10.000 ans d’Agriculture ne sont rien en comparaison de millions d’années d’autres voies, comme l’Horticulture, ou celle des Chasseurs-Cueilleurs, ou celle de la nourriture prânique. Et au 19è siècle, pourtant en voie d’industrialisation, vers 1875 aux États-Unis seulement 5% de la population vivait dans les villes. Vers 2008, la population de la planète est devenue majoritairement urbaine : les citoyens ou habitants des cités ; d’où une bonne part de responsabilité du républicanisme de 1789 et de ses
"lumières de la ville".
Partout dans le monde la concentration urbaine s’accélère à une vitesse folle, même dans les déserts des pays à l’Or noir. Il y a à peu près 80% de la population mondiale qui s’entasse dans les cités, et pour toute la vie. Comme condition contemporaine et de « modernité », c’est la « croissance » chère aux cancéreux du pouvoir, et pour le conserver ; et à moins d’une catastrophe de la Nature-Providence mettant fin au monstrueux orgueil humain, la croissance du paysage urbain est garanti, surtout avec l’apport des Google et Transhumanistes et leur Intelligence Artificielle en marche à grande vitesse ; ceux qui à coups de dollars ou autres fric se paieront l’immortalité, mais comme il n’y aura plus personne pour le tester ni pour réparer les machines, même si celles-ci s’auto-répareront, alors cette « immortalité » sera nulle et non présente, car évidemment elle entre dans la mode de l’évolutionnisme, qui comme toute mode sera obsolète dans moins d’un siècle.
Notre civilisation de ces 10.000 ans est mourante, car la trinité cités-citoyens-bourgeois engendrent la corruption la plus élevée que chez les Païens-Paysans des campagnes. L’entassement, ou pour employer un mot à la mode du républicanisme, « l’amalgame » en un grand nombre de personnes est à l’origine non seulement du vil (le grégarisme et ses conséquences en tyrannie de l’opinion), mais surtout des maladies qui se diffusent rapidement, comme l’opinion !
Toute épidémie moderne, depuis la peste bubonique jusqu’à la grippe saisonnière dépend pour sa diffusion d’un environnement surpeuplé. bactéries et virus prospèrent dans les endroits surpeuplés. La conséquence grave des gens, bien plus que la Réforme et l’opinion développée à la Renaissance, c’est que les gens se coupent de plus en plus de la Nature, et en deviennent artificiels, surtout à l’aide de la technologie informatique ou I.A. en plein boum.
Dans les villes et cités tout est artificiel, cycles et rythmes naturels sont supprimés (éclairage dans certaines zones 24h sur 24 et 7 jours sur 7, chauffage et refroidissement artificiels permanents). Même le cycle le plus fondamental de l’alternance jour-nuit est manipulé de telle façon que l’on a créé toute une liste de maladies, classées comme
« désordre du rythme circadien ».
De plus, les villes font se développer en plus des maladies physiques les maladies mentales, alimentées par le grégarisme en passant d’un mental à un mental dans une étroite proximité (voir le phénomène hypnotique
« Je suis Charlie »), tout cela engendré par la cité moderne avec son accès facile et immédiat à l’information (grégarisme) et à la technologie (confort et sécurité).
Le phénomène
« Je suis Charlie » identique à celui du 11 septembre 2001 où le monde entier se sentais
« Je suis Américain », fabrique la haine et le terrorisme, dont l’actuelle islamophobie en est un exemple.
Les maux sociaux, que le système essaye de soigner avec sa propagande du
« vivre ensemble », la pauvreté, malgré le dogme de l’égalitarisme de 1789, la création de classes défavorisées de groupes de personnes sans qualification et perdues dans ce monde d’hyper technologie, en mauvaise santé et sans éducation, sont la marque constante des cités dans le monde.
À cela il faut ajouter ce qui est écrit plus haut : la lutte mortelle entre Païens et Chrétiens ou entre Campagnes et Villes, soit le maintenant gigantesque dommage causé au monde naturel résultant de la demande excessive qu’exercent sur les resources naturelles de la terre les centres urbains ou « chrétiens » autrefois et maintenant « bourgeois » ou habitants des bourgs. Conséquences : déforestation, destructions massives et pollutions massives aussi.
Ce sont quelques-uns des effets extérieurs du cycle actuel de « l’amalgame » ou entassement,
Le fameux SOCIAL si à la mode du système, parce qu’il serait le « contemporain », le commercial « Nouveau, vu à la télé ! » bien dans la mode de l’évolutionnisme où aujourd’hui serait mieux qu’hier et moins bien que demain, le temps étant de l’argent !!! L’atmosphère des villes dans le monde est identique à l’atmosphère mental.
Par exemple, la ville américaine de Chicago, avec ses abattoirs fonctionnant sur pendant plus de 100 ans développa chez nombre de gens une sensation d’oppression, d’obscurité et de misère, une continuelle projection d’influences de peur, d’horreur, de colère, de passion et de vengeance.
Cet exemple de l’atmosphère mentale créée par le rayonnement de l’abattoir exprime l’universalité : les pensées sont des formes qui affectent la conscience de tous les êtres vivants (tout est lié).
Sur cette planète les champs de bataille de force morales et le tumulte des passions animales, stimulé par les énergies grossières du groupe inférieur des énergies cachées, tend toujours à étouffer la Connaissance. Ces énergies cachées pouvant notamment être celles des grosses obédiences judéo-maçonniques cancérisées par le pouvoir, comme le Grand Orient de France.
La Super Tautologie du « Je suis ce JE SUIS » est d’une importance vitale pour l’humanité, car l’activité de l’influence de chacun définit les conditions de la vie entassée, amalgamée, et en même temps détient la clé d’un « futur nettoyé ». La Transformation de ce monde ne peut s’opérer que par le « Je suis ce JE SUIS ».
Le travail ou combattre l’ignorance se situe maintenant dans les cités, mais aussi dans les campagnes. Par exemple : « Quelles sont les pensées de mes voisins, et de mes concitoyens ? »
Dans les villes bien plus que dans les campagnes,
« il faut gagner sa vie », d’où la source de stress et de maladies mentales et physiques en un courant constant de soucis, de souffrances et de désirs insatiables engendrés par cette civilisation de la consommation et de son démentiel « pouvoir d’achat ».
La « raison » des perruques poudrées du siècle dit « des lumières » dans son orgueil, le triomphe de son ‘je’ ou ego, impose la dégradation et la ruine et physique et morale à ceux qu’elles devraient protéger. Donc les Bourgeois et les philosophistes de tous bords ne sont que des criminels. Car de nos jours le dogme de la consommation et de la distraction (entertainment) est devenu le Graal, la VALEUR de millions de gens qui travaillent dans le monde.
Hollywood, Bollywood, la télévision et les médias en général, les sports, l’Internet, le business des stars, sont devenus un refuge, une sécurité quotidienne pour les individus fatigués cherchant un instant de repos. Et le système en est parfaitement conscient, d’où la diabolique manipulation et bouillon de cultures à outrance à travers tout l’entertainment !
Il n’y a pas pire grégarisme que dans les grandes villes ; là encore les perruques poudrées qui firent 1789 devaient le savoir, parce que l’effet est subliminal, caché, comme les sectes. Toutefois, ceux qui travaillent en eux-mêmes sur l’ignorance sentent ces influences et ont les possibilités de les écarter. Si les conditions de vie ont changé depuis le 19è siècle, le problème humain n’a pas changé. Le problème est celui de L’EGO ou DUALITÉ : le sujet-objet, l’idée que la perception qu’a une personne de la réalité la place à part des autres ; c’est bien le sujet-objet qui peut aussi se nommer OPINION.
Tout est lié, l’indépendance n’existe pas : on respire tous le même air. Rien ne vit seul, même un grain de poussière ou un Diamant, ou une herbe, ou un arbre ; le plus petit insecte ou le Lion, un atome ou une personne, le monde ou une étoile forment un Tout. Tout est dans le mental.
L’internet est tout de même un lien de sécurité, contrairement ce que veut nous faire croire les cancéreux du pouvoir. Même chose avec les villes et cités, les maisons. Tous renferment des
« îlots sains » permettant de vaincre sa propre ignorance. Le travail n’est pas seulement de créer des centres pour vaincre l’ignorance, mais de les relier aux autres, évidemment sans tomber dans la super arnaque des « réseaux sociaux » qui ne sont que du thème commerce et donc manipulation !
L’intelligence humaine étant très fragile, l’intelligence artificielle le sera nécessairement aussi ; le Tout est autre chose et plus que la totalité des parties !
« Je suis ce JE SUIS » sauve le monde, et je doute qu’une intelligence artificielle arrive un jour à sincèrement « se con-naître », naître à elle-même, ce qui n’a rien à voir s’il elle se répare elle-même, et s’il arrive un jour que cette fausse intelligence donne naissance à une autre qu’elle-même ! Peu importe sous qu’elle forme. Pour l’être humain c’est déjà presque impossible de se connaître, ou alors c’est obtenir le GRAAL, alors pour une machine !… Je doute que celle-ci réalise la Pierre Philosophale un jour !!!
Impossible, d’autant plus pour la machine que TOUT BOUGE TOUT LE TEMPS, RIEN N’EST FIXE :
à chaque tierce de seconde une infinité d’Univers naissent et meurent. Alors en soixante tierces…
Ville est synonyme de « lumière », de « raison » donc de « progrès », mais tant que l’être humain ne se connaîtra pas, la croissance ou l’EXCÈS de technologie fera de nous des esclaves, des endormis ou robots, elle nous inhibera, et nous ne seront même pas les maîtres de notre Grand Œuvre. C’est ça le danger de l’Intelligence Artificielle (I.A.).
Albert Einstein n’était pas entièrement ignorant, il écrivait : « La Science sans la Religion [ou spiritualité] est boiteuse, et la Religion sans la Science est aveugle ».
Théorie du choc ou du catastrophisme (naturelle ou artificielle) : LE FLÉAU (portant bien son nom entre les deux plateaux de la Balance).
LE FLÉAU, ce grand niveleur, comme le Jésus de Nazareth.
Il est un fait que le catastrophisme est synonyme de CHANGEMENT. Par exemple, un désastre (dés-astre) implique un corps céleste imprévu, comme la chute sur Terre d’une Comète, ce qui donne l’occasion de « refondre l’histoire » : retour à Adam et à la « perte de données » (les disque durs sont cassés, plus aucune histoire). Les cancéreux du pouvoir pratiquent le catastrophisme : faire table rase du passé, comme les républicains de 1789, comme les Chrétiens détruisant à petits feux les Païens mais en copiant et en utilisants leur symbolique et lieux de cultes. Ainsi, après la catastrophe, cosmique, ou d’opinion, il est facile pour les cancéreux du pouvoir (rois et papes ou philosophistes) de faire adopter partout la nouvelle opinion ; même chose en 1789 avec les nouveaux prêtres du républicanisme, et pire encore après la séparation en France de l’Église et de l’État.
Autre exemple de catastrophisme ou Tabula Rasa : l’électricité et l’énergie atomique ont été utilisées pour soi-disant améliorer la condition humaine, mais leur mauvaise utilisation a été la cause intentionnelle d’intenses souffrances : invention de l’électro-choc, de la chaise électrique et de la bombe atomique et autres pollutions. Même chose avec l’arrivée en 1789 de la « démocratie » : une ère d’opportunités élargies et de responsabilités partagées (en théorie), mais a aussi été la cause de révolutions abominables et de corruption incontestables.
Même chose avec le Jésus de Nazareth annonçant lui-même la catastrophe et se comportant comme un actuel TERRORISTE :
« Ne pensez pas que je suis venue apporter la paix. Je suis venu apporter le glaive… Le fils se retournera contre son père… La fille contre sa mère... »
La guerre, la destruction est un bouleversement social, en même temps qu’une abyssale révélation spirituelle, font partie des vies des Mahomet, Krishna, Bouddha, etc. Tout cela permet de « remodeler les consciences », ce que devait aussi savoir les Juifs bolcheviques des Lénine-Trotsky-Staline qui se posaient en leadership comme chefs spirituels investi d’une mission divine ! Le républicanisme n’échappe pas à la règle, en pire, car plus floue, surtout de nos jours…
Le catastrophisme, le FLÉAU, donne un coup de pied aux choses, comme lorsque l’abcès est percé : il faut survivre et tout repart comme au printemps. Le Fléau est identique à la Putréfaction en Alchimie.
LE FLÉAU, ce grand niveleur, comme le Jésus de Nazareth : Aleph ou Alep est le nom que se donnait Jésus, lorsqu’il disait :
« Je suis l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin ». Or
Alph-ao-mega en chaldéen signifie :
le mage qui enseigne le libre vouloir (liberté d’expression)
et la douceur ; et en grec,
Alph-ao-mega se traduit :
Le Grand Niveleur. En grec Alpha est le nom de l’instrument nommé niveau. Il figure à la place du A, sur les anciens tombeaux chrétiens des Aliscamps (réf.
Œuvres décryptées, vol.1, de
Grasset d’Orcet). Le républicanisme a fait de la Guillotine son « Grand Niveleur » ; de nos jours la Guillotine est transformée en « démocratie », c’est le progrès ! Le
« Nouveau vu à la Télé ! »
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