Bienvenue dans le Nouvel Ordre Mondial et son contrôle du mental des masses de chieurs humains.
La mode du « social » commence avec les Marx-Freud : leur système fonctionne en dessous de la ceinture : l’élément inférieur ou « masses » pour un Marx, les instincts pour un Freud. Et la forme (l’âme dans l’individu, les cadres traditionnels et les classes dirigeantes dans la société) n’est qu’un parasite masqué. Tout le mal viendrait du mensonge représenté par les valeurs dites « supérieures ». Conclusion pratique : l’inférieur doit balayer le pseudo-supérieur et s’installer à sa place : débridement des instincts (genre théorie du genre), dictature du prolétariat et de l’opinion. 2000 ans à rechercher le supérieur cela suffisait pour les Marx-Freud !
Pourtant si le marxisme et le freudisme faisait dans les choses d’en bas, l’Ancien Régime également.
Ainsi la « Libre latrines » était une chose des plus banales avant 1789 et l’arrivée des Bourgeois ou citoyens castrateurs. Car le dernier siècle de la Monarchie sera celui de l’épanouissement de la scatologie. Marx-Freud auraient-ils copiés ?
Le Paris des citoyens de 1668 puait à en faire s’évanouir et portait nom de
« Crottes de Paris », car personne ne respectait les différents édits ordonnant de faire creuser des fosses sous les maisons, dans lesquelles vivaient pourtant jusqu’à vingt ou vingt-cinq familles ! Le nouveau lieutenant de police,
Nicolas de la Reynie, essaye bien par l’ordonnance du 24 septembre 1668 d’enjoindre les propriétaires par l’installation de locaux pour recevoir merde et pisse, mais rien n’y fit ! (Il faut attendre l’après 1918 pour que les choses changes et que les propriétaires installent des commodités). Et encore en 1697 les habitants du quartier de Saint-Denis s’étaient habitués à jeter tant le jour que la nuit dans les rues et par les fenêtres de leurs maisons toutes les eaux usées, les ordures, les urines et la merde…
RAPPEL : « La connaissance par l’Homme de sa nature humaine ne peut être une science [comme le voudraient les béhavioristes genre
Kurt Lewin de la famille Marx-Freud] puisque toute science naît d’un dialogue entre un sujet qui étudie et un objet étudié ; et que par ailleurs l’Homme étant ontologiquement, en ses essences, le résumé, la totalité de l’Être et de l’ex-istant, il est de ce fait dans l’impossibilité de se poser comme sujet étudiant d’un « Univers » qui lui serait extérieur. C’est géométriquement, impossible. C’est pure illusion satanique fondée sur le renversement des rôles entre essences et accidents », écrit Jean Coulonval dans :
Synthèse et Temps Nouveaux.
Il ajoute le sens du mot « politique » : science de la gestion des sociétés selon l’idée qu’on se fait de l’Homme (au sens générique). En conséquence, elle implique, de la part de ceux qui exercent le pouvoir politique, la connaissance des essences de l’Homme, de son ontologie. (On parle depuis 1948 de « cybernétique » : « science du gouvernement », mais ça colle parfaitement avec l’homme-machine dont rêvent les transhumanistes). Connaissance politique qui ne peut s’acquérir à partir des accidents [comme les opinions], pas plus que l’équerre à centrer ne peut définir un centre absolu, géométriquement vrai, lequel ne peut absolument pas être une opinion. L’Absolu, c’est ce que toutes les religions appellent Dieu, l’Être source de tout ex-istant… » Un Absolu que tous les humains tentent de rechercher au travers des accidents (opinions) du spatio-temporel et qu’il est difficile d’atteindre la perception naturelle de « Je suis ce JE SUIS ». Il ajoute, que « les civilisations se sont toujours construites sur des compromis entre l’Absolu et les perceptions, contingentes et limitées du spatio-temporel. Le règne de l’opinion en tant que critère de vérité politique n’a pris valeur dogmatique qu’avec la révolution de 1789, et le communisme en est la maturation historique en se parant des prédicats de l’Absolu, ce qui en fait une religion à l’envers, comme l’envers d’un cuivre repoussé. Il ne faut pas s’étonner d’entendre dire par ceux qui ont quitté le communisme qu’ils ont perdu la foi ».
La Vraie Liberté ce n’est pas celle que nous vend le système de la démocratie ou républicanisme. Selon Jean Coulonval et certains entretiens de Ramana Maharshi, c’est être soumis aux Essences, et non aux accidents du monde spatio-temporel ou monde de l’opinion depuis 1789. Soit ne plus être un « produit » de la république et de sa démocratie et de son école, et autrefois ne plus être un produit de l’Église Rome ou de la synagogue !
Le machin de Mai 1968 fut une pure manipulation politique (de Tavistock selon certains, et des réseaux atlantistes) destinée à faire partir le général de Gaulle de la présidence de la république. Jean Coulonval écrit qu’il est allé à des réunions de « jeunes de 68 », et qu’il n’a jamais entendu autant de conneries dites avec autant de sincérité [suffit d’ailleurs de revoir des affiches de propagande sorties de l’atelier des Beaux-Arts pour s’en rendre compte, affiches qui ressemblent un peu à celles de l’URSS des années 1925-35). « Comme des gosses qui ont la colique mais qui ne savent pas ce qui va les guérir. Ce qui m’exaspérait, c’est qu’ils prétendaient dire aux ouvriers ce qu’est la condition ouvrière, eux qui étaient bien décidés à ne jamais tenir un outil. Ils ne savent pas qu’un outil « enseigne », qu’il soit truelle, ou marteau, ce qu’a fort bien compris le Père Paul Feller, jésuite, qui travaille avec les Compagnons du Devoir. Alchimie intellectuelle du travail manuel » écrit superbement Coulonval.
Le « peuple roi » c’est le triomphe de la tyrannie de l’opinion, car à la limite, il y a autant d’opinions possibles que d’individus sur cette planète, parce qu’il n’y a pas deux individus qui aient le même vécu, la même série d’événements dans le temporel, c’est-à-dire dans le monde des sens (du ‘je’ ou ego). Si deux individus ont vécu le même événement, ils ne l’ont pas interprété de la même façon, n’en ont pas tiré la même leçon. Et c’est naturel. Ainsi c’est le domaine ou dimension des accidents, et non celui des Essences.
Ainsi, le catholicisme, ou l’école de la judéo-maçonnerie, avec isme ou système (sentimental, éducatif et scolaire), qui fabriquent les individus dans un moule nommé « école de la république » imaginé par quelques « têtes d’œufs » de compas-équerre ou d’institut Tavistock, n’est rien de plus qu’un complexe d’opinion.
Quelques liens :
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Fontzibrain
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Moutonsmomin
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Rustyjames
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Mk-polis2
- Voir aussi un
Frank Kitson et son livre :
Low Intensity Operations - Subversion Insurgency & Peacekeeping, qui présente déjà les mouvements soi-disants « spontanés », genre « Printemps arabe » ou « révolutions de couleurs », Jasmin, Tulipe, Ukraine, Safran, etc. Kitson, un partisan de la guerre psychologique, la plus dangereuse !
Pour ce faire :
- Former tous les cadres des institutions à la manipulation mentale de l’opinion.
- Monter des pseudo-gangs qui recueilleront un maximum d’informations, et qui mettront des coups à l’ennemi permettant de le discrédité.
- Employer des forces spéciales (genre CIA ou autres « renseignement ») pour réaliser des attentats qui seront attribués aux « méchants » afin d’obtenir l’augmentation de la tension et justifier la répression.
- Créer des divisions en provoquant par exemple une guerre de religions (on voit ce qu’il se passe en ce moment avec l’Islam, et avant 1945 avec les Yahvistes).
- Fabriquer de faux documents (propagande) qui seront attribués aux « méchants » afin de les discréditer.
- Infiltrer des agents ou recruter des traitres par chantage ou corruption (offrir du fric ou de l’avancement dans le job) au sein de l’organisation de l’adversaire, évidemment pour le discréditer ou provoquer des divisions.
- Militariser l’information de la radio ou télévision d’État et y censurer totalement l’opinion de l’opposition.
- Filtrer l’information à destination de la presse internationale, et s’y assurer des complicités.
- Fournir films et photos pour influencer l’opinion, utiliser des journalistes comme espions sur le terrain.
- Utiliser la musique pour influencer les jeunes avec des paroles apparemment dépolitisées.
- Mettre en place de faux mouvements soi-disant neutres, mais financés, afin de diviser et enlever le soutien au camp adverse.
- Londres et Washington financent un « mouvement pour la Paix »
Voir aussi un
Gene Sharp et ses méthodes de non-violence. par exemple :
- Prix satiriques, gestes grossiers, fausses funérailles ou visites récurrentes à un fonctionnaire, la non-coopération (par exemple grève du sexe). Le côté positif : la non-violence à la Gandhi. Côté négatif ou transhumaniste : Gene Sharp travaille avec un cybernéticien, pour théoriser les « sciences sociales » afin d’arriver à la pensée unique chère au mondialisme matérialiste ; pensée unique qui ne permettra plus de remettre en cause le dogme du républicanisme et du N.O.M.
Bref, quand on entend le mot « paix » de la part de ces zozos là, on peut s’attendre qu’ils soient en cheville avec la CIA et les réseaux Soros, et le Nouvel Ordre Mondial !!!
Même peine avec les mouvements sociaux (genre mai 1968, ou plus ancien 1789) qui sont présenté comme « spontané », mais qui sont en faite fomenté en cachette depuis parfois des décennies.
En fait, Gene Sharp ne vend absolument pas la non-violence, puisque pour lui, il faut arriver à la « démocratie » par n’importe quel moyen, ce qui suppose le contraire de la non-violence : la violence et le crime et les révolutions « colorées ».
Voir aussi du zozo
Cass Sunstein (Juif, et venant de Harvard fondée par Tavistock), qui pond
« le paternalisme libéral » : donner des conseils aux « élites » et autres décideurs, de tenir compte du behaviorisme appliqué au droit, en maintenant
« la liberté de choix » (hypocrisie suprême !), tout en orientant la décision des individus dans uue direction qui
« améliora leur condition de vie », genre
« ce qui est bon pour nous est bon pour vous ». Nous sommes bien dans la pensée unique du N.O.M. et du DORG (Demain On Rase Gratis) et du
‘Royaume de Dieu (juif) sur Terre’.
Sunstein écrira une méthode « douce » (coup de pouce) pour inspirer la « bonne décision ». Effectivement, on mange sur le pouce, donc dans les « fast food » et on devient obèse, à la fois de corps et de comptes en banques. « Coup de pouce » ou ce que Sunstein appelle
« architecture du choix ». Il faut être Yahviste ou mutilé du sexe au huitième jour pour pondre un mot et des recherches pareil, qui sont typiquement de la même famille que les travailleurs du chapeau Freud-Marx ! Bref, ça se résume en paternalisme, soit la religion du patriarcat chère aux Hébreux avec leur Jupiter-Mithra-Yahvé-Abraham.
Avec ce zozo Cass Sunstein, on entre plein pot dans la manipulation mentale : déprogrammer pour reprogrammer aux fins des Couilles en Or, car tout se résume à la finance internationale et à la City de Londres et à sa succursale Wall Street. Ainsi avec ces gens on aboutit à une société « dégoulinante » (genre un Mohamed Dupont), informe-atique, comme la pub
« United Colors of Benitton », un truc à la mode des bourgeois ou habitants des bourgs : les citoyens, et leur Smart City ou « ville créative et durable » (faut faire à la mode transhumaniste : éternelle, comme la république).
« Une société dégoulinante » : tout mettre à la norme compas-équerre ou noachisme, réduire le corps social à une géométrie euclidienne. Résultat : à la complexité et au Chaos de la Nature, à la complexité vivante, féconde, fille et servante du TAO, on a substitué une complexité mécanique et technologique, virtuelle et fausse, parasite comme les « réseaux sociaux ». Les 74 ans de socialisme dans l’URSS illustrent lumineusement la double face de cette révolution socialiste commencée en 1917.
« Une société dégoulinante » : ou le socialisme fonctionnariat c’est l’égalitarisme qui se tue lui-même en se défendant contre lui-même ; on en a un mini exemple avec la désormais fameuse
« liberté d’expression » suite à la tuerie de début 2015.
« Théorie du complot » : pour des Cass Sunstein, il faut infiltrer les groupes « complotistes », notamment au niveau réseaux sociaux, et même physiquement, dans le but évidemment de désamorcer la théorie en introduisant des doutes du point de vue politique.
Smartphone, smartCity, smart-power… Il faut illusionner les masses pour empêcher les révoltes, par exemple Hollywood en est un des outils principaux, même chose avec les messes sportives des fins de semaines retransmises à la radio et télé. Voir la zozo
Suzanne Nossel (Soros) qui est partisane du smart-power (guerre secrète et élimination physique déguisée d’opposants au républicanisme). Bref, il s’agit d’imposer hypocritement le machin colonialiste US :
« Ce qui est bon pour nous est bon pour vous » (impérialisme).
Enfin, la guerre de quatrième génération, du zozo
William S. Lind, qui lui est de Princeton. Il vise uniquement la population « ennemi » (comme de nos jours la Syrie, ou les Russes) : « Voilà ce que Bachar el-Assad fait avec son armée, voilà ce que Poutine fait… Donc, « aidez-nous à renverser ces méchants »…
Cette nouvelle mouture de guerre essaye de réduire au maximum l’arrivée en piste des militaires. Ainsi c’est la propagande et l’opinion qui sont les bombes (voir par exemple les fausses images de la chute de Tripoli avant que les soldats n’entre dans la ville), donc démoraliser la population ou la renverser à sa faveur (ce que les Couilles en Or nomment
« changement de régime »).