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Laïcité = judaïsme/business Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 07-08-2015 22:51

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Jérusalemisation, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Tétévision, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
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Laïcité = judaïsme/business
Juifs = Nombres-Calcul de Poucet
Poucet : symbole phallique, comme le judaïsme
Poucet est supérieur (en matière phallique)
Le Petit Poucet symbolise le principe
sauveur de la société, comme le revendique les Juifs,
une tentative de synthèse de l’individuel et
du collectif.
Poucet représente l’éveil conduisant à la Libération


La réalité augmentée des Yahvistes
 
 
LA VALEUR : le nom-la forme (NLF), obsession juive.
Le nombre nous donnera les calculs ou Cailloux que
Poucet sème sur le chemin, et l’informatique et ses calculs !


Voir aussi les pages :
- Mal absolu présent : la finance internationale
- Monde hyper matérialiste juif
- Évolutionnisme ou instinct de survie
- Marxisme et théologie de la Matière
- Dieu de tribut
- République = évolutionnisme hébreux

PHALLUS : symbole de puissance génératrice, qui sous cette forme est vénérée dans de nombreuses religions. Ce symbolisme, comme dans les anciennes traditions païennes, tient un rôle important dans le mental juif. (Voir Gershom Scholem : Les grands courants de la mystique juive).

Refrain talmudique et « altruisme juif » :
« Rien n’est bon pour les Juifs si ce n’est bon aussi pour ceux qui les entourent », soit, les communautés cherchent partout à mettre en avant les services qu’elle peuvent rendre.
Autre encore : « Rien n’est bon pour eux si ce n’est bon pour leurs hôtes ».
Ou encore : « Les quatre cents familles juives des Pays-Bas rapportent beaucoup d’argent à l’État et que, partout où ils sont admis, les Juifs sont de bons citoyens qui ne veulent rien d’autre qu’apporter la prospérité autour d’eux. ‘Ce sont de fidèles vassaux’ » (un Apologie des Juifs écrite en 1655 et imprimée par Emmanuel Benveniste, imprimeur).
« Altruisme juif » ou comment être utile POUR MONNAYER SON ACCEPTATION PAR LES NON-ÉLUS. Ainsi le « peuple prêtre » deveint le « peuple-outil ».
Maroc, Pologne, Turquie sont les pays où les Juifs sont les plus nombreux, « même s’il n’y sont pas forcément les mieux traités ».
RAPPEL :  Coran, Veda, Bible, Torah ou Talmud sont à la base la Tradition orale. Et le sens de ce que nous leur attribuons de nos jours est ce qu’on appelle « métaphore » (exemple : une source de chagrin, un monument de bêtise).
 
Connivence : Protestants-Juifs avec la réforme et le NLF : « Puis les réformateurs proposent une révision majeur de l’éthique économique. L’argent n’est plus sale ; il est permis de le faire travailler [usure], Calvin autorise les pasteurs à pratiquer le prêt à intérêt en raison des ‘pieux loisirs qu’il dispense aux ministres du culte’. Exactement ce que disent les rabbins depuis quinze siècles ! », écrit Attali.
La Réforme des Luther-Calvin tient comme l’obsession judaïque : le nom-la forme, soit les LETTRES ou langage de l’écrit. Le nom-la forme (NLF) pour ARRIVER À L’UNIFORME UNIFORMITÉ (pensée unique). Une uniformité caractéristique du monde moderne et de sa technologie ou « pensée rationnelle »). Un « monde moderne » : la démocratie, la technique et donc la logique à la Aristote et autres John Locke (à tête de malade du foie).
Pour les réformateurs Luther-Calvin, le sens d’un texte n’est que littéral, c’est le dogme, la LOI si chère aux Hébreux-Juifs.
Luther-Calvin, Descartes et Galilée ont en commun une nouvelle façon de lire, de mettre en rapport ce qui est écrit et ce que cela signifie.
Avec la Réforme on ne rigolait plus, alors que l’esprit des Anciens était celui d’un monde enchanté, peuplé de Dieux et de Démons, de mystères et de magie. Avec la Réforme et son mariage « de raison » avec le judaïsme on entrait dans le rationnel si chère aux perruques poudrées des « lumières ».
Notre science, notre mental et notre technologie découlent de l’invention, d’abord de l’écriture alphabétique, puis de l’imprimerie ; et de nos jours avec l’Internet la mutation est encore plus gigantesque qu’avec le passage par 1789 !

« Les Églises voient leur influence décroître. Les communautés perdent leur justification défensive. Pour beaucoup, le sens même du judaïsme - structure de survie, cadre protecteur et référent consolateur - tend à s’effacer. Chacun veut s’affirmer citoyen libre, indépendants, laïc ; vivre et travailler au milieu des autres, dans la nouvelle économie de masse, et non plus dans l’artisanat confiné en ghettos. Ils veulent tous être admis, comme le sont déjà les fournisseurs de cours, dans quelques rares pays d’Europe centrale », écrit Jacques Attali dans : Les Juifs, le monde et l’argent.
C’est le départ de la révolution industrielle commencée après 1789 : « Les Juifs seront au premier rang des prodigieuses mutations technologiques, industrielles et financières qui vont rendre possible la production de masse [départ de la diabolique société de consommation]. Démocratie et marché se révéleront là inséparables. L’entré dans l’une va accélérer l’entrée dans l’autre », écrit J. Attali qui résume tout admirablement.

Sous Henri VIII : « Un petit nombre de conversos [marranes] s’installent à Londres et à Bristol, où les Juifs sont interdits depuis 1391. Médecins et marchands, on les tolère sans être dupe. On les estiment utiles à la diplomatie et à l’espionnage, au double jeu et aux affaires », écrit J. Attali.
Toujours en Angleterre, à l’époque de Oliver Cromwell, un certain rabbin Menasseh Ben Israël, venu d’Amsterdam expliquer à Cromwell que le messie ne viendra pas sur Terre aussi longtemps que les Juifs n’auront pas été autorisés à vivre en Angleterre. Comme c’est pratique ! et relève de la totale opinion…

Ce même Israël précise que les Juifs seront « fort utiles au développement du pays, puisqu’ils n’ont pas de patrie où envoyer leur argent et qu’ils le dépensent sur place ». Bref, en 1657 Cromwell laisse bâtir à Londres la première synagogue, depuis près de 250 ans ! Londres commence à devenir « le cœur du monde » (entendre financier).
En 1689 le philosophiste John Locke découvre la laïcité : « la religion est une affaire privée [sic] dans laquelle le pouvoir civil [sic] n’a pas à intervenir, sauf pour assurer la liberté de tous », ainsi on a là une bonne définition de l’étatisme dans tout son patriarcat !
En résumé : les Anglais ont besoin des Juifs dont ils savent le rôle (financier) aux Pays-Bas. Anvers qui était la capitale économique du monde va bientôt être détrôné par Londres et la City. Anvers va cependant rester la capitale mondiale des diamantaires.
En 1609, 24 marranes portugais et espagnoles vont participer à la création de la Bourse d’Amsterdam, avec 7 autres actionnaires. Amsterdam devient la capitale refuge qui accueille protestants français et anversois, Juifs séfarades et ashkénazes.

On peu comprendre pourquoi Baruch Spinoza est excommunié par les rabbins d’Amsterdam ; il disait fort pertinemment que les lois bibliques ne sont pas des vérités révélées, dictées par Dieu, mais des textes humains que chacun doit confronter avec sa propre conscience, elle-même fondée sur la « raison universelle [sic] pour trouver sa propre voie vers Dieu ».
Amsterdam était devenu « le temple de la spéculation, le lieu de formation des ‘bulles’ financières », écrit Attali.

Le judaïsme-business va bon train : « Non seulement ils financent, mais ils voyagent. Ils assurent aussi les risques en créant au passage l’assurance maritime hollandaise dont les primes énormes, mesure des risques encourus, s’élèvent alors à 70 guilder pour 1000 guilder de marchandises achetées pour un voyage en Europe, et à dix fois plus pour un parcours à destination des Indes ou des Amériques ». La fortune des assureurs était en marche.
Non content d’avoir financé les expéditions des assassins Cortès et Pizarro, et même de Christophe Colomb, certains marranes font fortune dans des mines d’argent et comme marchands d’esclaves, comme un certain Manuel Bautista Perez, chef des judaïsants en secret, et brûlé vif.

De 1649 à 1653 à Amsterdam, beaucoup d’ashkénazes seront broyeurs de tabacs ; un séfarade Menasseh Gaon sera industriel du tabac et emploi en 1661 un « fileur ashkénaze », Moises Heyman, et 3 séfarades : Davis de Oliveira, Moise Da Fonseca, Abraham Lévy. En général les séfarades sont patrons et les ashkénazes sont employés, précise J. Attali.

La Russie n’avait pas de Juif chez elle jusqu’à Pierre Le Grand où commença à s’y introduire quelques « Juifs de cour ». En 1778 Catherine II autorise des marchands et artisans juifs. Il va arriver vers le bassin du Dniepr, la mer Noire et la Crimée, près de 2 millions de Juifs, mais comme enfermés dans un immense ghetto.
1787, Louis XVI charge Malesherbes de proposer une réforme du statut des Juifs en France. Même année il les autorise à posséder des boutiques et à être admis dans les corporations. 1788 : des évêques s’inquiètent de « l’immoralité » et de « l’irréligion » !
À la veille de 1789, 40.000 Juifs résident en France : 500 à Paris, 25.000 an Alsace, 7500 en Lorraine, le reste en Guyenne et Comtat Venaissin.
Les perruques poudrées ont des discours peu aimable envers les Juifs. En 1720 un Montesquieu écrit quasiment, je résume : Juif = Argent. Le raciste Voltaire n’est pas en reste, il conclut dans son Dictionnaire philosophique sur les Juifs : « On regarde les Juifs du même œil que nous voyons les Nègres, comme une espèce d’hommes inférieurs ». Une opinion de chez opinion doublée d’un ego dégueulasse. Par contre, dans l’Encyclopédie des Diderot & Cie le mot Juif ne prête que des éloges au « peuple élu » : « Et Moïse ? Quel historien ! Quel législateur ! Quel philosophe ! Quel poète ! Quel homme ! » Encore un preuve de l’invention de l’HISTOIRE ou temps qui coule par les Juifs.
Pout l’Encyclopédie de Diderot, si les Juifs sont commerçants, c’est parce que la chrétienté ne leur a laisser que ça pour vivre. Ce qui va les amener à travailler à la « raison d’État », ou en d’autres mots à consolider la politique de l’étatisme tel que nous la subissons aujourd’hui.

« Ne pouvant investir dans la propriété foncière ni dans les charges qui donnent accès à la noblesse, ils deviennent gérants des droits de douane, administrateurs des monnaies, fournisseurs des armées en grains et des États en capitaux. « Fournisseurs de la Couronne », ils aident à transformer les vieilles structures en régimes efficaces, à imposer la raison d’État, à assurer son existence même : pas d’État sans capacité d’emprunter. Une fois de plus, ces étrangers à peine tolérés concourent à la naissance et au renforcement des nationalités », écrit Jacques Attali emporté.
Le plus célèbre des fournisseurs d’États et de cours sera Mayer Amschel Rothschild, né dans le ghetto de Francfort en 1743. Il fera 19 enfants dont 10 survivront (5 garçons et 5 filles, on est élu ou on ne l’est pas… ) En 1794 Rothschild propose au prince de Hesse de l’argent métal, et non des pièces, et devient banquier. Les fournisseurs de cour deviennent des réseaux politiques (et certainement aussi des espions).

Je dirais que l’actuelle laïcité a une grande part de responsabilité grâce aux Juifs : Moses Mendelssohn, né à Dessau Allemagne en 1729, devient ami de Kant, parle français hébreu, latin, anglais, grec, italien ; il s’oriente vers un déisme démontrable selon lui par la science. Il fait l’apologie de l’intégration des juifs dans le monde laïc, de la coexistence des religions, tout en revendiquant pour le judaïsme le caractère unique d’une religion révélée ! Peuple oblige !!! Bien-sûr il prône la Haskalah (raison) influencée par l’opinion des perruques poudrées des « lumières », NLF oblige et préparation à construire la civilisation industrielle d’aujourd’hui, soit ne plus attendre le messie mais chercher à améliorer le monde des vivants, ce que cherche à faire en cachette cette judéo-maçonnerie spéculative genre Grand Orient de France !

Évidemment que l’émancipation politique des Juifs commence par le business, surtout quand ils arrivent en Angleterre au début du 18è siècle en même temps que l’établissement de cette judéo-maçonnerie spéculative en 1717 à Londres (Jacques Attali dans son livre cité ne cite aucun mot de cette judéo-maçonnerie spéculative).
Attali écrit : « Il n’est pas de prospérité privée qui ne soit précédée par l’instauration d’un État fort. Et il n’est pas d’État fort sans finances saines, donc sans financiers de confiance [les banquiers ou marchands de confiance] pour prêter à long terme. Tel va être, une fois de plus, comme si souvent dans l’histoire, le rôle des Juifs : bâtir les fondements financiers de la nouvelle puissance ».
Londres : « S’amorce une sorte de nationalisation des finances publiques avec des Juifs aux commandes, apportant de l’extérieur les ressources nécessaires et aidant à les organiser ».

Juifs = circulation de l’argent, puisqu’ils « sont si disséminés à travers les ports commerciaux et monde qu’ils sont devenus les instruments par lesquels les nations les plus éloignées dialoguent les une avec les autres et par lesquels l’humanité est maintenue en relation. Ils sont comme les chevilles et les clous d’un grand bâtiment… », on a là une définition du « peuple prêtre » et du Nouvel Ordre Mondial déjà en septembre 1712, dans The Spectator.
Et oui, diaspora = dispersion et circulation, comme l’argent : faire circuler son bien, acheter des fonds d’État et des actions des grandes compagnies ou de banques, vaut mieux que l’argent qui dort sous le matelas ou dans les cheminées éteintes. Alors l’Angleterre devient le cœur de l’économie mondiale, comme l’écrit si bien Attali : « Les émigrants affluent : de 600 en 1700, ils passent à 20.000 en 1800. À Madras, Bombay et Hong Kong, les Salomon, Castro et Sassoon aident à la colonisation anglaise grâce au commerce de diamant et autres pierres précieuses, du coton, du tabac.

Juif = étatisme = trésorerie publique = IMPÔTS et EMPRUNT. C’est en ce même début du 18è siècle que des loges maçonniques et donc des Juifs s’installent aux États-Unis. Le président Woodrow Wilson dira que les colons se sont souvenus des passage de la Bible critiquant l’autorité royale… bref, que la société hébraïque serait un modèle de gouvernement ; et que la Constitution est bâtit sur le cœur de l’organisation juive (plutôt judéo-maçonnique)… et parce que cette société hébraïque est le modèle de la « démocratie pure » (je résume).
En 1792, 24 négociants new-yorkais créent une bourse d’échange au 68 de Wall Street (New York Stock Exchange)

Après 1789, toujours pas de laïcité puisque invention d’opinion du « Culte suprême » à Paris : on ferme les synagogues, les églises. En 1795 Beer Léon Fould, de Lorraine, fonde à Paris rue Saint Georges la première banque juive.
Un certain Napoléon Bonaparte devient Empereur et veut attirer le plus de Juifs possible dans son empire, « pour le progrès du commerce » dira-t-il à un de ses compagnons de Saint-Hélène : « C’est encore l’idée que les Juifs apportent la prospérité autour d’eux, que la richesse qu’ils créent est supérieure à celle dont ils profitent… »
Napoléon = étatisme et fondation de la Banque de France en 1800, interdiction d’être prêteur sauf à créer une banque.
L’Église s’angoisse : « La fin du monde aura lieu quand les Juifs seront rassemblés » dit le cardinal Joseph Fesch se référent sans doute à la « fin des temps » des Yahvistes !

Bref, les Juifs voient en Napoléon leur messie… Et un Abraham Furtado, banquier à Bordeaux proclame Napoléon « le Cyrus des temps modernes ». Mais quand l’empereur Napoléon meurt, l’antijuivisme reprend partout en Europe, dans maints endroits on rétablit les ghettos !
Toujours en France un certain avocat juif de Nîmes, et judéo-maçon, Adolphe Crémieux, devient premier juif français à occuper un poste ministériel : garde des Sceaux en 1848.


UN DES RÉSULTATS DU CAPITALISME ET DE SES VENDEURS DE « PAIX ».

Religion des pays membres de l’OTAN (Alliance): la démocratie, c’est-à-dire la destruction et la mort sur la planète, comme en 1789 en France, 1917 en Russie, etc.

Pour ce faire :
- Infiltrer les réseaux sociaux sur l’Internet et appeler à renverser le pouvoir en place.
- Accuser de crimes de guerre et « contre l’humanité » les détenteurs du pouvoir qui doit être « démocratisé ».
- Construire depuis l’étranger un « gouvernement provisoire » qui évidemment sera qualifié de « légitime » par opération de l’opinion d’autres pouvoirs.
- La sauce sera évidemment approuvée par le « conseil de sécurité de l’ONU » puisque comme il y a déjà plus de 10.000 ans il s’agit de « sauver des vies humaines ».
- Créer une « zone d’exclusion aérienne » (comme pour la Libye).
- Demander sans arrêt au chef du pouvoir en place de céder son pouvoir, sinon les sanctions (comme à l’école) vont pleuvoir : sanctions économiques, interventions armées aériennes et terrestres, reconnaissance de la victoire obtenue par les « rebelles » soutenus par l’Occident et qui en deviennent des « révolutionnaires » (des terroristes).
- Faire main basse sur tous les ressources du pays à coloniser en envoyant polluer le pays par toutes les multinationales occidentales possibles.
- Enfin, faire mousser la haine ou sauce occidentale de l’Empire grâce aux médias à la solde de cet Empire de l’OTAN.


[En références à : Les Juifs, le monde et l’argent - Histoire économique du peuple juif, de Jacques Attali ; L’univers de l’écrit, de David R. Olson]
 
 

Dernière mise à jour : 07-08-2015 23:20

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