Comme le Washington DC, la City of London ne fait pas partie de l’Angleterre.

Le social, le Réseau social ou la fraternité ou la mode judéo-maçonnique spéculative (et leurs socialistes) ; la toile d’araignée informatique attend ses proies.

FRATERNITÉ ou anciens cultes à mystères et anciennes sociétés secrètes et jusqu’à nos jours le Vatican.

« Peu m'importe de savoir quel pantin siège sur le trône d'Angleterre pour  gouverner l'Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais.
L'homme qui contrôle la monnaie de la Grande-Bretagne contrôle l'Empire Britannique, et c'est moi qui contrôle la monnaie ». (Nathan Rothschild)
De la même manière la fabrication de l’étatisme d’Israël est une création des Rothschild, puis viendront ce qu’on appelle de nos jours « moyen Orient », et « proche Orient » afin de manipuler les pays producteur de pétrole, et l’installation du capitalo-socialisme.

Depuis son arrivée en Angleterre avec Guillaume d’Orange, les perruques poudrées ont fait de la City de Londres le centre financier du monde. Plus de 500 banques étrangères ont leurs succursales à Londres.

Ainsi le Premier faux monnayeur du monde est le Rothschild et sa City, avec le Temple Bar, qui détient le monopole exclusif de la fraude légale dans le monde par l'intermédiaire des franchises de la Bar Association (l'Association du Barreau).

La City de Londres c’est le social, la « sécurité sociale » ou religion du Saint Fric, avec notre statut de « contribuables », avec en échange un engagement à payer des taxes indirectement à la couronnes et à la City. Par le Numéro de Sécurité Sociale, nous acceptons de bénéficier ultérieurement d'une retraite. Bref, la couronne anglaise c’est la pieuvre de la religion mondiale universelle du Saint Fric. Pour échapper à cette pieuvre et à son « social », comme l’écrivait déjà Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux, il faut SORTIR DE LA CHOSE PUBLIQUE, être « stranger to the public trust », perdre tous les bénéfices liés à l'émancipation et clore tous ses comptes bancaires, parmi d'autres actions, et ne plus payer le moindre impôts. Qui est prêt à ce sacrifice dans les cités ?

Nous vivons dans le règne des systèmes, des ismes, des dictatures puisque toute « opinion » est un germe de dictature, et j’ajoute un parfait piège. Coulonval écrit qu’il a renoncé à tout système, mais le monde actuel étant ce qu’il est, celui qui renonce du même coup renonce à être inséré, à « compter » dans le corps social. « Le Christ a dit : ‘Qui perd sa vie la gagne’. Mais c’est dur. Il faudra bien qu’un jour ce ne soit plus vrai. Quand il y aura de nouveaux Cieux et une nouvelle Terre. Alors, il n’y aura plus de « rhinocéros ». Allusion au « Rhinocéros » de Ionesco. Ce n’est pas pour demain » que le « citoyen » cessera de l’être pour retourner à son origine : le Païen ou Paysan.

SOCIAL : de 1557, période de la Renaissance et des grands voyages, donc signifiant : agréable aux autres, donc se faire des alliés, de grès, ou de force dans le cas des massacres des Peuples du Soleil (Incas, Mayas, etc.). Au 18è siècle : relatif à un groupe d’individus, d’hommes, conçu comme une réalité distincte (société) ; qui appartient à un tel groupe et participe de ses caractères (opposé à biologique, psychique, individuel). (Réf. dict. Le Robert).
Évidemment SOCIALISER ne pouvait être qu’un mot de 1789. Le social c’est la quantité tuant la qualité ; et le marxisme et le freudisme sont du même bord : leur deux systèmes procèdent du même regard en-dessous de la ceinture. L’élément inférieur (les masses) pour le premier, les instincts pour le second) est un tout.
« Tout ce qui conserve, dans le monde des corps comme dans celui des âmes, provoque son aversion [au socialisme] : est-ce par hasard qu’il enveloppe dans la même haine la propriété et la religion ? Le socialisme a la phobie de l’épaisseur… En un mot, transformer l’organisme collectif en cet être infiniment plat - parce que infiniment rapide - conçu par la fantaisie d’Einstein » écrit Gustave Thibon dans : Diagnostics.
Les démocrates modernes se sont condamnés presque uniquement à corrompre sous prétexte d’humaniser, contaminé par le courant humaniste commencé à la Renaissance.
PARADOXE DE LA CITY : La vanité est le social (ce qui est vide) !
Le social est un cancer pour notre civilisation, car le libéralisme et 1789 nous ont légués l’ÉGOÏSME, alors le social et l’intérêt public est mort ; seul reste l’intérêt privé, et d’entreprise dictant ses lois à l’étatisme. Depuis 1789, jamais les êtres humains n’avaient été aussi semblables et aussi étrangers les uns aux autres ; la preuve : l’invention des téléphones portables et des « réseaux sociaux » grâce à la technologie informatique et son virtuel. Jamais les êtres humains n’avaient été rivés entre eux par ces liens de « réseaux sociaux » aussi artificiels et aussi inhumains. On a la même chose un peu plus ancien avec le chemin de fer et l’aviation. Je pourrais dire de même pour l’électricité censée « relier les humains ».

Le social ça vient de l’entreprise, et les États-Unis ou empire USionistan est une industrie gérée par la Couronne britannique et le Vatican, en cette trinité : Vatican (pouvoir religieux), City of London (pouvoir économique), Washington DC (pouvoir politique) ; les trois pouvoirs que l’on retrouve dans la société idéale du Moyen-Âge : Laboreores [le travail, paysans et artisans], Bellatores [les militaires et les aristocrates et le gouvernement, la justice], Oratores [le spirituel]. Mais dans le cas des Anglo-saxons on voit tout de suite l’inversion du pouvoir des Laboreores qui appartenait au Païens ou Paysans pour passer dans les mains des bourgeois ou « citoyens » habitants des cités (de la City) ; en fait, de nos jours, le pouvoir politique est intimement mélangé avec le pouvoir économique (complexe militaro-industriel). De plus dans la trinité anglo-saxonne de la City il n’existe plus la circumincession ou circulus, comme l’aspect positif de l’Ouroboros : chaque état de la Trinité est solidaire des autres, mais du fait de l’échelle modeste où il se déploie chacun est adapté à la nature des autres. Si l’un quelconque d’entre eux manifeste une tendance indue à se développer, il se heurtera, de la part des autres, à une résistance accrue, une incompatibilité ; et la tension ne trouvera sa résolution normale, harmonieuse, que dans le rétablissement du circulus.
Le circulus dévolu uniquement à l’argent n’est pas le circulus !

Dire que les USA sont une entreprise est une banalité (tout là-bas tourne autour du culte de l’argent !) Elle s’appelait à l’origine « Compagnie de Virginie » et appartenait à la Couronne britannique et au Vatican, et recevait ses part de bénéfices.
Les présidents sont nommés PDG (les élections sont de l’arnaque pour manipuler les masses et leur faire croire au « peuple souverain »). Présidents responsables devant le « Conseil d’administration », mais n’en ont rien à foutre des masses considérés comme des esclaves, pardon, des employés.
La Virginia Company c’est 1606 et le roi Jacques 1er, l’Union Jack, l’arrivée du fric avec les perruques poudrées dont : Lord Southampton, le comte de Pembroke, le comte de Montgomery, le comte de Salisbury, le comte de Northampton, Francis Bacon etc.
Grâce à Francis Bacon au nom du Saint Fric le colonialisme s’installait dans le « nouveau monde ». Nombre de perruques poudrées étaient ou francs-maçons et, ou, Rose-Croix
Les actionnaires de la Virginia Company étaient évidemment londoniens ! La Virginia Company en 1619 établit la première vraie législature d’Amérique du Nord. Ensuite la Virginia Company devint une colonie royale. « Ce qui signifie que tous les droits qui appartenaient aux propriétaires de la Compagnie de Virginie concernant l'or, l'argent, les minéraux et les droits, extraits et payés en Amérique, appartiennent toujours aux familles britanniques qui possèdent les États-Unis d'Amérique et ses terres.
Les mêmes dividendes sont payés depuis l'Indépendance et sont toujours payés par le peuple américain, par l'intermédiaire de leurs responsables fédéraux qui sont, en fait, des responsables de la Compagnie de Virginie - oui, y compris le Président.
(...) Mais il y a encore une astuce. Qui possède les actifs apparemment détenus par la Compagnie de Virginie ? Réponse : le Vatican » (David Icke : Le plus Grand Secret).

Le social, c’est LA JUDÉO-MAÇONNERIE SPÉCULATIVE, soit les bourgeois-citoyens qui dégommèrent les Païens-Paysans. Et le gouvernement de ce social et maintenant capitalo-socialisme c’est le TEMPLE : la Maison Blanche ou Whitehall (le masonic hall ou loge ou temple de l’union).
RAPPEL : cette actuelle judéo-maçonnerie dite spéculative parce qu’elle ne construit plus rien mais ne « travaille que du chapeau », est née à Londres en 1717 dans la continuité des deux révolutions anglaises. C’est cette judéo-maçonnerie spéculative qui contrôle la majorité de la maçonnerie mondiale ; seules les petites obédiences indépendantes sont sincères.

La Vraie pointe de la pyramide de cette civilisation c’est la Couronne d’Angleterre : une reine qui est toujours le chef officiel du Commonwealth (53 pays) et le monarque de l’Australie et du Canada.
Les 13 colonies originelles des USA s’appelaient autrefois des compagnies, comme des unités militaires. Les chants patriotiques chantés sous la « bannière étoilée » sont des chants entonnés sous une publicité de société ! Et les cadres de ces Couilles se disent « ingénieurs sociaux ». Le social c’est vraiment la mode judéo-maçonnique spéculative.

Si les USA sont une entreprise commerciale, nous aussi en France et dans la plupart des pays de ce monde : NOUS SOMMES DES CONSOMMATEURS, pas des êtres humains. Nous sommes des « ressources humaines » comme ils disent dans les entreprises des Couilles en Or.

Le social à la mode judéo-maçonnique spéculative c’est engrosser la tyrannie de l’opinion, ce que Talleyrand avait bien compris : « La politique c’est l’art d’agiter les hommes avant de s’en servir ». Ainsi tout individu qui se soumet d’une façon plus ou moins masochiste ou par confort du sécuritaire à ce matraquage, qui se soumet plus ou moins consciemment à la volonté d’une tête d’œuf voulant le fourrer dans un moule, renonce du même coup à sa liberté, par un processus singeant une religion.


FRATERNITÉ = ÉTATISME, CENTRALISATION OU MONDIALISME

Le « social » se veut la « fraternité » comme l’énonce l’un des trois termes de la devise française judéo-maçonnique de « liberté-égalité-fraternité ». La Fraternité repose sur quelque chose d’invisible : LA DETTE : créer de l’argent qui n’existe pas ou pratiquer le faux monnayage, de le prêter aux gens et aux entreprises en échange de paiements d’intérêts. De nos jours, PAYER LA DETTE c’est payer du vent ; des chiffres qui défilent sur l’écran de l’ordinateur. Mais si vous manquez de payer la dette, la banque va venir vers vous et saisir légalement vos richesses réelles : maison, voiture, téléviseur et autres biens nécessaire à la vie courante.

FRATERNITÉ = CENTRALISATION OU MONDIALISME ou « tous les hommes sont frères », c’est pourquoi le système lutte tant que ça contre la « haine », qui a pourtant pour étymologie AIMER.


SOCIAL = FRATERNITÉ DU SAINT FRIC.

Le social en URSS est responsable de dizaines de millions de morts : les Rothschild  manipulent le tsar Nicolas II pour la guerre contre le Japon, alors que la Kuhn et Loeb prêtait au Japonais. La Russie perd la guerre, elle est affaiblit, ce qui est du pain bénit pour les Juifs bolcheviques et leur future révolution : dans un premier temps arrive le franc-maçon Kerenski financé par Wall Street ; puis plus violent l’arrivée des Lénine-Trotsky, avec une forte propagande socialiste financée par les Allemands. Pendant que les Lénine-Trotsky condamnaient le capitalisme, ils étaient financés par les banquiers de Wall Street et de la City ! Ces mêmes banquiers qui par la suite soutiendront Hitler !!!
Les Rothschild financeront directement la révolution russe par l’intermédiaire de Jacob Schiff de la Kuhn Loeb & Cie pour déposer 50 millions de dollars dans un compte bancaire suédois pour l’usage de Lénine et Trotsky. Certains chercheurs suggèrent qu'il aurait remboursé entre 1918 et 1922 à la Kuhn Loeb un équivalent en roubles de 450 millions de dollars, une paille en comparaison de ce qu’allait rapporter l’exploitation du sol russe, de son économie et de son peuple avec l’institution du Goulag, dont le vol de l’or des biens financiers du tsar et des nobles, et plus tard des paysans propriétaires, tout cela extorqués par ces mêmes banques qui ont financé la révolution russe !

Les esclaves du monde sous la domination de la City of London souffrent sous la pseudo-démocratie inventé en 1789, elle ajoute l’absurdité à la malfaisance : fondée en théorie sur la justice et l’amour à l’égard des masses, elle finit par imposer aux individus de ces pauvres masses, s’ils veulent « accomplir leurs devoirs », un héroïsme digne d’un héros de l’Antiquité évangélique. 1789 force les masses à la sainteté (avec ses valeurs et son concept religieux « République une et indivisible »), mais en social, en quantitatif. Or il n’y a pas de pire méfait social que d’acculer les masses à la sainteté en forme de singerie de religion déguisée en laïcité. Parce que la réalisation du Soi ou Instant est individuel et nullement social ; le système du démocratisme de 89 INVERSE et nivelle par le bas, comme le fait le marxisme ; et après on s’étonne du fort niveau de régression intellectuelle un peu partout dans le monde ! Un niveau voulu très bas par les cancéreux du pouvoir pour que les masses ne se révoltent pas.