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Hallucination collective de l’Empire USionistan Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 09-01-2015 18:56

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Cinéma, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Hallucination collective de l’Empire USionistan
ou le « Vivre ensemble » du mondialisme de l’Empire
L’heure est grave, l’étatisme républicain est
en train de reprendre du poil de la bête.
 
 
Le « Vivre ensemble » du mondialisme ou Nouvel Ordre Mondial ou Religion du Saint Fric.

« Il n’est pas de pire méfait social que d’acculer les masses à la sainteté [ou au républicanisme] » écrit prophétiquement Gustave Thibon dans : Diagnostics).
Ramana Maharshi dit à peu de chose près la même chose : « Les instructions spirituelles diffèrent selon le tempérament des individus et leur maturité spirituelle. Il est impossible d’instruire en masse. (Entretien 107). Et ce n’est pas à l’étatisme républicain et judéo-maçonnique à imposer à coups de lois sa religion de la laïcité.

Ainsi on ne répare pas l’humain en masse à la façon socialiste de l’URSS, à la façon de la propagande républicaine, on ne prêche pas à tout le monde et à personne du faîte de l’édifice humain complètement branlant ; il devient maintenant nécessaire de DESCENDRE et en réparer, pierre après pierre, les fondements totalement corrodés.

« Croire à un homme, en une cause, un idéal, une idéologie, c’est décider une constance [une norme, un dogme], c’est lui attribuer une valeur stable et constante malgré l’expérience la plus criante, dans la paranoïa individuelle et collective », écrit Raymond Ruyer dans : La gnose de Princeton.

« C’est la définition même de l’opinion politique. Les meetings, défilés avec pancartes, chants, et drapeaux, caractérisent toutes les manifestations des foules en proie à un même culte (d’un homme, d’une cause, d’une idéologie). C’est une véritable liturgie [puisque l’homme est un Homo religiosus]. Ce sont les délires des foules nazies, communistes, gaullistes, estudiantines, ou autres. Toute opinion prétend stabiliser, en le déifiant, du temporel, du vent. C’est une singerie du religieux. Comme le dit mon ami Gustave Thibon : « Dieu, s’il n’est pas la lumière qui transfigure, devient le masque qui déguise », écrit Jean Coulonval à Raymond Ruyer le 15 décembre 1974, dans : Synthèse et Temps Nouveaux).

Le mot république comme le mot démocratie ne sert que de packaging à propagande à l’oligarchie des cancéreux du pouvoir. Cette oligarchie, cette ploutocratie qui se dit « républicaine » comme les régimes socialistes de l’URSS qui s’appelaient « démocraties populaires ». Ce n’est pas étonnant vu que le socialisme de l’URSS est l’aboutissement du républicanisme de 1789. Nous vivons dans la mort du républicanisme, comme la période de décadence finale de la première république qui trafiquait dans l’affairisme, la corruption politique, et le profond mépris des peuples. Se souvenir de ce Directoire de 4 années avec cette mode des Incroyables et des Merveilleuses dignes de notre monde actuel de pur matérialisme !
 
 
Le « Vivre ensemble » du mondialisme c’est l’égoïsme, le chacun pour soi, la guerre de tous contre tous ; et quand vient une catastrophe provoquée par la Nature ou par l’ego des humains, il se développe un grégarisme qui débouchera immanquablement par une religion ou une singerie de religion comme la laïcité judéo-maçonnique modèle Grand Orient de France et sa république « universelle et indivisible » ou plutôt risible ! (Universelle à bien-sûr traduire par : USionistan !) J’en profite pour répéter que si la république a été attaqué à ce début janvier 2015, je m’en réjouit beaucoup, et je lui souhaite de crever, tout en disant à ses cancéreux du pouvoir qu’ils aillent se faire voir ailleurs pour leur éviter de se noyer en quittant le navire !!!
Un chambardement dans la fourmilière humaine ne peut venir que lors d’une grande catastrophe naturelle, ou provoqué par les humains eux-mêmes. Se rappeler que sans une grande catastrophe il n’y aurait pas eu d’Empire Romain ! Ce n’est qu’après un VRAI DÉSASTRE (dès-astre) impliquant un corps céleste imprévu dans la chronologie tueuse que l’occasion se présente pour refondre l’histoire : voir la refonte de l’histoire par les humains eux-mêmes après 1945, et après le 11 septembre 2001, et peut-être après le mercredi 7 janvier 2015 ; tout cela renforcent le pouvoir de l’étatisme et de son Empire, et pouvant être provoqué par lui.

NON je ne suis pas Charlie, reflet de la pensée unique du Nouvel Ordre Mondial et à l’imbécilité grasse niveau freudisme du pipi-caca portant le nom « d’amusement », soit la privation des muses et l’entretien au plus bas niveau de la pensée unique. J’ai hésité à mettre l’image ci-dessus, mais après réflexion là voici. Maintenant le conte politique actuel peut cacher bien des problèmes vis-à-vis de ce qui reste de la France en politique du républicanisme !!! Qui sème le vent de l’opinion récolte la tempête de sa tyrannie. Bien et mal sont comme la face et le revers d’une médaille. Il n’existe pas de critère qui permette de juger si une chose est bonne ou mauvaise. Mais en ces temps où tout est à l’envers le résultat est là à cause de l'ignorance. « Si l’un pense ‘Je suis ceci’, un autre pensera ‘Je suis cela’ et ainsi de suite [ce qui donnera l’OPINION]. Il se produit des conflits de pensées et tant de religions en résultent. La vérité reste ce qu’elle est, elle n’est affectée par aucune déclaration conflictuelle ou autre », ce qui rejoins « Si chacun s’occupait de ses propres affaires, il n’y aurait pas de querelles » (réf. Ramana Maharshi entretien 248).

La pensée unique va avec le grégarisme et le système et son « vivre ensemble », qui n’a rien de comparable avec la Vraie Solidarité s’exerçant avant 1789 et surtout avant la Renaissance.
Au Moyen-Âge la solidarité et la fraternité était vitale : il y avait la famille, le village, la seigneurie, qui fonctionnait un peu comme notre Sécurité Sociale, explique l’historien du Moyen-Age Georges Duby. Lorsque survenait une famine, le seigneur ouvrait ses greniers pour nourrir les pauvres. S’il y a une leçon à retenir, c’est celle-là : les hommes du Moyen-Age n’avaient pas perdu le sens de leur responsabilités à l’égard des autres, parce que c’était la civilisation des DEVOIRS (en opposition de notre civilisation des « droits » lié à ce libéralisme, à cette démocratie et à l’egoïsme). Il avaient le sens du collectif, du démocratique même. Des exclus, il y en avait tout de même : les Juifs, auxquels on a imposé au début du 13è siècle le port d’un insigne, et les lépreux, qui se déplaçaient en agitant une crécelle pour que les autres s’éloignent. La lèpre, le sida de l’époque...

L’Ancien Régime était la civilisation des DEVOIRS, sens de NOBLE : de grandes qualités morales, donc proche du Sage. Ce qui amène qu’un régime démocratique ne peut rester sain que dans la mesure où subsiste, chez ses dirigeants, un esprit d’immolation qui s’apparente à celui du sacerdoce et de la chevalerie : voir à ce propos le film El Cid, d’Anthony Mann.
Une civilisation digne de ce nom ne doit avoir ni armée, ni police, ni justice, cela parce que les habitants la composant seront tous devenus ENFANTS, et plus besoin de services de renseignements puisque la vraie Télépathie deviendra le langage principal. (Lire la suite sur la page : Le bien chez les républicains ou démocrates).

VIVRE ENSEMBLE : La ploutocratie des cancéreux du pouvoir du républicanisme fait semblant de préconiser sa « fraternité » judéo-maçonnique du « vivre ensemble », alors qu’elle a provoqué délibérément le développement du communautarisme à la « United Colors of Benitton  » dans le sillage de l’immigration. Mais le dogme « vivre ensemble » ne vise que les Français de souche qui sont priés de tolérer le communautarisme des autres sous le dogme du Nouvel Ordre Mondial.
La vraie spécialisation professionnelle est de nature organique : elle est par conséquence limité : les métiers vitaux ne sont pas multipliables à l’infini.
La fausse spécialisation, celle du mondialisme, au contraire résulte de l’uniformité, de la pensée unique, et par la même, elle ne connaît pas de limites : c’est la fameuse ‘croissance’, et on peut diviser sans fin un corps indifférencié ! Ainsi est la clé de l’apparent paradoxe, qui fait croître simultanément la robotisation de l’humain et son uniformité, sa « normalisation » modèle Empire USionistant et Union Européenne ou Nouvel Ordre Mondial.


Le « vivre ensemble » va avec l’INTÉGRATION :
Encore un mot trompeur censée favoriser l’installation de communautés immigrées en France dans le respect contradictoire de leur « identité » propre et de celui des « valeurs » du républicanisme, après l’échec des politiques d’assimilation. Dans l’opinion politicarde cette intégration n’est jamais suffisante et il faut toujours appeler les Français de souche, jamais ceux qui sont d’origine immigrée, à plus d’effort en la matière, ainsi l’intégration du républicanisme ne fonctionne pas : l’intégration est conçue comme l’adoption par la majorité des pratiques des minorités, et non le contraire (éclatement). L’intégration est un devoir du républicanisme pour les Français de souche uniquement, et un DROIT pour les immigrés (« La France intègre avec difficulté ses populations d’immigrés », Le Monde, 4 décembre 2012, réf. Nouveau dictionnaire de Novlangue, Polémia).

Ne pas tomber dans le grégarisme et sa pensée conditionnée unique, et mâchée, sans quoi on fait du sur place ou on demeure en prison du mondialisme pour des millénaires !
Le républicanisme, tous les étatistes en général FABRIQUE LA PEUR, l’étatisme fabrique la peur, les religions fabriquent la peur. Ce sont eux les terroristes. Il n’y a pas pire VIRUS QUE LA PEUR, PARFAIT OUTIL DU GRÉGARISME qui se transmet même aux deux autres règnes : végétal et minéral. Les militaires ou « forces de l’ordre » appellent ça « stratégie de la tension » ou « guerre psychologique » (mettre la pression ou stresser l’individu, par la fabrication par des agents secrets d’un attentat par exemple, la véritable cible n’étant pas ceux qui sont visés et tués, mais les opposants). Aujourd’hui on vise le mental des individus, pareil pour la torture où on ne fait plus couler de sang visible. Comme le Diable, il s’agit toujours de diviser, et pire, de s’attaquer à l’âme puisqu’il n’existe plus l’Inquisition de l’Église de Rome, l’Inquisition est devenu celle de l’État et de l’Empire USionistan.

L’Union (soviétique ou sociétique) européenne est une machine à normaliser et donc à fabriquer la pensée unique et à éradiquer toutes particularités nationales. L’union européenne c’est la guillotine en grand du Nouvel Ordre Mondial : aucune tête ne doit dépasser.
Les bobards sociaux qui dominèrent l’après 1789 tout au long du 19è siècle s’industrialisant (capitalisme, suffrage « universel », robotisation des citoyens sous la chefferie du Petit-Père-des-peuples ou étatisme sont malsains dans leur principe, car ils atomisent les humains.

« L’exploitation malsaine, monstrueuse, commence lorsque l’homme exploite l’homme au profit d’une chose irréelle, d’un signe de mort, d’un fantôme auquel collent son avarice et son orgueil dénaturés. Ces abstractions-là ont des estomacs sans limites [voir les Couilles en Or et leur croissance]. On a vu cela dans l’âge d’or du capitalisme : l’homme immolant l’homme - et des masses effrayantes d’hommes, car une abstraction, je le répète, n’est jamais repue - non plus à l’argent-substrat organique des échanges et du bien-être ou corollaire d’une puissance sain, mais l’argent-chiffre, à l’argent-signe, à l’argent-fantôme. On le voit surtout dans l’Allemagne hitlérienne et dans la Russie marxiste, où l’irréalisme épuisant du capitalisme atteint, sous le nom de socialisme, son maximum de nocivité, et où une image irréalisable de l’homme tarit et désaxe, économiquement ET moralement la foule vivante des hommes… » écrit Thibon.

Le collectivisme étatique où le parasitisme capitaliste trouve, en apparence sa ruine, en fait sa plus haute expression : l’humain est dévoré corps et âme par un fantôme étranger à la nature humaine et par là même insatiable de sang humain.
« Pour faire la révolution, on a tari la santé spirituelle du peuple, et rien ne compense plus maintenant la rigueur matérielle de l’existence. Le joug à l’extérieur, le commencement de l’enfer sur la Terre… » écrit G. Thibon.

« Ce n’est pas l’effet du hasard si les époques où le primat social est dévolu à l’argent sont aussi celles où sévit la pire fièvre égalitariste [et donc le « vivre ensemble »] » écrit si justement G. Thibon.
Il ajoute cette illustration du CONFORT : « L’instinct égalitaire a les mêmes sources que l’instinct hédoniste, il est la marque de la même décadence », j’ajoute de la décadence des perruques poudrées du siècle dit « des lumières ».
Le socialisme soviétique fondé en droit sur l’égalitarisme le plus rigide, a donné naissance en fait aux inégalités les plus révoltantes que l’histoire humaines ait jamais connues.
 
 

Dernière mise à jour : 09-01-2015 23:53

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