ISRAËL veut dire « peuple élu de Dieu », ou « celui qui lutta aux côtés de Dieu », ce qui n’est pas pareil. Mais dans les deux cas il s’agit d’un Dieu extérieur, non naturel.

Faut-il le voir pour le croire ou le croire pour le voir ?? (Pour le savoir il faut CROISER et ainsi retrouver le Point Focal.)

Drame de l’évolutionnisme.
Le peuple élu et sa finance internationale (City de Londres) fomentent le chaos afin de faire venir en « Terre sainte » (sur Terre) leur messie. C’est le chaos qu’en ce moment fabrique l’oligarchie et sa « démocratie » et ses droits de l'homme, afin de faire venir une nouvelle opinion qui donnera naissance à une nouvelle religion mondiale censée balayer toutes les autres, avec un nouveau système politique censée être une « super démocratie » (totalitarisme). Rien de telle qu’une Tabula rasa permettant aux meneurs de réécrire l’histoire de l’humanité et imposer son opinion aux masses. Suite à une catastrophe, humaine provoquée, ou venant naturellement : un dès-astres, il est très facile pour le millier de meneurs à travers le monde de faire adopter la nouvelle religion, et les rares îlots de résistances des Païens seront vite réduits à néant comme le furent les « brigands » (les Vendéens) en 1793. Une prochaine tabula rasa facile à cause de la technologie et parce que les meneurs auront pris le soin de se réfugier dans leurs souterrains, afin d’échapper au déluge auquel ils ont travaillé de toutes leurs forces. C’est ça l’élite moderne : des meneurs, des faiseurs d’opinions.
Depuis plus de 4000 ans, si le « peuple élu » était véritablement une élite, depuis 3000 ans il n’y aurait plus de guerre sur Terre. Ce peuple élu n’est qu’un meneur qui fout la merde partout. Seul le bon guide mérite d’être appelé dirigeant ou élite.

 

RAPPEL IMPORTANT : Ce peuple élu se targue de lutter contre l’idolâtrie, mais il en a la base, avec l’amour de l’Or métal, la finance et le business, en plus d’avoir LA super idole : l’ARCHE D’ALLIANCE (de Yahvé), et y ajouter : le Temple, la Jérusalem céleste, le Nom de Dieu, etc. Faut tout de même le faire/fer !!! Évidemment il n’y a pas grande différence entre un Hindou qui adore un Dieu ventru à travers Ganesha (à tête d’éléphant), et un Juif qui adore Dieu à travers son Arche d’Alliance ou à travers un mur de pierres (le Temple). La différence provient toujours des mots/maux ! Donc du mental !!

ISRAËL veut dire « peuple élu de Dieu », une opinion peut-être utile en son temps, pour conserver la culture propre à ces gens, mais depuis au moins plus de 3000 ans elle ne fout que la merde partout et conduit l’humanité à la mort. ELLE EST CONTRAIRE À L’ALTRUISME, et ne pouvait que fabriquer cette société de l’ego égoïsme : le citoyen au pouvoir d’achat.
Le Dieu d'Israël, tel qu'il se présente dans l'exhortation en refrain dans l’Ancien Testament (Deutéronome) : « Yahvé ton Dieu », « Yahvé votre Dieu », « Lorsque Yahvé ton Dieu t’aura fait… », etc.

Le peuple élu ou étiquette copyright yahviste étant le contraire de l’altruisme, il ne pouvait que trimballer la haine perçue des non-élus envers eux-mêmes. Cela donnera le sac de Nœuds suivant : des élus transformés en non-élus par la haine des autres envers eux et par eux-mêmes ! C’est-à-dire une minorité « élu » qui devra faire face à des hostilités qu’elle aura elle même engendré du fait de diviser !! Alors on invente l’antisémitisme et son contraire : la répression. C’est comme la finance internationale, elle ne peut fonctionner que sur le grand banditisme, le crime et le mensonge, le trafic de drogues en tous genres, et le commerce des armes et des industriels et des gouvernements.

Toutes ces redites d’Ancien Testament gardent le sens de l’ego, du mental, donc de l’opinion. Alors si ce Dieu était unique, il devrait être nécessairement universel. Donc il ne peut être le Dieu d'un seul peuple ou d’une seule croyance.

PROJECTION ou ÉMISSAIRE : celui qui est envoyé ; du latin emissarium (déversoir) : un canal d’évacuation, un courant évacuant le trop plein d’une étendue d’eau, donc un EXUTOIRE, du latin exutus, de dépouiller.
Dans le même thème nous avons DÉROBER : en ancien français ROBER se traduit pas « dépouiller de », soit la projection, l’éloignement d’un mouvement de haut vers le bas : déchoir.
La Langue des Oiseaux sonne comme E-rober, mouvement de la Robe (rauba : butin en germanique) depuis le spatio-temporel : DÉPLACEMENT D’OBJET. Projeter sur un écran ou un espace est un déplacement (d’une image).
Il faut savoir que c’est évidemment sous la Renaissance, démarrage du matérialisme, en 1540, que le fait de ROBER (dérober) s’est transformé en VOLER, soi disant d’après le dic. Le Robert, à cause du faucon qui attaque un autre oiseau ! Une horrible opinion salopant du même coup le rêve et le sens du mot voler, dans les airs (qui de nos jours est concrétisé avec lourdeur en un gros engin nommé « avion », du nom donné à son appareil par Clément Ader, est bien dans la lignée de la thermodynamique).

BOUC ÉMISSAIRE ou PROJECTION (ce qui est à l’extérieur de) : Lié aux rêves et donc au mental qui est caché profondément. La projection c’est faire passer l’intérieur vers l’extérieur. Tout ce qui est caché est extériorisé ou projeté sur d’autres humains, des animaux ou des objets. Alors ce que nous éprouvons est le fait de notre ego, et donc de notre illusion. Projeter une « fin des temps » est typiquement du CONFORT : ON SE DÉCHARGE DE L’INSTANT, on attend des lendemains qui chantent « la fin des temps ».

Ce qui est à l’intérieur de nous fait peur, bien plus que cette peur entretenue par tout étatisme ou système.
Charles ressentait par projection, ou par bouc émissaire reporté sur Maurice ; en état illusionné, il en avait fait son bouc émissaire, sa bête noire.
Évidemment l’opinion de bouc émissaire n’est pas le copyright des Yahvistes ! Symboliquement le « mal » est emporté par ce qui est si pratique, et extérieur : le bouc émissaire sacrifié, ainsi ça évite à l’humain de se connaître lui-même !!! L’humain préfère projeter sur un autre, car il lui semble si difficile de se rendre compte de ce qu’il est lui-même, qu’il préfère le confort, le sécuritaire, de constater chez son voisin ce qui est en lui, ce qui lui est si insupportable qu’il préfère s’en délester chez les autres. C’est l’éternelle histoire de la Paille et de la Poutre !

Le bouc émissaire ou projection joue un rôle fondamental, non seulement dans la vie des individus, mais aussi dans celle des nations (ce qu’il en reste !). Tout ce qui est négatif, sombre (fait de l’ombre), est aisément projeté sur un autre peuple, dans lequel désormais tout apparaîtra comme mauvais et méprisable ; ce sera alors une pure opinion profondément enracinée. La « démocratie » est une forme de bouc émissaire à l'envers. C’est ainsi que nous avons la terrible dualité guerrière : plus un peuple, ou une communauté, s’estime elle-même, comme l’opinion de « peuple élu », ou de « démocratie », et plus ce peuple ou communauté s’accorde de la « valeur », plus obscure sera l’ombre et par conséquent plus grande sera son dédain, sa haine pour les autres. C’est bien le cas de ces horreurs « peuple élu » et « démocratie ».

Le bouc émissaire ou projection est une magie noire cachée dans le mental humain (le caché appelé « inconscient » chez les freudistes et les jungiens). Alors on n’ose pas penser à ce qui arriverait si à un certain stade de l’exploration de l’ego, toutes les projections s’effondraient, et si tout cet enchantement prenait fin. De puissants royaumes ou opinions bâtis sur la projection ou le bouc émissaire de toutes les âmes sur un seul être s’écrouleraient d’un seul coup ; les rapports amoureux cesseraient et même les plus banales relations de business cesseraient. L’entertainment cesserait aussi. La fin des projections ou du système de bouc émissaire serait LA VRAIE FIN DU MONDE DES HUMAINS, et par là même d’un bout de l’Univers puisque tout est dans le cerveau.
C’est un peu comme si un chercheur mettait brusquement à disposition de tout le monde une énergie gratuite, propre et inépuisable, alors la finance internationale liée au pétrole et au nucléaire s’écroulerait !

MAIS CELA EST LE PREMIER STADE DU « Connaître toi-même par toi-même » encore piégé par l’ego. Ce n’est pas le vrai sens du mot AMOUR.
Le Sage, le Saint et l’Adepte connaissent ce qu’il y a après la fin des projections, et ils y aspirent, car ils ont la notion du Soi ou Instant. Celui qui reste encore piégé par le FILM (histoire, « le mot-à-dire », Hollywood) donc par son ego, ou qui reste à mi-chemin, tombe dans le désespoir et la solitude la plus absolue : LA PANIQUE, jusqu’à ce qu’il découvre un nouvel état : le Soi-Instant ou union consciente avec tout ce qui EST : « Je suis ce JE SUIS », la seule Réalité possible, ce que certains nomment ÉVEIL, parce que le sommeil et l’illusion n’existent plus, il n’existe plus de vagabondage du mental.

L’historien des événements politiques ou religieux, l’ethnologue, le sociologue, le psychologue, l’archéologue, ne sont pas des entités qui opèrent en dehors du temps qui coule dans le spatio-temporel. Ce ne sont que des humains engagés, d’une part, dans une situation « concrète », et d’autre part, dans une logique déterminée par la mode du moment, suivant une évolution (histoire), dont ils prétendent rendre compte. Ainsi cette « logique » n’est pas autonome, elle n’est pas un étalon, un dogme, mais une opinion, soit elle ne représente qu’une superstructure qui recouvre, dans le mental de l’observateur, tout une idéation caché, où des mythes nouveaux ont été substitués par la culture, par l’opinion de l’enseignement universitaire, associé à des opinions de mythes anciens !

L’histoire ou le mot-à-dire : en Occident la « pensée moderne » est une pensée CONDITIONNÉE, et plus que jamais avec l’Empire anglo-saxon et judéo-maçonnique spéculatif (née à Londres en 1717). En Occident, le mythe de la « raison » qui, lui-même, a été élaboré à partir d’éléments irrationnels multiples qui donneront des « évidences » sur lesquelles reposeront les « principes d’intelligibilité » que finalement, personne ne saurait expliquer ni définir de façon rationnelle.
« Le domaine de l’histoire n’est pas le domaine des « faits » ni, encore moins, celui des « phénomènes ». Il est celui de la reconstitution de l’événement, d’une « re-composition » de ce qui a été « dé-composé » par le temps. L’histoire « re-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique entre des moments abolis en tant que tels, elle « re-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions. Le « fait religieux » et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ».
(En référence à René Alleau : Aspects de l’Alchimie Traditionnelle, qui donne une bonne définition du sens « moderne » de l’histoire).

Le peuple élu projette non seulement sa haine du non élu, mais aussi avec son mythe de « fin des temps » veut ressusciter des cadavres de la terre d’Israël, comme rêvent de le faire les Google et transhumanistes. Une PROJECTION-BOUC ÉMISSAIRE aussi lugubre qu’en forme de super de super illusion. Une projection, un film, bien mis en valeur par le Zohar où l’on raserait gratis à la « fin des temps », le chaos étant la condition sine qua non conduisant à la destruction de CETTE humanité pour mettre en place une autre humanité à la Google sous les ordres d’une gouvernance mondiale.

L’étude des rêves, les rêves conscients, sont le contraire de l’égocentrisme ; l’étude des rêves est la porte ouverte sur l’Univers, donc le mental, soit les chemins qui conduisent vers la lumière total ou « sortie » à travers les dédales des carreaux noirs et blancs des bas-fonds obscurs de notre mental, notre ‘je’.
Il est salutaire de reconnaître en dormant la nature illusoire du rêve et son caractère mental, comme il est salutaire de réaliser la nature tout aussi illusoire de l’état de veille.

Pourquoi le sommeil profond nous apporte du repos ? Parce qu’il n’y a pas de rêve, pas d’ego, notre mental est comme dompté, il n’existe plus de vagabondage ou idéation, plus d’opinion, et nous pouvons alors utiliser l’énergie du « Vide »…