La révolution russe de 1917 copia la française de 1789 (notamment les guerres de Vendée de 1792-1793 et l’héritage communard ‘teinture de marxisme’) et ça ne pouvait donner que le socialisme, qui infecte le monde actuellement sous la forme de capitale-socialisme (voulu par les Juifs-bolcheviques). Le capitalo-socialisme et sa république est un virus : il méconnaît, il détruit les réserves, toutes les réserves. Là où sont les puits de la vie, les puits de la tradition, du devoir et de l’expérience où s’abreuve instinctivement la caravane sociale, le capitalo-socialisme voit des parasites et des obstacles. Il confond réserve et inutilité. Tout ce qui se conserve dans le monde, dans les corps et les âmes lui est aversion : sa haine de la religion est féroce et se traduit par la singerie religieuse nommée « laïcité ».

Le capitalo-socialisme a horreur de l’épaisseur, il rage contre l’épanouissement de l’être humain. « Dans ces éléments de stabilité et de vie, l’idéologie marxiste ne voit que poids mort et qu’absurde oisiveté » écrit Thibon. Il ajoute justement : « Transformer l’organisme collectif en cet être infiniment plat - parce que infiniment rapide - conçu par la fantaisie d’Einstein ».

Le capitalo-socialisme c’est l’esclavage : ces gens sont incapables d’humanité. Ils sont incapables de comprendre que le travail pourrait être sain, comme avant 1789. Il y a la vie dure et difficile et profondément humaine : celle du paysan, du pasteur ou du rabbin, du soldat, et surtout de l’ancien artisan du village. De nos jours de « citoyens » ou habitants des cités, il y a la vie molle et confortable qui est la robotisation de l’humain et qui engendre la corruption, bien-sûr au nom du « libéralisme » et de la démocratie ; il y a la dépression et l’éternelle révolte de l’être qui ne joue aucun rôle vivant dans la cité : par exemple la vie de l’ouvrier standard réduit à un esclave, une machine avec parfois salaire confortable, l’automatisme du bureaucrate et du cadre d’entreprise amorphe et bien payé et bien chauffé, etc. Et c’est précisément ce genre d’esclavage que le capitalo-socialisme et la judéo-maçonnerie spéculative réclament pour tous, au nom de « l’égalité » et de la démocratie.
Les démocraties ou républiques modernes ont trop vite confondu vie dure et vie inhumaine. « Et par là ils se sont condamnés presque uniquement à corrompre sous prétexte d’humaniser ».

L’opinion judéo-maçonnique de 1789 et son égalité est LE poison du monde actuel, car comme l’écrit Thibon : la fraternité n’a pas ici-bas de pire ennemi que l’égalité. En effet, une Vraie Fraternité ne peut naître que de l’acceptation de l’inégalité ! Les courants de sympathie et d’harmonie, effective, ne sont possibles que dans la mesure où chaque caste reste lié à sa position, en dehors de toute contestation et de toute envie lié à cet actuel libéralisme de la religion du Saint Fric, où tout le monde dans l’opinion de l’American way of life peut aspirer à être riche, car la conquête, la foi en l’argent est liée aux hasards les plus creux.
RAPPEL : l’oligarchie ou la ploutocratie est le principe du mondialisme ou Nouvel Ordre Mondial, car comme on dit « l’argent n’a pas d’odeur » : un riche est riche partout, et la ploutocratie est inorganique car elle n’a pas de milieu spécifique ; elle est étrangère au « petit peuple » ou ordre vivant de la cité, elle ne peut être qu’un facteur de désordre et de parasitisme.

 

Crève, infecte république !
Une perruque poudrée comme Rousseau dans « le contrat social » énonce les carences de l’hérédité, et ajoutait que la démocratie élective confierait quasi naturellement le pouvoir à l’élite de la nation. Il faut être ignorant pour pondre une idée pareille, car il suffit de regarder les nouveaux Seigneurs que le républicanisme nous a octroyés : depuis près de 200 ans ce système électoral au « suffrage universel » que la judéo-maçonnerie brandissait en douce comme la « Pierre Philosophale », a creusé un gouffre entre les inégalités humaines et les inégalités sociales. Les hasards du struggle for life se sont révélés plus désastreux encore que ceux de l’hérédité !

En ce mondialisme de cancéreux du pouvoir qui les rends fous, c’est une grande sagesse que de savoir être fou tout seul ; et comme le disait souvent le psychiatre Henri Ey : « N’est pas fou qui veut », ne pas répandre sa folie, donc ne pas répandre son opinion au dehors pour ne pas inverser l’échelle des valeurs sous prétexte que l’on se trouve en bas ! Ainsi on se garde pour soi-même tout ce qu’on a de mauvais, et on partage tout ce qu’on a de bon.

Cette infecte république qui impose la tyrannie de l’opinion, du cancer du pouvoir qui comprend LE CONFORT, L’OPULENCE OU CROISSANCE ET SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION : La faim et le froid nous impose à nous humains actuels l’usage de la nourriture chaude et de la laine, mais le choix de l’étoffe et du restaurant dépend de notre ego ou opinion. « S’il s’agit de vivre, disait Shakespeare, l’homme vit au même prix que la bête ». Le luxe ou confort commence avec l’opinion, l’arbitraire et le choix, c’est-à-dire bien en deçà de ce qu’on appelle aujourd’hui le minimum vital. Le luxe et le confort commencent avec les mots/maux et la démocratie et sa tyrannie de l'opinion.