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Toute l’histoire est fausse - 8 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 05-01-2015 18:24

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Cinéma, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Toute l’histoire est fausse - 8
Le SABLE, puis la PIERRE
et le TEMPS :
La Pierre ça dur c’est dur !
Et pourtant,
rien de plus tendre,
à cause de ses MAILLES et de son VIDE.


LE SABLE C’EST L’EAU
et la civilisation actuelle prend l’eau de toute part
car elle devient un ARTIFICE, du FAUX, un SAVOIR, de s’A-Voir,
donc opposé à la Connaissance.
La Connaissance des Anciens commença, bien avant la forge et
les métaux, par la fabrication de la Pierre reconstituée,
donc un artifice, mais si bien conçu que seule la technique
actuelle permettait de le vérifier.
 
 
 
La Pierre reconstituée ou ce qu’on appelle de nos jours « béton » est aussi vieille que l’humain sait façonner des poteries avec de l’Argile. Ainsi on pouvait facilement mouler des pierres de 10 ou 500 tonnes. Mais encore de nos jours on se demande pourquoi avoir construit grandes les principales pyramides de l’Égypte ancienne.
 
BÉTON - TOMBER : de 1165 : bitume (bitumen). Voir Joseph Davidovits et la Pierre reconstituée de façon naturelle (sans cuisson à grande température ni haute pression).
Du béton dans les pyramides ? peut-être, mais ça ne résout pas le mystère du levage. On devait avoir recourt à la BANCHE : étymologie de banc : c’est le moule pour le coulage de la Pierre reconstituée (aujourd’hui on parle de « béton banché »).
Mystère de l’ajustement des Pierres reconstituées : chaque banche précédente se succédait sur la banche suivante permettant de n’avoir pratiquement aucun espace entre deux blocs de Pierres reconstituées, ou au maximum un espace mince comme le diamètre d’une mince aiguille à coudre moderne.

Un autre mystère : le sarcophage, celui qui est à l’intérieur de la pyramide de Khéops, sarcophage soi-disant en granite monolithique. Comment ce sarcophage se retrouve à l’intérieur ? Impossible de le rentrer par des ouvertures trop étroites ! Et il y a beaucoup d’autres sarcophages monolithiques enfermés dans d’autres pyramides ou tombeaux, dont les ouvertures sont trop petites pour pouvoir rentrer ces sarcophages d’un seul bloc.
Là encore ces sarcophages ont probablement été coulé en un seul bloc de Pierre reconstituée (géopolymère).

Il existe aussi beaucoup de poteries et de plats plus durs que de l’acier, donc ces poteries n’ont pas été creusés ou sculptés, mais MOULÉS. Si ces poteries avaient été sculptés, il aurait fallut des pointes de diamant, et une haute précision pour les parois intérieures. De plus ces récipients sont très réguliers et parfaitement lisses.
Si ces récipients n’étaient pas moulés, ils étaient façonnés sur un tour de potier à partir de la Pierre reconstituée qui n’avait pas encore durci et ressemblait à une argile ordinaire.

Autre mystère : la gravure sur Pierre : profondeur régulière et netteté des Hiéroglyphes gravés en creux. Les Hiéroglyphes s’enfoncent de 10 cm dans la Pierre sous un ANGLE DROIT, donc en totale différence de la moindre sculpture de nos cathédrales chrétiennes. De nos jours on ne dispose pas d’outil qui s’enfonce dans le granite de façon régulière et confortable comme le couteau dans le beurre.
Alors il est probable que les Hiéroglyphes étaient sculptés dans la surface de la Pierre reconstituée qui n’avait pas encore durci.

Encore un mystère : le concassage, ou cassage. Comment les constructeurs broyaient la Pierre ? La Pierre, ce n’est pas du « blé à moudre ». C’était tout confort pour le Calcaire, mais un autre problème pour la Diorite ! Il suffisait de fracasser la Diorite avec une autre Diorite, et petit à petit on obtenait une poudre.
 
Et notre PIERRE PHILOSOPHALE ? Le travail est le « rassemblement du Tout » (Al ou le Soleil) dans le Principe (le monde spatio-temporel), depuis ce Principe ; donc il ne s’agit nullement de « recherches » (AL-E, comme IT, et non le contraire, tout comme le Soi-Instant n’est pas à obtenir ou à rechercher puisqu’il est notre état naturel !)
AL le Soi-Instant dans l’ego ou E (Trinité) pour le retour à l’Origine ou Unité. Mais il est certain qu’au « début » du labour alchimique il faut « broyer » sa Matière dans le Creuset, d’où une analogie avec le béton ou Pierre reconstituée. Bien-sûr la Pierre Philosophale est obtenu à l’aide d’artifices, de labeurs, mais des façons entièrement naturelles.


EN RÉSUMÉ : moulage et coulage de Pierres reconstituées, peut-être, c’est tout confort ! Seulement le problème principal est qu’en Égypte, IL N’Y A PRESQUE PAS DE BOIS… pour construire les moules ! De plus les architectures Mayas et d’autres Peuples du Soleil sont construites antisismique. Mais les pyramides sont construites sur des bases taillées en terrasses : pour éviter toute « dérive ». Toutes ces constructions sont bâtis sans liant, ainsi s’explique l’irrégularité des joins des murs, pour éviter que des dislocations ne se propagent par résonance.
Pour le levage des plus gros blocs : un système « hydraulique en sable » servait à hisser les blocs.
Bref, le moulage de Pierre reconstituées devait se pratiquer universellement à Baalbek, à Stonehenge, chez les Peuples du Soleil, en Bretagne, etc.

De plus, plein de techniques ne se transmettaient que par voix orale, et quand un artisan mourait sans transmettre son savoir à ses apprentis, c’était terminé pour de longs siècles : rien de nouveau sous le Soleil, il n’y a de nouveau que ce qui a été oublié.

Aujourd’hui, l’ère de l’opinion colle parfaitement avec l’ère industrielle : le mondialisme ou nouvelles institutions développées dans une société de plus en plus influencée par une mécanisation, une robotisation de la société. Cela se traduit par un étatisme exacerbé, une centralisation de l’autorité ou chefferie qui s’efforcera de tout prévoir. Cette chefferie par conséquent s’efforcera d’éliminer tout initiative qui pourrait déranger les dispositions qui ont été prise « en haut lieu » (de la pyramide).
En raison de l’efficacité devenue évidente suite à la poursuite de la thermodynamique, l’étatisme calque les siennes sur ces pratiques éprouvées, avec le résultat que la « masse », le peuple (les assurés et contribuables), doit être passif, dans le registre du « Circulez y’a rien à voir » pour faire gagner un maximum de fric aux industries des Couilles en Or.

Aujourd’hui il est très difficile même d’imaginer comment les pyramides d’Égypte et d’ailleurs furent construites, parce que nous sommes devenus une civilisation du CONFORT, de la SÉCURITÉ (voir cette mode du terrorisme et du Petit-Père-des-peuples avec sa civilisation d’assurés). Comme depuis 1789 nous sommes dans la religion du Saint Fric, la peur, la hantise de la misères règne partout : voir les mots « croissance » et « pouvoir d’achat » des cancéreux de la politique. Ainsi la préoccupation universelle du nouvel esclavage des salariés est LA SÉCURITÉ, d’où encore une fois cette mode du terrorisme. Mais le sécuritaire remonte en fait à l’après première guerre mondiale.
Pendant des siècles les Français furent les aventuriers de cette Terre, tant spirituelle que matérielle ; depuis 1789 ils se replient de plus en plus dans la crainte du risque : « l’aventurier a rangé ses bottes pour chausser des pantoufles », comme écrit Hyacinthe Dubreuil dans : J’ai fini ma journée.

Hyacinthe Dubreuil ajoute : L’aventure spirituelle ou matérielle tendait à l’élever au-dessus de lui-même. Elle forgeait son énergie. Grâce à elle il découvrait des terres, faisait des inventions, ou élaborait des principes et des lois. Ainsi sa « quête » se poursuivait dans une région supérieure, et littéralement dans ce « ciel » où ni la rouille ni les voleurs ne peuvent atteindre ce que l’intelligence et le cœur ont amassé. Mais maintenant, au lieu d’amasser avec intelligence ou au plus profond de son cœur, il préfère amasser des richesses d’ordre comptable qu’il croit plus sûrs et solides que celle de l’Esprit ».
H. Dubreuil décrit parfaitement la société de consommation, l’American way of life. Aujourd’hui, nous ne sommes plus une civilisation des DEVOIRS, mais seulement des DROITS, conséquence du « libéralisme » et de sa « démocratie » et de l’envie de ceci ou cela puisque nous sommes en loge, pardon, en trinité judéo-maçonnique du « liberté-égalité-fraternité ».

Donc construire les pyramides était pour ces peuples anciens une ASSURANCE de l’Après Vie, qui, de nos jours, est remplacé par l’assurance payante sur tout, la santé, le vol, la perte, l’incendie, les vacances, le ceci et le cela (voyez le nombre de mails pour sacrifier à l’assurance sur tout et pourquoi pas même sur la mort en offrant moyennant finance une immortalité). Comme écrit Dubreuil : « On a jamais vu de prospectus des compagnies d’assurance contre l’incendie prétendre a créer entre les assurés un lien moral quelconque ».
Le confort, le tout sécuritaire, la thermodynamique, tout cela s’inscrit dans l’antique loi : CELLE DU MOINDRE EFFORT, qui normalement est LA LOI naturelle qu’encore nombre d’êtres humains cherchent sous le nom « d’énergie libre ». Comme déjà écrit, cette « énergie libre » ou Vraie Liberté se nomme : AMOUR ; un certain Jésus de Nazareth aurait d’ailleurs dit : « Aimez-vous les uns les autres ». C’est ce qui permit certainement de construire entre autres les pyramides d’Égypte et d’ailleurs, choses que l’on ne peut pas construire sous les coups de fouet et en esclavage et mal nourrit !! Les Compagnons ou Anciens Francs-Maçons et constructeurs de nos cathédrales et châteaux furent les dignes héritiers de ces ouvriers constructeurs des pyramides. Cet accord entre Ouvriers se nomme : Loi de réciprocité, écrit Dubreuil, ce qui correspond à l’antique ANALOGIE, à la SYMÉTRIE ou AU PARTAGE illustré par Jésus. Et qu’est-ce que c’est cette Loi de réciprocité ? C’est le principe alchimique de vibrations entre l’intérieur et l’extérieur. Hélas, aujourd’hui tout est tourné vers l’extérieur, la judéo-maçonnerie spéculative appelle ça « laïcité », et l’intérieur leur est réservé sous le nom de « loge » (la cabane de feuillage… l’atelier, sens anglo-saxon…).

À suivre…

[En haut de page : Calcaire « gruyère » en Espagne]
 
 

Dernière mise à jour : 06-01-2015 22:50

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