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Les Occidentaux, sauveurs du monde ??? Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 16-05-2015 22:59

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
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Les Occidentaux, sauveurs du monde ???
Avec leurs « Va(o)leurs » ? Laissez-moi rire !
Ce sont plutôt des va(o)leurs de morts qui
ne tiennent que par le business de la drogue et des armes
donc des pourvoyeurs de morts


Les Occidentaux qui se prennent pour CHRIST, ou le SOI-INSTANT !
Même problème avec les marxistes ! Qui pourtant étaient bien partis
Mais ça a fini en Khmers rouges et en capitalo-socialisme…


LE CAS DU MARXISME
 
 
Non ! Le marxisme ou vouloir le « bonheur de l’humanité » n’est pas une invention des Yahvistes qui copient tout, et après engrangent le copyright comme le « petit coq » du Rabbin Ron Chaya ! Une belle leçon, formidable, merci Rabbin, et elle est gratuite ! Leur « fin des temps », c’est leur petit coq tout rabougri où il n’y a rien a bouffer !

Les Occidentaux et leur système qui bouffent et récupèrent tout : ils détruisent les peuples, les absorbent, les digèrent et les reformatent.

Quand le système des Occidentaux prétend « œuvrer pour la paix » au nom des « va(o)leurs de la république » et de sa « démocratie » et de ses « droits de l’homme », comprendre l’inverse. Le système se veut le chaos pour ensuite imposer sa dictature encore plus fermement.
Le système veut s’emparer des pays du Proche et Moyen Orient non seulement pour l’énergie basée sur l’infernale thermodynamique, mais aussi pour contrer la Russie-Chine.
L’invention d’Israël en 1948 est le moderne bourreau, le moderne Attila soutenu depuis plus de 60 ans par toutes les « démocraties » occidentales.

Le système occidentale dépossède l’être humain, il le réduit à un estomac et un sexe sur deux jambes (comme dit Pierre Hillard). Bref, le système le réduit à une patate dans un sac à code-barres.
 
Le marxisme - malgré les bonnes observations d’un Francis Cousin (livre : L’être contre l’avoir), par ailleurs trop intellectuel et peu sympathique dans sa manière de s’exprimer difficilement compréhensible, si on ne s’est pas farci des centaines de livres avant - n’en est pas moins néfaste, même si le marxisme aborda clairement les vrais problèmes de bien vivre de nos derniers millénaires.
Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux voit le marxisme et le socialisme comme on l’entend de nos jours, comme une caricature de l’Église en creux, une pseudo-synthèse, qui ne couve que des œufs clairs et ne fera jamais éclore l’être humain (l’œuf clair ne peut que pourrir).
Coulonval ajoute que le marxisme est une religion, dans le sens qu’il prétend re-lier l’humain à son origine qui est la matière. « Le catholicisme dit que dans le principe était le Verbe ». Alors, premier problème à résoudre si l’on veut contrer efficacement le communisme : éclairer la contradiction. Pouvez-vous prouvez que le premier principe n’est pas la matière ? Au marxisme, vous opposez la foi ! Mais lui aussi est une foi !
Il est même allé plus loin que vous dans les conséquences qu’entraîne logiquement le fait d’avoir la « foi » en un premier principe : il a formulé une ‘Synthèse’, c’est-à-dire une unité de vision de ce qu’est l’homme. la matière a donné naissance à tout, le minéral, le végétal, l’animal, l’homme, la pensée. Jusqu’à présent, le catholicisme l’a-t-il fait ? Non ! Vous en êtes restés, vous les chefs de l’Église, à la dualité déchirante de la matière et de l’Esprit. Or, une dualité et nécessairement en équilibre instable, comme les plateaux d’une balance.
Le marxisme est une fausse synthèse, d’accord ! Mais avez-vous formulé la vraie ? Pas du tout, bien qu’on l’attendrait de l’Église qui se dit « catholique », ce qui signifie « universelle », c’est-à-dire capable de l’unité de vision, comme par un œil unique, du principe qui EST (Je suis ce JE SUIS) et de sa Création qui est l’ex-istant. Faute de synthèse, l’Église  est sans armes devant le marxisme. Elle ne peut offrir à l’homme le TOUT. Elle invite seulement à une option sentimentale entre le Haut et le Bas » (lettre de Coulonval en novembre 1977 à Monseigneur Matagrin, évêque de Grenoble).
Coulonval ajoute, à propos de la vision marxiste qui aurait montré le caractère partiel de sa vision de l’humain, que c’est faut « totalement faut, mais TOTALE, synthétique.
La vision globale de l’être humain comprend la perception du théologique, du méta-physique, et du physique (trilogie). Si le christianisme actuel porte en lui la vision globale de l’humain et du monde, ce n’est qu’en GESTATION ! Comme la femme porte son enfant. « Pour l’instant, il existe un système de pensée et de sentiments qu’on appelle le catholicisme, mais la « synthèse », l’évasion hors du système, la « catholicité », reste à faire. Le marxisme, le communisme, vous en donne un modèle en creux, en singerie », j’ajoute que c’est aussi ce qui transparait par moments dans les arguments complexes d’un Francis Cousin très marxisme ‘pur beurre’ (livre : L’être contre l’avoir) et très illusionniste ou trop « beau pour être vrai » !

« L’idée d’un Dieu qui meut sa Création, avec des Anges serviteurs qui poussent les planètes, d’une part, et d’autre part l’idée marxiste qui la matière est le principe de toutes choses existantes, doivent résoudre leurs antagonistes illusoires dans la vision juste d’un ensemble. Il y a une astronomie sociale, comme il y a une astronomie du Cosmos. L’ORDRE SOCIAL DOIT ÊTRE LE REFLET DE L’ORDRE DE LA CRÉATION. C’est l’intuition juste qui a présidé à la gestation du communisme, mais l’accouchement a donné un monstre parce que l’ordre des gènes était renversé, intégralement perverti. Solution fausse à une intuition vraie [comme ce qu’exprime un Francis Cousin] ». Mais Jean Coulonval se trompe quand il écrit que « Seule, l’Église romaine peut engendrer la solution juste parce qu’elle en possède la vraie semence ». Cependant Coulonval ne se trompa pas tant que ça, puisqu’il ajoute que jusqu’à maintenant, les théologiens sont des imbéciles qui ne fréquentent pas le Saint-Esprit, ou ils sont ignorants (bréhaignes). J’ajoute que cette semence universelle n’est pas DANS l’Église mais AU DEHORS (en chacun de nous ou DANS L'INSTANT), effectivement DANS le CHRIST, puisque icelui signifie la réalisation du Soi-Instant, comme l’explique Ramana Maharshi, soit la réalisation de la non-dualité (et surtout pas le transformer en Église ou un système, parce qu’alors c’est foutu pour tout le monde !).

Par exemple au Moyen-Âge, « la soudure dans une perception unique du spirituel et du temporel se faisait sur des bases fausses que la science a culbutées. La foi est devenu une croyance « en l’air » qui n’a plus aucune justification dans une perception subjective de la matière, et fort peu dans les perceptions métaphysiques. La science a disloqué, dissous la synthèse d’une perception globale de tout l’existant. Le Moyen-Âge vivait cette synthèse dans une vision descendante de Dieu à la matière : il suffisait d’y projeter les concepts, les prédicats théologiques et religieux.
L’époque que vous décrivez si bien [Lettre de Coulonval de juin 1974 à Arthur Koestler] a produit un mouvement de bascule et aujourd’hui c’est à la matière que l’on demande de rendre des comptes à l’esprit [société de consommation aliéné à l’argent bancaire]. La satisfaction du besoin de synthèse n’est plus recherchée dans un mouvement de haut en bas, mais de bas en haut, c’est le fondement du communisme russe. Le scientisme du Moyen-Âge est remplacé par son anti-pôle, la dialectique matérialiste et historique (elle aussi scientisme). La philosophie de la Nature dans le communisme est tout aussi mythique que celle du Moyen-Âge. La génétique de Lissenko est le pendant des anges qui poussaient les planètes ».
Il faut dépasser ce dilemme, ou mieux se situer au Centrum Centri :
- Dans le catholicisme : l’Esprit vers le temporel-matière.
- Dans le marxisme ou socialisme : le temporel-matière vers l’Esprit (ou le maintenant vers la « fin des temps »).
Donc il faut CROISER pour atteindre le Centrum Centri, ou Dieu, ou Connaissance. Ou « trianguler (triangle première figure fermée) et non plus les voir en stratification horizontale (évolutionnisme), comme écrit Coulonval.

L’ami de Jean Coulonval, Gustave Thibon, écrit à peu près la même chose sur le communisme, dans son livre : Diagnostics :
« Marx et Freud sont frères : leurs deux systèmes procèdent, comme l’a très bien vu Rudolf Allers, du même « regard d’en bas ». L’élément inférieur (les « masses » pour le premier, les instincts pour le second) est tout. Et la forme (l’âme dans l’individu, les cadres traditionnels et les classes dirigeantes dans la société) n’est qu’un parasite masqué. Tout le mensonge vient du mensonge représenté par les valeurs dites supérieures.
- Conclusion pratique : l’inférieur doit balayer le pseudo-supérieur et s’installer à sa place [nous sommes alors encore dans l’évolutionnisme] : débridement des instincts, dictature du prolétariat [urbain après 1789, et aujourd’hui dictature de l’informatique et des technologies et des machines, et du tout virtuel, donc dictature des banques]. Le salut consiste à délivrer ce qui est en bas du vampirisme de ce qui est en haut. Quand l’inférieur sera livré à lui-même, tout sera parfait [c’est ce qu’il se produit aujourd’hui en Occident].

Il y a, dans cette espèce de jacquerie intellectuelle, une réaction très logique contre un excès millénaire. L’humanité passée avait trop cherché le salut dans le culte exclusif de l’élément supérieur ; l’homme s’arrêtait à l’esprit, la nation au Prince ou aux grands ; les sens et le peuple suivaient toujours - et ils cassaient au besoin !
Qu’on songe à la part faite aux sens et aux instincts dans les vieux systèmes d’éducation, aux masses ouvrières dans l’économie libérale. En moral comme en politique, la mentalité du passé est marquée par une ignorance et une brutalité parfois monstrueuse à l’égard des forces élémentaires. le présent a réagi, plus monstrueusement encore, suivant la tragique loi qui fait alterner les excès contraires (1), par le rêve de l’émancipation absolue de l’élément inférieur. N’insistons pas sur les résultats de cette révolution. Un organe malmené peut réagir par un cancer, mais il est la première victime de sa révolte : c’est lui que le cancer mange d’abord.
Le marxisme et le freudisme ont le mérite d’avoir posé, dans toute sa force et sa douloureuse acuité, le problème des « choses d’en bas ». Ici encore, une double tâche s’impose aux esprits attentifs à la vérité totale de l’homme. Ces réalités inférieures, il s’agit de les protéger à la fois contre la tyrannie des choses d’en haut, qui veut les réduire à rien, et contre leur propre révolte qui veut les égaler à tout [égalitarisme judéo-maçonnique et républicain].
Le salut, en effet, ne vient pas d’en bas : la « délivrance » marxiste ou freudienne se résout en anarchie et en pourriture. Mais il ne faut pas non plus le chercher en haut SEULEMENT : un psychopathe, par exemple, ne guérit pas uniquement par la culture de sa raison et de sa volonté, ni une société malade par la réforme de sa seule élite. - Le salut vient du supérieur, mais du supérieur qui, au lieu de s’isoler en lui-même, s’incline avec intelligence et amour, sur ce qui est au-dessous de lui ; il réside dans LA RECONNAISSANCE COMPLÈTE, dans la parfaite adoption de l’inférieur par le supérieur. Ainsi le psychopathe guérira par son esprit, mais par son esprit assoupli aux besoins et aux misères de sa sensibilité, la nation malade guérira par son élite, mais par son élite penchée sur les masses, adaptée aux nécessités du peuple [hélas plus valable aujourd’hui, car le « guérit pas son esprit » correspond bien au « Connaître toi-même par toi-même », alors l'élite c'est chacun de nous]
Purgés de leur venin révolutionnaire, le marxisme et le freudisme apparaissent comme des signaux de détresse destinés à nous rappeler que la réalité inférieure existe, qu’elle a son ordre et ses besoins propres et qu’on ne la domine qu’en la respectant ».


RÉSUMÉ de l’idéal du MARXISME : Le but est de parvenir à une société libre [sans étatisme], égalitaire et fraternelle, débarrassée des rapports de hiérarchie, du travail salarié, des États et des frontières, et de toute forme d’aliénation [ce qui rejoint l’Anarchie dans son sens le plus positif].
Le marxisme, ce n’est pas le « Royaume de Dieu (juif) sur Terre » ou la « fin des temps » en forme des Lendemains qui chantent ou de Demain On Rase Gratis (DORG) ! Comme voudraient nous le faire croire les marxistes qui mettent au centre de leurs préoccupations la « destinée humaine », car comme l’énonce un grand nombre de fois Ramana Maharshi, la liberté c’est NOTRE ÉTAT NATUREL, elle est donc ici et maintenant, et pas à « la fin des temps ». Le marxisme voudrait « embrigader les travailleurs » (les prolétaires ou sexe et estomacs sur pieds) dans des troupes de choc, mises au service de l’ordre nouveau qu’il nomme « fin des temps ». Le vrai socialisme ne peut être que social, même pas technique, et même dans les cas de nourriture prânique SANS aucun apport de marchandise (abolition de l’infernale dualité socio-économique. Utopie ? pas tant que ça... ).
Prôner l’écroulement de la civilisation du capitalisme, comme le reprend un Francis Cousin, c’est purement du matérialisme, donc de l’économie !!! Parce que si la religion actuelle de ce monde tourne effectivement autour de l’argent, comme le dit Ramana Maharshi la moindre réforme des « malheurs du monde » ne peut venir que de SOI-MÊME. Et petit-à-petit l’économie devrait se transmuter en autre chose ; évidemment cela ne se fera probablement pas en douceur, l’argent n’étant jamais une chose douce : des millénaires de violences et d’horreurs sans nom adhèrent au culte de l’Or métal, et même solaire, et le prouvent sans cesse !!! De plus on ne peut pas déporter ou fusiller tous les banquiers de la Terre ! On ne peut pas non plus retourner au temps des Joseph Proudhon, du maçon Louis Blanc, de Charles Fourier, du socialiste Constantin Pecqueur, etc.
L’Occident ne voit pas l’ensemble, « mais peut-on étudier les propriétés d’un triangle en considérant TOUR À TOUR, ISOLÉMENT, chacun des côtés ? » comme écrit Coulonval.

Dans ma page précédente : Hébreux idolâtres de la marchandise, je parlais de notre destiné humaine et du changement de système et d’idéologie qui, selon nombre de personnes, dont les Astrologues, et selon moi, ne peut se faire qu’avec l’arrivée d’un cataclysme cosmique, ou planétaire, ce qui est en marche en ce moment avec les changements climatiques accompagnés de tremblements de terre, ou par la venue sur Terre d’une Comète (Des-astre). Le moment est proche, car toutes les conditions d’effondrement du système des Occidentaux ou USionistan sont en place. Alors, dans un monde où après la catastrophe les survivants hébétés ont tout perdus, et notamment les points de repères avec le Cosmos ou extérieur, la mémoire du passé vécu et ingurgité  se perd très vite, c’est la que la TRANSMUTATION opère tout en gardant le PRINCIPE INTÉRIEUR, surtout le JE SUIS ou abandon de l'ego (voir la page Le PRINCIPE et le REBIS).


Note.
1. Note de G. Thibon dans son chapitre sur le marxisme et le freudisme : « Ce qui importe avant tout pour l’homme ennemi de son unité - de son Dieu - ce n’est pas l’être au profit duquel l’équilibre est rompu, c’est la rupture même de l’équilibre, ce n’est pas l’idole, c’est l’idolâtrie. Dans tout ce que nous aimons d’une façon désordonnée, nous aimons surtout le désordre ».
 
 

Dernière mise à jour : 16-05-2015 23:48

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