Voir aussi les pages :

- Mal absolu présent : la finance internationale
- Monde hyper matérialiste juif
- Évolutionnisme ou instinct de survie
- Marxisme et théologie de la Matière

LE CAPITALISME OU MONDE RICHE DE SA GÉNÉROSITÉ (selon des Yahvistes)
Selon ces même Yahvistes : la richesse, donc de nos jours le capitalisme, n’a de sens que si elle permet d’être utile aux autres. Le Talmud dit même qu’un riche doit faire bonne chère (chaire-chair), ou vivre bien, pour ne pas être tenté de conseiller aux pauvres d’imiter sa frugalité !
C’est avec des travailleurs du chapeau de cet ordre aussi tordu que la planète se meurt et ses habitants avec ! Parce que tous arguments trombinés kabbalistes yahvistes sur la richesse sont aristotélisé comme cela.
Selon eux, le capitalisme devrait être bénit des Dieux, pensez-donc : « la pauvreté ne peut être vaincue que si les riches financent les projets des pauvres ». Ba voyons, que fait la City de Londres et son Wall Street pour donner aux chômeurs, alors qu’en même temps ces mêmes riches personnes automatisent tout par soucis de devenir toujours plus riches, et donc toujours plus dépendants des pauvres…
OH MY GOD, MONDE DE FOUS, MONDE D’ÉVOLUTIONNISTES !
Que feraient les riches sans les pauvres… Ils seraient eux-aussi pauvres !
Vous imaginez les conséquences d’un monde où tout le monde pourrait fabriquer son OR MÉTAL ? Et à cause de cela, un monde où la technologie serait en croissance permanente à l’indéfinissable ? Ce sont là les conséquences de l’évolutionnisme inventé par les Hébreux-Juifs.

 

Il paraît que certains en veulent aux Yahvistes parce qu’ils leur fournit le gite et le couvert, pardon, le Dieu et le couvert en argent, et qu’alors les Goys se flagelleraient car ils s’en voudraient à eux-mêmes de ne plus pouvoir se passer, ni du Dieu de Tribu(t), ni de son argent ! On est là en plein travaille du chapeau d’Aristote, d’ailleurs très étudié chez les enfants Yahvistes. Aussi on peut se demander pourquoi déjà depuis des millénaires on critique et attaque nos bienfaiteurs, notre « peuple-prêtre » inventeur de Dieu de tribut !

Je note que le sieur Jacques Attali, Yahviste de par son sang, pratique le racisme entre Juifs et chrétiens qu’il s’obstine à écrire, dans son livre : Les Juifs et le monde de l’argent, AVEC UN C MINUSCULE, alors que si un goy a le malheur d’écrire le mot « juif » avec un j minuscule, il est inquisitionalisé de raciste, etc. D’ailleurs il faut faire tellement attention que Shlomo Sand, Dans « Comment le peuple juif fut inventé » prend bien le soin de préciser à la page 95 en note de bas de page, qu’il écrit le ‘j’ minuscule de juif comme conceptuel, donc par opinion ! Sinon, si on met un J majuscule au mot ‘Juif’ il faut mettre une majuscule aux autres pratiquants de croyances religieuses : Chrétiens, Musulmans ou Mahométans, etc.
Pour Jacques Attali, sa paroisse étant élu, il juge probablement que le mot ‘Juif’ a le seul droit à la majuscule. Le manque de majuscule sur le mot ‘chrétien’ est répété de nombreuses fois, ce n’est donc pas une erreur typographique.

ESSENTIEL : Le capitalisme et son maître-mot CROISSANCE ne pouvait que naître dans l’invention de l’évolutionnisme. Car dans les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, il apparut chez les Hébreux une OPINION NON CYCLIQUE. Elle ne pratique plus le mythe de l’éternel retour à l’Origine, à l’Âge d’Or, mais invente le temps qui coule entre un passé qui peut être indéfiniment reculé selon l’opinion et un futur également indéfini selon l’opinion. Du même coup, naît ce qu’on nomme de nos jours : « LIBRE ARBITRE » (ego) et par là même LA LOI (et la « rigueur » historique qui n'est qu'opinion). On ne reculait plus périodiquement à l’Âge d’Or, on « allait de l’avant », en croissance, en évolution réglée par les Yahvistes comme du papier à musique ; le temps qui coule et dévorant (Kronos) devenait dévorant (on nait-on meurt dans le monde des accidents ou spatio-temporel) ; et il nait l’HISTOIRE ou temps vulgaire, celui des événements dans la Chronologie tueuse. Cette nouvelle création inventée par les Yahvistes ou Hébreux-Juifs (dixit Attali en son livre cité) allait s’appliquer à tous les descendants, tous les continents, les mers, les montagnes furent distribués dans l’espace ; l’Espace mythique devenait géographie et géométrie, loi et dogme oblige. Les tribus furent séparées et chacune reçut ses instructions : rites coutumes, lois. Place aux deux interdits majeurs de cette « nouvelle » civilisation : la prohibition de l’inceste et le cannibalisme. ON NE RIGOLAIT PLUS : IL FALLAIT TRAVAILLER POUR GAGNER DE L’ARGENT à la sueur de son front. On ne rigolait plus, CE FUT LA MORT DE LA CRÉATIVITÉ, qui fut remplacé par ce qu’on nomme en technologie « thermodynamique ».

Mais les Yahvistes et Attali et autres croyances abrahamiques n’ont pas gagné, loin de là ; car de plus en plus de gens étudient et parlent de Conscience non analytique, de non travail du chapeau ; le Grand Temps ou ÂGE D’OR est toujours là, les Hébreux ou les Juifs de 1789 n’ont pas fait de tabula rasa. C’est proprement l’ÂGE D’OR ou CYCLE qui encadre le temps évolutionniste des Hébreux et leur « libre arbitre » (dixit Attali), et non la mort de l’ÂGE D’OR comme le voudrait probablement Jacques Attali et ses paroissiens qui se bombardent de « METTRE EN VALEUR LE TEMPS », donc pratiquer l’usure comme ils respirent. Ces gens qui veulent « transmettre », « passer dans l’espace et le temps », comme écrit Attali. Oui, depuis plus de 4000 ans, ils transmettent, c’est certain, et gardent leurs origines quasiment intactes par transmission sanguine et opinions systématisées à l’extrême, mais ce n’est que du temps qui coule…
Ils veulent « transmettre » selon le principe évolutionniste : règles, mémoire donc histoire, éthique de « liberté » et qui pour eux est synonyme d’économie !
L’évolutionnisme ne pourra qu’être intégré dans l’ÂGE D’OR tout comme il ne pourra plus exister de dilemme Païens-religions du Salut.

Voir la page : La Vraie Égalité : l’INSTANT

Jacques Attali narre souvent que les Yahvistes subissent des horreurs « parce qu’ils rendent service » : « obligés de financer la naissance du capitalisme, persécutés pour l’avoir fait, ils en façonneront les valeurs. Au fil d’une formidable épopée, au cœur de mille désastres, ils vont aider à instituer les règles du monde de l’argent et à organiser l’argent du monde », écrit si justement et avec envolée Jacques Attali. Mais, voir plus haut, qui inventa l’évolution ??? Et après ils vont se plaindre d’être « persécuté » (le fameux bouc émissaire), qu’on les accuse d’usure, d’escroquerie, etc. ! Ah oui, Jacques n’est pas content, mais semble fière ! Pensez-donc : « Les juifs y vivent et y travaillent [à Constantinople en 1000] pour tous. Ils sont teinturiers, fourreurs, tisserands, commerçants, marchands, courtiers en toutes choses, fournisseurs - parfois jusqu’à la cour - de vêtements et de bijoux ; très peu exercent comme prêteurs ou financiers : l’Empire byzantin dispose maintenant de ses propres canaux », écrit Attali.

Ils viennent se plaindre qu’on leur tape dessus mais ils inventent pourtant le CHÈQUE si pratique : « un papier remis en paiement d’une marchandise par l’acheteur au vendeur, sur lequel est mentionné le nom de l’un et de l’autre, l’endroit où se trouve l’argent, le montant à payer et un verset biblique en guise de code d’identification de l’acheteur ».
Attali précise aussi, que selon quelques chercheurs Chinois actuels, ce seraient des Juifs qui, « les premiers, aient fabriqué des billets de banques en jute : sur les quatre côtés d’une plaque d’impression retrouvée récemment, on pourrait lire comme des caractères hébraïques ».
Oui Monsieur Attali, vos paroissiens sont des bienfaiteurs de l’humanité, il y en a même un qui fit une prière à l’un de vos paroissiens au 19è siècle ; je ne sais pas pourquoi vos paroissiens sont si mal aimés… C’est bin triste !

Un certain talmudiste et messianiste et évolutionniste, Moïse Maimonide, devenu riche héritier, emménage dans le ghetto de sa capitale. Là il travaille dur du chapeau afin de démontrer que la philosophie juive [sic] fournit une explication rationnelle de la condition humaine [sic, sic, sic] ! Rien que ça, ces gens ne sente plus leur ego : « Il organise une cohérence nouvelle entre le collectif et l’individuel, la foi et la raison, la Bible et Aristote, comme le fait au même moment Averroès dans l’islam (écrit par Attali avec un i minuscule !)

Maimonide semble ne pas savoir ce que l’opinion veut dire : « La Torah seule peut s’intituler comme divine : les autres lois sont l’œuvre des hommes » (Le guide des égarés, cité par Attali). Selon Attali Maimonide c’est la modernité.
Comme déjà écrit dans une page précédente : Marxisme et théologie de la Matière,

Encore une fois, qui est responsable de l’évolutionnisme ? Et qui après vient se plaindre ? Jacques Attali ne peut pas s’empêcher d’étaler cette pleurniche internationalisé : « … les accusations d’avarice qui commencent à se répandre un peu partout à propos des Juifs. Une fois de plus, on leur reproche ce qu’on les forces à êtres ». Mais, qui a commencé ? C'est l'évolution mon pote !

Évidemment au Moyen-Âge l’usure étant interdite chez les Chrétiens, tuer c’était pire et pas bien, alors on laissait aux Juifs la profession de prêteur et de boucher pour tuer les animaux à bouffer. Attali écrit : « Comme on les force à l’exercer [le capitalisme et la constitution des nations], ils vont s’y engouffrer [instinct de survie]. Pour leur plus grand malheur [arrête ! je vais pleurer]. Une fois de plus, ils seront utiles et on les haïra pour les services qu’ils rendent ». Argument à l’envers bien de chez eux ! Ceux qui vivent en survie permanente et donc dans la peur de manquer, soit un moteur gigantesque, et naturel, instinctif, dans le sang, qui booste le travail et l’épargne…

Le mondialiste et financier Jacques Attali écrit encore : « L’argent n’est pas honteux [bien-sûr, sinon il faudrait nier l’évolutionnisme] ; il est un sauf-conduit, un moyen de fuir, une garantie de liberté [il y a court-circuit : si c’est un moyen de « liberté », alors pourquoi « fuir » ?] Il n’est pas un moyen d’accumuler des terres - dérisoire ambition, boulet au pied, disent les sages. Il n’est pas non plus une voie vers le salut. Il est un bouclier [donc l’argent ce n’est pas la « liberté »… ] ». My God !

L’argent n’est pas une liberté Monsieur Attali, puisque vous le dites vous-même en parlant du courtier, qui doit avoir une aptitude à anticiper les besoins, les clients, les fournisseurs, les prix. « À SPÉCULER, AU BEAU SENS DU MOT » [sic]. À bon ! pour vous « spéculer » a un « bon sens » ?

Une petiote preuve que les Juifs ont une petiote participation dans la révolution de 1789, ne serais-ce que parce que la franc-maçonnerie avec ses perruques poudrées, comportait déjà nombre de Yahvistes dans ses loges, parce que la symbolique de cette nouvelle maçonnerie qui n’était plus que spéculative était principalement judaïque : ainsi, vers l’an 1000, les Juifs avaient déjà leurs propres corporations ou guildes d’artisans. « Dans le Nord, ils pénètrent les guildes chrétiennes, parfois ouvertement, parfois clandestinement. Puis, au Nord comme au Sud, les corporations, devenues toutes-puissantes, les excluent des professions artisanales, même des métiers les moins recherchés : en 1331, dans la cité impériale d’Esslingen, ils sont chassés de la guilde des tanneurs. Il ne leur reste alors pratiquement plus, que dans de nombreux lieux d’Europe, que le commerce des chevaux, le métier de boucher et surtout - impasse tragique ! - celui de prêteur d’argent, office stratégique dans cette phase du capitalisme naissant et de la constitution des nations [renforcement de l’étatisme ou « État-nation »]. Comme on les force à l’exercer, ils vont s’y engouffrer. Pour leur plus grand malheur… ».
Bref, si dans la révolution de 1789 la loi Le Chapelier de 1791 interdit et supprime les corporations, et donc aussi les syndicats, il y a surement un rapport, comme UNE VENGEANCE envers les anciens rejets des Juifs des corporations chrétiennes désormais supprimés, au moins pendant 93 ans ! Bien-sûr ce rapprochement n’est que mon opinion.

Le problème de l’usure au Moyen-Âge entre Chrétiens et Juifs est le fort développement du commerce, il fallait du crédit, beaucoup plus que par les siècles passés. Ainsi l’Église rejette l’usure et interdit à tout Chrétien de prêter ; mais paradoxalement elle n’interdit pas aux fidèles d’emprunter. Donc l’Église se coinçait et hypocrisie des deux côtés !
Au 11è siècle les nations se renforçant et avec elle le pouvoir économique, il n’y avait personne d’autre que les Juifs pour exercer le commerce de l’argent. Eux aussi se coincèrent eux-mêmes dans leur évolutionnisme, parce que comme le dit lui-même un rabbin : Rabbi Ravina cité par Attali : « le métier de prêteur conduit à nouer trop de relations avec les non-Juifs, et menace l’intégrité éthique ». Bref, nous sommes en plein racisme !
Je ne sais si c’est le même rabbin, mais un autre dit que : « selon la nouvelle moralité du monde, on devrait être autorisé à prêter à intérêt, mais le but des mitzvot est de purifier les Juifs, et Dieu nous interdit de faire des choses qui ne sont pas acceptables selon les exigences morales qui nous sont propre » (Abraham Weingort, Intérêt et crédit dans le droit talmudique, cité par Attali).

Racisme, racisme, racisme ! Opinion, opinion, opinion.
Depuis quand un Dieu, de tribu(t), interdit quelque chose, et ainsi se fourvoie dans l’évolutionnisme, donc dans l’OPINION ?
Jéhovah, le Je suis ce JE SUIS, EST DEVENU UN DIEU D’OPINION.

Comme le capitalisme ce serait le bien de ce monde, le Royaume de Dieu (juif) sur Terre, les riches devant mettre leurs richesse à disposition des étrangers : alors, « le prêt à intérêt est dans l’intérêt de l’emprunteur, car il pousse à prendre des décisions rationnelles, alors que le prêt sans intérêt fausse les calculs économiques ». Voilà une belle hypocrisie qui devrait plaire aux idolâtres de la RAISON ou RATIONNEL, les perruques poudrées ou philosophistes du siècles des « lumières ».
Et c’est la logique à la Aristote ! Pensez-donc, pendant que vous prêtez « honorablement » et gagnez rapidement assez d’argent, vous pouvez plus facilement travailler du chapeau. Car il est connu que pour philosopher et reconstruire le monde, il faut disposer d’un peu de temps, et hélas d’un peu d’argent. Et gagner sa vie, cela ne laisse pas beaucoup le temps d’observer et de reconstruire le monde !  Mais les Yahvistes malin comme des Diables avaient flairés le filon. De plus : « Celui qui ne s’adonne pas à l’étude de la Torah emploie ses gains à subvenir aux besoins de ceux qui étudient » (S.W. Baron, Histoire d’Israël : Vie sociale et religieuse, cité par Attali).
Ces gens sont vraiment des travailleurs du chapeau, et du langage écrit, celui qui construit avant tout L’OPINION, donc les systèmes, la loi les dogmes. Ce qui me conduit à remettre le refrain suivant sur le langage écrit, d’après David R. Olson : L’univers de l’écrit : « Mais il semble peu douteux que l’écriture et la lecture aient joué un rôle essentiel dans la genèse d’un bouleversement, par lequel nous sommes passé d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée [ou opinion sur opinion]. Notre conception moderne du monde et de nous-mêmes est, pourrait-on dire, un sous-produit de l’invention du monde sur le papier ».
Ou encore : « Les signes ont été considérés au Moyen-Âge comme faisant intrinsèquement partie des choses, tout comme leur nom ; au 17è siècle [imprimerie, Réforme], les signes deviennent des « modes de représentations ». Les représentations finissent par être radicalement distinguées des choses représentées. Pour représenter de manière fidèle, la langue doit être amenée le plus près possible du regard de l’observant, « et les choses observées le plus près possible des mots » (Olson citant Foucault)

Bref, le métier de prêteur se trouve dans la citation wall streetienne : TIME IS MONEY ! Et avec les modernes algorithmes informatiques c’est encore plus rapide…
On ne sort pas de la vente de temps, de la vente de l’évolutionnisme que les Yahvistes veulent fixer.

Bref, je vais pleurer, de quoi se plaint-on ? Car « rien n’est bon pour les Juifs, si ce n’est pas bon aussi pour les autres ». Que voilà une bonne définition du PEUPLE-PRÊTRE OU NOACHISME-CAPITALISME qui nourrit tout le monde. Pourtant, « les rabbis veillent à faire respecter les prescriptions alimentaires interdisant à tout Juif de partager un repas ou de boire avec un c(C)hrétien. Ils poussent les fidèles à se regrouper dans les mêmes quartiers [ghettos], autour d’une synagogue, d’un bain rituel, d’un cimetière. Ils réclament parfois de pouvoir fermer eux-mêmes leur rue à ses deux bouts par un portail afin de mieux se défendre en cas d’agression ». Voilà la naissance des ghettos

Merci Jacques pour ton formidable livre et ton labeur biblique digne de ta paroisse. Je t’embrasse et t’aime et ne t’en veux pas. Nous sommes tous dans le même Vaisseau et en plus de passage. Mais, Jacques, mets un ‘C’ majuscule à Chrétien, s’il te plait.

[En référence à : Les Juifs, le monde et l’argent - Histoire économique du peuple juif, de Jacques Attali]