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Ecrit par Sechy, le 22-01-2015 21:58

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Cinéma, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Infection morale républicaine
et absence de morale du judaïsme
c’est pourquoi ces gens sont atteint
de diarrhée législative,
à commencer par leur Moïse
et leurs « droits de l’homme »


Désormais, « les fils de Moïse et de Noé » ne se cachent plus... et veulent censurer, normaliser !!!

Les ergoteurs Grec inventent le « social » et par la même sème le vent de « l’état civil » (si vil et ville)
 
 
Le judaïsme n’a pas d’éthique, pas de morale ignée et innée (1), il lui faut en construire une à coups de lois (Commandements), comme il inventa l’Histoire en inventant Dieu (un Dieu, le sien).
RAPPEL : au départ, toutes les religions sont sincères et tentent la Vraie Libération de l’être humain. Puis ça se gâte à cause du mental, de certains, plus forts en gueule et en manipulation ; ce qui veut dire que le temporel prend le pas sur le spirituel (le ventre, l’ego et la bite prend le pas sur l’Instant en l’oubliant).

ÉTHIQUE, MORALE, VALEUR (proche de voleur) : mots/maux totalement déformés et récupérés par le système judéo-maçonnique-républicain qui n’a pour ces gens que le sens d’intérêt, de possession, donc d’ego. Le mot « valeur » recouvre l’opinion des actuels cancéreux du pouvoir, et donc pour ces malades il est illégal de le contester. Quand le mot « valeur » est associé à « universelle », on peut être sûr que ça concerne l’Empire USionistan, et donc que la majorité des peuples ne la reconnaît pas, cette « valeur » en forme de nouvelle religion puisqu’associée au mot « universel ».

En ce qui concerne l’école : « L’enfant n’est pas une ébauche ni un projet d’adulte. L’enfant est un être total et présent. Un être qui peut mourir d’une seconde à l’autre ». (Insoumission à l’école obligatoire, de Catherine Baker).
Oui, l’enfant est un être TOTAL, il est DANS l’Instant. « Le travail des enfants n’a pas, disent-ils [instituteurs de Hambourg], à devenir un facteur économique et leur vie ne doit, en aucun cas, être l’anticipation de la vie adulte ». Bref, les enfants ne doivent pas dès leur jeune âge être des apprentis esclaves des Couilles en Or et de leur monde économique. « L’éducation nationalisée » c’est le dressage de l’humain qui se poursuivra jusqu’à ce que mort s’en suive pour obtenir de lui du CONSENTEMENT (pouvoir d’achat ou pouvoir de voter aux élections…) ; le pouvoir appelle ça « démocratie ».
 
Le judaïsme est une opinion plus forte que l’opinion des deux autres religions monothéistes : chrétienté et islamisme.
La morale est innée et ignée ! Quand on en a pas on la fabrique à coups de lois, officielles, ou cachées comme en judéo-maçonnerie :
L’innocence devant le mal :
Une plaie toujours ouverte et qui ne s’infecte jamais, une espèce de blessure invulnérable.
(Parfaite définition de Gustave Thibon)
La blessure invulnérable (qui rend invulnérable) est décrite dans le conte Les habits neufs de l’empereur, d’Andersen. Seul un petit garçon remarque avec innocence et spontanéité de l’Instant, que le Roi ne porte pas d’habits ; la foule le remarque aussi, mais étant adulte et éloigné de l’Instant elle se tait, car elle PORTE LE MASQUE DU SOCIAL.
O : eau sans forme RIGINE/PRINCE/PRINCIPE (tirer de soi-même un principe estimé certain “ le PREMIER ”, la partie contient l’ensemble, ainsi on peut le cultiver)/PREMIER/RACINE/DÉPART/ÎLE/Le BLANC (comme la racine).

Et bien pour un judéo-maçon du 33è degré comme C.W. Leadbeater, la morale n’est pas naturelle, il faut l’inoculer (comme veulent le faire les cancéreux du pouvoir en ce début 2015, qui ne cherchent même pas la cause qui n’est nullement le « terrorisme »). Il écrit dans : Rites et Mystiques Antiques : une brève histoire de la Franc-Maçonnerie :
« Les cérémonies des mystères étaient également destinées à représenter l’évolution supérieure de l’homme, son retour vers l’origine divine dont il procéda, grâce au développement de sa partie naturelle supérieure (sic) - laquelle ne résulte pas uniquement de pratiques méditatives et cérémoniales, mais plus encore d’une vie respectant les préceptes moraux qui furent enseignés. Beaucoup de contemporains s’imaginent que nous connaissons les vérités morales sans qu’elle aient été enseignées - mais il n’en est pas ainsi. Si elle nous sembles à présent tout à fait naturelles, il s’agissait à une époque reculée de découvertes ou de révélations similaire aux progrès successifs des sciences et des inventions matérielles... »
Leadbeater divise science et matérialisme, et est en train d’exprimer son opinion sur la morale des francs-maçons, tout simplement ! Mais ce n’est QUE la morale des francs-maçons. Leadbeater accentue d’ailleurs son opinion quand il écrit : « Le plan d’ensemble de l’initiation offrait une carte complète de l’évolution spirituelle de l’homme, et pour le candidat (sic) individuel, il s’agissait de s’efforcer à mettre les enseignements en pratique et de rendre vrai dans sa propre conscience ce qui était symbolique dans le rituel ». Il s’agit simplement d’analogie, et le mot ‘candidat’ fait vraiment trop référence à l’école du franc-maçon Jules Ferry ! Comme si on pouvait être ‘candidat’ à la connaissance...

La morale franc-maçonnique dont parle Leadbeater n’est qu’une opinion, donc une « esthétique » du sentiment, nécessairement variable dans la multiplicité indéfinie des situations concrètes, des complexes, des accidents dans l’espace-temps.
« La conscience sacrée [la vraie] EST [comme le Soi] quand les essences jugent des accidents. Inversement, la conscience profane [le soi, l’ego] EST quand on prétend déduire des accidents la nature des essences, et ce mode de conscience peut conduire, soit à l’agnosticisme [le non croyant], soit à des attitudes religieuses appuyées sur les seules perceptions et appétits sentimentaux et sociaux, donc tributaires de la Terre et de formes d’éducation pour ce qui en décide dans les processus mentaux et psychiques », écrit si lucidement Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux.

Leadbeater raisonne un peu comme Sigmund Freud, ils ne connaissent dans l’être humain que son « animalité », son aspect « mécanique » (instinctif), le sens moral (1) serait étranger à la nature humaine. Mais comme ils ne peuvent pas nier son existence chez l’humain, où ils le rencontrent à tout moment, ils le considèrent comme un sens « artificiel », acquis par « introjection » : Freud et Leadbeater refusent de reconnaître l’immanence du sens moral chez l’être humain. Les continuateurs de Freud (Big Pharma) mécanisent toujours l’être humain.

MORAL et MORALE : 1270, du latin moralis, de mores « mœurs ». Qui concerne les mœurs, les habitudes et surtout les règles de conduite admises et pratiquées dans une société, explique le dictionnaire Le Robert.
Moral va avec le mot ‘civilisé’. Civiliser veut dire couper de quelque chose (coupé de la campagne, de la Nature) : rendre sociable, poli, etc. c’est-à-dire des choses communes, comme une pensée unique. Aussi la ou le dévergondé, ou privé de ses gonds, sort-il de la société et de sa morale et de ses lois humaines à caractère matérialiste, fussent-elles pondues par la dite morale, la dite religion ou même le dit bon-sens relatif aux réalités apparentes, donc seulement dans le monde des accidents ou du spatio-temporel. Donc le franc-maçon ne peut pas détenir la « véritable morale », tout comme la « vérité vraie », malgré toutes initiations et toutes les origines dans lesquelles il pourra se vautrer. Cette franc-maçonnerie qui prétend aussi se vautrer dans la laïcité et la liberté mais ne patauge que dans la boue.
La MORALE des chantres des Yavistes et des francs-maçons et de leurs droits de l’homme :
« séparation progressive du bien et du mal », selon les travailleurs du chapeau de la Torah exposant leur OPINION.
Cette morale superficielle « courante » ne tenant aucun compte des mobiles intimes de nos actes et qui ne s’intéresse qu’aux apparences du clinquant des Pharisiens.
La morale n’est pas une science en soi, elle ne vaut que par ses références à l’être humain réalisé : « Je suis ce JE SUIS », ainsi, la vraie morale ressemble à cette Loi attribuée aux Alains, Burgondes et Suèves : « Mes droits sont à mon libre arbitre », et illustrée par cette phrase attribuée à Jeanne d’Arc : « Filer et coudre, toutes les femmes peuvent le faire, mais ce que j’ai fait, moi seule pouvait le faire ». Jeanne en un sens a réalisée le Soi.
Bref, l’aspect des choses varie selon le point de vue de la personne, si l’on regarde seulement avec son corps.


MORALITÉ : espèce de farce ou d’action théâtrale, dit le Glossaire de Du Cange, appuyant ainsi la superficialité de la morale terrestre judéo-maçonnique, donc uniquement de l’opinion sociale.

Cette morale où les vertus sont taillées dans la même étoffe que les vices : l’étoffe humaine. Si cette étoffe est de mauvaise qualité, le meilleur tailler  du monde n’en tirera rien de bon. La morale sociale se fout si l’Eau est pure ou impure, elle vérifie seulement que l’Eau emprunte le canal qu’elle a tracé. Par contre la morale religieuse repose sur la vie intérieure, le Soi (le royaume des Cieux est en nous).


La morale du « peuple élu » :
« Si je me défie de la morale, ce n’est pas parce que les hommes la pratiquent (elle est nécessaire à son niveau) ; c’est parce qu’ils s’en contentent : parce qu’ils s’en servent comme d’une paravent [CONFORT] derrière lequel ils cultivent ce qu’il y a de plus immoral en eux - leur misérable satisfaction d’eux-mêmes [humanisme] et leur rage de juger les autres [OPINION] », écrit si justement Gustave Thibon, et qui illustre bien l’orgueil de ce « peuple élu » par son Yahvé et de sa franc-maçonnerie.

LE CONFORT DES JUIFS : LE MESSIANISME : attendre en s’éloignant de l’Instant, avec cette finalité essentielle qui consiste à tout attendre du messie, de Celui qui est tout (le Dieu monothéiste).
Le messianisme est dans la ligne droite de l’évolutionnisme des Freud-Marx-Darwin : FIXER en NORMES, alors que l’être humain EST INFINI, il n’a pas de limites, « il peut, suivant qu’il ouvre ou qu’il ferme la porte à Dieu, se dilater jusqu’à l’infini ou se rétrécir jusqu’au néant », écrit Thibon.
Juifs et franc-maçons sont des FIXISTES, alors que le Soi ou Instant est là de toute éternité. « Celui qui le cherche à travers ses plus terrestres désirs et sa plus lourde misère le trahit moins que celui qui croit le trouver dans sa plus haute pensée et sa suprême vertu [voir Icare] », écrit Thibon.

Aujourd’hui que tout est inversé et faussé dans le Nouvel Ordre Mondial en marche : « Le désordre et la folie étant installés au pouvoir et dans les mœurs et devenus l’objet d’un nouveau conformisme [confort] et conformisme de la révolution en politique avec sa religion républicaine, son péché en morale, son néant et son philosophisme absurde, les amants de l’ordre et de la raison se trouvent nécessairement rejetés dans le camp des révoltés [terroristes, délinquants]. Quel privilèges de pouvoir unir dans le même élan l’anticonformisme et le bon sens ! » (D’après G. Thibon).


Il n’est pas étonnant que le judéo-maçon Jules Ferry demande dans sa lettre du 9 août 1879 (période plein pot du départ de la troisième république) que les « nouveaux instituteurs » ou « soldats judéo-maçonniques » formatent leurs élèves à la « morale judéo-maçonnique républicaine » !
« Des diverses obligations qu’il vous impose, celle assurément qui vous tient le plus au cœur, celle qui vous apporte le plus lourd surcroît de travail et de souci, c’est la mission qui vous est confiée de donner à vos élèves l’éducation morale et l’instruction civique…

La loi du 28 mars se caractérise par deux dispositions qui se complètent sans se contredire : d’une part, elle met en dehors du programme obligatoire l’enseignement de tout dogme particulier ; d’autre part, elle y place au premier rang l’enseignement moral et civique. L’instruction religieuse appartient aux familles et à l’église, l’instruction morale à l’école…
… il a paru tout naturel que l’instituteur, en même temps qu’il apprend aux enfants à lire et à écrire, leur enseigne aussi ces règles élémentaires de la vie morale qui ne sont pas moins universellement acceptées que celles du langage ou du calcul… ». (Jules Ferry).
Ici il y a INVERSION : le spirituel façon morale dévolue avant 1789 à l’Église est confié aux soldats instructeurs judéo-maçons dans les écoles. Il est criminel de séparer morale et spirituel. Jules Ferry est aussi un colonialiste zélé comme l’est actuellement l’USionistan : « Les peuples supérieurs ont le droit et même le devoir de civiliser les peuples inférieurs » ; « Rayonner sans posséder, c’est abdiquer » (Jules Ferry), un bon matérialiste pur produit du siècle d’effervescence des banques là où le crime suprême était le vole de l’argent et la fabrication de fausse monnaie.

Les donneurs de leçons de morales comme cette judéo-maçonnerie moderne style Grand Orient de ceci ou de cela se bombardent « sauveurs du monde »  (ils veulent le réformer, y apporter la « paix »). Évidemment ça ne marche jamais, simplement parce que tous ces gens sont des malades encore possédés par leur ego : ils sont égocentriques, d’où leur incapacité. « S’ils demeuraient dans le Soi, ils seraient différents », comme l’exprime Ramana Maharshi à l’entretien 272. Vouloir « sauver le monde » est une forme de possession : chercher de l’approbation, des « bravos ». Là encore c’est de l’égoïsme.

Morale, libre arbitre, destin, sont autant de pensées subsistantes tant que le corps se manifeste. Mais la Sagesse les transcende tous. Le Soi ou Instant est au-delà de la connaissance et de l’ignorance.
« L’action est mue par le désir ; le désir ne s’élève qu’après la montée de l’ego ; et cet ego doit lui-même son origine à un Pouvoir supérieur dont dépend son existence. Il ne peut pas demeurer séparé. Alors pourquoi de verbiage « Je fais, j’agis, je travaille » ? Un être réalisé ne peut faire autrement qu’être bénéfique au monde. Sa simple existence est le plus haut bien » (Ramana Maharshi, entr. 210)

RAPPEL : le Décalogue et sa suite et ses lois morales sont dans la tradition littéraire moyen-orientale de ce qu’on nommait « Les Sagesses », et qui étaient des préceptes donnés par une personne très instruite à une jeune homme pour lui apprendre à se bien conduire en société. Les Dix Commandements et leurs suite sont des codes de conduites découlant de l’ancien Égypte qui atterrissent plus tard chez nous en France en 1789 sous le titre « Droits de l’Homme ».
Comme écrit en début de page sur la non-éthique du judaïsme, les religions monothéistes n’ont pas de doctrine secrète et sacrifient l’aspect métaphysique au côté morale et politique, donc matérialiste et de discipline sociale, en promettant aux déshérités une compensation au Paradis (ou à « la fin des temps » (2) ; et toutes aboutissent à la dictature de l’égalité devant la loi humaine et devant la loi divine transformée en OPINION, car qui fait la « loi divine » sinon les humains ? Ces religions révélées et du Livre sont essentiellement politique et militaire, et l’Europe leur doit uniquement l’empire du monde. Le centre et la naissance en étant Babylone. Le communisme ou règle de communauté en forme de religion à l’envers, n’a pas à être véridique ou « universelle » ou de défendre une morale quelconque, cette règle n’a d’autre but que de fabriquer à coups de noms et de lois une cohésion du groupe de ses membres. C’est une socialisation forcée et inversée, le fameux « vivre ensemble » des capitalo-socialistes.

« Croire à un homme, en une cause, un idéal, une idéologie, c’est décider une constance [une norme, un dogme], c’est lui attribuer une valeur stable et constante malgré l’expérience la plus criante, dans la paranoïa individuelle et collective », écrit Raymond Ruyer dans: La gnose de Princeton.
« C’est la définition même de l’opinion politique. Les meetings, défilés avec pancartes, chants, et drapeaux, caractérisent toutes les manifestations des foules en proie à un même culte (d’un homme, d’une cause, d’une idéologie). C’est une véritable liturgie [puisque l’homme est un Homo religiosus]. Ce sont les délires des foules nazies, communistes, gaullistes, estudiantines, ou autres. Toute opinion prétend stabiliser, en le déifiant, du temporel, du vent. C’est une singerie du religieux. Comme le dit mon ami Gustave Thibon : « Dieu, s’il n’est pas la lumière qui transfigure, devient le masque qui déguise », écrit Jean Coulonval à Raymond Ruyer le 15 décembre 1974, dans : Synthèse et Temps Nouveaux).
Le « Vivre ensemble » du mondialisme c’est l’égoïsme, le chacun pour soi, la guerre de tous contre tous ; et quand vient une catastrophe provoquée par la Nature ou par l’ego des humains, il se développe un grégarisme qui débouchera immanquablement par une religion ou une singerie de religion comme la laïcité judéo-maçonnique modèle Grand orient de France… Nous nous dirigeons lentement ici en Occident vers le judéo-bolchevisme ou machine à normaliser, et donc à fabriquer la pensée unique et à éradiquer toutes particularités nationales.

Le collectivisme étatique où le parasitisme capitaliste trouve, en apparence sa ruine, en fait sa plus haute expression : l’humain est dévoré corps et âme par un fantôme étranger à la nature humaine et par là même insatiable de sang humain.
« Pour faire la révolution, on a tari la santé spirituelle du peuple, et rien ne compense plus maintenant la rigueur matérielle de l’existence. Le joug à l’extérieur, le commencement de l’enfer sur la Terre… » écrit Gustave Thibon.

La routine, le familier, le social (être agréable aux autres), c’est le confort, l’éloignement du Soi-Instant, qui de ce fait en devient menaçant et provoque la catastrophe ou PANIQUE…

À cause des ergoteurs Grecs comme Aristote, qui ne concevait la personne que comme « social » (embryon de démocratie), la personne sans le social n’existe pas ! C’est la société et ses opinions (conventions) qui rendront possible le phénomène de l’individualité. Donc pour ces ergoteurs ce serait le grégarisme ou ensemble d’ego qui formerait un individu. Mais ATTENTION : il ne faut surtout pas confondre le grégarisme humain avec le phénomène d’auto-organisation comme celui des essaims d’Éphémères volant en une grosse masse compacte une fin de journée de l’été, comme j’ai pu l’observer à la fin des années 1980 du coté de La Jarne, avec la lumière si particulière de l’Aunis.

Donc comme le temps, s’il n’y a personne pour l’observer, il n’existera pas ; ainsi la personne n’existera pas s’il n’y a personne pour la voir ! Comme en science (définition actuelle) il faut une preuve, comme il faut une preuve devant la police. Donc ce qui définirait l’existence d’une personne, ce serait sa re-connaissance par une autre personne : donc un acte « public », qui se traduit dans l’étatisme républicain par : un extrait de naissance, une carte d’identité et un numéro de sécurité sociale, et un numéro de travail dans une multinationale ou une grosse usine. Nous en sommes réduit à des patates à codes-barres. La « personne humaine » ne pourrait naître à elle-même que par l’intermédiaire d’une autre personnes, ce couple donnerait naissance à « une personne morale » ou « personne individuée », une entité républicaine et administrative que garantit « l’état civil » (donc des cités), et rien d’autre que l’état civil. Pour le reste : démerdez-vous ! ou « circulez y’a rien à voir ! ».

Ainsi nous sommes très éloignés du Soi-Instant ou : « Je suis ce JE SUIS ». Donc nous sommes très éloigné de la Morale innée et ignée, la Vraie Morale. Nous n’existons que sur le papier, et de nos jours dans le caca binaire de l’informatique, donc du pur virtuel ! Nous n’existons qu’à l'état de grégarisme, d’agglutination de patates. Cet état de fait fais que je peux sérieusement douter de mon existence ici sur cette planète ! et me prendre pour un éphémère ! Amusant ! de douter de sa propre existence ! Pourtant Ramana Maharshi dit que l’on ne peut pas ne pas être le Soi, puisqu’il est éternel. Voilà qui est rassurant… n’est-ce pas ?!


Notes.
1. TRÈS IMPORTANT. Le sens moral est une chose innée (que l’on a en naissant), alors que la « conscience morale » est une chose acquise au cours du délabrement de l’existence. On peut comparer ça au langage : Vraie Télépathie, puis Chute et langage parlé et articulé propre à l’espèce humaine ; mais comme il y a perte de la Vraie Télépathie, l’humain doit apprendre à balbutier des mots/maux, et c’est là que le drame commence. Ainsi le sens moral se détériore en « faisant son chemin » pour atteindre tel ou tel mode du grégarisme du moment, ou non.
Bref, la Vraie Télépathie c’est l’Essence ou sens moral innée, et ce qui échappe à l’Essence est évidemment dramatique comme « la morale » comme nous le vivons depuis longtemps déjà, surtout depuis 1789.
Pour IGNÉ : c’est aussi de l’ordre naturel, interne comme le « Feu de nature » enfermé dans tous les corps. « Faites Feu vaporant, digérant, continuel, non violent, subtil, environné, aéreux, clos, incomburant, altérant. Et, en mon vrai Dieu, je t’ai dit toute la manière du Feu, et récapitule mes mots, mot à mot. Car le Feu est tout, comme tu peux voir par tous les dits Code de toute Vérité ». (D’après Bernard Le Trévisan).
INNÉ ET IGNÉ !

2. Les Yahvistes et les Chrétiens n’ont pas le copyright de « la fin des temps » : l’être humain ne dispose que d’une liberté des moyens, mais aucunement d’une « liberté de la fin » ou « fin des temps » ; elle lui est innée, il n’a pas à la « posséder ».
 
 

Dernière mise à jour : 22-01-2015 22:41

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