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Alerte : société dite « libérale » Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 18-03-2015 19:19

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Alerte : société dite « libérale »
ou totalement dominée par la et les politiques.
Une civilisation vivant de politique ou opinion,
vivant d’expédients et de combinaisons de toutes sortes.
Tout est divisé, dans la dualité guerrière.
Tout est devenu relatif, et dans ces conditions
seul l’empirisme ou opinion compte, et il ne connaît pas
de principe essentiel fondé sur des vraies valeurs
qui tirent leur origine d’un absolu naturel :
QUI SUIS- JE ?
Sur cette planète moins de cinq personnes
se connaissent au plus profond d’elles-mêmes.
 
L’Occident particulièrement victime du Samsara.
 
Le premier terroriste au monde, c’est l’ÉTATISME et son institution de la TERREUR, et en premier la République (contaminant toute la planète comme le virus de la grippe), voir l’ethnocide en Vendée (cimetière républicain) qui sera le modèle de la révolution russe de 1917 et de nombreuses autres à venir.
La république est le cancer de nos sociétés modernes, à cause de sa religion du Saint Fric et de son mode en évolutionnisme, le tout POUR DOMINER EN SE METTANT À LA PLACE DE DIEU afin de juguler À SON PROFIT (ou de son oligarchie) l’organisme social tout entier. La république est bien la dictature du profit de quelques-uns, c’est pour ça que l’on entend sans arrêt son emploie du mot « croissance », et du mot « pouvoir » (d’achat, pour les plus riches) ; pouvoir ou but à atteindre : l'objectif, le Pour-Voir, le contraire de l'Instant ou Soi.


 
Voir aussi la page : La République et ses fours crématoires (les vrais)

Valeur républicaine :
le rasoir nationale ou le moulin à silence (la ‘sainte mère’ Guillotine, et aujourd’hui son contraire les saints médias), ce qui en dit long sur l’institution du règne de l’opinion !!!
LE MARIAGE POUR TOUS (mariage républicain) : attacher tout nus, sous les aisselles, un jeune homme à une jeune femme, et les précipiter ainsi dans les eaux.

RAPPEL : l’URSS des Lénine-Trotsky-Staline à ses débuts en orgueil de winner se disait « Le pays le plus libre du monde ».

La société dite « libérale » est illustré par l’existentialisme à la Jean-Paul Sartre, soit un fantôme social, comme l’actuel « vivre ensemble » du républicanisme accentué par la montée en puissance du torchon Charlie hebdo. Le libéralisme est bien-sûr la religion du Saint Fric : « Laissez faire, laissez passer » ou laissez circuler l’argent dans le monde entier. Analogiquement une telle société est condamné à la « culture » (les réseaux sociaux ou le social et la culture marchande de masses avec pensée unique) et ses individus sont réduit à la seule capacité de bourrage de cervelles, sans contact avec la capacité naturelle d’aimer et de sentir.
 
Le sens du mot RÉVOLUTION prend un autre sens à la Renaissance : changement brusque, transformation complète, bouleversement, renversement ; soit ce qu’il se passe depuis 1789. Ce nouveau sens indique UNE MALADIE, car la révolution sociale comme celle de 1789 à nos jours est un phénomène pathologique. La vie normale est un processus LENT, respectueux de l’ordre cosmique ; la vie pathologique est un processus violent, producteur de désordre (fièvre). Et cela est valable aussi bien pour la vie individuelle que pour la vie sociale.
1789, 1917 en Russie furent des révolutions instaurées par la VIOLENCE, LE TERRORISME, ET SE SONT MAINTENUES PAR LA TERREUR. Elles ont mis ces deux « instruments du pouvoir » à la première place dans leur système de « démocratie populaire » (le « peuple souverain »).
Sadiquement le pouvoir républicain, comme en URSS, institue la délation érigée en principe universel, conformément à la loi du 3 juin 1790 exigeant que tous les « perturbateurs » soient dénoncés.

L’ordre nouveau est la société totalitaire ou Nouvel Ordre Mondial où l’État obéit aux injonctions des banques et de la finance internationale, et la police obéit aux injonctions de l'État, parfait système de la laïcité ! Bientôt en France une police politique, qui d’ailleurs est déjà en place mais déguisée sous les associations genre CRIF, LICRA, etc., et la police secrète est le Grand Orient de France régnant en souverain.
Bientôt en France : tout droit de libre association et toute « pensée » autre que celle du gouvernement républicain seront rigoureusement interdits. Le droit de grève ou de protestation, sous quelque forme que ce soit, n’existera plus ; il ne restera que le droit de travailler. Un esclavage qui permettra, et permet déjà au citoyen ou habitant des cités de la « démocratie » de recevoir sa pitance OGM, pesée et mesurée par « l’autorité » du gouvernement mondial. C’est presque la description d’une fourmilière, mais celle-ci est tout de même guidée par la Nature. La société totalitaire ou Nouvel Ordre Mondial est conduite du dehors (sommet de la pyramide) et dans le sens contraire à la vraie nature humaine. Tous pouvoirs conduisent à la maladie mentale et à la dégénérescence.

La valeur du républicanisme comme du socialisme de l’URSS reste la TERREUR, de nos jours déguisée en diarrhée législative contre ceux qui résistent au système. C’était le cas des VENDÉENS qui s’enfonçaient inexorablement sous le joug de l’étatisme du républicanisme et de ses normes (comme par exemple les départements).
« La où règne l’étatisme, bientôt la houlette devient règle de fer et les bergers se changent en loups », écrivait le psychiatre Carl Gustav Jung. Ce fut le cas pour les malheureux Vendéens en 1792-94.


PARALLÈLE AVEC LE RÉPUBLICANISME DE NOS JOURS.

LE GERME DE LA TYRANNIE DE L’ÉGALITÉ QUI FIT TANT DE RAVAGE EN URSS ÉTAIT EN 1789 :
Turreau écrivait la devise « Liberté, Fraternité, Égalité ou la Mort », puis il envoie ses instructions à ses lieutenants :
« Tous les brigands [Vendéens] qui seront trouvés les armes à la main, ou convaincus de les avoir prises, seront passés au fil de la baïonnette. On agira de même avec les femmes, filles et enfants (…). Les personnes seulement suspectes ne seront pas plus épargnées. Tous les villages, bourgs genêts et tout ce qui peut être brûlés sera livré aux flammes ». La Convention ne trouvera qu’une solution pour s’en sortir et maintenir son pouvoir : l’ordre d’extermination systématique, que copiera l’URSS des Trotsky-Lénine-Staline et leurs Juifs bolcheviques.

RAPPEL : Tous les contemporains de cette époque sont frappés du caractère monstrueux de la répression contre les Vendéens qui sans pitié extermine de la même façon femmes, enfants vieillards, infirmes et hommes d’âge mûr.

En France 117.257 personnes au minimum disparaissent entre 1792 et 1802, soit 14,38% de la population. Le Maine-et-Loir est le plus touché avec 44.107 habitants en moins ; ensuite vient la Vendée avec 30.711, puis la Loire-Inférieure avec 26.897, etc.

La « carte d’identité » ou fichage systématique date de cette époque : certificats de résidence permettant de toucher des pensions et des salaires ; passeport qui permet, conformément à la loi du 28 mars 1792, de voyager à travers toute la France (on entre sous la domination du Petit-Père-des-peuples).

En 1792 ce sont les prêtres qui sont les « terroristes ».
Les gens avant cette catastrophique époque était heureux, ils se foutaient de ce que le républicanisme nomme aujourd’hui « liberté ». Les Vendéens avaient l’amour de la Liberté, ils impressionnaient même le dictateur Napoléon Bonaparte pour qui c’étaient « un peuple de géants » (ou c'est purement de la propagande impériale...).

Valeur républicaine :
« Mon ami, je t’annonce avec plaisir que les brigands [Vendéens, les terroristes] sont bien détruits. Le nombre qu’on en amène ici depuis huit jours est incalculable. Il en arrive à tout moment. Comme en les fusillant c’est trop long et qu’on use de la poudre et des balles, on a pris le parti d’en mettre un certain nombre dans de grands bateaux, de les conduire au milieu de la rivière, à une demi lieue de la ville et là on coule le bateau à fond. Cette opération se fait journellement ». Opération nommée par Carrier « Déportation verticale dans la baignoire nationale », ou « Le grand verre des calotins », ou « Le baptême patriotique ».
Rien qu’à l’automne 1793, 4800 personnes reçurent le « baptême patriotique ».

« Détruisez la Vendée ! et Lyon ne résistera plus, Toulon s’insurgera contre les Espagnols et les Anglais, et l’esprit de Marseille se relèvera à la hauteur de la révolution républicaine (…). La Vendée et encore la Vendée, voilà le charbon politique qui dévore le cœur de la République française ; c’est là qu’il faut frapper (…). Il faut désoler jusqu’à leur patience (…). » écrit Barère.

La Convention dans son décret du 1er août 1793 ordonne : « sera envoyé par le ministère de la guerre des matières combustibles de toute espèce pour incendier les bois, les taillis et les genêts ; (art. VII) que les forêts seront abattues, les repaires des rebelles seront coupés par les compagnies d’ouvriers, pour être portées sur les derrière de l’armée ; et les bestiaux seront saisis ; (art. XIV) que les biens des rebelles de la Vendée sont déclarés appartenir à la République [vole caractéristique pour l’occasion !] : il en sera distrait une portion pour indemniser les citoyens qui sont demeurés fidèles à la patrie [sic], des pertes qu’ils ont souffert… ». « La Vendée doit être un cimetière nationale », s’exclame Turreau.

Encore un parallèle avec maintenant, ou à venir !
Lettre de Turreau au Comité de Salut public : « Je vous demande une autorisation expresse ou un décret pour brûler toutes les villes, villages et hameaux de la Vendée qui ne sont pas dans le sens de la Révolution et qui fournissent sans cesse de nouveaux aliments au fanatisme et à la royauté ».
Turreau en janvier 1794 : « Mes colonnes ont déjà fait des merveilles ; pas un rebelle n’a échappé à leurs recherches… Si mes intentions sont bien secondées, il n’existera plus dans la Vendée, sous quinze jours, ni maisons, ni subsistances, ni armes, ni habitants. Il faut que tout ce qui existe de bois, de haute futaie dans la Vendée soit abattu… »
L’action des colonnes infernales de Turreau dure quatre mois : 21 janvier au 15 mai 1794.

« Là c’étaient de pauvres jeunes filles toutes nues suspendues à des branches d’arbres, les mains attachées derrière le dos, après avoir été violées. Heureux encore quand, en l’absence des Bleus [les républicains], quelques passants charitables venaient les délivrer de ce honteux supplice. Ici, par un raffinement de barbarie, peut-être sans exemple, des femmes enceintes étaient étendues et écrasées sous des pressoirs. Une pauvre femme, qui se trouvaient dans ce cas, fut ouverte vivante au Bois-Chapelet, près Le Maillon. Le nommé Jean Lainé de la Croix-de-Beauchêne, fut brûlé vif dans son lit où il était retenu pour cause de maladie. La femme Sanson, du Pé-Bardou, et le même sort, après avoir été à moitié massacré. Des membres sanglants et des enfants à la mamelle étaient portés en triomphe au bout des baïonnettes.
Une jeune fille de La Chapelle fut prise par des bourreaux, qui, après l’avoir violée la suspendirent à un chêne, les pieds en haut. Chaque jambe était attachée séparément à une branche de l’arbre écartée le plus loin possible l’une de l’autre. C’est dans cette position qu’ils lui fendirent le corps avec leur sabre jusqu’à la tête et la séparèrent en deux ».

Avec 1789 les Français voient leurs impôts augmenter, les obligations militaires aussi, également les réquisitions abusives en forme de pillage d’État, la dépendance à l’Etatisme aussi augmentée. Avec le terme « citoyen » (habitant des cités) les campagnes et les Paysans se sentent victimes de ces mesures cumulées et douloureuses, surtout que ce sont les villes, donc des citoyens, qui servent directement de relais grace à une batterie de fonctionnaires privilégiés et particulièrement zélés par la « liberté » (le « laissez faire laissez passer » de cette nouvelle religion du Saint Fric.
Les non citoyens furent bien les Vendéens : ils subirent une guerre rurale : pot de terre contre pot de fer, une guerre cléricale puis guerre de religion ; une guerre paysanne ou populaire ; une guerre politique mais avant tout une croisade pour la liberté individuelle, la sécurité des personnes, la conservation des biens.

Les républicains de 1793 étaient des malades mentaux. Au 1er octobre 1793 la Convention proclame à l’armée de l’Ouest : « Soldats de la liberté [sic], il faut que les brigands de la Vendée soient exterminés ; le soldat de la patrie l’exige, l’impatience du peuple français le commande [sic], son courage doit l’accomplir [sic]… ». Ainsi le premier terroriste est bien l’État, avec sa mission militaire : dépeupler la Vendée, « purger entièrement le sol de la liberté de cette race maudite » (général Beaufort le 30 janvier 1794).

Femmes et enfants étaient des graines de « terroristes » et donc condamnés avec circonstances aggravantes : les premières, en tant que sillon reproducteur : « elles sont tous des monstres », les seconds sont aussi dangereux car brigands (terroristes ou Vendéens) ou en passe de le devenir ». Carrier s’en explique :
« Les enfants de 13 à 14 ans portent les armes contre nous et les enfants en plus bas âge encore sont les espions des brigands. Beaucoup de ces petits scélérats ont été jugés et condamnés par la commission militaire… ».

(Pour la Vendée, référence à : Reynald Secher : La Vendée - Vengé, le génocide franco-français]
 
 

Dernière mise à jour : 18-03-2015 19:58

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