Suite de la Guerre totale de l’Ouroboros contre la Synagogue ou Menorah ou Étoile de David.

Le quantitatif c’est la création de « l’homme nouveau » (le transhumanisme des Google et Ray Kurzweil) puisqu’il pourra vivre ‘éternellement’, soit « la nouveauté permanente », sorte de nouveau Graal, ou plutôt l’aboutissement du rêve yahviste de leur « Royaume de Dieu (juif) sur Terre ».
Le quantitatif c’est : mettre un blanc, un noir, un jaune, un rouge, dans une série télé ou un grand film hollywoodien, ou une publicité. Dans les années 1960-80 un célèbre chewing-gum (gomme à mâcher) ventait sa fraîcheur (de vivre) en filmant un groupe de jeunes blancs s’ébrouant dans une rivière sauvage. Aujourd’hui il faut que le jeune soit dans une cité et qui danse en montrant ses fesses et croise une femme noir, une femme âgée, un obèse, des étudiantes, etc, pour finir dans la campagne proche ou dans un parc c’est tout comme.

Le quantitatif c’est aussi le faux jeûne du Ramadan : pendant cette période la consommation alimentaire des foyers musulmans augmente de 40%. Les ménages dépensent en moyenne 394 euros pendant le Ramadan contre 280 euros par mois le reste de l’année. Plus de 350 millions d’euros sont dépensés en un seul mois, un créneau que la grande distribution ne manquerait pour rien au monde (Journal Le Figaro de juin 2015). Si ce n’est pas du quantitatif, qu’est-ce que c’est ? C’est du marketing ethnique doublé de société de consommation ! Évidemment le Carême chrétien ne rapporte rien à l’industrie de la bouffe et n’est nullement annoncé dans les médias, ou si peu !

 

Le quantitatif c’est encore et encore la pédophilie publicitaire : cibler les enfants, parce qu’ils sont sans défense, totalement manipulables, n’ont pas d’esprit critique en-dessous de 8 ans. À 10 ans l’enfant mémorise 300 logos de marque, il est ainsi formaté pour la vie, en influençant les achats de ses parents (deuxième bénéfice pour l’industrie). Quand il devient salarié et consommateur il devient dépendant de la publicité. Bref, l’enfant est dès son plus jeune âge PRISONNIER de cette religion de l’argent. Le CSA ne remplit pas sa mission de protection des enfants, et pour cause que les enfants ça rapporte beaucoup d’argent aux industries. Donc protéger les enfants des émissions pour enfants à la télévision ! Bref, arrêtez de regarder la télé qui détruit le cerveau !!

Le quantitatif est CONTRE la gratuité : tout ce qui est gratuit est « terroriste ». Tout doit être payant : on dit d’ailleurs « C’est payant ! », et payer en liquide c’est du terrorisme, car non contrôlable par l’étatisme.

Le quantitatif c’est le socialisme et sa « justice sociale » (liée au pouvoir étatique et bancaire) ou « amélioration des conditions de vie » (le progrès qu’ils disent). « Justice sociale » n’est que du quantitatif : une meilleure répartition des profits matériels de l’entreprise et de ses banques, comme si la vie terrestre était limité à cette ploutocratie, qui aurait seule le droit à la création, le plus grande nombre en étant exclu, puisqu’il reste esclave de cette ploutocratie.

Le quantitatif ou la destruction de l’humain par l’argent de la finance juive internationale, et par la tyrannie de l’opinion (prendre parti et mode des partis). Ce n’est pas pour rien qu’aujourd’hui on met souvent en avant la morale, alors que notre époque est immorale. La morale est mise en avant parce qu’elle fait la partie de l’opinion, donc du résultat d’attitudes morales, soit une esthétique du sentiment, de l’ego, ainsi nécessairement variable dans la multiplicité indéfinie des situations concrètes, des complexes, des accidents ou espace-temps ; et c’est à ce piège que se sont fait prendre les Pharisiens.

Le quantitatif c’est aussi la tyrannie publicitaire, et donc médiatique tenue par la juiverie financière internationale. La tyrannie publicitaire s’exerce en politique, en démocratie là où il faut convaincre en manipulant les gens pour les amener à voter pour tel courant politique lors des « élections au suffrage universel », suprême arnaque. Nous sommes bien dans cette tyrannie de l’opinion, je ne le répéterai jamais assez.

Le monde de LA VALEUR contre le monde DES valeurs (et des voleurs de la finance ou le « prix des choses et des gens »).
Le quantitatif Suprême c’est la City de Londres et son Wall Street, en connexion avec les travailleurs du chapeau ou pensée kabbaliste (une « formule » de Dieu, puisque les Juifs cherchent à « retrouver » le « Nom de Dieu » (1), ou tout au moins sa « prononciation ! Une formule pour refonder le monde et bien-sûr le dominer).
D’ailleurs, le Coran, texte « descendu du Ciel… de l’opinion… », comme l’Alphabet des Hébreux sont le dogme intouchable : interdit d’en faire la critique. Pour garder le Divin de façon absolu, l’Islam nie l’Histoire ; et au contraire, le marxisme et le judaïsme font de l’Histoire (les idoles) un absolu, un « temps qui coule » entre Adam et une « fin des temps ». Il n’y a pas plus idolâtres que les Hébreux ! Alors que ceux-ci combattent l’idolâtrie depuis des millénaires !!!

Le monde du RÉSULTAT (winner, success, hit)

Le règne du quantitatif est identique à celui de l’opinion, ce grégarisme à pensée unique-inique qui se développe maintenant dans l’Internet et de développait à la Renaissance à travers l’imprimerie.
Le quantitatif c’est également la définition moderne du mot SCIENCE : « Expérience reproductible et contrôlable par d'autres », ce qui correspond aussi à la « démocratie » : tout le monde peut le faire/fer !
Avant la Réforme Luther-Calvin, le mot Science ne divisait pas : science et spiritualité étaient indissociables, mais ils furent divisés à partir de la « science moderne » qui n’est que la définition du mot TECHNIQUE (la science est morte à la Renaissance et encore plus après 1789).

Donc « science » et quantitatif sont une même chose : tout mesurer, tout compter, bref : la rationalisation de ce monde, totalement laïcisé façon judéo-maçonnerie : d’un côté ce « peuple-prêtre » et de l’autre les Goys (les Gentils). Nous sommes devenus un monde de MESURE : « Combien tu gagnes, combien ça coûte ??… », « Quel diplôme tu as ? », etc. Il ne compte plus que la PRODUCTION, donc le rentable et la compétitivité, le CHIFFRE (faire du chiffre). Et l’élection au suffrage « universel » est typiquement du règne de la quantité, parce que le mot « universel » est confondu avec le mot « général » ; or Universel est du divin, et général est de la terre.

Même peine avec les « lois » et autres « droits de l’homme »… RAPPEL :  les États-Unis sont le paradis des avocats (en ce domaine on fait dans le quantitatif)… La « justice » ne fait plus couper des têtes et évite d’emprisonner (les prisons sont pleines), mais ruine les gens qui s’opposent à la dictature de l’État (on fait dans le quantitatif !). La France est une dictature fiscale : voyez Nicolas Fouquet contre Louis XIV, puis à nos jours le « contrôle fiscal » inquisitorial qui peut vous ruinez totalement. La terreur du stalinisme c’était le Goulag, en France c’est la terreur fiscal. Ça c’est du pur quantitatif ! Dans le système du Goulag la torture devient subtile car déjà économique, mais on faisait tout de même mourir les gens au travail forcé ; dans la torture fiscale elle devient encore plus subtile : mentale (la raison), comme tout ce que fait cette démocratie d’après 1789.

Le quantitatif ou monde des technocrates, de la mathématique (ou des statistiques), du binaire de l’informatique, tout ce quantitatif qui robotise, mécanise l’être humain pour en faire une chose à pensée unique, conforme, conventionnel.
Ce monde du quantitatif est issue de l’après 1789, où la « science sociale » commence à mécaniser les âmes parallèlement à la mécanisation industrielle grâce à la montée en puissance des banques. Exit les Paysans, les ploucs, place aux Citoyens ou habitants des villes. Ce sera achevé après la guerre de 1914-18. Aujourd’hui : « À bas les ploucs ou paysans qui sentent mauvais ! Vivent les Citoyens ! »

Le quantitatif c’est aussi l’obèse américain : production de l’industrie de l’American way of life.

De nos jours, et même depuis que l’étatisme (mondialisme) s’est installé sur la France, hélas personne individuellement n’a les moyen de faire face au système étatique mondialisé et bancaire (les deux sont lié, voyez à nouveau N. Fouquet et le roi). Jamais un « Superman » ne triomphera de l’étatisme ou du système bancaire. Se souvenir que Savinien de Cyrano de Bergerac est, probablement, assassiné par la maffia étatique de son époque : un assassina façon démocratie : un madrier lui tombe sur la tête juste au moment où il passe à cet endroit, ce qui pouvait faire croire à un accident. Il mettra un an à mourir d’un traumatisme crânien qu’on ne savait pas soigner à l’époque. Savinien de Cyrano de Bergerac : un écrivain essentiel.
LA VICTOIRE CONTRE L’ÉTATISME NE PEUT ÊTRE QUE COLLECTIVE : LE UN, OU RÉALISATION DU SOI. Parce que l’État c’est comme la MÈRE, et que le mythe du héros qui tue le monstre est bâti sur l’amour de l’homme pour sa mère : un frayeur à  la fois la sienne devant la puissance à vaincre, et la force d’inertie qui l’empêche de se libérer de ces liens. C’est pourquoi un individu seul ne peut pas vaincre l’étatisme d’un pays. « Le fils doit triompher de la mère pour acquérir le trésor gardé par le dragon, ou pour délivrer la vierge… La mère est en même temps l’inconscient avec son influence magique », écrit Ania Teillard dans : Ce que disent les rêves. Mais le dragon que l’homme doit, non pas tuer, mais dompter, représente l’ego avec son inconscient. Pour vaincre l’étatisme c’est le travail de chacun de nous : entrer dans son inconscient et réaliser le Soi Instant pour devenir vraiment le « JE SUIS ». Cet acte, qui est pourtant notre état naturel, demande une lutte terrible. Toutes autres « révolutions » ne seront que des cycles amplifiés de 1789 en France et 1917 en Russie et ne pourraient apporter que la mort à des millions de gens.
D’ailleurs Jésus de Nazareth se détachait de sa mère en cette phrase : « Femme, qu’ai-je à faire avec toi ? ». Ainsi il n’a plus de lien terrestre et d’ego. Il revient seulement vers sa mère lorsqu’il est crucifié sur le bois, de l’arbre mort (symbole maternel) identique à l’Arbre de Vie (réf. Ania Teillard). Jésus et Osiris sont du même thème : la résurrection du printemps.

En France depuis Clovis et l’Église chrétienne et l’établissement de l’étatisme, de façon inconsciente les humains obéissaient aux lois de la société et de l’Église. Mais depuis la révolution de 1789, les humains détachés plus ou moins de l’Église, surtout depuis Vatican 2, et des lois qui les guidaient autrefois, les humains modernes sont à la merci des forces élémentaires qui sont en eux et ne savent pas les maîtriser. C’est pourquoi nous voyons apparaître des machins comme : la théorie du genre, la mise en avant de l’homosexualité comme « phénomène social » avec le « mariage gay » institutionnalisé, ou de business LGBT et autres « femmes à barbe », le « droit » par ci le « droit » par là comme s’il n’existait plus que des « droits » et nullement des devoirs ; et que la religion est devenu celle de la juiverie financière internationale (l’Arche d’Alliance). Ainsi pour vaincre l’étatisme (le système, la centralisation ou Jérusalemisation), ou monarchique ou républicain, c’est maintenant le travail de chacun de nous : entrer dans son inconscient et réaliser le Soi Instant pour devenir vraiment le « JE SUIS ». Il n’y a plus aucune autre voie possible. Et seulement ensuite le « JE SUIS » permettra de se passer naturellement de l’étatisme.
Mais le système étatique veille et veux que les peuples restent des imbéciles : une culture et un vivre ensemble destinés à une non-culture parce que liée au fric. « Rendre le cerveau disponible », comme dirait Patrick Le Lay, donc une non-culture ou celle de l’entertainment de Hollywood : vendre, vendre, vendre ! C’est ça le quantitatif… Être rentable… On se fout du qualitatif !

Savinien de Cyrano de Bergerac avait des raisons de se faire assassiner : noble sans l’être, homosexuel, libertin en rupture de clan, exilé volontaire d’une société à laquelle il ne peut s’intégrer, toujours en marge des courants et mouvements auxquels il se serait mêlé, Cyrano se voit condamner à vivre en étranger à ce monde, celui ici-bas. Donc un être anti-système, un dévergondé (dans le vrai sens de ce terme déjà expliqué sur de nombreuses pages), un insoumis, un fou psychiatrisable selon aujourd’hui, ou ruinable selon le fisc français.

Cette civilisation du quantitatif est du PUR VAMPIRISME : l’avenir sera vidé de ce que le consommateur d’aujourd’hui jette immédiatement après. Alors que ses ancêtres réservaient quelque chose pour le lendemain. Le bourgeois de l’après 1789 a tendu à substituer la réserve-argent (les banques et les villes aux citoyens) aux réserves vitales et spirituelles des siècles précédents (les Paysans et l’Église).

Le marxisme est du quantitatif : il dénonce sous le nom de « mystification idéaliste » le néant des valeurs spirituelles et religieuses et n’admet, comme mobiles authentiques des actes humains, que les besoins d’ordre économique (voir ce qu’en dit un Jacob Frank à propos de sa terre (2)).

Il est certain que jamais depuis l’histoire de l’humanité, le socialisme est totalement schizophrène : un amour de l’humanité jusqu’à l’adoration, et le mépris total de l’humanité, la splendeur de la fin et la bassesse des moyens n’avaient jamais été poussé aussi loin que pendant les 74 ans de socialisme de l’URSS. « Idéalistes dans leurs principes et matérialistes dans leur tactique, les grands manieurs de peuples doivent précisément leur succès à cet alliage invraisemblable, car l’idéaliste pur échoue dans l’action et le matérialiste intégral n’a jamais assez de souffle pour concevoir et réaliser de grands desseins » écrit justement Gustave Thibon dans : Notre regard qui manque à la lumière.


    

[En haut de page : travailleurs du chapeau]


Notes.
1. « Le Nom de Dieu » est la seconde doctrine du kabbalisme, derrière la « spiritualisation du Temple ».
« La tradition attend avec impatience l’ère future [fin des temps] où les conditions seront réunies pour rétablir l’authentique méthode de prononciation, l’homme rejoindra ainsi le Dieu dont il est issu, et pouvant prononcer le Mot dans toute sa puissance pour commander aux forces latentes dans sa propre divinité ». (C.W. Leadbeater : Rites Mystiques Antiques).

2. « La religion n’a pas été donné aux sages et à l’homme instruit, mais à moi, un ignorant, car le sage élève son regard vers le ciel où il n’y a rien à voir, alors que je regarde vers la terre et voit ce que Dieu a fait. Je suis venu abolir toutes les lois et les religions et apporter la vie au monde. Ne croyez pas que seul les Juifs peuvent être sauvés, à Dieu ne plaise, tout le genre humain doit l’être. Pour monter bien haut il faut d’abord descendre bien bas.
Je ne suis pas venu pour élever, je suis venu pour tout détruire et rabaisser toute chose jusqu’à ce que tout soit engloutit si profond qu’il ne puisse descendre plus. La route de l’abime est terrifiante ».