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Première religion universelle : LE FRIC Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 15-01-2015 14:12

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Première religion universelle : LE FRIC
puisque toutes religions dépendent de
la CROYANCE, de l’OPINION, ou CRÉDIT ou CONFIANCE,
les banquiers portaient autrefois
le nom de MARCHANDS DE CONFIANCE.
Donc il faut arrêter la monstrueuse hypocrisie
et la manipulation démentielle dans les merdias
aux ordres des Couilles en or
et de leur républicanisme.
 
Croyance ou marchandage avec Dieu, les Dieux,
afin d’obtenir quelque chose,
une carotte, une « Jérusalem céleste ».
 
 
1789 = établissement du culte de l’opinion en forme de religion de la laïcité (mot de 1871), soit une religion inversée établit comme critère de vérité politique. « Le peuple le croit mais les vrais politiques, les hommes de pouvoir qui ne sont pas nécessairement ceux dont on publie les noms, ne sont pas dupes parce qu'ils ont pouvoir de fabriquer des opinions à leur convenance » (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux).
Lai ou laos (laïcité) : peuple, donc tous ensemble, soit RE-trouver son ORIGINE ou PURETÉ (voir plus bas), et par là-même combattre l’évolutionnisme des Hébreux.
La laïcité est une opinion, parce qu’elle se dit neutre et prétend se baser sur une logique. La logique est elle même une opinion, incontrôlable, adoptée, possédée pour le seul motif de l’ego ou penchants sentimentaux très obscurs dû à l’ignorance. Ainsi cet ego prend nécessairement la valeur de dogmes (laïcité, égalité, humanisme, etc.) que l’on en soit conscient ou pas. Et ce dogmatisme est d’autant plus intraitable, fanatique même, qu’il en est inconscient, parce que tout danger de ne plus y croire crée la panique devant le VIDE, devant la possibilité de ne plus avoir de raison de vivre, de ne plus avoir de terroristes ou de boucs émissaires à combattre, donc de mettre sur la paille tous les fabricants et vendeurs d’armes de ce monde.
 
On ne dit jamais que des propos « racistes », « antisémites » ou les « apologies d’actes de terroristes » avant d’être des délits réprimés pénalement sont avant tout des opinions. Les lois comme la morale sont des opinons qui changent comme la mode et les régimes de l'étatisme.
 
Le poncif judéo-maçonnique et républicain de « lutte contre la haine » est une pensée unique mondialiste et « humaniste » issue des judéo-maçons ou perruques poudrées du 18è siècle en forme de fausse religion, et actuellement nous en subissons les effets maladifs en une hystérie collective occidentale, conséquence de perte du divin remplacé par la laïcité qui se voudrait « objective » (neutre) alors que l’humain est à la base un Homo religiosus (voir plus bas), IL CROIT.
 
La religion du Dieu Fric de Babylone et de la république judéo-maçonnique : on l’honore comme on honore une dette ! On se fait crédo-crédit (credo, du latin « je crois »). Soit le monde de la « dette envers Dieu » (dollar), notamment parce qu’on l’achète avec une prière.
CROIRE, c’est l’opinion en quelque chose, comme croire en l’argent tout puissant sur lequel est construite cette civilisation. Voir la page : Moïse la Friture et aussi le Diable.

Étant d’origine russe, je lutterais contre l’opinion du mondialisme et de ses évolutionnistes, donc comme beaucoup, comme les peuples Russes et Chinois. La Sainte Russie a été attaqué par la finance internationale anglo-saxonne en 1917 (Wall Street et la City de Londres), mais comprendre désormais « Jérusalem »
Je ne suis plus français, mais RUSSE.

Deux définitions de l’opinion :
Tel qui parle étourdiment blesse comme une épée. La langue des Sages guérit (Proverbes)
Matthieu 15 11 : Ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l’homme, mais ce qui sort de sa bouche.

My God, que de tueries en ton nom, donc au nom de la LIBERTÉ que tous les humains re-cherchent désespérément étant des Homo religiosus comme je le répète souvent maintenant. L’opinion est bien la TYRANNIE depuis l’époque de la Renaissance.

L’être humain étant un Homo religiosus, d’instinct il voudra par exemple imposer la laïcité aux autres, sous opinion que ce serait la neutralité ; hypocrisie totale car l’objectivité n’existe pas. Elle n’existe pas pour la raison qu’il n’existe pas de système religieux où la dualité du pur et de l’impur ne jouent un rôle fondamental. On parle en Alchimique de corps pur, le pur toujours mêlé à l’impur, venant, par son contact, l’altérer, l’avilir et le profaner. Et en ce moment dans notre Occident gangréné par la démocratie et le républicanisme, cette république voudra imposer « sa pureté » ! Car selon certains l’impur DÉRANGE (comme dérangent les soi-disant « terroristes »). La république et ses manipulations pénètre jusqu’aux tréfonds du mental et y fait éclore les « maladies » (divisions et cacophonies). L’impur rappelle aux humains et aux animaux LA MORT ET LA POURRITURE (des animaux manifestent une crainte pouvant aller jusqu’à la panique vis-à-vis du cadavre d’un animal de même espèce). La phobie du cadavre est universelle, comme la phobie du microbe, la phobie de celui qui n’est « pas normal », donc la 'haine'.
RAPPEL : le SACRÉ EST TOUJOURS DOUBLE, AMBIVALENT. LE PUR BRÛLE (c’est pour cela qu’il exista la mode de brûler des « sorcières », les « terroristes » de ces temps).

Jean Coulonval (Synthèse et Temps Nouveaux) : J’appelle « opinion » toute conception de l’Être en soi issue de l’expérience de l’existant.
Coulonval est extrêmement lucide d’écrire que le communisme ou socialisme ne fait que conduire à ses derniers conséquences logiques le règne de l’opinion, aboutissant à une religion et une mystique renversées, en creux, au renoncement volontaire de l’homme à sa propre liberté. J’ajoute que c’est exactement la laïcité, réduite au poncif républicain : tout le monde est « libre de croire », effectivement, de croire au Saint Fric, au 'libéralisme' ; et c’est laïque, puisque nous y sommes tous contraint par cette société de consommation, qu’on le veuille ou non nous sommes tous coupables, et tous prisonniers.

« L’opinion qui prétend illusoirement légitimer l'uniformité en disant que les accidents créent l'essence, ce qui ne peut se concrétiser dans le social que par la recherche d'une uniformité psychique toujours à recommencer : les goulags sont les dépotoirs perpétuels pour les déchets que laisse toujours la fusion de cette uniformité du psychisme social dans un moule unique. Toute fusion laisse des scories, mais ces scories sont des hommes [les terroristes, les délinquants] » (Coulonval).
 
Pertinence de Coulonval (voir par exemple le Cas d’Alain Soral) : « Toute opinion est de gauche à sa naissance, de droite et réactionnaire par rapport à celle qui la suit. Cela est vrai et constitue un processus absolument général de l'évolution des pensées individuelles ».

« Le règne politique de l'opinion, du prétendu pouvoir du peuple, est la plus fantastique des illusions collectives de toute l'histoire, le plus grandissime tour d'illusionniste accompli par les puissances occultes avec l'assentiment des illusionnés. En réalité, l'opinion n'a jamais eu aucun pouvoir politique, sauf celui de créer le désordre. Nous avons vu que les régimes démocratiques ont pu tenir ou tiennent encore parce qu'ils dissolvent la conscience politique dans la conscience économique, en asphyxiant la vie métaphysique de l'âme sous le débordement des réactions sensibles, physiologiques et psychologiques, en procédant en somme à la « massification des peuples ». Et cela est vrai de l'américanisme aussi bien que du communisme. Par-dessus la masse, les sociétés occultes [judéo-maçonnerie spéculative] exercent le véritable pouvoir politique.

Très important : « La France vient de se trouver devant ce dilemme, qu'elle a résolu en se donnant un roi. Car le peuple de France a toujours eu la nostalgie de ses rois. On y joue à la royauté, mais c'est une royauté noire, comme il y a des messes noires. Son apparente indépendance cache en réalité sa dépendance des puissances économiques mondiales et occultes ».

Le socialisme et sa laïcité tout comme le communisme de l’URSS, en bons évolutionnistes, décrètent que l’humain n’est qu’une émanation de la matière, prenant ainsi une position diamétralement opposée à celle des mystiques chrétiens, comme aussi les Hindous.
Croire, c’est aussi tomber dans l’illusion que c’est par amour de la Vérité qu’on recherche la Science, alors qu’en réalité la Science (fausse) fait naître l’orgueil intellectuel et en devient sa propre finalité.
« L'opinion se pare alors du titre de pensée, d'Esprit, et se soumet le cœur. Il devient obligatoire d'avoir des sentiments qui ne contredisent pas les dogmes scientifiques. d'où la prétention de « fabriquer » des sentiments qui leur soient conformes. Il s'agit réellement d'une foi, d'une religion, d'une identification du cœur et de l'intellect avec la matière. Et c'est cela qu'a codifié et réglementé la dialectique marxiste qui se présente ainsi comme théologie inversée, une anti-théologie. Elle tend à réaliser une impossible fusion de la mémoire sensible et de l'intellect et, du même coup, de la volonté qui ne peut que s'identifier à ce que réclament les lois du monde physique ».


Socialisme et Islam.

Le communisme ou socialisme est tout à la fois pouvoir religieux, pouvoir politique et pouvoir économique. Il ne les distingue pas, et se présente ainsi comme l'envers de l'Islam, lequel bloque aussi les trois pouvoirs, mais pour soutenir l'unité du divin.
« À l’aube du christianisme, l’Islam a nié la Trinité [comme le Judaïsme] sous prétexte de préserver l’unité de Dieu. Mais il n’est resté que le ‘un’ de l’arithmétique, d’où la tendance à stabiliser l’histoire en stérilisant le Circulus trinitaire entre science, métaphysique et théologie, au cours de l’histoire. L’islam n’a qu’une théologie défensive, pas de science [aucun prix ‘Nobel’ musulman]. l’élan scientifique et philosophique des Al Farabi, Ibn Rochd, Ibn Sina, fut vite étouffé sous la pression de l’orthodoxie coranique.
L’Islam n’a pas vécu le besoin de science pure, de connaissance de ce qu’est la matière « en soi » hors du recours à la métaphysique, qui a marqué dans le christianisme latin la charnière entre le Moyen-Âge et les temps modernes. Les musulmans n’ont pas vécu le concept de science pure, qui a conduit dans le marxisme à une sorte de théologie de la matière. Ils s’imaginent que la technique industrielle a des sources purement pragmatiques, que ce n’est que trucs, procédés. Ils ne perçoivent pas les sources spirituelles dévoyées mais réelles, parce que le Circulus a été éteint dans leur corpus psychologique. D’où le drame de l’Islam pour son insertion dans le monde moderne. Pour lui la civilisation technique n’est nullement un fait spirituel, mais seulement un moyen de domination temporelle, d’impérialisme [voir la vidéo en bas d’article]. D’où sa furieuse volonté de s’industrialiser pour dominer à son tour, et venir plus loin que Poitiers.

Inversement, la philosophie soviétique [ou socialiste] nie la Trinité au nom de l’unité de la matière [façon Grand Architecte de l’Univers judéo-maçonnique]. Contrairement à l’Islam qui a figé l’histoire, pour elle, tout est histoire [comme pour les Hébreux et leurs prophètes], tout s’écoule su rune ligne entre un passé indéfiniment reculé et un futur également indéfini, les lendemains qui chantent (Demain On Rase Gratis ou DORG). Il n’y a pas de Circulus où le Christ est l’Alpha et Oméga.

L’Islam est une démarquage du Judaïsme… Le Coran, texte descendu du Ciel, intouchable, dont il est défendu de faire l’exégèse, n’est-il pas une parodie de l’alphabet divin des Hébreux ?

Le communisme a été aussi pensé et installé en Russie par des Juifs. Voués par Dieu à la pensée globale, à la synthèse, les Juifs ont tout perverti [par l’évolutionnisme notamment] et, pourtant, ils sont irremplaçables. Le monde a besoin d’eux. Nous entrons historiquement dans l’ère de la synthèse, la vraie.
Il n’y a de synthèse que par la Trinité », écrit Coulonval dans sa lettre du 23 mai 1971 à Gaston Bardet.

Il faut savoir que les Musulmans sont des peuples en harmonie, malgré ce qu’on peut voir actuellement. Le principe musulman est solidaire, l’UMMA (ou OUMMA) : La communauté des musulmans, l'ensemble des musulmans du monde. (Cette notion marque le dépassement des appartenances tribales et ethniques, puis nationales, au profit de l'appartenance religieuse), écrit la page du Larousse. L’Umma est donc l’équivalent d’une grande Famille, au même titre que les premiers Chrétiens.

Si dans les milieux politiques musulman on s’assassine beaucoup, cela ne veux pas dire qu’il y a beaucoup « d’extrémistes » dans cette religion. Les mots « extrémiste » et « terroriste » servent à qualifier les opposants aux cancéreux du pouvoir. D’ailleurs « l’extrême gauche », ce groupe politique déclarant s’opposer au capitalisme, comme en mai 1968, vers la quarantaine ces personnes se rallient habituellement au capitalisme, d’où mon expression de « capital-socialistes ».

« J’ai vécu toute ma jeunesse d’ouvrier sans voir qu’il pouvait y avoir des rapports entre la religion et la vie de tous les jours. je vivais dans un climat de séparation totale du spirituel et du temporel [donc dans la fameuse laïcité]. Certains trouvaient dans le militantisme communiste un substitut de la religion, pour satisfaire d’obscurs besoins spirituels qui, pour ma part, ne me tourmentaient pas. Il a fallu que, en Afrique du Nord [Algérie] je prenne contact avec l’Islam pour prendre conscience de la possibilité de rapports entre une religion et la vie sociale de chaque jour. Paradoxalement, c’est à travers de l’Islam que j’ai découvert la catholicité, et ce qui m’a frappé dès l’abord, c’est que le mot « catholique » signifie ‘universel’, ‘global’.
C’est l’Islam qui m’a donné le sens de l’Emma. Et c’est pourquoi je l’aime », écrit Jean Coulonval.
RAPPEL : La France judéo-maçonnique a sa religion de la laïcité, et l’Islam ne sépare pas le temporel du spirituel ; donc incompatibilité, explosion entre les deux.

L’étatisme des pays occidentaux et leurs institutions sont des caricatures de démocratie qui favorisent et légitimes les winners, les forts en gueule et en fric.
Le mot SCIENCE forme un ensemble qui ne saurait se comprendre avec la laïcité, car il ne peut pas y avoir conflit entre science et spiritualité. « Pour sauvegarder l’unité de Dieu, qui était, croyaient les « purs », mise en danger par le falsafa [philosophie islamique], l’Islam a tué la science… Pour préserver le dogme de l’origine matérielles de toutes choses, le communisme [ou socialisme] exalte la Science et tue l’idée du divin en fermant les portes, lui aussi (les portes des églises) », écrit Coulonval.

IMPORTANT RAPPEL : Coulonval précise justement que le Japon n’a eu que des religions métaphysiques, je pourrais dire « païennes » puisque cosmiques, et il n’a pas eu à défendre l’unité de Dieu, tant le sens cosmique ne demandait qu’à s’accoupler avec le sens de la Science pure, qui est son complément naturel (voir d’ailleurs la grande technicité du Japon en matière d’électronique et de robotique) ; le Japon qui a su garder intact ses traditions.


Tout étant dans le mental, les « lois » que nous croyons découvrir dans l’Univers sont les mêmes qui régissent notre microcosme. Si elles ne se trouvaient pas déjà en nous, il n’y aurait absolument aucune chance pour que nous les puissions découvrir à l’extérieur de nous. « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous les deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés » (Ramana Maharshi, entretien 264). Ainsi : « Connais-toi toi-même » ou « Prends conscience de l’univers par toi-même », et l’univers changera (mais pas « à la fin des temps » ou à la saint Glinglin, ou ‘quand les poules auront des dents’, ou pas à l’Apocalypse… ). En fait, L’ÂGE D’OR EST TOUJOURS PRÉSENT.
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 15-01-2015 17:29

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