République = évolutionnisme hébreux

 

 

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« Pour la première fois, une cosmogonie [le Judaïsme] ne se vit pas comme cyclique ; elle ne se donne pas pour but le retour du même [Mythe de l’éternel retour, livre-clé de Mircea Eliade]. Elle fixe un sens au progrès ; elle fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre. Ainsi est posé la fonction de l’économie : cadre matériel de l’exil et moyen de réinvention du paradis perdu. L’humanité a désormais un objectif : dépasser sa faute. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre : mettre en valeur le temps ». Ainsi Jacques Attali dans son livre : Les Juifs, le monde et l’argent, donne une parfaite définition de l’évolutionnisme et de l’histoire, et de l’opinion, et par conséquence du règne du RÉPUBLICANISME arrivée à maturité en 1789 avec l’aide de la judéo-maçonnerie spéculative et des perruques poudrées des « lumières ».
Ce n’est pas un hasard si de nos jours dans les synagogues de France une prière est dite pour la République française lors de l’office du samedi matin ou pendant les jours de fête.

 

1789 fut du « pain bénit » pour les talmudistes et leur mystique juive, ou selon le lourianisme, le frankisme et le sabbataisme : en faveur « des étincelles de sainteté ». Il devint enfin pratique pour les talmudistes d’établir une technostructure, un dogme, à l’échelle mondiale afin d’imposer la Loi partout. DÉSORMAIS, ON NE RIGOLERAIT PLUS, sauf à travers Hollywood tenu par les talmudistes.




Le marxisme ne pouvait que naître de l’évolutionnisme des Hébreux : l’humain ou son ego dépend toujours des modes de production, donc depuis plus de 4000 ans de l’argent. Vous exercez tel métier, vous pensez d’une telle manière. Pour exister socialement, une personne doit se mouler dans le grégarisme de telle ou telle société ; un grégarisme considéré comme sacré chez d’innombrables peuples, et surtout chez les Hébreux-Juifs. Comme cela vont naître des Sciences proches du sacré qui vont devenir des techniques avec l’arrivée de l’imprimerie à la Renaissance. Ce qui va faire triompher les religions du Livre, dont le Judaïsme et le Christianisme, qui pourront diffuser facilement leurs opinions désormais à un très grand nombre de personnes. Ainsi allait naître la Réforme et la naissance de « la science moderne », ou plutôt le départ de l’évolutionnisme technologique qui donnera naissance à la toute puissante informatique et son Internet équivalent de la révolution imprimerie. À cela il faut ajouter l’autre fait essentiel : la fabrication de cartes géographiques : « Les marchands juifs sont, depuis Salomon, de remarquables marins ; on les a déjà trouvés, tout au long des deux précédents millénaires, voguant de l’Espagne à l’Inde sur des bateaux perses, grecs, égyptiens, arabes, et sur leurs propres flottes. Ils ont ainsi accumulé un savoir immense, et plusieurs sont partout d’excellents cartographes », écrit J. Attali. Il précise qu’évidemment les cartes sont des objets de grande valeur : commerciale, car liée à la politique et à l’espionnage…
Ong W. : The presence of the word, cité par David R. Olson dans L’univers de l’écrit : « Il faut attendre l’imprimerie, et l’édition généralisée des cartes, pour que les hommes, lorsqu’ils pensent à l’univers ou au « monde », imaginent avant tout une surface proposée à leurs yeux, un atlas, ou un jeu de surfaces […] disponibles à « l’exploration ». Le vieux monde de l’oral ne connaît pas « d’explorateurs », il a pourtant été sillonné par d’innombrables nomades, voyageurs, aventuriers et pèlerins ». Évidemment l’ego n’avait pas encore fait ses ravages… La Nature commençait a être sérieusement étudié en utilisant le modèle mathématique (donc mental), et en plus elle est représentée sur le papier, maintenant en binaire de l’informatique ! Mais dans la culture orale, il paraît qu’un enfant des mayas, avant l’âge de quatre ou cinq ans, était capable de classer plus de cent espèces botaniques selon leur ordre taxinomique…

Tout cela donnera évidemment naissance au règne de l’opinion ou triomphe de la « raison », de l’ego, avec les changements sociaux associés au déclin de la Féodalité, avec émergence de l’individualisme, et évidemment du capitalisme et de ses organisations politiques dites « démocratiques », dont le triomphe sera la République, qui se veut « universelle », s’inscrivant ainsi parfaitement dans le principe évolutionniste des Hébreux-Juifs. Les Luther Calvin et la Réforme ne pouvaient qu’aboutir au capitalisme avec mariage anglais du protestantisme et du judaïsme.

Si la démocratie est une « invention » des ergoteurs Grec, alors le social l'est aussi ! Et avec lui l’INSTITUTION ou étatisme, sorte de laïcité avant l’heure qui donnera l’INDIVIDU désormais prisonnier du social, parce que prisonnier des conventions ou grégarisme de ce social. Chez les Grecs l’institution de l’individualisme est symbolisé par APOLLON, ce super géomètre, ce super gardien de l’Ordre dorique, corinthien, etc., ce super intellectuel ergoteur qui sera le symbole de l’individuation. Apollon c’est la « raison » bien avant le siècle des perruques poudrées du 18è siècle. La raison individuelle et collective découlant d’Apollon qui va aider et donner aux Hébreux l’idée de construire leur évolutionnisme ou religion du Salut. « Avec Apollon, nous passons, ou plus exactement, nous opérons la conciliation des religions « d’extase génésiaque et de voluptés créatrice » et des religions sotériologiques (de Salut, de Rédemption) », écrit P. Solié. Au résultat je ne suis pas d'accord ! Il y a toujours division Cycles et évolution. Apollon est le Grand Architecte…

C’est la société, le socialisme à la 1789 qui rendra possible le phénomène de l’individualité et donc de l’opinion. Qu’est-ce qui garantie l’identité, l’individualité ? Mais c’est un acte de naissance inscrit en langage de l’écrit, soit depuis 1789 une carte d’identité, et les témoignages des voisins concierges ou autres. La « personne humaine » n’est inventé que comme « personne morale », donc que COMME OPINION, et pas en tant qu’ÊTRE : JE SUIS CE JE SUIS. Pour la démocratie la personne n’existe que SUR LE PAPIER, DANS L’ÉCRIT, et maintenant dans l’informatique, dans la lignée de la tradition judaïque et ses lois. Si dans une rue de Paris on est « un sans papier », essayez de décliner votre identité à un « gardien de l’ordre » : il ne vous croira pas, étant en laïcité où toute croyance est interdite et votre identité ne dira rien à personne (on est en démocratie) ! Il ne faut croire que la Loi… les trucs écrits des Pharisiens et talmudistes.

Donc ce qui garantie une identité a toujours été un acte public, par exemple, on ne s’entend pas soi-même, on ne connaît pas sa propre odeur, il faut une autre personne pour vous critiquer et vous RENVOYEZ à vous même, comme un miroir, comme l’enregistrement de votre voix ou de votre image par une caméra...
On peut dire que « Tout être n’est qu’une moitié du monde qui dépérirait sans la rencontre avec l’autre moitié qui fonde le symbole » (réf. Pierre Solié : Médecine initiatique - Aux sources des psychothérapies). P. Solié ajoute ce qu’est susceptible de devenir le dépositaire du sacré (hiérophanie) tout objet du monde : plante, animal, pierre, arbre, source, n’importe quel espace, n’importe quel temps (cyclique ou évolutionniste). « Il n’est rien qui ne puisse devenir lieu et temps épiphaniques du sacré ; comme il n’est rien qui ne puisse en être dépossédé. Mais à partir où un objet mondain (extérieur) en est investi il suscite des sentiments d’effroi, de fascination et de vénération. Il est « tabou », « interdit », « ce dont on n’approche pas sans mourir ». La puissance qu’il recèle est toujours prête à s’échapper et à se décharger comme la foudre ; mais aussi à transmettre sa suprême efficacité si l’on peut la capter selon les rites qu’il impose, selon les lois définit et qui ont pour but de maintenir l’ordre et l’intégrité du monde, tout comme la bonne santé du fidèle qui les observe », écrit P. Solié.
Tout symbole est double, et TOUT EST SYMBOLE, donc totalement AMBIVALENT, en pôles antinomiques et complémentaires (Yin et Yang ou Soufre et Mercure) : désir et répulsion, fascination et effroi, amour et haine. Cette dualité est le système de la nature humaine originelle dans le monde spatio-temporel.

Cela rejoint les propos sur l’idolâtrie dans l’encadré ci-dessus, comme quoi le Salut de ce monde ne viendra que par le MARIAGE PAÏENS-RELIGIONS DU SALUT OU ÉVOLUTIONNISTES. MARIAGE DU CYCLE ET DE L’ÉVOLUTION.
Ce qui m’amène à remettre quelques lignes sur le FLÉAU, le BAPHOMET ou PAN, le TOUT : LA PANIQUE. Le FLÉAU porte bien son nom puisqu’il tente d’abolir la dualité des deux plateaux de la Balance. Le Fléau c’est Pan et sa PANIQUE : « la Frayeur de Dieu » ou Illumination, l’ivresse et l’extase ou les convulsions primitives des possédés et de quelques malades mentaux. Le Fléau, la Réalisation du Soi-Instant provoque par la venue instantanée de la Conscience cette « Frayeur de Dieu » que Yahvé envoie tel un Démon pour pénétrer tous les membres de l’humain et les paralyser. C’est « la Terreur sacrée » qui est apparue à l’origine comme le sentiment de quelque chose de sinistre, UN SUPRÊME MANQUE DE CONFORT PARCE QUE SUPRÊME NOUVEAUTÉ, UNE SUPRÊME SPONTANÉITÉ, qui sera identique à la catastrophe naturelle ou provoquée par l’humain qui donnera naissance à de nouvelles religions, de nouveaux départs pour de prochaines civilisations, pour leurs meilleurs et pour leurs pires.
Ne pas oublier que pour les Anciens Grecs la maladie mentale était sacrée, envoyée des Dieux, et le psychiatre Henri Ey disait que : « N’est pas fou qui veut ».

PAN la PANIQUE ou la Pavor Sacer constitue l’ÉMOTION DE BASE DE TOUTE RELIGION PRIMORDIALE OU PAÏENNE. « La colère de Yahvé » a toujours frappé les fidèles du judéo-christianisme. Elle est ignigène ! arbitraire comme un caprice, imprévisible comme tel, comme la survenue d’un orage dans un ciel serein. Pas de « raison », pas de rationnel là-dedans ! Le Fléau est le principe du TREMENDUM. Tous les Dieux possèdent l’AMBIVALENCE, y compris les ÉLÉMENTAUX qui peuvent rester totalement neutres, selon « leur bon vouloir ».

Le Tremendum ou la Majesté qui fait frissonner.
Au Fléau ou Panique terrifiante du Soi-Instant surgissant, il faut ajouter la splendeur fulgurante du fascinans qui aimante de manière à MARIER LES CONTRAIRES. Le fascinans est le sacré et son ivresse, l’enthousiasme et l’extase dionysiaque, l’union sexuelle sacrée. Selon le psychiatre Pierre Solié, et son livre déjà cité, cette extase correspondra à la saturnale maniaque (psychose maniaque).

Pour en revenir au matérialisme de l’évolutionnisme, avec l’évacuation de l’Âge d’Or chassé par l’évolutionnisme, l’imprimerie mettra fin à l’enchantement, et là encore on chutera dans « la conception moderne » du monde. Déjà au 17è siècle, le « savant moderne » a accès à plus d’auteurs médiévaux qu’aucun érudit du Moyen-Âge n’en a jamais connu.
En tant que religion du Livre, l’arrivée de l’imprimerie fut pour les Juifs et les Chrétiens comme le « Graal » : nombre de Juifs établissent des imprimeries… et jusqu’à nos jours médias et entertainment emploient nombre d’entre eux. « Pendant plus de deux siècles, toutes les imprimeries créées dans l’Empire ottoman restent juives : en 1504 à Istanbul ; en 1510 à Salonique ; en 1554 à Andrinople ; en 1557 au Caire ; en 1605 à Damas ; en 1646 à Smyrne… La première imprimerie non juive n’apparaîtra en Turquie qu’en 1728, ce qui confirme l’avance intellectuelle de la société juive sur la société ottoman de l’époque », écrit Jacques Attali dans : Les Juifs, le monde et l’argent.

Date très importante du capitalisme : 1215, en Angleterre est signée la Magna Carta par laquelle le roi Jean sans Terre, après la défaite de Bouvines en 1214, s’engage à ne pas lever d’impôt sans l’assentiment de la noblesse et du clergé, et à accorder à tous les étrangers, en particuliers les Juifs, la liberté du commerce. C’était la porte grande ouverte au capitalisme moderne.
Jean sans Terre est celui qui ordonne en particulier qu’on arrache chaque jour une dent à un représentant des Juifs à Bristol de payer 10.000 marcs d’argent. À la troisième dent, ils paient ce qu’ils peuvent…

Saint Louis (Louis IX) ne pouvait qu’être en rapport avec l’argent : les croisades, puis sa captivité, ou sa mère Blanche de Castille en 1253 décide d’expulser tous les Juifs du royaume, puis elle choisit de faire payer aux Juifs une part de la rançon de 400.000 livres réclamée pour libérer Saint Louis. À son retour, Saint Louis en guise de « remerciement » bannit les Juifs du Royaume ! Ceux qui veulent rester doivent payer un impôt de plus. Dans l’inconscient collectif les « vaches à lait » sont facile à trouver… Louis IX interdit aux Juifs de posséder des terres, de transmettre des biens par héritage, de prêter à intérêt ; mais pour les finances du royaume on lui fait remarquer « qu’il vaut mieux tolérer les usuriers juifs, puisqu’ils sont déjà damnés, que de laisser les Chrétiens commettre ce péché ».

Un autre grand prêteur et banquier du moment sera l’ordre des TEMPLIERS, et en Allemagne l’ordre Teutonique. L’économie était en marche soutenue, notamment en Italie : Gênes, Venise, Florence ; avec capitalisme d’État, capitalisme d’aventure, capitalisme familial.

Petit détail, et en résumé, car la page est déjà longue : les Conquistadors qui détruisirent les Peuples du Soleil (Mayas, Incas, etc.) ont été financé évidemment par les Juifs : « presque tous ceux qui organiseront et financeront la découverte de l’Amérique sont Juifs ou l’ont été », c’est Jacques Attali qui l’écrit, alors… Des marranes (des convertis qui sont resté juifs en secret), financeront Christophe Colomb, avec l’aide de cartographes et juifs pour la plupart. « D’autres marranes arrivent avec Cortés au Mexique en 1521, et avec Pizarro au Pérou en 1540… Presque tous, fidèles jusqu’à la mort à leur foi cachée, en transmettant les exigences secrètes à leurs descendants », écrit Attali qui fait immédiatement penser aux loges francs-maçonniques et autres sociétés secrètes qui transmettent aussi et depuis des millénaires.
Donc les Juifs sont en partie responsable de l’ethnocide des Peuples du Soleil et de la destruction de leur civilisation et de leur culture. Alors je vois d’ici un Jacques Attali qui va me dire : oui, mais la chrétienté interdisait tous métiers aux Juifs, SAUF : le prêt d’argent ! « Les Juifs représentent une force économique majeure ; ils sont les seuls prêteurs autorisés et animent le commerce internationale », écrit Attali.

À la même époque des Conquistadors, J. Attali écrit la citation : « Les Juifs sont des coffres », si bien que lorsque l’Espagne commence à expulser des Juifs : « Dès leur sortie des ports, les bateaux des expulsés sont guettés par des pirates génois et barbaresques qui les arraisonnent… » Un autre témoin juif : « … Ces créatures infortunés mouraient de désespoir pendant leur route ; les Musulmans en éventrèrent pour extraire de leurs entrailles l’Or qu’elles avaient avalé pour le cacher, et en jetèrent d’autres dans les flots… d’autres furent débarqués nues par le capitaine du vaisseau sur des îles désertes » (Michel Rouche, Le Moyen-Âge en Occident, cité par J. Attali).
Évidemment, on peut retourner l’argument : l’Or pillé aux Peuples du Soleil qui enrichit les royaumes d’Espagne et du Portugal, c’est grâce aux prêteurs Juifs… Toujours est-il que l’ethnocide des Peuples du Soleil est une des monstruosités les plus importantes de ces deux derniers millénaires ET TOUJOURS À CAUSE DE L’ARGENT, avec l’argument « les communautés juives sont utiles au développement d’un pays », écrit Attali ! En tous cas, ils n’ont pas aidé les Mayas, Aztèques, Incas, et autres à « développer » leurs pays comme de nos jours l’Empire USionistan veut « développer » (entendre coloniser) en apportant sa démocratie et ses banques à coups de bombes sur la gueule sur les pays dit « émergeants » ou « dictatures ».  

Ce n’est pas la « raison » de l’humain qui triomphera, mais son irrationalité. Car aucun totalitarisme, aucune technologie n’auront assez de force pour éradiquer en lui ce qui fait son PRINCIPE et sa RAISON D’ÊTRE : ÊTRE L’IRRÉEL ou seul réel (« Les choses sont faites de la même substance que les rêves », écrivait Shakespeare).

[En références à : Les Juifs, le monde et l’argent - Histoire économique du peuple juif, de Jacques Attali ; L’univers de l’écrit, de David R. Olson ; Médecines initiatiques - Aux sources des psychothérapies, de Pierre Solié]