Accueil arrow Peindre à l'aquarelle
Révoltons-nous contre le terrorisme d’État Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 01-04-2015 21:58

Pages vues : 6796    

Favoris : 32

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
serpentvigie_alerte_terrorismetat.jpg
 
 
Révoltons-nous contre le terrorisme d’État
contre le terrorisme des Couilles en Or
comme les Rothschild et Rockefeller et la
La City de Londres.
 
 
« Dieu crée l’homme et l’homme créé Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264)
Par contre les Rothschild et Rockefeller créent les humains pour entretenir les coffres de leurs banques. Et quand il y en a de trop, ils s’arrangent pour les faire discrètement disparaître à petits feux (eugénisme déguisé).


CROIRE, tout le problème est là : « Faut-il le croire pour le voir ou le voir pour le croire ?? ». Aussi l’homme invente Dieu et ils s’inventent tous deux ! Cela donnera les « Commandements » et autres « lois et dogmes religieux » présentés comme venant d’un Dieu extérieur dictant ses lois, soit des opinions humaines, et pas d’un Dieu ! Ensuite ces opinions sont reprises par les soi-disant « serviteurs » de ce Dieu, et pas seulement pour contenir les bas instincts de la nature humaine des Occidentaux, mais aussi pour exercer leur pouvoir sur le plus grand nombre. Bref, ces « lois » n’étant qu’opinions, on en constate les échecs flagrants et les horreurs depuis maintenant des millénaires.
 
Les « lois » ne peuvent jamais être humaines, elles ne peuvent venir que de L’INTÉRIEUR DE CHACUN DE NOUS : la vie UNE et INDIVISIBLE. Seule la transformation de soi, de son ego, permettra la transformation et libération du monde.

Les « sources de la spiritualité » ne sont pas extérieures mais intérieur, et ne viennent pas de Dieu, qui est extérieur, ou une entité inconnue (R. Maharshi, entr. 106). Alors que le Soi ou Instant est toujours là. Il est nous. Ainsi, pourquoi quitter ce qui est nous est intime pour aller chercher ce qui nous est extérieur ?

Dieu c’est la super Tautologie « Je suis ce JE SUIS », source de l’ego : le Soi-Instant, le ici et maintenant, le Centrum Centri, le Tao, la Foi, la Conscience ou Connaissance, etc., selon le point de vue de chacun.

Car qu’est-ce que c’est Dieu, sinon une sorte de Big Bang nommée : RÉVÉLATION, donc la Première opinion émise, par qui ? Par le « Souffle » (de Dieu) ? Ou par des extraterrestres ?? En tous cas cette Révélation a été émise vers les humains qui en ont fait LES TRADITIONS, d’une époque à une autre et d’un continent à l’autre.
Le problème commence quand les dépositaires de ces Traditions décident de faire du commerce ou propagande avec :
- Les uns voilent et caches ces Traditions en des mystères qui donneront les religions à mystères chères aux actuels judéo-maçons spéculatifs, dont l’accès était réservé et contrôlé.
- Les autres bidouillent la Révélation en normes ou dogmes en forme de stalinisme destiné aux masses considérées comme des ignorants, afin que prêtres et rabbins et imams (le clergé) exerce un pouvoir temporel sur ces masses.

Cette simplification pour dire que la Révélation, quelque soit sa source, a ensuite dégénéré à cause de l’opinion en religions et en philosophies qui se sont éloignées de l’expérience humaine de la Réalité (le Soi).
Ce fut l’apparition des « Commandements » ou dogmes cristallisés qui ne fournissent plus aucun support véritable pour le Pèlerin sur son sentier. Évidemment il y a eu et il y a toujours des Consciences éveillées capables de retrouver le Soi et de transmettre naturellement l’essentiel des enseignements. Vue l’état actuel de notre monde, les Adeptes authentiques ne sont pas nombreux !!!
Les religions c’est le fixisme, la prison, car leurs dogmes ne laissent aucune place à la « liberté d’expression » et observations de la vie de tous les jours. Au mieux, ces dogmes n’offrent que des réponses standardisées (pensée unique) pour toutes les questions ; et si ces réponses sont soit trop loin, soit trop en opposition avec les faits récurrents, alors ces dogmes se retranchent derrière le voile du mystère et de la Révélation.

Le drame actuel est que nous sommes à l’âge du fer ou faire. L’âge du Métal, dérivé du grec Métallon, proche de la racine , ou Més : la Lune ; et Ta (Tal) : fondre, en indo-iranien Taïn, Tajun, en arménien T’anam (je baigne, je mouille), en gallois Tawdd (en état de fusion).
Metelo en gaulois indique : moissonneur, racine met, me. Nous sommes bien dans les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture. D’autant que Melo indique : petit bétail. Melun en France est la ville des moissonneurs.
Mei indique changer, et Métallon indique changer en fusion.
Keo indique fondre, il apparaît dans le grec Arkimia (adaptation de la fusion) et Ar : adaptation, ajustement, comme arma, armonia. le mot Chimie vient de Kimia qui désigne le travail de la fonderie et du Métal. CHIMIE OU CHIMÈRE… Donc CROIRE ou FAIRE CRÉDIT…
Tout cela entre dans le cadre des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture qui implique la fécondité de la Terre-Mère, et qui a fini par créer chez l’humain un sentiment de confiance et de sécurité, puis vient l’orgueil : l’humain se sent capable de « collaborer » avec la Nature, puis il se coupe de la Nature en voulant la dompter en bousculant le rythme des lentes maturations chthoniennes : en quelque sorte, il se substitue au temps. L’Alchimie travaille dans le même horizon, mais pour un TRAVAIL DE L’INTÉRIEUR DE SOI : donnant donnant ou échange mutuel entre ego et ego (sujet et objet se libèrent).

Depuis 1789 les religions, du moins en Occident, ont été ajoutées à la laïcité, qui se révèle plus une nouvelle Inquisition qu’une liberté de pensée censée protéger chacun de nous d’une opinion dogmatique, laquelle règnera alors en maître dans la démocratie actuelle, puisqu’elle ne peut fonctionner sans manipuler les masses afin d’obtenir du consentement lors des élections. La laïcité est bien une forme de nouvelle religion.
Le spécialiste de la laïcité, Émile Poulat, écrit bien :  « J’ajouterai que ce que nous appelons notre laïcité à la française n’est finalement qu’un héritage de la catholicité à la française ». Une religion ou opinion bien plus sournoise que le catholicisme : elle fait semblant de ne pas s’imposer, afin de profiter à « l’intérêt général », d’être en accord avec l’ensemble, mais en postulant que cet accord existe déjà, comme s'il était issue de LA RÉVÉLATION.
La laïcité française est une Inquisition en forme de neutralité qui déniera ce qu’elle fait à l’instant où elle le fait, afin de pouvoir en faire plus sans avoir à s’expliquer, puisqu’elle a dénié ce qu’elle était en train de faire !

La laïcité à la française se veut Révélation puisqu’elle est caché : elle possède un code non écrit d’une extrême subtilité (puisque c’est franc-maçonnique) qu’il faut, premièrement, maîtriser et, deuxièmement, décoder. C’est exactement le principe de l’INQUISITION et de la Tchéka qui copie l’Inquisition. Car en URSS comme en république il s’agit de défendre un DOGME, appelé aussi ‘Valeur’, c’est-à-dire une position du mental qui, pour l’accusation ou le pouvoir, est censée être implicitement acceptée par tout le monde, comme la laïcité, comme un centre dont on ne doit pas s’écarter sous peine de raisonnement faux. Aussi, si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux. Tout accusé qui se reconnaît lié à la foi d’une religion (par exemple c’était le cas de Galilée, et c’est le cas de tous membres d’un parti, surtout communiste ou socialiste ou d’une république) est supposé avoir parfaitement conscience d’avoir contrevenu au dogme, sauf dérangement mental. Il est donc normal que le tribunal lui demande : « Sais-tu pourquoi tu es là ? » S’il le sait, il se condamne lui-même par auto-critique et ne subit qu’une peine légère ou ne subit pas une condamnation imposée. S’il ne sait pas pourquoi on lui reproche quelque chose, c’est qu’il est fou, et pour ce cas là le post-stalinisme des années 1960-1970 a institué des hôpitaux psychiatriques spéciaux. L’inquisition brûlait ses opposants comme possédés de Satan, c’était moins barbare que n’importe quel hôpital psychiatrique moderne. Inquisition et Tchéka ont la même configuration mentale.

Comme le dit bien Émile Poulat, la laïcité est un confessionalisme retourné. Aussi en l’état actuel des consciences et de la « démocratie », le problème de la libre pensée libérée depuis l’époque de la Renaissance, notamment grâce à l’invention de l’imprimerie, crée un redoutable fardeau pour l’État, affranchi, séparé de l’Église. Désormais, l’État a la charge de gérer soixante millions de consciences en liberté et bien décidé à en user, démocratie et mensonge du « pouvoir du peuple » oblige. Auparavant, l’État pouvait s’appuyer sur l’Église pour gouverner les consciences avec les paroisses et les prédicateurs, les confesseurs et les directeurs de conscience, les rabbins, les imams. Maintenant, c’est fini. L’État n’a plus de recours et se trouve face à face avec ces soixante millions de consciences... et en plus consommateurs ; ainsi la manipulation de l’opinion et le mensonge devient la règle de base de l’État républicain et de toute démocratie.

L’Occident n’allant pas bien du tout, il se retrouve en une hystérie collective généralisée.
Un exemple est l’arme du républicanisme appelée : « Théorie du complot », où les complotistes sommés de fermer leur gueule seraient : « des personnes à la réputation douteuse » [sic] où l’on retrouverait d’anciens membres de partis d’extrême-gauche et son contraire, soit des « révoltés » ou pas contents, des indépendantistes, des révolutionnaires « nationalistes », des ultra-nationalistes, des adeptes du 3è Reich, des opposants à la vaccination et qui choisissent l’Homéopathie ou médecines improprement appelées « alternatives », car la médecine authentique ne peut être que naturelle, et non artificielle comme la médecine qui se bombarde « d’officielle », certainement par jalousie de ne pas faire rentrer assez de fric dans ses caisses. Dans la sauce du républicanisme inquisitorial s’ajoute évidemment les révisionnistes de 1945, ceux du 11 septembre 2001, les anti-sionistes, les survivalistes, les sympathisants au régime iranien, les traditionalistes catholiques et islamiques assimilés à des « terroristes » (possible…). À cette liste il faut bien-sûr ajouter ceux qui croient aux extraterrestres envahisseurs ! On se croirait dans la liste de parfaites opinions du Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders.
Nous sommes bien dans cette horrible dualité, cette division Winners-Losers, du « Bien » et du « Mal ». Et c’est l’étatisme qui entretient cette division !
 
L’injure de Conspirationniste est lancé contre quiconque n’est pas d’accord avec le système au pouvoir ! On ne brûle plus les opposants, c’est pire : on leur lave le cerveau. Coller l’étiquette de « conspirationniste » c’est aussi ravaler l’autre au rang d’imbécile, ou d’enfant qui n’aurait pas encore la fameuse « raison » des perruques poudrées et autres Voltaire et John Locke.

Manifestation supplémentaire d'une hystérie généralisée : médias et suiveurs du système s'en donnent à cœur-joie. On isole, stigmatise et amalgame afin que plus personne en France, le pays d'une liberté d'expression dont tout le monde se réclame, n'ait plus envie de dire ce qu'il a envie de dire. Le système dans la tradition de laïcité décrite plus haut pousse systématiquement à l’auto-censure puisque chacun serait seul responsable : un individu roi (triomphe de l'ego).

Objectif bientôt atteint pour notre grand pays, récemment touché par la grâce d'une nouvelle liberté d'expression... autocensurée.

Il n’y a pas à suivre cette laïcité qui n’est en somme qu’opinion d’État et judéo-maçonnique. La laïcité à la française ne facilite aucunement le « Je suis ce JE SUIS ».
La Bhagavad-Gîtâ au chapitre 4 Versets 5-10 : « Nombreuses sont Mes vies passées, et les tiennes aussi, ô Arjuna ; toutes Je les connais, mais tu ne les connais pas, ô fléau des ennemis.
Bien que Je sois le non-né, bien que Je sois le Seigneur de toutes les existences, cependant Je repose sur Ma propre nature, et Je prends naissance par Ma propre Maya.
Chaque fois que le dharma s’efface et que monte l’injustice, alors je prends naissance.
Pour la libération des bons, pour la destruction de ceux qui font le mal, pour mettre sur le trône la Justice, Je prends naissance d’âge en âge.
Celui qui connaît ainsi dans leurs justes principes Ma divine naissance et Mon œuvre divine, celui-là, quand il abandonne son corps, il n’a pas à renaître, il vient à Moi, ô Arjuna.
Délivrés de l’attraction et de la peur et de la colère, pleins de Moi, prenant refuge en Moi, beaucoup d’êtres purifiés par l’austérité de la connaissance sont arrivés à Ma nature d’être ».

Celui qui est devenu contemporain de la naissance du monde est un Bienheureux chevauchant le Dragon (comme en Chine), parce qu’il assiste à la naissance du temps qui coule, il comprend ce que c’est et peut l’utiliser sans se faire piéger et est protégé de la souffrance du temps des accidents (temps profane). Ce temps profane si glorifié depuis 1789 : le temps du travail, du salaire ; ce temps profane, parce qu’il y a la dé-sacralisation du travail, on ne le fait que pour le catastrophique « pouvoir d’achat » ; c’est seulement depuis 1789 que « l’homme moderne » se sent prisonnier de son métier, car il ne peut plus échapper au temps. Et comme il ne peut plus « tuer le temps » durant les heures de travail, chose encore possible avant 1914 (lire Hyacinthe Dubreuil : J’ai fini ma journée), avant 1914 le travailleur pouvait encore jouir de sa propre identité, de sa PERSONNE, il restait dans le qualitatif ; de nos jours il s’efforce de « sortir du temps » dans ses heures libres : d’où les Couilles en Or rois de la distraction et de cultures collectives de l’entertainment et de Hollywood tenue par les Yahvistes de la finance internationale !
Comme l’expliquait Hyacinthe Dubreuil, là où avant 1914 les distractions à la Hollywood et à la Phineas Taylor Barnum n’existaient pas, la « sortie du temps » s’obtenait par tout travail responsable, et sur le tas on savait s’amuser sans porter atteinte à la qualité du travail.
Avant 1914 l’ouvrier pouvait être lui-même, même à travers le geste mécanique répété mille fois par jour, qui n’avait pas besoin d’être pensé (selon la raison ou ego des perruques poudrées), mais seulement senti. « Ce qui sauve quand même l’ouvrier, le vrai, c’est que le tact, le geste bien fait, est encore une forme de pensée » (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux).

Le geste bien fait, « la sortie du temps », c’est simplement la Spontanéité ou réalisation du Soi-Instant. Ainsi, la chute dans le temps (expulsion du Paradis) est identique à la dé-sacralisation du travail, de plus, souvent devenu artificiel par l’apport de la technologie et des machines, et de la mécanisation de la vie qui s’en suit : place au tout virtuel-tout-confort-tout-sécurisé, ce qui entraîne une totale perte des libertés. Alors la seule évasion possible sera celle laissée aux esclaves comme : « les congés payés », l’entertainment, et la religion de la société de consommation, la carotte « élection », tout cela à la mode du SOCIAL devenu vaste fourmilière ! C’est aussi ça le terrorisme d’État, surtout celui des Rothschild - Rockefeller et de la finance internationale fomenteuse de guerres.

Un objet peut-il exister sans quelqu’un qui le voit ? Les expériences peuvent être réelles, mais les objets dépendent de celui qui les voit (Ramana Maharshi, entretien 164). Si plus personne n’achète ou n’utilise plus aucun ordinateur, alors les Couilles en Or feront une drôle de mine… et la société de consommation n’existera plus ; il faudra inventer autre chose… et utiliser des bouliers ou des sorobans… Les terroristes sont aussi les industriels qui inventent des besoins pour enchaîner les humains et créer des consommateurs.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 01-04-2015 22:43

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >