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La City de Londres empuantit le monde Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 18-07-2015 23:00

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Jérusalemisation, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Tétévision, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
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La City de Londres empuantit le monde
Le colonialisme de l’Empire US c’est
transformé en terrorisme USionistan
par chantage, nécessaire pour la politique
de l’Empire et de la City de Londres
et de Wall Street & paradis fiscaux.
La mode du terrorisme est maintenant
l’outil de l’Empire qui hier avait
l’outil colonialisme.
La City de Londres et son Wall Street
sont de l’idolâtrie par excellence :
voyez le culte rendu à l’idolâtrie
du terrorisme et de son 11 septembre 2001.
 
 
Page en liaison avec celles sur Michel Vieuchange, car la Libération de ce monde ne peut venir que par chacun de nous, et aucunement par l’étatisme nommé aujourd’hui « démocratie » ou « république » :
- Michel Vieuchange
- Michel Vieuchange l’Alchimiste
- Michel Vieuchange - Voyage-Action

Le Désert est contre la société de consommation : il n’y a rien dedans ! Il permet l’unification, la non-dualité. Il permet surtout UNE ÉCONOMIE (sobriété et apprivoisement).

Je mangerai du Désert dans ma cuisine matin-midi-soir, soit un repas prânique.



Principe de l’oligarchie anglo-américaine des City et Wall Street : diviser pour régner en provoquant des conflits permanents.

C’est encore et toujours cette oligarchie américano-anglaise des Milner & Cie qui contamine le monde en imposant sa « civilisation » partout dans le monde.
RAPPEL : le mot « civilisation » veut dire : 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, soit des victoires par l’âge du fer/faire et donc par les guerres. Le triomphe militaire sera homologué par l’argent.
Pour le moment, ces meneurs anglo-américains règnent, mais prochainement, ils seront remplacé par la Synagogue : voir « l’histoire du petit coq », par le Rabbin Rabbin Ron Chaya. Ne pas oublier que ce sont les Yahvistes qui vendent leur « fin des temps » ou « progrès » : le DORG (Demain On Rase Gratis).
La Synagogue cherche depuis longtemps à s’allier avec les puissants comme l’oligarchie anglo-américaine qui sera son bras armé. Les anglo-saxons étaient tout indiqué puisque leur spiritualité était en harmonie théologique avec le dogme judaïque talmudique (celui de l’après Christ).
 
 
LA SABLE LA SILICE.

Puisque j’aborde inévitablement le problème yahviste, il ne peut être question que de DÉSERT. Le monothéisme est né dans le DÉSERT : il infuse d’abord en Égypte pharaonique, puis les Hébreux qui copient tout le reprennent à leur compte sous le nom de Yahvé. Le monothéisme SANS ÉGLISE ou SANS RELIGION, SANS DOGME, c’est simplement le Soi-Instant, avec une infinité de variantes comme : Christ, Foi, Vérité, Conscience, Centrum Centri, Dieu, Cœur, Tao, etc. Le Désert est comme un miroir de la Conscience qui impose une réflexion sur ce qu’est l’être humain. Aujourd’hui la Silice se retrouve dans l’informatique !

Paradoxalement là où dans un Désert il n’y a rien, la religion judaïque met plein de trucs DANS LE LIVRE : des condensés de tradition orale assez ancienne et rebidouillées au cours de plusieurs siècles et dans des milieux différents. Bref, pour résumer le terme YAHVISTE : tous ces gens ne jurent que PAR LA LOI (la norme, ce qui donnera à partir de 1789 les fameux « droits de l’homme » et le noachisme voulu par le mondialisme).
Religion yahviste ou d’Abraham, qui aurait été « choisi par Dieu » pour devenir l’ancêtre du peuple d’Israël et prendre possession de Canaan.

DÉSERT : ce qui est sauvage, primitif, originel. Les Anciens Égyptiens ont inventé le monothéisme en réaction à la ribambelle de Dieux qu’ils avaient inventé au cours de millénaires, alors que le symbolisme du mot Désert : Origine, concourait à inventer un Dieu unique, ce que reprendront les Hébreux et leur Yahvé. Et comme Désert veut dire Origine, sauvage, les Hébreux n’imaginèrent pas possible les idoles des autres peuples comme le concevaient les Cananéens.
Le Désert a deux sens symboliques essentiels :
- indifférenciation principielle, non-dualité, qui peut faire comprendre la naissance du monothéisme, du Soi,
- étendue superficielle et stérile qui peut permettre la recherche de la Réalité, comme si le mental était enfin délivré de son vagabondage ! Le Judaïsme, puis l’Islam, utilisent plutôt le second aspect.
Le Désert pousse à la QUÊTE : la « Terre promise », comme Smara pour Michel Vieuchange, comme la « Terre promise » par les Hébreux à travers le désert du Sinaï. Tout cela entrant dans le thème de LA QUÊTE DU GRAAL.

Contrairement à Saint Matthieu (12, 43 : « Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le Royaume de leur Père. Entende, qui a des oreilles ! »), je crois que le Désert EST LA CONSCIENCE, LE LIEU DE VIE INTÉRIEURE. Il ne faut pas confondre le Désert Conscience, et le désert-mirages ou imagination, donc travail du chapeau.
Shankarâchârya utilise le premier symbolisme : la non-dualité, en dehors de laquelle n’existe qu’une illusion totale, à la façon d’un mirage dans le Désert.
Chez Maître Eckhart, Dieu règne dans le Désert en une indifférenciation (non-dualité) retrouvée par l’expérience spirituelle.
Chez Angelus Silesius Dieu c’est le Désert et l’indistinction (non-dualité).

Pour d’autres personnes, comme le Désert semble stérile, il est un « monde éloigné de Dieu », un monde de repaire de « Démons » (les mirages, l’imagination pendant les longues errances à travers le Désert). Le Jésus de Nazareth fut tenté dans le Désert.
Cette idée d’un Dieu qui choisit ses élus se retrouve dans « la naissance des métaux » : il y a des avortons et des démons parce que la Nature (Dieu) s’est détournée dans ses actions, et qu’elle trouve une résistance qui lui lie les mains, et des obstacles qui l’empêche d’agir aussi régulièrement qu’à l’accoutumé. Ainsi certains ont pensé que seul l’Or était « le fils légitime de la Nature » parce qu’il n’y a que l’Or qui soit sa véritable production (ref. M. Eliade : Forgerons et Alchimistes).


LE DÉSERT EST AMBIVALENT (comme tout symbole en positif et négatif) : SOLITUDE en une stérilité sans Dieu ; SOLITUDE en une fécondité avec Dieu, mais due à Dieu seul puisque le Désert est stérile, ce qui correspond bien à la Réalisation du Soi-Instant possible par la Grâce du Désert. Mais Ramana Maharshi dit que la Grâce est toujours là. Cependant le Désert facilite-t-il de la RETROUVER plus facilement. Le Désert révèle la Grâce et prouve que rien n’existe sans elle : tout n’existe que par elle et par elle seule. Je pense que Michel Vieuchange l’avait parfaitement compris, car se trouver dans le Désert tels des ermites, permet d’affronter le QUI SUIS-JE ? de Ramana Maharshi et donc la nature de ce monde « avec la seule aide de Dieu », donc du Soi-Instant.
ERMITE : du grec erêmitês (qui vit dans la solitude), de erêmos (désert). Mais très vite on s’aperçu qu’il n’était plus nécessaire de se retirer physiquement dans un Désert pour mener une vie érémétique (d’ermite).

Ainsi le séjour des Hébreux dans le Désert avait été une éclatante manifestation de Dieu, ou plutôt du Soi ou Instant, et pas autre chose. Hélas pour les Hébreux, par la suite cette libération s’est transformé en cauchemars, surtout après la naissance du Jésus de Nazareth. Mais dans le Désert, le Judaïsme comme une Quête du Graal se mit à attendre avec ferveur une époque à laquelle des circonstances favorables annonceraient une Libération (finale). Ainsi l’historien Flavius Josèphe (Guerre Juive 2, 259-261) rapport qu’un prophète entraîna au Désert des foules enthousiastes, évidemment pour soi-disant y rencontrer plus vite Dieu (Actes 21, 38) ; je dirais comme pour entrainer des gens à une fête foraine afin de s’envoyer en l’air plus vite… Incroyable solution de facilité de la part de ces Hébreux !

À la prise de Jérusalem, l’incendie du temple déprime les espoirs nationaux du Judaïsme, un mouvement de masse aboutit à une seule requête adressée à l’envahisseur romain : les vaincus demandent la permission de se retirer dans le désert. C’est le « temple », l’endroit où ils seront le mieux pour « attendre le salut final de leur Dieu ». Ainsi on peut entrevoir l’idée du lourianisme et de ses suiveurs Sabbataï Tsevi et Jacob Franck qui prônent le Désert de façon collective : une tabula rasa ou chaos, révolution et guerres, pour amener leur messie et une Libération effective.

Cependant bien avant Isaac Louria des mises en gardes sont mises en avant : « Si l’on vous dit : « Le voici au désert », n’y allez pas ; « Le voici dans les retraites », n’en croyez rien » (Matthieu 24, 26). Et ce n’est pas un hasard si Jean-Baptiste prêche au Désert (Matthieu 3, 1-3) pour annoncer l’imminence venue du Messie attendu : « En ces jours-là arrive Jean le Baptiste en prêchant dans le désert de Judée et disant : « Repentez-vous, car le Royaume des Cieux est tout proche ». C’est bien lui dont a parlé Isaïe le prophète : « Voix de celui qui crie dans le désert : préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers ».
Lieu propice aux révélations, le Désert favorise les manipulations d’opinions, le grégarisme, autant en bien qu’en mal, avec de faux prophètes et de bons prophètes (le Désert est neutre, comme la non-dualité).
Dans une perspective de nouvel exode, répétant les conditions du premier : « fuir dans le Désert » amène comme une ÉNERGIE LIBRE : Dieu assure la nourriture miraculeuse (le PRÂNA : énergie vitale animant le corps). Voir vi-dessous Apocalypse 12, 10 et 14 : la femme (peuple de Dieu ou élu de Lui). Ainsi la fécondité ne peut venir QUE DE DIEU, donc que du Soi ou Instant.
Apocalypse 12, 10 : « Et j’entendis une voix clamer dans le ciel : « Désormais, la victoire, la puissance et la royauté sont acquises à notre Dieu, et la domination à son Christ, puisqu’on a jeté bas l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait jour et nuit devant notre Dieu ». Ap 12, 14, concernant la femme : « Mais elle reçut les deux ailes du grand aigle pour voler au désert jusqu’au refuge où, loin du Serpent, elle doit être nourrie un temps et des temps et la moitié d’un temps ».

Bérose écrit : « Et Bêl voyant que la terre était déserte mais fertile, ordonna à l’un des Dieux de lui [la tête de Bêl] enlever la tête, de mêler de la terre son sang qui en coulerait et de façonner des hommes et des animaux capables de supporter l’air » (réf. Mircea Eliade : Forgerons et Alchimistes, chapitre Mythologie de l’âge du fer). Le mythe de la Création est un SACRIFICE : UN CALVAIRE : on arrive à animer ce qu’on a créé qu’en lui transmettant sa propre vie (sang, larmes, peur, sperme, sueur, ‘âme’, etc.).

Quant au SABLE, il symbolise LES GRAINS, comme des « atomes », des âges écoulés (idée chez Bouddha, Josué 11, 4). Les grains de sable peuvent aussi figurer les péchés. Mais surtout, le Sable peut se substituer facilement à l’EAU : il prend n’importe quelle forme qui se moule en lui et en devient comme une MATRICE, et dans l’Islam il peut figurer des ablutions rituelles. Le Sable comme l’Eau est PURIFICATEUR : le FEU DU DÉSERT, le Feu qui opère les transmutations ou passage de la matière d’un état à un autre. Le Désert est comme un Maître du Feu, un FORGERON NATUREL. Dans les populations sibériennes, le Forgeron occupe un rang social très important, son métier n’est pas tenu pour commercial ou faire de l’argent : c’est une vocation, ou une transmission par héritage, qui implique des secrets initiatiques. De plus les Forgerons sont protégés par des esprits spéciaux ; la Forge est vénérée comme un temple, un lieu de culte. Mais comme le sacré est double, le Forgeron et les Métaux sont aussi doubles : sacrés et maléfiques (voir ce qu’il en est advenu aujourd’hui).
Le Forgeron de Baal lui fournira les deux gourdins avec lesquels il abattra Yam, Seigneur des mers et des eaux souterraines. Fabriquer un outil est un acte extra-ordinaire : l’outil devient magique ; et l’ouvrier s’efforce d’imiter les modèles divins (voir l’œuvre de Jean Coulonval à travers son livre : Synthèse et Temps Nouveaux).
« C’est l’intimité, la « sympathie » avec le Feu qui rendent convergentes des expériences magico-religieuses si différentes et solidarisent des vocations si disparates que celle du chaman, du forgeron, du guerrier et du mystique » écrit justement Mircea Eliade dans Forgerons et Alchimistes. Dans le folklores religieux et laïque du Moyen-Âge, Jésus aussi bien que le Diable s’avèrent « Maîtres du Feu », ce qui n’est point étonnant puisque encore une fois, le sacré est ambivalent.

Comme l’Eau Primordiale le Sable est comme une MÈRE, une sécurité, un repos, une régénération. Les vacanciers des Congés payés occidentaux de l’USionistan et de leurs démocraties aiment à aller en vacance sur des plages et à montrer leur cul et leurs seins à n’importe qui.
Le Sable est le SABLIER : le supérieur (ciel) passe dans l’inférieur (terre), et par renversement l’inférieur (terre) passe dans le supérieur (ciel).
SABLIER = CYCLES.

DÉSERT - SABLE = RÈGNE DU MINÉRAL, donc véritable VALEUR : plus vraies parce que reposant sur les bases des temps lithiques. La MINE aura une grande valeur, là où on trouve des TRÉSORS. Les Mines sont comme des JARDINS, là où on apprivoise les minéraux, les Plantes. Tout le Minéral engendre l’Alchimie.

Oui, le Désert donne bien naissance, il n’est point stérile : il donne naissance et celle-ci vient de l’EAU ou SABLE, d’ailleurs à l’origine le SAHARA était une région tempérée avec beaucoup de pluie, jusqu’à environ 10.000 ans avant maintenant (Sahara vert), sorte de Paradis des Chasseurs-Cueilleurs, qui hélas suivirent la voie funeste de l’Agriculture au lieu de choisir celle de l’HORTICULTURE ; ce choix funeste est en partie la cause du Sahara actuel en apparence si stérile, si « désert ». Je préfère son Désert authentique à la désolation trop réelle et totalement stérile de la City de Londres et de son Wall Street !
La Nature entière était « au commencement » EAU (Chaos Primordial), tout naît de l’Eau, et par l’Eau toutes choses sont détruites et retournent au Chaos Primordial : le début est identique à la fin, ou l’inverse…

EN RÉSUMÉ : le Désert permet d’être HUMBLE, SAIN, PATIENT, CHASTE, et de ce fait permet le mental libéré d'être en harmonie avec l’Instant. La foule est aussi un grand désert, voyez Nikola Tesla qui aimait bien trouver l’inspiration au milieu de la foule d’une grande gare de chemin de fer.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 18-07-2015 23:58

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