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Immonde - Immondice Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 18-05-2015 21:28

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
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Immonde - Immondice
La Merde (ORdure) dirige ce monde

POUVOIR (pour-voir) :
Désir et Répulsion ou
Pur et Impur sont identiques
Dieu et Diable se confondent
comme Sacré-Saint et Sacrilège (1)


Bienvenue dans un monde hypocrite de la re-présentation
 
 
Voir aussi la page : OR-ganisation et CACApitale

IDIOT - IMMONDE : 1220, du latin immundus, de mundus (propre), étymologie de Monde. Ensuite ça dérive vers la morale devenue religieuse du pur et de l’impur, du « sale » et du « propre », donc de la parfaite DUALITÉ du bon et du méchant qui détruit le monde !!! (Voir la note 1). Même peine avec le mot IMMONDICE (qui obsédera tout le 19è siècle industriel robotisant et industrialisant l’être humain).
IDIOT : UNIQUE, SIMPLE, du grec idiotês (simple, particulier).

Immonde commence par le I de « Mettre les points sur les I », qui est « mettre les choses au Point », et savoir « faire le Point », soit le Grand Œuvre alchimique : UN POINT C’EST TOUT (Stargate : ICE, CELA, CETTE CHOSE ; ou bien encore : IESTRE : être, origine).
Le I comme adverbe de lieu (en 842) indique le point d’aboutissement vers lequel on tend : « Menez m’i Queste Saint-Graal ». Le I comme substitut personnel : Mes ge la vi e s’i parlai (Perceval).
Le I de Initié ! De Inné et Igné…
I est proche du EVE : eau (Iave, Ieve). Proche aussi de Idée : dorme et représentation des choses en pensée (idéation). Idiote : illetré (sens de 1180).
I est proche, mais de façon négative envers des peuples, de Idle, Idre, Idele ou Idole considéré à cause de Hébreux comme « Dieu païen ».
Dante confie que le premier nom du Divin fut I, avant d’être EL (ou AL le Soleil) ; les langues hébraïque, arabe, tzigane maintiennent cette assertion. « IL » (de île, donc isle, car l’accent circonflexe remplace le S) porte bien son nom, nœud de la Vibration.
Le I est comme un Axe et transmet le sens de Principe (Essence, Dieu ou Unité) sorti de l’Infini.
 
IMMONDE est du même thème que INNOMMABLE : le nom que l’on ne peut pas nommer (de IN comme INvisible : non visible). Innommable renvoie à : dégoûtant, infect, indigne, etc.
L’attente, l’inconnu, le terroriste, faute de pouvoir être nommé et observable sont « innommable ». La merde « invisible » est innommable. La Matière du Grand Œuvre est innommable (aucun authentique Alchimiste ne donne le nom de sur quoi il laboure).
Proche de Immonde nous avons IMPROPRERIE (1120) sens de honte, opprobre, chose honteuse, qui donnera IMPROPRE.

Antonin Artaud écrivait dans le Pèse-nerfs : « Toute l’écriture est de la cochonnerie. Les gens qui sortent du vague pour essayer de préciser quoi que ce soit de ce qui se passe dans leur pensée, sont des cochons ». Artaud exprime là la tyrannie de l’OPINION. Jean Coulonval dans son livre Synthèse et Temps Nouveaux écrit un peu la même chose, sans traiter les gens de « cochon » : « La plume est astreinte à l’expression didactique, à la géométrie de la grammaire, et ne peut dire que l’une après l’autre, isolément, chacune des faces du polyèdre ».

La dualité du pur et de l’impur est par excellence de la religion, de la morale, et de la dualité initié-profane. Profaner, c’est pratiquer l’impur, selon la pensée unique duelle, c’est comme 'déranger l’ordre cosmique'. L’impur est aussi, selon la pensée unique, ce qui donne les maladies (mal-à-dit, dit : D.I.T : déité. La Mal-à-dit et son contraire : l’INGUÉRISSABLE, le MITHRIDATISÉ, le SAINT).
La pureté serait synonyme « d’endieusement », de joie et de santé.
L’impureté serait le dégoût, ce qui répugne comme la pourriture du cadavre et qui nous rappel que nous sommes mortel, donc ÉGAUX (alors que les transhumanistes veulent être immortels, donc inégaux… ).

Des animaux manifestent une crainte vis-à-vis du cadavre d’un animal de même espèce. La phobie du cadavre est presque universelle.
Les sécrétions sexuelles, et l’acte sexuelle, sont à la fois souillure et mort, pureté et vie, agent de contamination (Sida et maladies transmissibles) et agent bactériologique (antibiotique). Naissance et Mort sont identiques, par les rituels de purification chez certains indigènes.

Ce qui m’amène à remettre ici le chapitre : Le « sale » n’est pas sale :
Une mère de famille à qui on faisait observer une tache suspect sur un tapis : « Ce n’est pas sale, déclara-t-elle après examen de la chose, c’est de la caca ». Une réponse censée qui pose le problème du « sale » en soi et laisse clairement entendre que rien ne peut être réputé sale dès lors qu’il est repéré comme connu et comme EXISTANT [donc pas dans un égout à la Haussmann & Cie]. Pourquoi cette tache « suspect » est-elle donné pour opinion comme « sale » ? Eût été sale tout ce qui, après examen, ne fût apparu ni comme excrément, ni comme chocolat, ni comme bouillie, ni comme fromage, ni comme quoi que ce soit d’identifiable. Seul serait absolument sale l’objet non identifié, c’est-à-dire « innommable » (donc ce qui n’aurait pas de naissance car on ne lui donne ni nom ni forme ! Alors il serait « immonde » (voir plus haut).

L’inexistant serait donc « immonde » ! Le VIDE serait immonde ? Ramana Maharshi dans ses entretiens dit que « Ce qui est réel doit toujours exister ; ce qui EST doit perdurer à jamais ; ce qui apparaît nouvellement doit aussi disparaître » (quand on naît on doit naturellement mourir, puisque c’est le monde des apparences !). Ramana Maharshi à l’entretien 17 explique : « Êtes-vous né actuellement ? Pourquoi pensez-vous à d’autres naissances ? Le fait est qu’il n’y a ni naissance ni mort. Laissez donc celui qui croit être né penser à la mort et à ses palliatifs ». Ce qui peut renvoyez à l’entretien 264 : « Dieu créa l’Homme ; et l’Homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’Homme n’ont été créés ».

Donc la tache que la mère de famille « défend » en la nommant lui donne comme vie. Et toute chose réelle participant du nom et de la forme n’est JAMAIS SALE, tout comme il n’existe pas de « mauvaises herbes », pas de « terroristes » ou « ennemis de la liberté ».

Toute chose « réelle » participant de l’Instant, aucune chose réelle n’est sale, sinon on entre dans la dualité. Évidemment qu’en ce bas monde il y a bien des cochonneries humaines, mais elle sont le fait des ACCIDENTS, des REPRÉSENTATIONS : Re-Présentations ou conséquence du Reflet, dès lors que le Reflet a perdu le contact avec l’Instant qui pouvait seul l’authentifier ! Ainsi la Re-Présentation n’est plus que la vibration d’elle-même. D’ailleurs un Céline fait observer que toute la vulgarité, la saleté du monde consiste, non pas dans les choses réelles et dans leur mention crue, mais seulement dans le SENTIMENT (si dénoncé par ailleurs dans le catholicisme par Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux) qu’on en a et qu’on en suggère, c’est-à-dire PAR L’OPINION QU’ON EN A et qui est, comme déjà écrit de nombreuses fois, UNE TYRANNIE commencée à la Renaissance et aboutit en 1789. (Exemple de la mère de famille et de la tache donné par Clément Rosset dans : Le réel - Traité de l’idiotie).
Il faut aussi se rappeler que le Sublime verse toujours dans le ridicule, voir le sale !!! Ou que la Vérité est ridiculisé ! C’est sur les ordures ou fumier et la vase que pousse la Fleur de Lotus. Se rappeler que le SACRÉ, LE SAINT EST DOUBLE (chez un Saint, cherchez le Diable, il n’est pas loin : le pouvoir de Dieu est celui du Diable : les deux se confondent dans ce cancer du pouvoir de la mort qui est d’annuler ce qui a existé (2), de faire en somme que ce qui existe n’est pas d’existence. Le monde ne souffre pas de devoir finir, il souffre de ne pas avoir commencé : DE NE PAS AVOIR ENCORE « EU LIEU », (voir ci-dessus l’entretien 264 de Ramana Maharshi). Donc PAS DE BIG BANG.


Oui, comme la Merde, le réel est CRU (infini et CRU-elle CRU-auté, saignant, brut, directe).

Depuis les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, l’humain refuse le gratuit et fait tout payer, surtout de nos jours, d’où d’ailleurs la mode actuelle de rechercher « l’énergie libre ». Ce refus du gratuit est LE symptôme du refus du Réel, du Soi-Instant. Un des multiples mécanismes de défense qui entrent en jeu dès que le Réel est perçu comme brut, cruel, saignant, directe !
Le Nouvel Ordre Mondial des Yahvistes avec leur « Royaume de Dieu (juif) sur Terre » voudrait nous fourguer leur « vie en Rose », mais une rose ça se fane vite. Mais « vouloir améliorer la vie des gens », en masse, est proprement la définition de la DICTATURE, car cet empressement des plus suspects ne fait que révéler que « celui qui travaille à l’amélioration de la condition humaine a généralement cessé depuis longtemps de vouloir du bien à quiconque ». Ces gens prétendent éclairer celui qui voit trouble, car ils se considèrent comme ceux qui voient clair (dualité bien-mal ou pur-impur) ; le « Ce qui est bien pour nous est bien pour vous », soit la tyrannie de l'opinion.
« Celui qui est dans l’erreur essaie de l’imposer aux autres. Celui qui possède la vérité s’efforce de l’appliquer à lui-même. C’est la marque qui ne trompe pas ». (D’après Louis Cattiaux).

LIBERTÉ : c’est l’anti-confort : aller à l’aventure dans un monde où rien n’est joué, où rien n’est nécessaire (aucun but à atteindre), mais où tout est possible (y compris le voyage dans 'le temps'… ) C’est PAN le TOUT qui provoque la PANIQUE, parce la Réalité perçue à l’état spontané est la PANIQUE, et comme un vin, pour la rendre confortable, on la coupe généralement avec L’EAU DU MENTAL. C’est pourquoi le Réel, depuis la Chute, n’est plus ici et maintenant, mais plus loin, éloigné, vers les Yahvistes et leur « Royaume », qui ne peut être en définitive que de l’IDIOTIE, une REMISE À PLUS TARD ou FIN DES TEMPS : un monde encore et toujours « à venir ».

La PANIQUE peut aussi correspondre au « mysterium tremendum » : dualité face à un « Dieu », face à l’Ailleurs ou Inconnu, donc le NON-CONFORTABLE. par exemple la « colère de Zeus » lançant des éclaires, ou celle du colérique Yahvé qui « enflamme » ses fidèles du judéo-christianisme (ils ont alors le FEU SACRÉ, ou « la pêche », ils sont des « bombes »), un « feu de Dieu » totalement arbitraire, incalculable et spontané comme l’INSTANT ou le TONNERRE, ou le TERRORISTE. Aucun rationnel là-dedans, d’ailleurs comme l’actuelle mode du terrorisme transformée en hystérie collective.

Purifier le mental :
« La purification n’est pas visible. De même qu’un simple morceau de charbon met longtemps à s’enflammer, qu’un charbon de bois s’enflamme vite et que la poudre à fusil prend instantanément, de même les personnes entrant en contact avec les Mahatmas réagissent à des degrés différents » (R. Maharshi, entretien 155).
« Aussi grand que sera votre savoir, il n’y aura pas de limites à la connaissance. Vous ignorez celui qui doute, mais vous essayez de résoudre les doutes. tenez-vous à celui qui doute et les doutes disparaîtront » (entretien 238).
 


Notes.
1. Suite à la mode de Sigmund Freud, les psychanalystes décrivent la dualité pur-impur  dès les premières semaines et premiers mois de la vie de l’humain comme le principe de la carotte et du bâton, ou de bons et des mauvais points ; et toute cette actuelle civilisation est construite comme ça, c’est flagrant depuis cette mode du terrorisme.
Le nouveau-né humain est donc au départ un schizophrène, un divisé. « La frustration imposée au nourrisson émergeant de sa « béatitude » intra-utérine [perte de l’Âge d’Or ou Chute] par le traumatisme de la naissance [autre version de la Chute] et les premières expériences de privation alimentaire [mythes de la Terre inhospitalière], engendre chez ce dernier une réaction agressive vis-à-vis du monde extérieur notamment représenté par sa mère en premier lieu ; et tout d’abord par le sein maternel, puis le visage ; réaction qui va faire de ces « objets partiels » (sein et visage) de « mauvais objets ». Mais comme ces objets sont également dispensateurs de plaisir et plus tard de joie (nourriture, sourire, sécurité), ils sont aussi investis d’une énergie positive (libido) qui en fait concurremment et consubstantiellement de « bons objets », écrit le psychiatre jungien, Pierre Solié, dans : Médecines initiatiques, aux sources des psychothérapies. Il ajoute que sein et visage, et plus tard le corps entier de la mère sont ambivalents pour le nourrisson. Ce sont des objets de POUVOIR, de puissance de la vie, et donc comme sacrés et aussi des OBJETS DE DÉPENDANCE.
Bons et mauvais objets sont donc la traduction de l’ambivalence originelle de l’être humain (après la Chute ou perte de l’Âge d’Or). ORiginelle-ORiginale et non double ou copie.

2. Ramana Maharshi dans son entretien 17 du 24 janvier 1935, citant la Bhagavad-gîtâ, chapitre 18 verset 17, expose LA VRAIE TECHNOLOGIE, ou plutôt LE VRAI SENS DU MOT SCIENCE et par là-même celui de Dieu : « Celui qui est délivré de la notion de l’ego, dont l’intellect n’est pas conditionné, celui-là, même s’il détruit tous les mondes, ne tue pas, pas plus qu’il n’est enchaîné par les conséquences de ses actions ».
Ramana Maharshi : « Pour un homme réalisé, celui qui demeure toujours dans le Soi, la perte d’une seule vie, de plusieurs vies ou de toutes les vies de ce monde ou dans les trois mondes ne présente aucune différence. Même s’il est amené à les détruire toutes, aucun péché ne pourra atteindre cette âme pure ».

 
 

Dernière mise à jour : 18-05-2015 22:12

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