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L’âge du Faire/Fer et de la PEUR Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 09-08-2015 22:50

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Jérusalemisation, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Tétévision, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
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L’âge du Faire/Fer et de la PEUR
ou FAIRE DES AFFAIRES
ÂGE DE LA PEUR (de manquer)
Âge des religions de la Chute et
de la déchéance humaine
avec business du « rachat des péchés »
que c’est très pratique.

UNE BONNE AFFAIRE POUR DIEU (des Juifs) : la Synagogue de Satan (Ap.2, II).
 
 
Principe de la société de consommation : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Abraham et Simon Oppenheim)

Voir aussi :
- Mal absolu présent : la finance internationale
- Monde hyper matérialiste juif
- Évolutionnisme ou instinct de survie
- Marxisme et théologie de la Matière
- Dieu de tribut
- République = évolutionnisme hébreux
- Laïcité = judaïsme/business
- Religion de la Haskalah ou des Lumières

L’Âge du Fer/Faire ou du sens pratique qui donnera la technologie galopante ou thermodynamite des Nobel & Co. Soit, selon Jacques Attali, remplacer la loi du talion par l’argent ou dédommagement monétaire des blessures. Et oui, ces gens là valorisent absolument tout, même la merde (religion du pipi-caca du freudisme). Si ce n’est pas du sens pratique, du Fer/Faire qui rouille, qu’est-ce que c’est ?
 
L’âge du Faire/Fer des Hébreux réglé comme du papier à musique.
OR, PAS DE PEUR, PAS DE LOI. Sinon c’est la mort. D’ailleurs, Talleyrand disait qu’il fallait se méfier du premier mouvement, « car c’est en général le bon », donc il disait le contraire de Mazu et des Taoïstes : se méfier de la spontanéité.
Pas de but, pas de temps, que l’Instant :
Mazu : Ce qui m’interroge à l’instant présent constitue ton trésor. Toutes choses sont parfaites en soi, rien ne manque [pas de but, pas de Chute]. Utilise-les spontanément, à quoi bon rechercher vers l’extérieur [vers le Demain On Rase Gratis ou DORG].
Ainsi il n’existe pas de LOI, ni au dehors, ni au dedans, sinon c’est le mental, l’idéation, l’histoire, le langage parlé, etc.
Comme il n’existe pas de Loi il ne peut pas exister de PEUR. Car la peur provient de l’ego, et elle se transmet aux animaux, aux plantes, et même aux minéraux, parce que la peur réside dans la dualité vie-mort. Si on s’attache à la dualité maître-disciple, on tombe aussi dans la peur. L’absence de peur est le signe d’un Réalisé, d’un Buddha, d’un Adepte ou Bienheureux.
La Loi ne peut qu’engendrer la peur et l’égarement, et les Hébreux sont justement les spécialistes de Lois, c’est pourquoi ils ont une opinion d’inventer un Dieu-colérique-jaloux.
Les hébreux-Juifs sont obstinés à repérer désespérément dans le réel apparent la Loi Réelle qui en explique à la fois le sens (la raison) et le devenir ou « fin des temps », le DORG, comme une annonce du futur et donc de l’histoire ou temps qui coule.
Pas de but à atteindre pour la bonne raison que se CON-NAÎTRE (naître avec) implique comme un paradoxe : il s’agit de saisir ce qui est impossible à saisir : pas de but à atteindre, CAR LA PRISE EN CHARGE DE SOI-MÊME RÉSIDE PARADOXALEMENT DANS LE RENONCEMENT MÊME À CETTE PRISE EN CHARGE ; c’est pourquoi Ramana Maharshi dans ses entretiens répète souvent que le Soi ou Instant, la Libération ou Félicité EST NOTRE ÉTAT NATUREL (pas de Chute ou déchéance de l’humain). Ainsi seul l’I-RÉEL (ou Point sur le I) est véritablement Réel (« Les choses sont faites de la même substance que les rêves » écrivait Shakespeare).

Se Réaliser, ÊTRE, implique la non-dualité, donc plus de double, plus d’ego ou sujet-objet : le ‘je’. Le refus de l’unique ou du ‘Je’ avec le J majuscule (absence d’ego) est le propre du refus de la vie. Le Soi ou ‘Je’ est effectivement l’éternité, comme les Anciens à l’Âge d’Or n’étaient pas prisonnier de l’histoire, donc de la peur ; le temps pour eux n’existait pas ils ne leur accordaient aucune importance, ILS NE CHUTAIENT PAS DANS LA DURÉE OU CHRONOLOGIE TUEUSE. COMME LE MYSTIQUE, L’ANCIEN VIVAIT DANS UN CONTINUEL PRÉSENT, DANS L’INSTANT, DANS LA SOURCE DE L’ATEMPOREL.

Les Hébreux étant inventeurs de l’histoire ou temps qui coule mis en VALEUR, la croyance-crédo-crédit ne pouvait que conduire à l’ARGENT DIEU. En effet, le principe d’une croyance-crédit-crédo est QUELLE EST SANS OBJET : ça peut circuler, comme l’argent, indéfiniment, et c’est tout bénéfice pour ceux qui tiennent les clés des coffres, maintenant les codes des ordinateurs. Je répète, le propre d’une croyance c’est qu’elle dure longtemps : elle est indéracinable car SANS OBJET. Elle est le contraire de l’Instant, son COURT-CIRCUIT. L’illusion est le propre de la croyance.

LE JUDAÏSME C’EST LE REFUS DU RÉEL, DE L’INSTANT, DONC DU GRATUIT PUISQUE LES HÉBREUX-JUIFS VALORISENT TOUT.

Valoriser le monde de l’illusion par le crédit-crédo-croyance c’est le fragiliser à l’extrême par l’OPINION, exemple : peut-être qu’il suffit de deux humains qui ont la même opinion pour constituer le « réel », donc la CROYANCE-CRÉDIT-CRÉDO, la CONVENTION OU LOI.
Le refus du Réel et donc du gratuit est là encore un mécanisme de défense qui entre en jeu dès que le réel est perçu comme trop cruel, trop directe, trop spontané (voir Mazu cité ci-dessus).

« Comme on a voulu chasser les Juifs de l’histoire de Dieu, on veut maintenant les exclure de celle de l’argent », écrit Jacques Attali dans : Les Juifs, le monde et l’argent, confortant le fait que les Hébreux-Juifs ont inventé l’histoire ou temps qui coule.
Le capitalisme ne pouvait que naître corrélativement avec l’OPINION prenant corps à la Renaissance avec la Réforme des Luther-Calvin, quand l’individualité, l’ego prend une consistance si importante.

Le « peuple élu » étant depuis des millénaires en SURVIE, puisqu’il n’a pas encore atteint sa « fin des temps »,  et qu’à la fin du 19è siècle il se réfugie en Amérique et en Palestine pour essaimer dans les quatre « matrices » (mot d’Attali) suivantes : le socialisme (qui donnera 1917 en URSS), le freudisme et sa psychanalyse ou technique comportementale, l’américanisme, le sionisme ou israélitisme : le suprême suppositoire colonialiste.
À partir de 1795, plus de Juifs polonais, pas de Juifs en Russie ni en Autriche. 2 millions de Juifs vont se retrouver chez leurs ennemis : les Russes et les Autrichiens. Varsovie est russe, Cracovie est autrichienne. Cela va devenir la matrice du socialisme ou communisme.
Les communautés juives en Russie seront les plus prolifiques… en enfants : plus de 6 enfants par famille. « En Russie, ils sont plus de 2.250.000 en 1825 » écrit Attali. Pour casser ce lapininisme galopant, le tsar Nicolas 1er ordonne d’enrôler dans l’armée russe tous les Juifs de 12 à 25 ans, et de les y maintenir au minimum 25 ans, après les avoir convertis à l’orthodoxie et donné une éducation chrétienne ! De plus, chaque communauté devait fournir chaque année son lot de conscrits ; et pour finir des khapers venaient dans les villages pour enlever les garçons que l’on cachait.
En 1835 face à la poussée démographique juive, Nicolas 1er ne tolère que « les plus utiles », et envoient les autres dans l’armée ou dans des colonies agricoles. Évidemment on intensifie la chasse aux jeunes, etc.
En 1846 : 3 millions de Juifs en Russie. En 1855 : 3,6 millions de Juifs en Russie. Arrive Alexandre II, c’est du miam-miam pour les Juifs.

Dostoïevski n’est pas tendre avec les Juifs, il dit que « le Juif gouvernera l’univers ». Évidemment Attali n’est pas content !

Suite aux désordres économiques dans nombre de pays, le socialisme juif démarre sec. En 1880 est fondé l’ORT, soutien des travailleurs juifs dans l’industrie et l’agriculture. Après l’assassinat tragique d’Alexandre II les Juifs sont à nouveau pourchassés et tués, c’est là qu’apparaît le mot POGROMS (destruction, tonnerre, furie, anéantissement). On cri en Russie : « Frappe les Juifs pour sauver la Russie ». Avec Alexandre III nombre de Juifs émigrent aux USA et en Angleterre.
Face aux pogroms, des mouvements révolutionnaires se forment : antireligieux, anticapitalistes, anti-tsar.

En 1897 un Theodor Herzl lance à Bâle le mouvement sioniste créé clandestinement par un groupe, dont un sera instituteur : Aaron Kremer, et quelques ouvriers. En Russie se formera le syndicat nommé « Bund » (syndicat en yiddish).)

Je ne parle pas ici du célèbre « Protocole des sages de Sion », sujet trop complexe et casse-gueule vis-à-vis du républicanisme actuel, en liaison avec l’Inquisition moderne nommée « Théorie du complot » ; et je ne suis pas d’accord avec J. Attali… mais le sujet de son livre en référence ici est l’argent.

Un terroriste juif lituanien : Grigori Andreïevitch Gershvni organise l’assassinat de plusieurs responsables politiques tsaristes. Condamné à mort, il sera exilé à vie en Sibérie, d’où bien-sûr il s’évade pour gagner évidemment les USA. Il fera du gringue après des banquiers et des syndicats américains pour avoir de l’argent pour faire la révolution en Russie. Avec succès, les banquiers juifs US préféreront les socialistes russes aux tsars antijuivistes.

En 1906 un parti sioniste est fondé en Russe : Poalei Zion (« les Travailleurs de Sion »), de couleur marxiste, voulant l’installation des Juifs dans un État juif socialiste en Palestine. Entre 1908 et 1909 un demi-million de Juifs quittent la Russie. À la fin 1909 plus d’un million et demi de personne ont émigré, dont 90% aux USA ; bientôt il faudra s’attendre à la naissance d’Hollywood et de l’entertainment.

Vienne Autriche naissance de la religion du pipi-caca : la psychanalyse.
En 1867 l’Empereur d’Autriche fait une nouvelle constitution : les Juifs obtiennent la liberté de séjourner dans tout l’Empire, même à Vienne et à Budapest : l’argent va passer en second rang, PLACE À LA CULTURE, AU MENTAL, AU SEXE. Vont défiler les : Kafka, Freud, Webern, Schoenberg, Mahler, Klimt, etc.
Si l’argent passe au second plan, le psychanalyste sait se faire payer très cher ! toujours avec l’argument que : payer avec son fric, son salaire, « ça force à l’introspection justifiant la dépense ». Bref, toujours la religion de la déchéance, on fait du marchandage entre Gurus et disciples, et c’est soi-disant la condition de la « guérison ». Ba voyons !!!
Bien-sûr que l’argent renvoie à la merde, la grosse commission, ne pas être DANS LE BESOIN, Etc. Bref, Freud est tombé dans la merde.

« Pendant que les Juifs russes inventent le socialisme et que les Juifs autrichiens découvrent la psychanalyse, les Juifs américains participent, au tout premier rang, à la naissance du capitalisme américain et à l’américanisation du monde », c’est Jacques Attali qui l’écrit ! Ils vont notamment combler le vide entre les banques anglaises et européennes : « prendre des risques que personne d’autre ne veut assumer ; cette fois sans y être forcés ».
Le capitalisme américain va être : Goldman, Guggenheim, Kuhn, Lazard (français), Lehman, Levinsohn, Loeb, Macy, Sachs, Schiff, Schoenberg (Belmont), Sears, Seligman, Strauss, Warburg, Werheim, etc. Ainsi allait naître l’American way of life et sa société de consommation suite à l'effondrement économique de 1929.


Pour en revenir à la LOI, c’est l’archétype, l’inconscient collectif de Jung et de Chardin, la Jérusalem céleste « au centre de laquelle resplendit un temple avec une tour géante qui touche aux nuages et est vue de tous » (Tour de Babel).
Autre description dans l’Apocalypse 21, 2 : « Et moi, Jean, je vis la sainte cité, la nouvelle Jérusalem, qui descendait du ciel, de chez Dieu, prête comme une épouse qui s’est parée pour son époux ». Chacun voit, ou rêve midi à son mental-fenêtre.
Montagne, Pyramides, Tour de Babel et Sion et autres, tous ces lieux élevés décrivent la perte de l’ÂGE D’OR, qui pourtant est toujours et éternellement présent : plus d’histoire qui s’achève par la mort ! Le roi ou reine sur son trône essaye de faire revivre cet ÂGE D’OR.

Faire attention que le socialisme juif et des capitalo-socialistes c’est le NLF (le Nom-La-Forme), le NORME : sous l’effet du rituel du crédit-crédo-croyance il se développe une FORME (GRÉGARISME), qui en devient « réelle » et à l’inverse des Anciens ne sera pas sacré, mot qui n’a rien à voir avec valeur (valoir quelque chose, donc de la croyance-crédit-crédo). Normalement le sacré est ce qui n’a pas de dualité, il n’y a ni pur ni impur, ou ni profane-sacré : IL EST.

Nouveauté : ce que les humains ne répètent pas sans cesse, ils abandonnent, par Instant, les archétypes et les réactualisations permanentes de « CE TEMPS-LÀ », donc de l’histoire (comme compressée, réduite à RIEN).
Le profane est ce qui n’a pas de signification exemplaire, mythique, qui est hors de l’archétype, du héros, hors de l’Instant. Si le mythique doit être PREMIER, il ne doit pas être imité, car alors il tombe dans le profane, dans le isme ou système, dans le grégaire.
L’être humain ancien ne se reconnaissait comme réel que s’il cessait d’être lui-même, abandonnant son ego, mais surtout pas pour imiter et répéter les gestes d’un autre (héros ou mythe) ou du groupe, il se reconnaissait réel que s’il domptait son ego ; il cessait d’être véritablement lui-même.

ARCHÉTYPE : l’exemplaire, le modèle, le principe. Reproduire le geste initial accomplit « par un Dieu » (ou un héros, ou un Saint, etc.) au « commencement des temps », et qui a lieu en ce même moment mythique primordial. Tout sacrifice répète le sacrifice initial et coïncide avec lui : LE TEMPS N’EXISTE PAS, IL NE COULE PAS, IL N’Y A PAS D’HISTOIRE, TOUT EST SYNCHRONE, EN UN SEUL AXE, l’humain est projeté « dans le temps » à l’époque mythique où les archétypes ont jaillit pour la première fois. Le danger est de ne pas tomber dans le grégarisme, l’imitation du groupe, du socialisme.
L’éternité ou abolition du temps qui coule ou abolition de l’histoire c’est quand l’être humain est véritablement lui-même, peut importe l’endroit, le travail, l’époque et sa culture, sa condition sociale et financière, etc.
En réalisant le Soi-Instant il n’existe plus d’archétype, plus de modèle, plus d’étalon, plus de prototype ; c’est pour ça qu’il devient temps de retrouver son propre modèle, son propre Soi : chacun sera alors EXEMPLAIRE UNIQUE FORMANT UN TOUT.


Les premiers hébreux avaient conscience de l’histoire à cause des événements et humiliations politiques qu’ils traversaient, ainsi ils réduisaient l’histoire en mythe pour se retrouver à la source de ce mythe.

Conclusion : non seulement ne pas chuter dans la durée ou histoire dans le temps qui coule, mais ne pas chuter dans l’archétype en forme de grégarisme, car CHACUN EST NATURELLEMENT UNE PREMIÈRE FOIS. Si par accident du monde spatio-temporel deux Premières fois humaines s’entendent bien, alors elles tombent à nouveau dans l’opinion…

Voir aussi la page : Hydre mondiale, oligopole bancaire. (Les États ne sont plus rien à côté des banques qui sont vraiment des criminels en bandes super organisées). Ce sont les grandes banques qui fabriquent selon leurs opinions la « démocratie ».

[En références à : Les Juifs, le monde et l’argent - Histoire économique du peuple juif, de Jacques Attali ; Le mythe de l’éternel retour, de Mircea Eliade]
 
 

Dernière mise à jour : 09-08-2015 23:42

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