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Sens - de Sentir - donc du mental Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 15-07-2015 22:35

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Jérusalemisation, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Tétévision, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
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Sens - de Sentir - donc du mental
c’est l’é-preuve le pour-voir
c’est affect-affectif
c’est faire/fer
Avoir besoin d’acheter.
Avoir besoin d’histoire ou temps.
Avoir besoin d’amour.
Avoir besoin de sécurité.
Avoir besoin de ce qui COLLE (le dévoué).
Avoir besoin de Mal-à-dit, mal-à-dire.
Mais toujours réclame SOIN (Paix).
 
 
Puisque la Libération est notre état naturel, donc l’Amour est notre état naturel, comment peut-il y avoir autant de professionnels vendeurs de liberté, de fraternité, et d’égalité, et depuis des millénaires ? Ce sont tous des charlatans, des pharisiens, des escrocs, des dictateurs qui veulent faire avaler leurs opinions et demandent aux autres ce qu’ils n’appliquent pas pour eux-mêmes. Car il n’y a plus sûr façon de décrier la vie que celle qui consiste à la voir en DORG (Demain On Rase Gratis) : celui qui travaille à l’amélioration de la condition humaine a généralement cessé depuis longtemps de vouloir du bien à quiconque ! (Voir ci-dessous le Verset 81 du Tao-Tö King).

Il ne peut y avoir QU’UN sens : l’absence de sujet et objet. Là où tout est fluant. Là où tout est Source, Félicité. C’est pourquoi il n’y a pas de but, rien à chercher. Pourquoi chercher ?
 
SENS.
MAÂT : directe ou conscience de la justesse, de la droiture en Égypte Ancienne.
ESSENCE / ÉCHANGE. La Source du mot.
C’est la partie « volatil fixé » des mots ou des formes.
SENS contraire de NON SENS : donner un sens à.
Les mots doivent êtres adaptés aux choses (juste définition), sinon c’est la tristesse, le désordre (Lao-tseu).

Les paroles vraies ne sont pas agréables ;
les paroles agréables ne sont pas vraies.
Un homme de bien n’est pas un discoureur,
un discoureur n’est pas un homme de bien.
(Lao-tseu, Tao-Tö King, Verset 81 [8+1], début)

ÉCHANGE : [SAN] – Bon Sens – SANG – SAN – TÉ : vers le TAU.
A) Impressions qui renvoient des matières.
B) Connaître instantanément par l’intuition, par une sensation.
Exemple : sentir un cercle. C’est le centre (Point) qui donne sa définition à une circonférence.
Le MOT est comme le NID, le sens est l’OISEAU. (Jean Coulonval se référant au Mathnawî).
Discontinu ou « à la Terre » (Vraie Télépathie). Continu ou sens.

Celui qui sait ne parle pas,
celui qui parle ne sait pas.
(Lao-tseu, Tao-Tö King, Verset 56 [6+5], début)

Le sens bien perçu est donc supérieur à l’oraison verbale. Dans la mesure où on réussit à s’exprimer, le sens pur semble s’éteindre, se solidifier (se rendre prisonnier, se cristalliser) et s’appauvrir.
Le sens ne vient jamais d’un homme, Dieu seul en dispose. (Jean Coulonva).

Sens - Essence : c’est ce qui existe de toute éternité à l’état latent, en Vraie Télépathie, et qu’on a appris à connaître au fur et à mesure de l’évolution de notre cerveau. Ce qui n’a pas l’essence ne peut produire l’essence.
« L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien. Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voit n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle - ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur ». (Le Secret de la Fleur d’Or).
On a : La Lumière de l’essence, La Lumière de la conscience. « Retourner la Lumière consiste à correctement retourner la lumière primordiale qu’on ne peut attribuer à rien, de telle sorte que n’intervienne aucune pensée consciente.
La cause de la « continuité répétitive » n’est autre que les six sens, mais ce sont eux aussi qui vous permettent d’atteindre l’éveil. Ne pas se servir des objets des sens et de facultés correspondantes ne signifie pas ne pas se servir des sens, mais n’en utiliser que l’essence.
Retourner la Lumière sans tomber dans la conscience, c’est faire usage de l’essence originelle des sens. Retourner la Lumière en tombant dans la conscience, c’est user de la nature de la conscience inhérente aux sens. Là où se trouve la différence, aussi fine qu’un cheveu.

Un esprit purifié est élixir, un esprit vidé est remède. On dit de l’esprit qu’il est purifié quand il ne s’attache à rien. On le dit vidé lorsqu’il ne garde plus rien en lui. mais si l’on s’attarde sur le vide de cette vacuité, c’est que la vacuité n’est pas encore vide. Un esprit vide et qui ne pense pas à sa vacuité, voilà ce qu’on appelle la véritable vacuité ». (Le Secret de la Fleur d’Or, trad.  Thomas Cleary).
Prendre une sensation ou une expérience de « vacuité » pour la vacuité même est une erreur psychologique souvent relevée par les classiques Zen, écrit T. Cleary.

Un maître chan du 9è siècle, Tchangsha, souligne clairement la distinction entre Lumière de l’essence, et Lumière de la conscience : « Si ceux qui étudient la Voie ne connaissent la réalité, c’est parce qu’ils n’ont reconnu que la partie ‘conscience’ de l’esprit, racine d’une succession infinie de naissances et de morts depuis des temps sans commencement, et que pourtant les imbéciles appellent ‘l’être originel’ » (Le Secret de la Fleur d’Or).
PRÉCISION : On appelle « renversement » ou « retournement de la Lumière » l’opération qui consiste à passer d’un mental limité, qui est celui de la conscience conditionnée, au mental libéré, qui est celui de l’esprit primordial (le Soi ou « Je suis ce JE SUIS »). Dans Le Secret de la Fleur d’Or, ces termes correspondent au rétablissement d’un contact direct avec l’essence et la source de l’esprit. Retourner la Lumière signifie aussi détourner son attention des objets et de la fascination qu’ils exercent pour détourner cette fascination sur l’essence ou source de l’esprit ou mental. Cet exercice sert à clarifier la conscience et à libérer l’attention. C’est aussi une démarche exposée chez Ramana Maharshi. Bref, l’essentiel est d’atteindre un état de concentration mentale dans lequel le mental voit clairement la double nature des phénomènes, à la fois fluides et factuels, sans se laisser entraîner à diviser ou privilégier l’un ou l’autre aspect, parce qu’alors on entre dans le piège de l’opinion et de la division winner-loser : j’aime l’un, et je rejette l’autre…

« C’est que je veux bien fabriquer, ce que j’ai fait toute ma vie. Mais je ne veux pas être « fabriqué ». Je veux être soumis aux essences mais non aux accidents. C’est cela LA LIBERTÉ. Je comprend ces jeunes de 1968. Je suis allé à leurs réunions. Je n’ai jamais entendu autant de conneries dites avec autant de sincérité. Comme des gosses qui ont la colique mais qui ne savent pas ce qui va les guérir. Ce qui m’exaspérait, c’est qu’ils prétendaient dire aux ouvriers ce qu’est la condition ouvrière, eux qui étaient bien décidés à ne jamais tenir un outil. Ils ne savent pas qu’un outil « enseigne », qu’il soit truelle ou burin, ou marteau, ce qu’a fort bien compris le Père Paul Feller, Jésuite, qui travaille avec les Compagnons du Devoir. Alchimie intellectuelle du travail manuel », écrit Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux.

ÊTRE LIBRE : ne pas subir la tyrannie de l’opinion ou terreur de l’histoire. Plus l’humain devient « moderne » et plus il subit la terreur de l’histoire, et moins il a de chance de faire, lui, l’histoire.
Pour l’humain traditionnel, l’humain moderne n’offre pas le type d’un être LIBRE, ni d’un CRÉATEUR d’histoire. C’est tout le contraire, l’humain des Anciens était un créateur et un vrai libéré. Il est libre d’en être plus ce qu’il a été, et libre d’annuler sa propre histoire par l’abolition périodique du temps qui coule : chaque année une nouvelle existence, absolument pure commençait, une abolition définitive du temps profane. Par exemple l’Alchimiste emploie le « Temps philosophique », le temps est unique et est propre à chacun. Chez les Anciens on « comptait le temps » ici et maintenant, en local : « Le mois de Lyyar dans l’année trente-cinq de Haretat, Roi de Nabatène (datation d’un événement par une inscription Nabatéenne, d’après J.G. Février, Histoire de l’écriture). Depuis l’ère chrétienne le mondialisme s’est installé, on compte dans le quantitatif, dans le général : 1843 après J.-C. mois de mars.
- L’humain archaïque est créateur, il vit ici et maintenant.
- L’humain moderne ne peut être créateur que par rapport à l’histoire ou temps qui coule, d’ailleurs il n’a que le mot « croissance » à la bouche, et de ce fait se situe dans l’évolutionnisme et sa « fin des temps », une géométrie de la ligne droite, en abandonnant définitivement le paradis Ouroboros : archétypes, rythme et répétitions. L’humain moderne étant de l’ère du Christianisme, il est dans une religion de « l’homme déchu », soit irrémédiablement intégré à l’histoire et au progrès, et histoire et progrès obligent à abandonner ce paradis de la musique du rythme et des cycles à répétition, du DISCONTINU.

Ne pas subir la tyrannie du socialisme du Christianisme et son « vivre ensemble » que le républicanisme judéo-maçonnique voudrait remplacer. On n’a pas encore pris conscience de la révolution provoquée par le Judaïsme et surtout le Christianisme, qui a détruit le destin individuel, astrologique, pour basculer vers une soi-disante « liberté humaine » en rendant l’humain solidaire d’une destinée collective : adamique, socialiste, alors qu’auparavant elle était magique et cosmique (microcosme-microcosme) !

Nous ne possédons actuellement que 5 sens enfermés dans un corps :
Toucher, Goût, Ouïe, Odorat, Vue.
« L’homme qui soutient qu’on ne raisonne que par le rapport des sens, et qui cependant a les sens les plus faibles, les plus tardifs, et les plus faux d’entre toutes les créatures : l’homme enfin que la Nature, pour faire de tout, a crée comme les monstres, mais en qui pourtant elle a infus l’ambition de commander à tous les animaux à exterminer » (L’autre Monde le Soleil, de Savinien de Cyrano de Bergerac).
Sens du mot ou du symbole : à une première lecture il y a un an, le sens prenait telle signification. Un an après ce même sens pourra évoluer.
Quel sens attachait-on au mot AFFINITÉ il y a 500 ans et aujourd’hui ??
[AFINITÉ] : voisinage, allié, parent. (Nature esjouir Nature).
Le sens PRIMORDIAL D’UN SYMBOLE SE PERD, et est remplacé par un autre sens ayant peu de rapport avec l’Origine du sens de ce symbole.

« Les Sages, dit Isaac Hollandois, ont donné beaucoup de noms différents à la Pierre.
Après qu’ils ont eu ouvert et spiritualisé la Matière, ils l’ont appelée une CHOSE VILE.
Quand ils l’ont eu sublimée, ils lui ont donné le nom de SERPENT et BÊTES VENIMEUSES.
L’ayant calcinée, ils l’ont nommée SEL ou quelque chose de semblable. A-t-elle été dissoute, elle a pris le nom d’EAU, et ils ont dit qu’elle se trouvait par-tout. Réduite en huile, la Matière à été appelé CHOSE VISQUEUSE, et se vend partout.
Congelée, la Matière à été nommé TERRE... Ainsi dans les dénominations qu’ils ont données à la Pierre, les Sages ont eu égard aux différents états où elle se trouve jusqu’à sa perfection. Livre 1 de ses Œuvres sur les Minéraux »
(Cité par Pernety, Dictionnaire Mytho-Hermétique, 1758, page V).
La plante qui se fixe sur une surface ou un bout de bois solide, possède un sens semblable à nous.
 
 

Dernière mise à jour : 15-07-2015 23:08

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