Si toutes les religions actuelles reposent sur les PAÏENS, eux-mêmes reposent probablement sur les « Extraterrestres », soit ce qu’il y a dans le mental humain, MAIS DANS L’INSTANT, soit ce que certains appellent « Futur ». En d’autres mots/maux, les Païens sont les héritiers de nous-mêmes DANS LE FUTUR se reflétant ici et maintenant. La réponse se trouve dans la question, ou « Connais-toi toi-même », soit transcender le dilemme multi millénaires individualisme-collectivisme du problème politique mondial, ici ou « ailleurs ».
Le germe d’une réponse à une question se trouve dans cette question, donc dans le mental du questionneur, soit dans le mental où se trouve les ESSENCES. « Comme pour la raison raisonnante, il s’agit bien q’une équation, mais inversée : c’est l’Esprit [ou Soi] qui contient le germe de la réponse. C’est ce que l’Église appelle l’Esprit-Saint », écrit si justement Jean Coulonval dans :
Synthèse et Temps Nouveaux (lettre à
Aimé Michel de septembre 1972). Il ajoute :
« On n’accède pas au métaphysique par les mots et la logique formelle. Il est par-delà les mots et les symboles, fussent-ils liturgiques. C’est la vie et ses drames, et ses souffrances qui y conduit, et non pas l’enseignement professoral de l’Université, qui prend nécessairement des formes didactiques qui la caricaturent et en font ce que vous appelez un ramassis de jeux de mots et de calembours. C’est un fait de vie et non pas de scolarité. C’est ainsi que j’ai appris que la structure, l’ossature logique de toute chose créée, c’est la Trinité ».
Depuis de longs siècles l’histoire ne sert plus que des intérêts politiques, donc ceux des cancéreux du pouvoir ; le derniers grand exemple étant le show-business de la Shoah et des gas chambers. Comme écrit au
début de la page une de cette série d’articles, l’histoire ne peut être qu’opinion, donc subjective puisque tout est dans le mental.
Donc depuis au moins 700 ans l’histoire mondiale est diaboliquement déformée, soit consciemment et intentionnel, soit par bêtise ou non connaissance. Les « biens pensants » disent qu’il n’est pas possible de « modifier » l’histoire à l’échelle mondiale, parce qu’il faudrait une coordination gigantesque qu’il n’est pas possible de mener matériellement et psychiquement dans un maximum de pays, et qui ferait cela ?
Bref, nous en sommes encore à la chronologie de
Scaliger et
Denis Pétau.
Est-il possible de changer toute l’histoire de l’humanité ? OUI ! Puisque tout n’est qu’opinion ; seules les ESSENCES sont éternelles, elles ne sont pas accidents du mental.
À la Renaissance, avec la venue de l’imprimerie il était encore plus facile de falsifier l’histoire que ne pouvait le faire les moines copistes du Moyen-Âge (un siècle seulement coincé entre l’Antiquité Gréco-romaine et la Renaissance).
Seul exista l’Empire de la Rus Horde décrite sur la page 4. L’’empire romain n’a jamais existé (selon la chronologie de
Anatoli Fomenko et Gleb Nosovsky). La Chine soi-disant millénaire n’a jamais existé, idem pour le royaume sumérien. Il n’y a pas eu d’Ancienne Égypte ni de civilisations Maya et Aztèque. Ces civilisations ont bien existé mais sont nées seulement au Moyen-Âge (13è et 14è siècles).
Les gouvernements de tous les pays européens n’étaient pas souverain, car ils n’étaient que des inférieurs du Tsar (comme décrit sur
la page précédente).
En Russie l’époque appelée « Les Grands Troubles » (ou
Temps des Troubles) ont été l’origine du séparatisme en Europe.
De nos jours nous connaissons cette époque comme la Réforme protestante. Dans les écoles la Réforme est présenté comme une réforme religieuse, évidemment on réduit le principal : les vasseaux européens se retrouvèrent sans le Tsar de la Rus Horde, donc sans Empereur ! Donc à la fin du 16è et au début du 17è siècle les provinces européennes se séparèrent rapidement de l’Empire Rus Horde en formant de nouveaux États indépendants. Ils eurent alors besoin d’une nouvelle histoire.
Quels étaient les objectifs de ces nouveaux cancéreux du pouvoir en Europe ? Il fallait trafiquer ou donner une apparence de légitimité au nouvel État (formés essentiellement aux 17è et 18è siècles dans des guerres sanglantes). Et le pouvoir ou cancer devait être « suprême » et faire tabula rasa du passé comme en 1789 : il fallait faire disparaître la mémoire, laver le cerveau du peuple ; de nos jours la « démocratie » s’y emploi subtilement avec sa tyrannie de l’opinion !
Cette priorité devant inventer la pensée unique réunit même les
Romanoff. Évidemment pour être vendeur il faut réécrire une histoire « bandante » ou avantageuse, ou manipulatrice.
Ainsi les nouveaux rois et reines libérés de l’Empire Rus Horde devaient s’inventer une merveilleuse lignée pour appâter le client, le peuple ! Mais selon l’Ancien Code de l’Empire Rus Horde, ces nouveaux souverains européens étaient des usurpateurs. Ils inventèrent des histoires basées sur celles de l’Empire Rus Horde ; ils changeaient des noms, des costumes, fabriquèrent des dates et rallongèrent les siècles jusqu’à un millénaire. L’Europe est donc basé sur l’Empire Rus Horde. On s’invente des ancêtres et ça ne coûte pas plus cher de leur attribuer des victoires militaires. Qu’est-ce que l’ego et ses pièges ne fait pas faire !!! Pauvres humains…
En falsifiant l’histoire on a fait de l’Europe le winner sur la Russie ou Rus Horde ou Grand Empire Mongol allant jusqu’au Japon et en Amérique du Nord. Ainsi naissait en Europe et en Amérique du Nord une nouvelle géométrie du cerveau ou « nouvelle mentalité ». L’Ancien Empire Rus Horde disparut de la mémoire des peuples. L’histoire devenait artificielle comme tout ce que se fait aujourd’hui avec le virtuel et son binaire.
En Italie, en Allemagne, le pouvoir essaye de faire renaître « l’empire romain » en forme de « Reich millénaire ».
Les falsificateurs de l’histoire aux 17è et 18è siècles réussirent en Russie à DIVISER les peuples (perte de l’Unité des peuples). On volait aux Russes non seulement le passé mais également l’avenir. Ainsi la Russie se retrouva plusieurs fois dans une impasse politique (voir les 74 ans de socialisme de l’URSS).
Le vieil outil « diviser pour régner » fonctionne depuis la Chute, et avec cette division vient la HAINE, et principalement : LA HAINE RELIGIEUSE, donc le délit d’opinion. Le Christianisme universel des origines ou paganisme se divisa en plusieurs branches : orthodoxie, catholicisme ou Église de Rome, islam, judaïsme, bouddhisme. Pour vendre une religion il faut avoir le « diplôme » d’ancienneté ! De même qu’il faut le «
Nouveau, vu à la télé ! », donc inventer une nouvelle histoire ou un nouveau film !
Se donner de l’âge (rallonger son histoire) est un des symptômes du cancer du pouvoir, et c’est ce que firent les États européens faibles et nouvellement créés : plus ils étaient jeunes et plus ils rallongeaient leur histoire en la prolongeant dans l’Antiquité. Les Yahvistes sont grands spécialistes de la rallonge de l’histoire !
Évidemment le diviser pour régner se traduit avant tout par l’invention de nouvelles langues, ce qui se produisit après la Réforme, et on créa des langues artificiellement (l’anglais, le français, l’allemand, le polonais, etc.). Dans l’Empire de la RUS HORDE on utilisait la seule langue liturgique Slave, que l’on utilisait aussi en Europe (toujours selon Fomenko).
L’ancien grec et l’ancien latin ont été inventé par les réformateurs (selon Fomenko), et cela à une époque récente, afin de détruire l’unité des peuples de l’ancien Empire Rus Horde.
Donc la politique mondialiste c’est :
- Diviser la réalisation du Soi-Instant ou Christ en les religions citées plus haut.
- Inventer une nouvelle histoire et une nouvelle chronologie.
- Créer de nouvelles langues.
Ainsi l’invention de l’histoire est un programme de l’étatisme européen, ce qui explique la coordination des historiens des différents pays de l’Europe et des historiens des Romanoff.
L’ordre des Jésuites se spécialisa dans la fabrication de faux documents écrits, de 1643 à 1794, publication de 53 volumes. Ce monopole jésuite de l’histoire fut cassé par 1789.
L’ordre de Saint Benoit fut aussi un centre de production de faux écrits. Les originaux ayant été détruits, nous sommes obligés de lire les opinions écrites des moines bénédictins !
En ce qui concerne l’alphabet, autrefois les voyelles (a, e, i, o, u, y) n’étaient pas écrites, ce qui compliquait l’interprétation du sens des mots. L’argument de Fomenko que les voyelles « coutaient chères » ne tient pas debout ! Même si effectivement le parchemin ou le papyrus devait coûter cher. Quant arriva le papier et l’imprimerie les voyelles pouvaient s’en donner à cœur joie ! Par contre on peut s’étonner que des textes dits « Antiques » soient écrit de manière complexe, genre l’historien
Tite-Live (1er siècle avant notre ère selon Scaliger) ; à cette époque le papier n’existait pas, on écrivait sur papyrus, voir sur parchemin ou tablettes d’argile. Si les textes de Tite-Live sont si « travail du chapeau », il a dû se reprendre à plusieurs fois, donc « gâcher du papier », selon Fomenko. Le parchemin se fabrique dans un petit veau ou un agneau âgé de pas plus de 6 semaines, tremper la peau dans l’eau courante pendant 6 jours, gratter la peau, enlever les poils, laisser fermenter, tanner la peau, etc. Quant au papier il se fabrique à partir de chiffons.
Bref, on ne devait pas tuer des milliers et des milliers de ruminants au nom de l’art littéraire ! Donc selon Fomenko les « écrits antiques » furent seulement rédigé au Moyen-Âge.
Encore une fois l’argument de cherté du support de l’écrit par Fomenko est douteux, parce que par exemple pour les Chinois le mot écrit est la norme ; mais en Inde c’est l’inverse : seul le mot prononcé à l’oral est sacré, et l’on n’a pas confiance dans le mot écrit. La mémoire orale découlant de la Vraie Télépathie est plus sûre et importante que la mémoire écrite plus facilement falsifiable (voir où nous en sommes rendu de nos jours avec le virtuel et son binaire et les médias…). L’opinion des
Eschyle et
Pindare veut que l’écrit soit un aide-mémoire de l’orale, opinion qui persiste tout au long du règne des moines copistes du Moyen-Âge.
« Sous le régime de l’écrit, les serments se sont effacés devant le manuscrit : ce n’est plus le souvenir, c’est l’enregistrement [donc le mental ou la non spontanéité] qui compte » (cité par R. Olson dans
L’univers de l’écrit). Donc les premiers documents ne sont que des aide-mémoire et non des représentations.
Pourquoi l’antiquité gréco-latine ressort-elle à la Renaissance ? Un bon faussaire fut
Poggio Bracciolini, et ça lui rapportait beaucoup de fric : il bidouillait les écrits des auteurs antiques. Au 15è siècle cette activité était très rémunératrice. Bracciolini faisait donc commerce de la littérature antique, il engagea des assistants peu scrupuleux. Il vendait des manuscrits qu’il faisait passer pour des originaux. Ainsi il pouvait se payer des villas où il le souhaitait ! Les Médicis, des aristocrates anglais, la Maison de Bourgogne, des cardinaux, des universités furent clients de Bracciolini. Bracciolini avait pour pseudonyme «
Tacite »…
Les épopées nationalistes façon Vercingétorix.
Elles correspondent à l’époque de la Réforme décrite plus haut où l’on fabriqua l’histoire. il fallait s’inventer un héros, une épopée (raconter un truc à la Hollywood ou à la Phineas Taylor Barnum génie du business de la mystification, de la fumisterie).
Les épopées nationales étaient la clé des nouveaux États indépendants en Europe. Il fallait des héros, des supermen pour fédérer les peuples. En France «
la chanson de Roland » daterait à l’origine en 1170, mais publié pour la première fois en 1737.
L’ardoise vierge du « passé ».
C’est facile, il suffit de détruire toutes les sources écrites, ou les monuments, pierres, fontaines, forêts et lieudits rappelant le passé. C’est ce que firent les Chrétiens détruisant les Païens ; ou les Juifs détruisant ces mêmes Païens. L’arme de tout ça est toujours la TERREUR : on brûle, les livres, les gens ; on coupe la tête des gens… on les envoie au Goulag ou on les noient… L’inquisition est intemporelle… depuis la Chute. Aujourd’hui l’Inquisition s’appelle « démocratie », ou OPINION, ou CRIF (en France).
À partir de 1559 le Vatican établit la liste des livres mis à l’index (le Big Brother de l’époque). Le vatican « maudit les auteurs » ; de nos jours ça devient laïc : « antisémitisme », ou « complotisme » (conspirateur), ou « révisionniste », ou « fasciste » (réactionnaire).
Dans cette liste vaticane de mise à l’index figure une liste de livres « à nettoyer » (à corriger). Même peine aujourd’hui avec les ouvrages des 19è et 21è siècles remettant en cause le show-business des Yahvistes. Aujourd’hui la mise à l’index et l’inquisition est pratiqué en France par la Licra et Crif et autres officines yahvistes. Sous Staline l’inquisition culturelle était terrible.
Pendant que l’on y est on corrige aussi des cartes géographiques : représenter le monde sur le papier ou parchemin, c’est à dire à l’aide de l’artifice que représente l’ego humain. C’est l’époque à la fin de la Renaissance, où le « discours scientifique devient « objectif » avec la création d’une institution étatique genre
Royal Society of London : on normalise afin de créer la pensée unique pour faire des « lecteurs ordinaires », c’était le début de la création du Nouvel Ordre Mondial avec effacement de l’Empire Rus Horde. Que l’on pense au découpage démentielle et robotique des
départements français en forme de petits carrés sous la révolution de 1789 par le comité Sieyès-Thouret !
Ce sont les Scaliger & Cie qui établirent la Jérusalem en Palestine…
À suivre…
[En haut de page : carte mondiale datant de « 1154 » réalisée par
Al Idrissi pour Roger II de Sicile]
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