Réseau et Éther
mais aussi toile d’araignée sociale,
surtout financière.
Résister aux réseaux et énergie du Nouvel Ordre Mondial
qui sont des artifices à pensée unique et
terriblement conformistes : un monde sous
influence du républicanisme et du judaïsme
à cause de son Dieu (de tribus et de banques).

Les réseaux politiques et judéo-maçonniques spéculatifs ou « paroisses-utérus ».

« Une nation malade est gouvernée par la lie de ses habitants » (Gustave Thibon). Nous en vivons les preuves les plus graves depuis au moins 40 ans, et là il ne s’agit pas de « complot » mais de faits.

 

 

RÉSEAU (le SOCIAL) : de filet (rete, rets), tissu à mailles très larges ; reté : pris au filet : Ainsi fu le pape reté (Godefroy de Paris, 1313) ; Retaillier : récompenser, rendre la pareille ; Retenir : entretenir, réparer (retinere) ; plexus ou entrelacement de fils, donc une « dimension », etc. Réseau ou COMMUNICATION. Proche du mot réseau nous avons le mot ÉTHER : Synthèse/Plexus Universel de tous rayonnements cosmiques ; sorte de « pensée latente » qui pénètre tout. C’est le « fluide » général au-dessus de l’atmosphère. C’est la CHALEUR CÉLESTE, la Matière Primordiale NON MANIFESTÉE, le « corps pré-physique de toute chose », sorte de réceptacle. *Pré-Matière*
Le POTENTIEL se balade dans l’Éther.
Éther ou Zéro Indien. L’Éther en Hindouisme est associé au mot Sanskrit AKÂSHA. « L’un étant le produit de l’autre et cependant lui-même » (Doctrine Secrète. Tome 1, page 289, H.P. Blavatsky).
Bien-sûr dans le VRAI réseau se trouve : ÊTRE SOI (Je suis ce JE SUIS) : Petit Soleil qui rayonne là où il passe, et là où il se fait entendre.
C’est le RECUL par rapport à l’autre ; ne pas se laisser faire à son jeu, être IMMUNISÉ et en même temps OSER AIDER.

 

Le réseau signifie désormais : la mort, au lieu de signifie l’unité.
« Ce déclin rigoureusement corrélatif de la diversité et de l’unité revêt un caractère essentiellement semblables et aussi étrangers les uns que les autres. Et jamais non plus ils n’avaient été rivés entre eux par des liens aussi artificiels et aussi inhumains.
L’humanité ressemble à un corps dont les organes en voie de dissociation seraient rattachés les uns aux autres par des crampons de métal. l’enfer, suivant le mot de Péguy, redéborde sur la Terre, l’enfer dont le même néant - le même démon - sépare et groupe à jamais tous les habitants. L’enfer en effet est le lieu où la centralisation et l’anarchie sont portées à leur expression suprême.

Il y a là, comme dans toute maladie profonde, un implacable cercle vicieux : le mal appelle un remède artificiel, et le remède artificiel, à son tour, après un coup de fouet factice, aggrave le mal. La dissolution anarchique cherche dans un étatisme glacé un refuge contre elle-même : les systèmes politiques ressemblent à d’immenses frigidaires où gisent, artificiellement rassemblés; les disjecta membra de l’humanité. Mais la congélation la plus rigoureuse ne suffit pas à rendre la vie à des membres mutilés : elle ne suspend un moment leur corruption que pour mieux la précipiter dans la suite.
…
Dans ce siècle de l’homme en série et de la fabrication standard, où tout artisanat, toute division organique du travail agonisent, on constate un grouillement sans précédent de « spécialistes » et de « spécialités ». On cherche en vain un cordonnier au village, mais on trouve en ville une manucure à tous les coins de rue ; on boit partout, au lieu du bon vin que chaque ancien vigneron faisait « à sa façon », un ignoble liquide standard, mais 24.000 spécialités pharmaceutiques sont inscrites au Codex… Distinguons. La vraie spécialité professionnelle est de nature organique : elle est par conséquent LIMITÉE : les métiers vitaux ne sont pas multipliables à l’infini. La fausse spécialisation au contraire résulte de l’uniformité, et, par la même, elle ne connaît pas de limites : on peut diviser sans fin un corps indifférencié ! Telle est la clef de cet apparent paradoxe, qui fait croître simultanément l’atomisation et l’uniformité », écrit Gustave Thibon, dans : Diagnostics. Il ajoute : « Aucun salut économique ne sera possible tant que les activités humaines continueront à se différencier suivant un rythme étranger à l’être et aux besoins de l’homme, autrement, dit tant que la spécialisation ne correspondra à aucune spécificité naturelle ».

« La centralisation [style Nouvel Ordre Mondial] est le tombeau de l’unité et l’anarchie celui de l’originalité ».
« Les hommes étaient des esclaves [sous la tyrannie], ils n’étaient pas des pantins. Aujourd’hui, les chaînes qui liaient jadis le corps de l’esclave sont devenues des ficelles qui meuvent, de l’intérieur, l’âme de la marionnette. L’école, la presse, la radio, le cinéma s’acharnent à réaliser la parfaite mécanisation de l’âme ».
(Gustave Thibon)

La mécanisation à la mode en se moment c’est non seulement les stéréotypes de l’étatisme républicain ou sa pensée unique en forme du politiquement correct, avec par exemple de mot à la mode : AMALGAME (mot issu du Labour alchimique et d’origine arabe). Un mot systématiquement utilisé contre les gens de souche européenne et sympathisants des mouvements identitaires ou de « l’extrême droite ». Ce mot est dans le même thème que les outils inquisitoriaux du républicanisme : antisémitisme, juif, complotisme, haine, anti-tradition, terreur.

À chaque fois que quelqu’un critique le système du républicanisme et ses stéréotypes et sa pensée unique, il est accusé de « tomber dans la théorie du complot », quand bien même le « dissident » aurait invoqué des faits justifiés et évidents aux yeux de tous. C’est typiquement le parfait outil de l’Inquisition moderne, le « dissident » se voit ravalé comme un moins que rien ! du fait de sa prétend sympathie à « la théorie du complot ».
L’outil inquisitorial du républicanisme et à sa pensée officielle permet ainsi de rejeter son contradicteur sur le bûcher. C’est le même outil que de brandir le mot « antisémitisme »… pour faire peur, pour faire honte ; même peine avec le mot « haine » si à la mode.

COMPLOT : rassemblement de personnes ; projet caché concocté par un groupe de personnes. Certains parlent aussi de « paranoïa collective » (mais ce n’est pas à la mode actuellement) comme s’il était agressif et maladif de critiquer le système étatique.
Le « rassemblement de personne » se nomme ÉLITE, ensuite, l’opinion de « peuple souverain » est la plus vaste escroquerie de tous les temps, nous le vivons en républicanisme depuis 1789 !!! Seule existe l’OLIGARCHIE ou PLOUTOCRATIE de gens à la solde de la finance internationale et de son Vatican : la City de Londres (c’est là la tête à couper).

La marionnette ou le peuple est parfaitement décrite dans la citation ci-dessus de Gustave Thibon. Le problème est que de nos jours il est devenu impossible de critiquer cet oligarchie (étatisme, économique, religieux, judéo-maçonnique spéculatif ou « paroisse-utérus »), et donc les conséquences sont la plus part du temps négatives. Ainsi, celui qui pointe du doigt ces dysfonctionnements est affublé de l’étiquette de complot, ou complotiste ; il serait un paranoïaque ou un psychotique à la mode du stalinisme des années 1960-1970 où en URSS on envoyait les dissidents au système dans des asiles de « fous » spéciaux.
Exemple : évoquer l’influence des États-Unis (pour ne pas dire de la CIA) dans la création de l’Union européenne est assimilé à du complotisme, alors que cette Union européenne est bien une création des États-Unis comme le prouve des documents.
Dire que derrière la privatisation de la création monétaire se trouvent les banques (à qui d’autre profite le crime ?) est aussi taxé de complotisme, et qu’importe qu’il s’agisse d’une évidence absolue, car qui dirige le monde sinon la City de Londres ?

Il ressort de cette Inquisition une civilisation complètement stéréotypée, mécanisée, où seulement l’évolutionnisme jouxté au hasard serait le moteur de cette évolutionnisme. Une civilisation complètement stéréotypée par son stéréotype ultime : la démocratie (religion du Saint Fric).
La quincaillerie que la pensée officielle tente de faire avaler est la suivante : stratégie politique = complot = théorie du complot = délire. Le monde, selon la pensée officielle, est dépourvu de tout rapport de force. Rien n’a de cause, tout est de l’histoire ou évolution (le progrès). Ainsi, qui va combattre le progrès, le confort ?? Celui qui l’osera sera traité de fou par la pensée unique et officielle !!

La théorie du complot est une imbécilité, et sa « condamnation » utilisée comme arme inquisitoriale en vue de faire taire celui qui révèlerait la stratégie d’un groupe précis est une autre imbécilité dangereuse. Tout cela aboutit à des masses mécanisées: aucune révolte, tout baigne, c'est la paix, aucune malveillance, aucun égoïsme et surtout pas de politique ou de « peuple souverain » : il faut endormir les masses pour que le système ou oligarchie puisse faire son business, tout baigne dans le « Royaume de Dieu (juif) sur Terre ». Ainsi il serait inutile que les peuples se posent des questions on réfléchissent par eux-mêmes : « Circulez y’a rien à voir ! »

Réseau et pensée unique sont bien-sûr le GRÉGARISME, comme croire à un homme, un idéal, une idéologie comme le républicanisme ou les « droits de l’homme », c’est décider une constante, c’est lui attribuer une « valeur stable » et constante malgré expérience la plus criante, dans la paranoïa individuelle et collective (voir l’exemple du « je suis Charlie »). On a là la définition même de l’opinion politique, le délire des foules avec pancartes, chants et drapeaux caractérisant toutes les manifestations des foules en proie à un même culte (d’un homme, d’une cause, d’une idéologie et ses ‘valeurs’). C’est une véritable religion en forme de délire ou paranoïa des foules. Comme le dit Gustave Thibon : « Dieu, s’il n’est pas la lumière qui transfigure, devient le masque qui déguise ».

Le réseau du Nouvel Ordre Mondial cherche à détruire le réseau de la TRADITION : à chaque conflit d’importance comme la révolution de 1789, on voulait tout brûler ou pratiquer la tabula rasa. Et à chaque fois le système au pouvoir prétendait détenir le « Royaume de Dieu (juif) sur Terre » ou « meilleur des mondes ».
Oui il y a bien COMPLOT : les masses sont utilisés à leur insu comme esclaves, comme marionnettes et les causes leurs échappent totalement. Le complot se résume en ceci : l’étatisme et sa démocratie  consiste non pas en un gouvernement qui fait ce que la majorité veut (le peuple souverain), mais en un gouvernement ou oligarchie qui manipule et convainc le peuple à accepter ce que le gouvernement (les banques) veut. La démocratie a donc pour principe LA MANIPULATION DES ÂMES comme le faisait autrefois le catholicisme en monarchie.

Les réseaux politiques et judéo-maçonniques spéculatifs ou « paroisses-utérus » adoptent spontanément en échange de soumission et de foi ou « valeur » et en adaptant leur image et l’estime qu’ils ont d’eux-mêmes, leur identité, leur philosophie ou opinion de vie à ce que leur demandent la communauté et son leader. C’est ça le grégarisme.

Le VRAI RÉSEAU est la réalisation du Soi-Instant par chacun : habituer son ego à agir, penser, vivre l’Unité ou Soi-Instant à travers les Multiples du monde spatio-temporel. Ainsi un véritable enseignement de groupe n’est possible, ne peut se faire, que sur le Plan Supérieur que lorsque le groupe est devenu, par le travail de chaque individualité sur elle-même (réalisation du Soi ou Instant) le « Multiple unitif », c’est-à-dire que le groupe n’est plus un ensemble de multiples séparatifs ou ensemble d’ego qui vont cahin-caha avec leur dualité sujet-objet, mais au contraire, ce Multiple est fait d’une association Unitive de plusieurs individualités AUTONOMES qui marchent vers l’Unité ou Soi, donc sur le même TAO ou Voie, car sur le TAO il n’existe plus de dilemme.
Ce que les pouvoirs nous vendent comme « social » ou « vivre ensemble » n’est que la forme du grégarisme le plus dangereux pouvant faire chuter l’humanité vers le luciférianisme, qui ne conservera qu’une minuscule racine vers son Origine ; dans ce dernier cas seul subsistera un monde Luciférien, artificiel et robotisé, rêve du Nouvel Ordre Mondial qui s’étendra même jusqu’aux trois règnes, minéral, végétal, animal.