dans : L’univers de l’écrit - Comment la culture de l’écrit donne forme à la pensée. De nos jours l’écrit est « l’instrument » genre puissant télescope scrutant l’espace »…
Une laïcité qui prend d’ailleurs forme avec l’imprimerie et l’écrit, car un contrat légal ou un « acte notarié » ne consiste plus en une cérémonie purement orale « scellé » (de sel) par l’échange d’un échantillon du bien concerné (une motte de terre par exemple) ; il s’agit désormais d’un document sur lequel on appose un sceau (réf. Olson).

R. Olson écrit que l’arrivé de l’écrit avec l’invention de l’imprimerie amena Big Brother et la pensée unique avant l’heure : la Réforme (les Protestants) peut être comprise comme une tentative de convertir les masses en les arrachant à l’Ancienne Religion ou PAGAN(isme).

À propos de Chronologie et « mesure du temps » avec des « dates » : c’est une logique ou conception moderne issue du siècle des « lumières » où domine la « raison », donc l’ego. Ainsi nous sommes passé d’un monde de l’ÂGE D’OR OU MONDE ENCHANTÉ à un monde rationnel engendrant une conception mécaniste ou rationnel du monde, où la « preuve » et l’analyse dominent, soit l’opinion, avec ses « principes causales et rationnelles ».
L’écrit n’est pas le winner ni la démocratie ni la « science », car des peuples Anciens n’utilisant pas un alphabet ont donné naissance à une Vraie Science et une philosophie abstraite, provenant certainement du temps de la Vraie Télépathie. Écrit ne veut pas dire raisonnement ! Encore moins la découverte ou la fabrication d’un alphabet !!!
Avec l’arrivée de l’imprimerie et de ses livres imprimés sur papier (le monde sur le papier mis à la disposition de ceux qui ne veulent pas bouger de leur fauteuil), on cesse de dépendre de la mémoire du langage parlé et de celui des moines copistes ; les principes peuvent maintenant être établis, les définitions devenir explicites, les analyses logiques et les preuves détaillées. C’est la fin de l’enchantement et le début du « monde moderne » des perruques poudrées et de leur « raison » et de la tyrannie de l’opinion ; on entre dans le père du mot-à-mot ; on se coupe de plus en plus de la Nature, de sa nature. Avec les mots/maux on entre dans une autre ambiguïté, celle de l’opinion, donc les « évidences » ou ce que nous font avaler nos cinq sens et donc notre ego ! « Et ceux qui pensent autrement ne deviendront jamais chimistes mais resteront des Alchimistes » (selon le philosophiste John Locke).

L’argument disant qu’il était facile de falsifier les documents avant l’invention de l’imprimerie, parce que les moines copistes avaient le monopole de l’écrit, est discutable ! Avec l’imprimerie, comme l’écrit Olson ci-dessus, il était encore plus facile de falsifier des documents ou d’en imprimer des faux, car on pouvait aussi facilement détruire les originaux qui avaient résisté au temps ou aux périls humains ! Et on multipliait l’opinion et la dualité guerrière !!!

Selon certains récentistes (Heribert Illig et Hans-Ulrich Niemitz) estiment qu’on a inventé des temps de chronologie moderne entre 614 et 911 ; les historiens classiques qualifient ces siècles « d’âges sombres ». Par là même le Moyen-Âge manque ! Et il n’existe pas de « Carolingiens » sur le plan archéologique. Les construction de « l’époque carolingienne » peuvent facilement être rattachées à l’époque d’Otan 1er.

Les principaux manipulateurs du temps seraient Constantin 7 ; Otton 3 ; Sylvestre 2 (Gerbert d’Aurillac).

Gerbert d’Aurillac s’occupant d’Alchimie était à même de « connaître le temps ». Sous Constantin 7 le business de la Croix allait bon train : il y avait partout des morceaux de « la Vraie Croix » qui se vendaient, non seulement sur le marché intérieur des Églises orientales, mais également à destination de l’Occident latin.
En inventant le temps il fallait aussi le remplir ! Ainsi Otton 3 et Gerbert inventèrent ou trouvèrent des histoires pour « boucher les trous » ; avec notamment l’histoire de Charlemagne sur lequel Otton 3 pouvait se référer. Ce Charlemagne magnifié par les historiens et les raconteurs d’histoires en tellement d’actions et de scénarii à la Hollywood qu’il en était devenu comme réel.
Qui dit faux ou falsification dit CROISSANCE : on fait fructifier les faux ; le faux s’auto-alimente ! Et avec la technologie de nos jours, le digital, il y a de quoi partir en courant !!!
Autrefois il est probable que des moines copistes inventèrent une sorte de « bombe temporelle » : cacher habilement des documents pour qu’ils puissent être découverts ou ressurgir quelques siècles plus tard !

Les États pontificaux de cette Église de Rome ont été constitués à partir d’un faux document : l’empereur Constantin 1er a cédé en 335 au pape Silvestre 1er toutes les provinces de l’Occident (et il se gardait celles de l’Orient).
Évidemment au fil de la Chronologie tueuse les États pontificaux se sont réduit au Vatican créé le 11 février 1929 suite aux accords du Latran passés avec Benito Mussolini !

L’Église de Rome avait tout intérêt à bidouiller le temps et à rajouter de longs intervalles afin de fourguer sa crédibilité ! Car en fait le Christianisme n’aurait que 7 siècles ! Et en 1582 le calendrier de l’Occident réformé par le pape Grégoire 3 était destiné à mettre fin aux dérives du point vernal, mais plus pour entériner sans contestation les décisions prise au Concile de Trente. C’est à cette occasion que l’on invente « l’ère chrétienne » et les histoires de l’Église de Rome.

Concernant l’archéologie est les « traces », on a retrouvé des strates successives bien préservées à Francfort-sur-le-Main, qui vont de l’époque romaine à la Renaissance, mais aucune couches ne correspondent à la période entre 650 et 910. Évidemment les archéologues avec leur ego ont rempli la période vide avec ce qu’ils avaient pris dans une tranchée voisine !
La dendrochronologie ce n’est pas mieux ! Même peine pour le carbone 14.

Heribert Illig et Hans-Ulrich Niemitz montrent dans l’exemple de la Chapelle palatine d’Aix-la-Chapelle que l’on peut re-dater un monument selon toutes règles de l’art, cela à partir du savoir des artisans dans la construction de dômes et coupoles. Ainsi cette chapelle serait construite non vers l’an 800 mais plutôt entre 970 et 1110. La technicité de construction de cette chapelle avait entre 200 et 300 ans d’avance sur son époque. Ainsi si on admet l’invention de Charlemagne, les anachronisme de la chapelle palatine disparaissent, et l’on peut la dater à l’époque du mouvement de l’art Roman.

Charlemagne c’est Hollywood avant l’heure, et jusque dans les écoles du judéo-maçon Jules Ferry : la bataille de Roncevaux, l’épée Durandal (en français ancien : « Val de ronces »), l’épée de Charlemagne « la Joyeuse », sa « barbe fleurie », le Cor ou Olifant d’ivoire de Roland, les Sarrasins. C’est ainsi qu’on fabrique du Superman devant servir de modèle de morale à tous les futurs souverains européens. Les héros légendaires sont évidemment des auto-créations de l’ego qui se retrouveront un jour ou l’autre dans les manuels scolaires d’histoire ! Les manuels scolaires d’écoles primaires sont bourrés d’opinions en forme d’affirmations données pour « vraies » !

Comme Illig et Niemitz je crois que Charlemagne est une pure fiction hollywoodienne scénarisé par Otton 3 et le pape Gerbert d’Aurillac, qui eux mêmes se sont inspirés probablement de légendes anciennes.

Le Clovis fondateur de l’État français et son premier roi n’était pas chrétien, car en son temps le Christianisme n’existant pas encore ! Par conséquence Clovis ne pouvait pas être « baptisé » !!!

Clovis et le roi Arthur ont peut-être réellement vécu comme officiers romains et chef de tribu vers la fin de l’Empire d’Occident.


LA FRANCE FILLE AINÉE DE L’ÉGLISE (mais pas de celle de Rome).


Selon une légende ayant encore grande auréole de nos jours, le Jésus de la Croix serait un provençaux (voir la forte tradition des santons [petits saints] de Provence, photo en haut de page représentant un Jardinier, et en bas un Meunier).

Beaucoup de Provençaux confirmeront que le Jésus de la Croix est né en Provence. Selon certains conteurs, une bonne partie de la vie de Jésus s’est passée dans la vallée du Rhône.
La Provence est fidèle à l’universelle Trinité : les trois Saintes Maries sorties de la mer.

En Provence, les trois Maries, filles d’Anne (« grand-mère » de Jésus) et ses trois maris successifs sont un ensemble trinitaire respecté au Moyen-Âge, ce qui ne plait pas du tout à l’Église de Rome. Les Gitans honorent toujours cette Trinité ou première figure fermée représentée par le TRIANGLE (sceau de Salomon ou les deux courants involution-évolution en deux triangles à sommets opposés). Trinité ou TROIS EN UN, UN EN TROIS, le POINT TROÏKA. Trinité qui est un principe des Païens, des Anciens Égyptiens (Osiris, Isis, Horus), etc. En Russie la Trinité c’est : Dieu, le Tsar, la Patrie.
La Trinité est aussi dans la Taoïcité :
Le TAO engendre l’UN.
UN engendre DEUX.
DEUX engendre TROIS.
TROIS engendre tous les êtres du monde.
Tout être porte sur son dos l’obscurité
et serre dans ses bras la lumière :
le souffle indifférencié constitue son harmonie.
(Lao-tseu, TAO-TÖ-KING, début du Verset XLII, traduction Liou Kia-hway)

Donc les Saintes Maries arrivèrent en bateau au lieu dit : Les Saintes Maries. On commence a donner naissance au qualificatif de « France fille aînée de l’Église » (mais certainement pas de celle de Rome !)

Dernière Marie Mère de Jésus, Marie-Madeleine prend une grande importance au Moyen-Âge.

Encore une fois je répète que le Christ et sa symbolique représentant le Soi ou Instant, le ici et maintenant, est la base de TOUTES les religions, donc les Juifs viennent APRÈS (ou presque en même temps). Ainsi ce sont bien les PAÏENS ou Ancienne religion qui est la base des religions. La chrétienté et l’Église de Rome essayèrent de tuer les Païens et détruisirent leurs lieux de cultes tout en les récupérants et en se les appropriant. Et peu importe le « copyright » de l’époque ! L’Ancienne Religion ou ÂGE D’OR repose sur le Saint Chaos et l’éternité passant par la Connaissance ou Vérité, Centrum Centri, Foi, Dieu, et une foule de noms selon le point de vue de chacun.

Les récits ou scénarii regroupés sous le nom d’Évangiles sont des condensés, des métaphores destinées à manipuler les foules au nom de la Provincia romana. Évidemment de nos jours on dit que l’action biblique se passe en Palestine et non vers le sud des Gaules. Mais ce sont des textes issus du Moyen-Orient qui peuvent se baser sur des récits provençaux oubliés et qui n’étaient plus « à la mode ».

Le Jésus de la Croix en Provence, ça fait tout de suite penser à AVIGNON et au Palais des papes, ce Premier Vatican ! Pas moins de 7 papes s’y succèdent. Alors on peut se demander à quoi servait Rome à cette époque ! C’était peut-être un petit « village »…

À suivre…
 
 
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Dernière mise à jour : 02-01-2015 21:51

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