La Théorie du Complot est réelle
il y a bien complot, même inconscient,
la preuve : les cancéreux du pouvoir
mettent en danger la vie d’un enfant de huit ans
en l’accusant « d’apologie du terrorisme ».
Mais, s’il n’y avait que cela !
Ce n’est que la goutte d’eau,
le problème est à la base de l’humain.
L’opinion est source de complots.


Bienvenue dans le monde du socialisme.
Bienvenue dans le sécuritaire, celui de l’humain
qui s’habitue à tout, même aux pires supplices, le
principe de la vie étant de s’adapter à toutes conditions
parce que seul le corps illusoire semble réel.

 

 

 

Le DEBUNKING (débusquer) de la théorie du complot est précisément cet étatisme judéo-maçonnique (embusquée) de « république universelle ». Débusquer ou BÛCHES ou enlever les embûches. Avec le cas « Charlie hebdo » nous sommes en plein dans les ravages du debunking, ou plutôt en HYSTÉRIE COLLECTIVE et cela depuis 11/09/2001.


LE TEMPS EST VENU :
Tant qu’il existera un État, un étatisme sur cette planète, ce sera l’ENFER, le TOTALITARISME : le COUP D’ÉTAT sur la gueule. Monarchie ou république, c’est terminé ! À chacun de se gouverner, c’est cela le vrai « vivre ensemble », et non celui de cette diabolique judéo-maçonnerie spéculative à pouvoir comme le Grand Orient de France et autres Think tanks (parce qu’ils ont la même fonction politique) et leur « république universelle ». Le problème est désormais la base de l’être humain : SE CONNAÎTRE (Con-naître).

Le problème est à la base de l’humain, et tous les cancéreux du pouvoir de cet étatisme « démocratie », depuis 1789, font tout pour empêcher que l’être humain ne se retrouve jamais, en lui-même, ce que nos Anciens vivaient naturellement sur l’énergie libre et par conséquence vivaient le Soi ou Instant.
Oui, il y a effectivement COMPLOT, et ce n’est pas une théorie, c’est une réalité, et depuis au minimum les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture. Complot en sommeille pendant toute la monarchie, et qui se réveille en république de 1789.

Depuis 1789 démarrant la société de consommation, tout est fait pour couper l’être humain de ses racines, pour le couper de lui-même par la consommation, cette nouvelle religion, cette nouvelle messe, qui s’appelle « liberté » (de consommer, de posséder). On le voit constamment de nos jours où par exemple tous les mails commerciaux sollicitent le client par un « votre ceci », ou « vos ceci ou cela », comme si s’était déjà acquis (il y a projection comme dans l'évolutionnisme) : le ‘tout tout de suite’, mais moyennant finance. Et tout est comme ça, la croissance en tout pour faire mourir la planète et les humains dessus.
La « liberté » ne consiste pas à posséder, comme le fait le Diable, mais à se dé-posséder, car au moment où vous possédez quelque chose, il se profil une insécurité : la perte de « l’être chair(e) ou chose ». La Vraie Liberté c’est LE RIEN, LE VIDE, parce qu’alors il n’y strictement plus rien à perdre ! Ce qui rejoins  : « Seul ce qui est réel doit toujours exister ; ce qui EST doit perdurer à jamais ; ce qui apparaît nouvellement doit aussi disparaître ».
La société de consommation où tout est à posséder entretient en permanence la PEUR, la peur de perdre ceci ou cela, d’où la folie du sécuritaire s’exprimant depuis la fabrication du 11 septembre 2001 de la mode du terrorisme puisque la sale gueule, le communiste, venait de s’éteindre en 1991 avec la disparition de l’entité politique étatique URSS. Folie du sécuritaire qui prend forme surtout pendant le Krach de 1929 : il fallait alors inventer un mode de vie incitant à consommer plus que nécessaire ; c’était le départ de la peur, du sécuritaire et de la manipulation tout azimut qui vit apparaître au bon moment les Freud et son neveu Edward Bernays, bien dans le thème de l’évolutionnisme.

La fin de la peur c’est donc la non possession, l’absence d’ego. Lorsque rien n’est à vous, TOUT EST À VOUS. C’est la Vraie Paix, donc la fin de tourner en rond dans de vaines recherches.
Celui qui se croit protégé par la sécurité est celui qui a entrepris d’esquiver son destin ; une sécurité qui deviendra son tombeau, parce que point de fixation, alors que tout bouge tout le temps.
L’évolutionnisme avec sa « fin des temps » est aussi une parfaite sécurité en forme de carotte ! Un « ailleurs » qui n’est autre que l’ici et maintenant dont on se croit éloigné, et la protection sur laquelle on comptait se révèle comme ce qui cause la mort. L’évolutionnisme est la parfaite illusion, donc l’absolue sécurité : « La sécurité est la plus grande ennemie » (Hécate, dans Macbeth).

Le COMPLOT, c’est cette mode hébraïque de l’évolution, une géométrie de la ligne droite entre un Adam et une « fin des temps » où on raserait gratis, où les lendemains chanteraient ! Une sorte de « mythe de l’éternelle retour » projeté dans le futur ; bref, une diablerie, une horreur.
Évidemment les Hébreux ne sont pas seuls responsables de l’évolutionnisme, mais ils en ont fait une religion et un mode de vie qui s’est répandu jusqu’à nous, en passant par le christianisme, et notamment à travers Karl Marx, qui comme ses prophètes anciens, projette dans la « fin des temps » de ses coreligionnaires un futur, une opinion censée avoir résolut tous les problèmes de l’humain. Mais les Yahvistes ont un successeur, le philosophiste Platon et sa « caverne », qui lui aussi fait dans l’évolutionnisme : il projette des ombres dans sa caverne, une sorte de duplication du Soi-Instant, qui fait du platonisme dans ce cas précis un système philosophique d’essence oraculaire (de oracle : deviner une opinion).
Le principe de l’Oracle est aussi de l'évolutionnisme : suggérer, sans jamais préciser, donc en dehors de l’Instant, suggérer une chose autre que la chose (analogie casse-gueule) qu’il annonce et qui se réalise effectivement. Le problème est que cette suggestion-carotte décevante peut finalement se manifester à tout Instant ! Ainsi tout Instant est oraculaire !!!

L’évolutionnisme se retrouve de façon naturelle dans le vagabondage du mental, là où les pensées vont et viennent comme le vent. C’est là que le drame commence, encouragé par l’opinion de l’évolution, remise en piste par Darwin Freud, Marx & Cie au 19è siècle, ce qui n’est pas un hasard, qui nous conduit maintenant à la mort.

LE SAINT VIDE ou SILENCE
« Si vous ne parlez pas, qu’aurons-nous à transmettre, demandent les disciples à leur maître. Celui-ci leur répond : le ciel parle t’il ? »
La suprême parole est de ne rien dire : « Celui qui sait ne parle pas, celui qui parle ne sait pas » (Tao-tö King, début du Verset 56 [5+6=11])
Faiblesse du langage : expliquer une Vérité métaphysique par le langage, c’est blesser cette Vérité (presque raconter un mensonge), c’est matérialiser la Vérité.

RAPPEL : la démocratie étatique est un moyen magique, illusoire, de faire croire aux masses que la pouvoir est légitime, que cette légitimation dérive de leur volonté même grâce à leur élection, et qu’ils doivent par conséquence accepter et obéir étant donné que ce sont eux qui sont à l’origine du gouvernement et de ses actions (puisque ce sont eux qui ont élu leurs représentants pour qu’ils les gouvernent). En d’autres mots/maux, c’est un moyen de produire du consensus, ou de la servilité, vis-à-vis de qui prend effectivement les décisions.

L’étatisme est devenu tout confort : une sorte de Petit-Père-des-peuples : le Président de la république et son staff : figures de cancéreux du pouvoir agissant « pour le bien » de ceux qui sont soumis à leur cancer, selon le modèle parents/enfants. C’est d’ailleurs ce qui leur confère autorité et légitimation ! Bien-sûr il y a les punitions ; mais l’action de ces « parents » consiste à inoculer la fameuse « égalité sociale » ; et comme il s’agit de « parents », évidemment il ne faut pas avoir de mauvaises pensées contre eux ! Sinon, on devrait voir honte de telles pensées et se taire, rester à l’écart, au piquet, donc une auto-critique ou auto-inquisition : la pire, la plus destructrice.
De plus, en agissant par moult moyens sur les indécis par l’activation du subconscient des êtres humains dits « libres », on peut produire une majorité d’avis favorables ou d’avis contraires à une guerre ou à d’autres actes politiques.
SANS LA MANIPULATION POLITIQUE IL N’Y AURAIT PAS DE SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION, ni de croissance ou « richesse » de production industrielle en série sur une grande échelle, ni toute la folie technologie qui envahie nos maisons, ni toutes les élections où nous sommes appelés à voter. Ceci a été très bien compris par Edward Bernays dans son Propaganda de 1929. Aussi il s’agit de FAIRE CRAQUER LES ÉLECTEURS, comme les faire craquer pour acheter le nouveau téléphone portable qui rase gratis.

L’étatisme républicain empêche d’être soi-même par abrutissement culturel ; rendre les peuples immatures et incapables de se gérer eux-mêmes, de s’informer seuls, d’analyser de façon critique, donc une population plus dépendente, plus encline à accepter la « démocratie », voir à réclamer une régime encore plus autoritaire, CAR PLUS CONFORTABLE, PLUS SÉCURITAIRE, donc qui réclame un renforcement du paternalisme de cette civilisation patriarcale avec « Dieu le Père » (donc aucune égalité homme-femme !!!), ou à la rigueur 'la mère-patrie'. Avec le tout sécuritaire et tout confort, aucune rébellion possible : « Repérer et traiter ceux qui ne sont pas Charlie ». Ce sera possible parce que les médias et les écoles déverseront une pluie constante de messages et de préceptes qui excluent, condamnent sans discrimination toute forme et idée d’être soi-même ou d’être autonome  (auto-défense), de résistance et d’emploi de révolte - un emploi que le Français ne peut que déléguer sans condition à l’étatisme, lequel tâchera à son tour de l’éviter, au prix de laisser agir impunément les « terroristes ».
L’état démocratique est un ÉTAT TOTALITAIRE PAR DÉFINITION sous religion laïque (les Juifs bolcheviques ou pouvoir moscovite se bombardaient d’État démocratique : « le pays le plus libre du monde », même chose pour l’Allemagne des années 1930-1945). Il s’agit de despotisme : l’État est despotique, et repose sur les perruques poudrées : « Despotisme éclairé » doctrine politique selon laquelle le souverain doit gouverner selon les lumières de la raison », donc roi ou président de république, c’est kif-kif, sauf au niveau symbole, et ça change tout…

SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION = PEUR, d’où la nécessité permanente d’inventer du sécuritaire, donc du CONFORT, ce qui entraînera la fatigue, l’ennui, la dépression et l’angoisse, tous facteurs qui atténuent les capacités critiques et les résistances des gens au conditionnement, et donc qui les empêche d’être eux-mêmes.
LE SÉCURITAIRE C’EST FAIRE DU FRIC. Et empêcher les gens d’être eux-mêmes c’est faire rapporter du fric aux Couilles en Or, l’argent étant une forme de Petit-Père-des-peuples (de Père Noël permanent pour adultes).

Théorie du complot ne va pas sans son outil : le DEBUNKING, l’art de dire qu’il est impossible de faire ceci ou cela, que je résumerais par : « CIRCULEZ YA RIEN À VOIR ! ». Le DÉBUNKING ou DÉMYSTIFICATEUR, comme le firent les perruques poudrées au 18è siècle avec leur « raison » et surtout avec leur Encyclopédie des Diderot & Cie. Le Debunking travaille uniquement avec l’émotionnel, avec « points d’ancrage » dans l’inconscient (il ne passe pas par l’analyse ou la démonstration). Le débunking vise à discréditer l’autre, la source, sur le plan « moral », par des insinuations d’immoralité idéologique ou des « amalgames » inquisitoriales genre : terroriste, nazi, fasciste, antisémite, royaliste, raciste, nationaliste, traditionaliste, homophobe, révisionniste ou négationniste, etc.

L’ÉTAT, PREMIER DEALER :
La Théorie du Complot est réelle, la preuve : l’école du judéo-maçon Jules Ferry empêche les enfants d’être eux-mêmes. Il s’agit pour l’étatisme républicain de s’emparer des enfants dès leur plus jeune âge pour leur laver la cervelle, pour les habituer à obéir et à être compétitifs au profit de leurs futurs employeurs : les Couilles en Or ; ainsi ils seront incapables d’exercer une pensée convergente au détriment des aspects originaux et créateurs de la pensée divergente. L’école judéo-maçonnique rend les enfants incapables d’être indépendants, incapables d’être eux-mêmes, CE QU’ILS SONT NATURELLEMENT.